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(17/04/2008 15:15:26)
Brainsonic acquiert Slideo
Spécialiste du rich média et de la Web TV, à la fois producteur de contenus et diffuseur, Brainsonic vient de s'offrir Slideo qui possède une plateforme collaborative d'échanges de slides, de vidéos et de contenus professionnels. Cette opération permettra tout simplement d'intégrer une dimension collaborative à la fois au niveau de la vidéo et du partage de slide. Il précise également que les produits et services des deux sociétés continueront à évoluer individuellement. Mais des scénarios d'usage mixtes, en faisant travailler et collaborer les deux plateformes, devraient rapidement être mis en place. Adossée à Axa Private Equity depuis janvier 2007, Brainsonic compte parmi ses clients Essilor, EMI, Société Générale, PPR, SFR, Alcatel,... Plus de 90 de ses clients évoluent dans l'informatique, 16 faisant partie du top 20 des éditeurs de logiciel mondiaux (IBM, Adobe, Microsoft, etc). La société travaille également en partenariat avec des agences comme Ogilvy, le groupe DDB et Publicis. Créée en 2006, Slideo s'adresse quant à lui uniquement aux professionnels avec, entre autres, une plateforme semblable à celle de Myspace ou Facebook qui permet aux entreprises de développer leur propre solution communautaire. (...)
(17/04/2008 12:38:26)Six Apart crée une application pour Facebook
Six Apart a créé un outil permettant de publier des messages sur son (ou ses) blog(s) depuis Facebook. Baptisée BlogIt, cette application est compatible avec les plateformes de Blogger, LiveJournal, Pownce, Tumblr, Twitter, Vox et WordPress. L'avantage pour l'internaute : il n'a plus besoin de se connecter à chacun de ses blogs pour envoyer un post, tout est centralisé depuis Facebook. BlogIt n'est cependant pas parfait, et pêche un peu du côté des fonctionnalités. Il est par exemple impossible de publier du texte enrichi ou de télécharger des photos. Les utilisateurs qui installeront l'application doivent en outre fournir leur login et leur mot de passe pour chacun de leurs blogs... ce qui ne manquera pas de refroidir certains internautes, et de soulever encore une fois la problématique de la protection des données personnelles. Pour le moment, BlogIt n'est disponible que sur Facebook. Six Apart fait toutefois partie d'OpenSocial, une plateforme de gadgets et autres services Web ouverte aux développeurs d'applications tierces, lancée en octobre dernier par Google. Il paraît donc fort probable que BlogIt soit proposé par d'autres réseaux sociaux dans les semaines à venir. Six Apart est déjà en pourparlers avec le site communautaire Plaxo. (...)
(16/04/2008 14:58:55)Vers une LCEN 2 pour prendre la mesure du Web 2.0
Près de quatre ans après l'adoption de la Loi pour la confiance dans l'économie numérique (LCEN), le législateur devrait plancher sur une nouvelle norme qui prendrait en compte l'apparition des modèles posés par le Web 2.0. C'est du moins ce que prônent les députés Jean Dionis du Séjour (Nouveau centre, déjà rapporteur de la LCEN en 2004) et Corinne Erhel (PS) dans un rapport, présenté ce 16 avril, censé faire le bilan de la LCEN. Selon les rapporteurs, « la loi a été mise en oeuvre de manière assez exhaustive, même si certains décrets n'ont pas été faciles à prendre ». Au-delà des questions relatives au droit de réponse sur Internet ou à la prospection automatique par automate, les deux députés déplorent que l'article 55 - qui prévoyait l'élargissement des numéros verts sociaux aux téléphones mobiles - ait été implicitement abrogé par la loi Chatel cet automne. Surtout, le document présenté aujourd'hui s'attarde sur la distinction entre les notions d'hébergeur et d'éditeur sur Internet, et sur la responsabilité afférente. La loi de 2004 est limpide : les hébergeurs ne sont pas responsables du contenu hébergé chez eux mais doivent agir promptement dès qu'ils ont le signalement d'un contenu manifestement illicite. Mais, précise Jean Dionis du Séjour, « on est frappés par le nombre de contentieux vis-à-vis d'une loi qu'on estime claire. La jurisprudence est variée, elle part dans tous les sens ». Des juges plus sévères avec les hébergeurs Cette application variable du texte adopté il y a quatre ans découle, selon les rapporteurs, de l'apparition récente du Web 2.0 : « L'essentiel du contenu est désormais déposé par les internautes. Le choix des Unes ou de la mise en page est de plus en plus automatisé », expliquent les édiles. De fait, la qualité d'éditeur se raréfie et incite les juges à se montrer plus sévères avec les hébergeurs. En témoigne la récente affaire ayant conduit à la condamnation d'Eric Dupin, le concepteur de Fuzz.fr, pour un billet publié par un internaute. [[page]]Pourtant, le mis en cause « n'a ni écrit le billet, ni mis en ligne, ni placé dans la rubrique où il apparaissait, observe Jean Dionis du Séjour. Nous considérons donc qu'Eric Dupin est un hébergeur et que le juge des référés a pris une décision qui n'est pas correcte. » La notion d'éditeur explose en vol En parallèle, la justice n'a pas hésité à relaxer Dailymotion, arguant justement de ce que le site n'était qu'hébergeur et n'avait pas à assumer la responsabilité d'un éditeur. Face à cette incertitude jurisprudentielle, « il va falloir légiférer, on n'y coupera pas car les contentieux vont se multiplier. La notion d'éditeur est en train d'exploser en vol. Je porterai le message auprès du secrétaire d'Etat à l'économie numérique [le fraîchement investi Eric Besson, NDLR] : l'architecture de 2000 doit être revue ». En d'autres termes, les rapporteurs appellent à une modification de la loi de 2004 pour que celle-ci redéfinisse plus sévèrement la responsabilité de l'hébergeur puisque celle de l'éditeur a tendance à disparaître. Une mesure qui ne doit pas exonérer les fournisseurs d'accès de prendre leur part dans la lutte contre les contenus illicites. Sur ce point, les députés sont formels : « les FAI ne se sont pas mobilisés, ils n'ont rien compris. On voit bien que le traitement des sites odieux a été sous-traité par les hébergeurs à leur association, l'AFA [Association des fournisseurs d'accès et de services Internet, NDLR]. » Ce transfert ne saurait perdurer, estiment Jean Dionis du Séjour et Corinne Erhel, qui proposent de « confier à une autorité administrative, telle que la Cnil ou l'Arcep, le soin de veiller à l'application par les hébergeurs de leurs obligations ». Enfin, le rapport adresse un carton rouge à la France pour sa lutte contre le spam, jugée « carrément insuffisante ». L'Hexagone serait ainsi « l'un des pays les moins organisés » pour combatte les pourriels, et le travail de la Cnil - à travers notamment la mise en place de Signal-Spam - est qualifié de « bricolage ». Les deux parlementaires préconisent alors d'élargir la définition du pourriel aux sujets politiques, associatifs et humanitaires, et de confier à l'Arcep le soin de mener la lutte anti-spam. (...)
(15/04/2008 18:05:39)Sogeti invite ses collaborateurs à un brainstorming virtuel
Sogeti suit les pas d'IBM et de ses « jam sessions », pratiques empruntées à l'univers du jazz et transformées en forums de discussion rassemblant divers interlocuteurs. Pour inciter l'ensemble de ses troupes - soit 18 000 collaborateurs répartis dans 14 pays - à dialoguer sur l'avenir de leur entreprise, le spécialiste des services d'informatique et d'ingénierie de proximité, membre du groupe Capgemini, vient en effet de lancer un brainstorming virtuel sur son site Internet. Du 15 au 17 avril 2008, un espace collaboratif de discussion, dont le principe a été développé par IBM, vient ainsi d'être créé à leur intention. Le but étant de mettre à profit la créativité des collaborateurs, où qu'ils soient dans le monde, pour faire germer des idées sur l'avenir de Sogeti, autour de quatre thèmes : les clients, les collaborateurs, les technologies et la responsabilité sociale de l'entreprise. La société de services s'engage à concrétiser dans les mois suivants les idées qui valoriseront le plus l'entreprise, ses salariés et son environnement. Jacques Attali a participé au coup d'envoi de ce brainstorming international via un webcast en direct à 9 h 00 depuis le siège parisien de la SSII : « Je suis enchanté que Sogeti soit pionnier dans ce genre d'interaction avec ses collaborateurs et que la responsabilité sociale d'entreprise soit au centre de ces discussions, a-t-il commenté, en tant que président de PlaNetFinance, organisation de solidarité soutenue par le groupe Sogeti. Je crois fermement qu'en regroupant des équipes locales en une seule et même équipe virtuelle, la