Flux RSS
Internet
5069 documents trouvés, affichage des résultats 331 à 340.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(05/10/2011 12:09:32)
Un réseau social suisse pour les différents acteurs de l'IT
Le réseau social professionnel ICT Synergies a pour but de faciliter les interactions entre les différents acteurs du secteur IT. Il vise notamment à renforcer le dialogue entre fournisseurs et utilisateurs. Cette plateforme se différencie d'autres réseaux professionnels en cela qu'elle s'adresse uniquement au milieu IT, et qu'elle se place au niveau de l'entreprise et non de la personne. En effet, chaque nouvel utilisateur est relié à son employeur principal au moment de son inscription. Accessible à ce jour en allemand uniquement, elle sera disponible en versions française et anglaise ces toutes prochaines semaines.
Echanger des informations
Selon le communiqué de ICT Synergies.com, le site doit notamment permettre aux entreprises IT, petites ou grandes, d'obtenir du feedback de la part de communautés d'utilisateurs. Pour ces derniers, il peut en effet être plus facile de donner des retours via une plateforme neutre et indépendante plutôt que directement sur le site du fournisseur ou fabricant. Le réseau permet également de publier des nouveautés concernant des technologies, produits ou services qu'un fournisseur ou fabricant souhaite promouvoir.
Les membres inscrits peuvent sélectionner les domaines qui les intéressent et au sujet desquels ils souhaitent recevoir des informations. Cela leur permet de recevoir des informations directement de la part des fabricants. Il est également possible d'effectuer des recherches ciblées pour identifier un fournisseur, ou encore d'échanger des connaissances avec d'autres personnes du milieu via l'espace forum.
Besoin de nouveaux canaux de communication
Fondateur et CEO de la plateforme, Jean-Pierre Jamet a souligné: «Après avoir passé 20 ans à aider des entreprises IT à effectuer des mailings ou des campagnes d'emails, ou à organiser des campagnes d'information téléphoniques, la nécessité d'offrir une structure nouvelle et différente pour favoriser les échanges entre les différents acteurs du marché IT est pour moi devenue une évidence».
ICT Synergies a été fondée par Jean-Pierre Jamet. L'entreprise Nextron s'est chargée du design et du développement du site.
(...)
Facebook ajoute une protection contre les liens malveillants
Selon un communiqué de l'entreprise, la technologie Websense va permettre de compléter les protections existantes sur Facebook pour empêcher les utilisateurs de cliquer sur des liens dirigés vers des sites web dont la fiabilité n'est pas garantie. La technologie pourrait protéger les utilisateurs contre les nombreuses escroqueries, fréquentes sur Facebook, qui cherchent à piéger les membres en les incitant à cliquer sur des liens malveillants. Ces sollicitations jouent sur la curiosité et la vanité des utilisateurs, prétendant leur donner accès à des potins exclusifs, ou leur promettant de savoir qui est intéressé par leur profil.
Avec la technologie de Websense, les utilisateurs seront désormais prévenus que le lien sur lequel ils s'apprêtent peut-être à cliquer n'est pas forcément digne de confiance. « Quand un utilisateur clique sur un lien Facebook, celui-ci est vérifié dans la base de données de Websense, » ont expliqué les responsables de l'entreprise de sécurité. « Si l'éditeur soupçonne un lien malveillant, l'utilisateur sera dirigé vers une page lui proposant plusieurs choix : continuer à ses propres risques, revenir à la page précédente, et savoir pourquoi le lien est signalé comme suspect. »
Des risques élevés sur les terminaux mobiles
Plus tôt cette année, des chercheurs de la firme de sécurité BitDefender ont affirmé que les logiciels malveillants envoyés par des liens Facebook étaient les principaux vecteurs d'attaques utilisés contre les terminaux mobiles. Les liens spam des réseaux sociaux comme Facebook infectent facilement les terminaux mobiles du fait que les vers et autres logiciels malveillants sont souvent indépendants de la plateforme et sont donc plus largement disséminés, à la différence de ceux qui ciblent les PC. S'appuyant sur les statistiques de Google, les chercheurs de BitDefender s'accordent pour dire que près d'un quart des utilisateurs de Facebook piégés par une arnaque sur le réseau social, l'ont été depuis leur appareil mobile. Parmi eux, nombreux ont succombé au lien prétendant montrer le statut Facebook d'une jeune fille qui avait été exclue de son école. Le lien malveillant avait généré 28 672 clics, dont 24% provenaient de plates-formes mobiles. Les utilisateurs ayant cliqué sur ce lien - que ce soit depuis leur PC ou leur appareil mobile - ont téléchargé un ver depuis Facebook et ont été victime d'un faux système de publicité destiné à détourner de l'argent.
