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(14/11/2007 12:49:33)

Le rapprochement de Google et Doubleclick dans le collimateur de Bruxelles

Divulgué en avril dernier, le projet d'acquisition de Doubleclick (une société spécialisée dans la régie de la publicité en ligne) par Google fera finalement l'objet d'une enquête de la part de la Commission européenne. Ce rachat, dont le montant s'élève à 3,1 Md$, avait été approuvé par les services de la concurrence australiens et brésiliens, mais les autorités européennes se montrent plus réservées. Bruxelles s'est donné pour mission de déterminer si cette fusion « pourrait donner lieu à des pratiques restrictives et anticoncurrentielles vis-à-vis des acteurs présents sur ces marchés, et de ce fait, porter préjudice aux consommateurs ». L'avis définitif de la Commission européenne sera communiqué le 2 avril prochain, au terme d'une étude approfondie de 90 jours. Si « la décision d'ouvrir une enquête ne préjuge pas de son résultat », comme le rappelle le communiqué, l'initiative de Bruxelles souligne une fois de plus à quel point la publicité en ligne est devenu un enjeu concurrentiel stratégique pour la plupart des éditeurs et moteurs de recherche. Du côté des concurrents de Google, ce projet de rachat avait suscité beaucoup d'effervescence dès son annonce. Microsoft, qui briguait la même opération, arguait par exemple que cette fusion « ferait de Google le canal dominant pour toute forme de publicité en ligne ». Pour rappel, Google détient déjà 32% du marché de la publicité en ligne. Scott Cleland, président de Netcompetition.org et représentant de fournisseurs d'accès estimait pour sa part que ce rapprochement entraînerait « une concentration sur le marché, ne laissant plus vraiment de choix aux annonceurs en ligne ». C'est donc sans surprise que Yahoo, l'un des concurrents de Google, s'est déclaré satisfait de la décision de la Commission européenne. De son côté, le PDG de Google, Eric Schmidt, s'est déclaré « déçu » par cette enquête, craignant qu'elle n'engendre des retards qui désavantagerait Google dans la course aux acquisitions sur le marché de la publicité en ligne, notamment vis-à-vis de Microsoft, Yahoo, ou encore AOL, dont les opérations ont déjà été entérinées. (...)

(13/11/2007 17:10:19)

Toujours plus d'abonnés haut débit en France

Avec 14 250 000 d'abonnés au haut débit, la France se situe au sixième rang mondial du nombre total d'abonnés par pays selon le dernier rapport de l'OECD (Organisation for Economic Co-operation Dvelopment), derrière les Etats-Unis, le Japon, l'Allemagne, la Corée et le Royaume-Unis. Elle est en revanche beaucoup moins bien placée en taux d'équipement par habitant. Treizième, derrière le Danemark qui arrive en première position suivi des Pays bas, de la Suisse, de la Corée, etc., la France atteint un total de 22,5% d'habitants abonnés au haut débit, l'essentiel étant connecté en ADSL (21,4%), le restant étant du câble (1,1%). Selon l'OECD, la fibre est quasiment absente en France et c'est précisément la faible utilisation de cette technologie et le marché peu développé du câble qui explique cette 13ème position car, coté ADSL, la France figure en 3ème position derrière l'Islande et la Finlande. Avec une croissance de 4,68% de la pénétration du haut débit sur l'année dernière, la France se situe encore parmi les bons élèves de l'OECD (8ème place) mais toujours derrière les pays européens tels que l'Irlande (6,60%), l'Allemagne (6,10%) ou encore la Suède (6,05%). En d'autres termes, plutôt bien lotie en haut débit, la France n'en accuse pas moins un retard sur nombre de ses voisins européens, devançant en revanche les Etats-Unis qui n'enregistre que 22,1 % d'abonnés au haut débit. Le prix de l'abonnement au haut débit explique probablement en partie ces bons résultats européens puisqu'on retrouve les mêmes pays dans le peloton de tête des abonnements les moins chers : 31,18 dollars en moyenne et par mois pour un abonnement en Finlande, 32,22 en Allemagne, etc. La France arrive en huitième position avec 36,70 dollars mais elle est, en revanche, beaucoup mieux placée sur le coût au Mbits/s : deuxième avec 0,33 dollars derrière le Japon (0,13 dollars) et devant la plupart de ses voisins européens. Des chiffres qu'il convient toutefois de relativiser en tenant compte du pouvoir d'achat propre à chacun de ces pays. (...)