communication au niveau international et la qualité du processus d'innovation ne peuvent s'en trouver que durablement améliorées. » [[page]] Jacques Attali a ensuite insisté sur la rapidité croissante des process innovants, en particulier sur Internet, la téléphonie, les biotechnologies et les nanotechnologies. Sur la question de la responsabilité sociale de l'entreprise, il appelle à réfléchir sur la façon de garder ses talents, démarche essentielle de survie. Luc-François Salvador, PDG du Groupe Sogeti, dirige personnellement cette initiative : « Les technologies de réseaux sociaux du Web 2.0 ouvrent de grandes opportunités pour réfléchir, ensemble, à notre futur, et rendent possible la collaboration autour de nouvelles idées. Avec de tels outils, chaque collaborateur sera un contributeur actif de ce dialogue créatif qui devrait apporter un grand nombre de solutions concrètes pour accélérer notre croissance et apporter quelques changements clés. ». Le procédé semble avoir déjà porté ses fruits : c'est à l'issue d'une « jam session » conduite en 2004, qu'IBM a décidé de revoir la définition de son organisation en Europe. Chez Sogeti, le brainstorming semble avoir séduit les salariés, puisqu'en fin de matinée, 5 000 collaborateurs étaient connectés, dont 2 000 Français. Le thème qui revient le plus souvent ? Le respect de l'environnement, cité par de nombreux internautes qui souhaitent vivement renforcer la Green IT chez Sogeti. (...)
(15/04/2008 14:56:21)Ecocho, le moteur de recherche qui reboise
Le nouveau moteur de recherche Ecocho.com entend se classer parmi les initiatives « vertes ». Ce service, qui s'appuie sur la puissance technique de Google et Yahoo, incite à son utilisation avec une promesse : toutes les 1 000 recherches faites sur son portail, il parraine la croissance d'un ou deux arbres afin de compenser l'émission d'une tonne de gaz carbonique. Pour les usagers, le service est gratuit. La société se rémunère grâce un pourcentage des revenus publicitaires de Yahoo et de Google générés par son activité. Mais son fondateur, l'Australien Tim Macdonald, reste avant tout fidèle à son idéal de protection environnementale : « ecocho.com compte réinvestir en crédits carbone 70 % de ses revenus. » Au fur et à mesure du développement de son site, il prévoit de soutenir des initiatives similaires dans d'autres états et pays. Le moteur de recherche est, selon lui, l'une des méthodes les plus faciles pour inciter les gens à changer leur comportement quotidien, avec un impact positif sur l'environnement. Lancé dès aujourd'hui dans 14 pays, le site est disponible en 63 langues. (...)
(15/04/2008 13:02:35)AOL rachète le moteur de recherche de blogs Sphere
Un mois après avoir déboursé 850 M$ pour se payer le réseau social Bebo, AOL remet le couvert en rachetant Sphere, pour un montant non communiqué. Sphere est un moteur de recherche de blogs, comme Technorati ou encore Google Blog Search, à deux différences près. Le moteur de recherche de Sphere ne se contente pas d'indexer des billets à tout va, mais sélectionne les contenus qu'il juge les plus pertinents, grâce à une technologie qui permet de proposer automatiquement des blogs en rapport avec ce que l'internaute est en train de visionner. Tony Conrad, PDG de Sphere, a fait preuve d'un autre coup de génie. Il a noué une série de partenariats avec quelques-uns des principaux sites d'information américains, comme le Wall Street Journal, le New York Times ou encore CNN, ce qui a apporté une grande crédibilité à son site. Sphere a réalisé une levée de fonds de 3,75 M$ en mai 2006, quelques semaines à peine après sa création. AOL est actuellement en quête de reconnaissance, depuis que Jeffrey Bewkes, responsable exécutif de Time Warner (qui détient AOL), a évoqué la possibilité de se défaire d'AOL. Il y a quelques jours, AOL s'est rapproché de Yahoo, dans le but de l'aider à contrer l'OPA hostile lancée par Microsoft, mais surtout de retrouver un second souffle. AOL est en effet en perte de vitesse dans le secteur de la recherche en ligne. Le cabinet ComScore le place en quatrième position des moteurs de recherche les plus utilisés par les internautes, avec seulement 4,9% des requêtes, loin derrière Google (59,2%), Yahoo (21,6%) et Microsoft (9,6%). (...)
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