La proposition de Websense sera, certes, utile aux membres, en les aidant à repérer les liens suspects, mais elle ne permettra pas de traiter les malware présents sur le site lui-même. Ce problème non résolu vaut depuis longtemps de nombreuses critiques à Facebook de la part d'experts en sécurité et de défenseurs de la vie privée. Comme les liens malveillants, de nombreuses applications proposant par exemple aux utilisateurs de Facebook de télécharger des boutons « je n'aime pas », sont en réalité des escroqueries ou encore ces fausses pages aguicheuses utilisées pour détourner les clics des utilisateurs, et dont l'objectif est essentiellement de disséminer un malware.
Crédit Photo: D.R
(...)(04/10/2011 10:04:15)L'Europe vient au secours du haut débit avec une enveloppe de 6,4 milliards d'euros
S'exprimant lors de l'Etno Summit, à Bruxelles en fin de semaine dernière, Nelly Kroes vice-présidente de la Commission européenne a annoncé plusieurs mesures. D'abord, une somme de 6,4 milliards d'euros en faveur des infrastructures, sous forme de capitaux propres ou de garanties. Ensuite, un peu moins de 3 milliards d'euros pour les services publics numériques. Nelly Kroes a mis en regard la crise actuelle et la nécessité d'investir dans le haut débit, l'impératif du court terme et celui du long terme. Selon elle, 10% de pénétration du haut début supplémentaire entraînera une hausse du PNB en Europe comprise entre 0,9 et 1,5 %.
« À court terme, nous devons nous attaquer à la crise économique. À long terme, nous devons assurer la compétitivité de l'Europe et de préserver notre prospérité....L'Europe a besoin de concentrer ses efforts dans des secteurs qui fournissent des sources directes de la croissance, aujourd'hui et dans l'avenir. Il est clair, plus que jamais, que les technologies de l'information et de communication constituent l'un des secteurs avec le plus grand potentiel de création d'emplois, de croissance de la productivité, d'augmentation et de renforcement de notre compétitivité. »
Favoriser les services en ligne
Deuxième point, les services publics. Sur ce point, la Commission veut s'assurer que la demande est bien présente. Que le consommateur accède non seulement à des jeux en ligne, mais bien à des services de santé et d'éducation ou d'administration de banque en ligne. Plus généralement, Nelly Kroes s'engage à favoriser un marché unique du numérique, à améliorer la confiance (protection des données, sécurité des enfants, sécurité de l'Internet). Le consommateur doit pouvoir changer d'opérateur de télécoms rapidement. La Commissaire a demandé à l'Orece ce qu'il en était dans la réalité.
La Commissaire n'a pas caché que le rôle des opérateurs privés, historiques ou alternatifs, n'était pas réglé dans le développement du très haut débit. Les investissements annoncés par la Commission vont entraîner d'autres investissements des opérateurs, une fois réglées les querelles entre ces opérateurs.