(13/11/2007 09:27:56)

Weavlink, un réseau social pour les grandes écoles françaises

A l'heure où les réseaux sociaux et les plateformes dédiées fleurissent à tous les coins de rue, un nouvel acteur vient de faire son apparition en France : Weavlink, édité par la société du même nom, est un réseau social orienté grandes écoles. « Au sein des réseaux sociaux, manquait la dimension "annuaire", note Jean Mariotte, co-fondateur de la plateforme. C'est dans cette optique que le projet Weavlink est né : permettre la mise en relation entre les élèves, les anciens élèves et les recruteurs et mettre ainsi le relationnel au coeur du processus de recrutement.» Weavlink permet ainsi de développer un réseau au gré de ses rencontres, le socle de base restant l'école d'origine. L'outil va au delà de sa fonction d'annuaire en ligne, en proposant un service de mise en relation entre les élèves, anciens élèves et les recruteurs pour trouver de nouvelles opportunités professionnelles, décrocher un emploi, et également parrainer ou se faire parrainer. L'objectif est de permettre aux recruteurs de percevoir qui est réellement le candidat, en donnant également à ce dernier la possibilité de connaître la réalité professionnelle qui se cache derrière la description d'une offre. Ainsi, Weavlink offre la possibilité de publier ou de consulter des profils « enrichis » (élèves, anciens élèves, recruteurs, professeurs), d'accéder aux offres sur l'espace emploi, de joindre des vidéos de présentation (profils, activités, offres) et de partager des carnets d'adresses. Mis en place à l'Ensam (Ecole nationale supérieure des arts et métiers), Weavlink devrait équiper les communautés de Supelec, de Telecom INT, et de l'ESC Toulouse, d'ici au mois de décembre. Objectif d'ici un an : mettre en place les communautés des plus grandes écoles de commerce et d'ingénieurs de France. (...)

(09/11/2007 18:41:07)

La nouvelle stratégie publicitaire de Facebook fait grincer des dents

L'annonce de la nouvelle plate-forme publicitaire de Facebook n'a pas manqué de susciter des réactions plus ou moins indignées, voire virulentes, de la part des internautes et des associations de défense de la vie privée. Il faut dire qu'avec son outil « complètement innovant, très puissant, et jamais vu ailleurs » (comme l'a lui-même qualifié Mark Zuckergerb, P-dg de la société), Facebook propose à ses annonceurs un accès direct vers les informations concernant ses membres, afin de les aider à mieux cibler leurs campagnes publicitaires. Facebook n'est pas le premier réseau social à avoir mis en place une plate-forme de « publicité comportementale ». Ses concurrents MySpace et Yahoo l'ont devancé de quelques semaines. Mais chez Yahoo (qui recense 12 millions de visiteurs uniques par mois), on se défend de tout amalgame entre les deux modèles : « notre stratégie publicitaire est très différente de celle de Facebook », explique ainsi Christophe Pelletier, le responsable de la communication. Une publicité comportementale à plusieurs niveaux Yahoo ne vend pas à ses annonceurs les informations concernant ses membres. Les informations qu'il récolte avec les cookies (c'est-à-dire les publicités sur lequel l'internaute a cliqué, les mots clés tapés et les pages visitées sur Yahoo) sont stockées, analysées et exploitées uniquement en interne. « Ces données servent ensuite à créer des profils, à qui nous diffusons les publicités que nous jugeons les plus pertinentes », explique encore Christophe Pelletier. Yahoo précise par ailleurs que, depuis le lancement de cette plate-forme publicitaire interactive, un bandeau rouge placé en bas de chaque page avertit les membres de la présence de ces cookies et lui propose, s'il le souhaite, de les désactiver. Chez Facebook, le principe de cookies « récolteurs d'informations » est le même. Mais à la différence de Yahoo, les partenaires annonceurs de Facebook peuvent eux-mêmes (moyennant finances) piocher à leur guise dans les informations glanées à propos des membres du site communautaire (date de naissance, lieu de résidence, loisirs, études, activités professionnels, sites visités...), afin de les exploiter. Autre différence de taille, chez Yahoo, les annonces publicitaires « ciblées » sont envoyées uniquement à l'utilisateur profilé. Chez Facebook, si l'utilisateur clique sur la bannière publicitaire, elle sera automatiquement transmise à l'ensemble de son réseau d'amis, un peu à la manière d'un virus. Une pratique à la limite de la légalité [[page]] Selon le New York Times, une loi concernant la protection de la vie privée pourrait remettre en question la nouvelle plate-forme publicitaire de Facebook. Cette loi, qui date de cent ans, stipule que tout personne « dont le nom, l'image, les informations personnelles ou la voix sont utilisés dans un but commercial sans son consentement écrit peut intenter un procès en justice pour réclamer des dommages et intérêts ». Facebook se défend évidemment contre cette accusation, arguant que cette loi est brandie dans un contexte beaucoup trop général. De son côté, Andrew Frank, analyste pour le cabinet d'études Gartner, estime pour sa part que « chaque membre est libre de déterminer les informations qu'ils souhaite rendre publiques ou pas », sous-entendu, lors de son inscription. Sauf que le système de Facebook va plus loin. Sa plate-forme (et plus particulièrement une application baptisée « Beacon ») est capable de suivre les déplacements des utilisateurs, même lorsqu'ils se rendent sur d'autres sites. Et cela, peu de membres le savent. D'après nos confrères du Point, le Center for Digital Democracy, une société qui lutte pour que la protection de la vie privée soit renforcée, aurait d'ores et déjà demandé à la Federal Trade Commission (FTC-Commission fédérale sur le commerce) d'enquêter sur les pratiques publicitaires de Facebook, mais également sur celles de MySpace. (...)

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