Illustration principale : Nelly Kroes vice-présidente de la Commission européenne
Chrome, identifié comme malware, a été supprimé par Windows
« Voilà certainement une bonne méthode pour gagner la guerre des navigateurs ! » a déclaré Andrew Storms, directeur de la sécurité chez nCircle Security. Ce clin d'oeil rappelle la bataille que mène Microsoft contre les autres éditeurs de navigateur Internet pour imposer Internet Explorer. Selon les estimations réalisées par un cabinet d'étude qui mesure l'usage des navigateurs sur le web, et donc les parts de marché détenues par chacun, d'ici la fin de l'année, Chrome devrait dépasser Mozilla Firefox et ravir la seconde place sur le podium des navigateurs les plus populaires. Si bien que Google et Microsoft se retrouvent en concurrence pour la première place.
Google a informé les utilisateurs de Chrome que Microsoft avait marqué son navigateur comme malware. Les utilisateurs de Chrome ont commencé à signaler ce pistage du navigateur vendredi matin dans un fil de discussion qui a rapidement pris de l'ampleur sur le forum du support technique de Google. « Ce matin, après avoir démarré mon PC, une fenêtre d'alerte Windows est apparue, signalant qu'un problème de sécurité devait être résolu sur la machine », a déclaré un utilisateur identifié par le pseudo « chasd harris » dans le premier message du fil de discussion. « Le bouton Détails m'a permis de voir que le fichier coupable était « PWS: Win32/Zbot ». J'ai donc cliqué sur le bouton Supprimer. Mais au redémarrage de mon PC, Chrome avait disparu. Il avait été supprimé ou désinstallé. » D'autres témoignages faisaient état d'un comportement similaire sur leur PC protégé par Microsoft Security Essentials - un logiciel antivirus grand public gratuit pour Windows - ou par Forefront, un antivirus plutôt réservé au monde de l'entreprise.
3 000 utilisateurs ont perdu Chrome
À 10 heures du matin vendredi, sois trois heures environ après les premiers témoignages d'utilisateurs sur le forum de Google, Microsoft livrait un fichier de définition mis à jour. Plusieurs blogueurs, dont Ryan Naraine et Ed Bott de ZDNet, avaient également signalé le problème tôt vendredi. Microsoft a reconnu sa méprise, et a indiqué qu'environ 3 000 utilisateurs avaient été concernés par ce problème. « Nous avons constaté que le fichier PWS: Win32/Zbot était mal identifié, provoquant sur certains PC le blocage de Google Chrome, voire sa suppression, » a déclaré Microsoft dans un communiqué publié sur la page Facebook de son centre de recherche de logiciels malveillants. « Le problème a déjà été résolu, mais environ 3 000 clients ont été touchés, » a reconnu Microsoft dans son communiqué qui invite également les utilisateurs à mettre à jour Security Essentials avec le nouveau fichier de définition, puis à réinstaller Chrome.
De son côté, Google a plaqué en haut des pages de son site de support technique une bannière rouge qui prévient : « Attention Alerte : Google Chrome est reconnu comme malware par les logiciels de sécurité de Microsoft. » En effet, Chrome est identifié à un Zbot, plus connu sous le nom de Zeus, un cheval de Troie au service d'un grand botnet spécialisé dans le piratage de coordonnées bancaires en ligne, et utilisé ensuite par les cyber criminels pour siphonner de l'argent de comptes bancaires.
[[page]]
Microsoft n'est pas le premier fabricant de logiciels de sécurité à commettre des bourdes de ce type. Les trois plus grands éditeurs d'antivirus au niveau mondial - Symantec, McAfee et Trend Micro - ont déjà émis dans le passé des fichiers de définitions incorrects, causant parfois de bien plus grands dégâts. Ainsi, en avril 2010, une mise à jour de l'antivirus McAfee a bloqué un nombre inconnu de PC d'entreprises dans le monde entier. Il avait isolé par erreur un fichier essentiel du système d'exploitation Windows XP.
Parmi les utilisateurs ayant supprimé Chrome par erreur en acceptant l'invite de Security Essentials, certains ont déclaré que leurs signets avaient également été éliminés et qu'ils n'avaient pas été restaurés après la réinstallation de Chrome, ce qui n'a pas été le cas pour tout le monde. Pour mieux comprendre ce qui se passait, nos confrères de Computer World ont reproduit la manip en demandant à l'antivirus Security Essentials de supprimer manuellement le ficher « chrome.exe ». En premier lieu, les testeurs disent avoir eu du mal à réinstaller Chrome sous Windows 7 en utilisant Internet Explorer pour télécharger le navigateur de Google. Pour y parvenir, ils ont du désinstaller les fichiers restants de Chrome et utiliser Firefox pour télécharger et enregistrer le fichier d'installation de Chrome. Ils sont ensuite parvenus à restaurer le navigateur de Google sur leur ordinateur et dans leur cas, à récupérer les anciens signets de Chrome. Pour l'instant, Microsoft n'a pas donné de réponse pour dire si la suppression des signets de Chrome par Security Essentials était définitive ou non, comme ont pu le constater certains utilisateurs.
(...)(03/10/2011 12:17:12)Le chinois Alibaba aimerait s'offrir Yahoo
Jack Ma, le PDG du géant chinois du commerce en ligne Alibaba s'est dit « très intéressé » par l'éventuel rachat du portail Internet Yahoo qui est le principal actionnaire du groupe marchand, avec 40,5% de son capital. John W. Spelich, vice-président des affaires internationales d'Alibaba a confirmé que le dirigeant avait fait des déclarations en ce sens lors d'une d'une conférence organisée à l'université de Stanford. « En réponse aux questions des médias quant à savoir s'il était intéressé pour acquérir la totalité de Yahoo, Jack Ma a répondu qu'il l'était », a t-il déclaré ce matin par email.
L'ex patronne de Yahoo, Carol Bartz, avait été brutalement congédiée de l'entreprise le 6 septembre dernier et remplacée par Tim Morse, désigné PDG par intérim. Le conseil d'administration avait alors déclaré qu'il envisageait de recruter un directeur général permanent et qu'il allait s'appuyer sur les services d'un cabinet de recrutement pour l'aider à identifier des candidats susceptibles d'assurer le poste aussi rapidement que possible.
Alipay cédée à Jack Ma
Le portail américain a notamment reproché à Carol Bartz, outre son incapacité à redresser l'entreprise, d'avoir entretenu des relations difficiles avec le groupe Alibaba, qui a géré la marque et les services du site en Chine depuis 2005. Il a déclaré avoir été pris par surprise en découvrant qu'Alibaba avait cédé sa filiale de paiement en ligne, Alipay, à une entreprise chinoise contrôlée par Jack Ma.
Les porte-parole d'Alibaba ont répliqué en affirmant que Carol Bartz et d'autres étaient pleinement conscients du transfert d'Alipay, ce qui permettait de répondre aux nouvelles réglementations chinoises. Un accord a finalement été conclu à la fin du mois de juillet sur ce que Yahoo et d'autres investisseurs ont considéré comme « une juste compensation pour la perte de la valeur de la cession d'Alipay ».
Jack Ma a également fait savoir qu'il avait précédemment émis le souhait d' acquérir la participation de Yahoo dans Alibaba, opération qu'il est en mesure de réaliser s'il s'offre l'entreprise américaine. Les fonds privés sont cependant inquiets des implications pour les utilisateurs de Yahoo si l'entreprise passe sous contrôle chinois, indique le quotidien économique Financial Times.
Le groupe Alibaba gère le site de e-commerce Alibaba.com, dont les titres sont négociables depuis 2007 à la bourse de Hong Kong. Il contrôle également Taobao, principal site web de vente en ligne en Chine, utilisé par plus de sept millions de Chinois, qui revendique 400 milliards de Yuans en termes de transactions. Celui-ci a été scindé en trois sociétés distinctes en juin dernier, afin de mieux viser les marchés cibles.
Illustration: Jack Ma, PDG d'Alibaba. Crédit photo : IDG News Service
(...)
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |