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(26/10/2007 09:42:04)

Avaya veut profiter de son autonomie pour monter dans les couches applicatives

Avaya réunissait hier ses clients et partenaires pour une session d'information bienvenue après le rachat de l'équipementier - pour 8,2 Md$ - par des fonds d'investissement. L'opération amorcée en juin dernier n'est pas encore tout à fait finalisée, mais l'accord des actionnaires a été obtenu, c'est donc « une question de jours, peut-être même d'heures », estime Jocelyne Attal, directrice du marketing. Premier changement, Avaya espère justement changer son image de fournisseur de produits de télécommunications, en montant dans les couches applicatives. Jocelyne Attal indique que l'entreprise adoptera « un comportement d'éditeur de logiciels plutôt que celui d'un équipementier », dans la mesure où le focus est mis dorénavant sur les logiciels de communications unifiées (« intelligentes », même, pour reprendre le vocabulaire officiel). Premier bénéfice : « En téléphonie, on retournait voir un client tous les 5 ans, mais avec toutes les applications aujourd'hui, on peut le revoir tous les mois. » Investir dans l'applicatif sans subir la pression de Wall Street Ce changement de culture est à la fois une conséquence et une nécessité liées au rachat par TPG Capital et Silver Lake Partners. Car, comme l'explique Jocelyne Attal, « la logique des fonds d'investissement est d'obtenir 3 à 5 fois l'investissement initial, en diminuant les coûts et en augmentant le chiffre d'affaires et les bénéfices ». Monter dans les couches applicatives devrait donc permettre d'améliorer la marge, de démarcher le client plus souvent, et de lui proposer en plus des services de consulting. Quant à la réduction des coûts, l'objectif d'Avaya est de se débarrasser des habitudes et du système d'information hérités de son passé (lorsque son activité appartenait à l'opérateur AT&T). En aucun cas de couper dans les effectifs. Au contraire, explique Jocelyne Attal, l'entreprise a embauché des commerciaux, et entend investir dans les applications, ce qu'elle n'aurait pu faire sous la pression d'actionnaires attendant un retour sur investissement tous les trimestres. Exemple de cette montée dans les couches applicatives, Avaya a lancé hier une solution de « Communications enabled business processes ». Autrement dit, un ensemble de services Web exposant des fonctions de son offre de gestion des communications et destinés à être intégrés dans des applications de pilotage, telles que du workflow. Avaya donne ainsi l'exemple de Black & Decker, qui a implémenté le logiciel Avaya Communications Process Manager pour améliorer l'efficacité de son service après vente. Avant, raconte Eric Buhagiar, directeur marketing France d'Avaya, le technicien devait joindre lui-même le client une première fois pour obtenir son accord pour l'intervention, puis une seconde fois pour lui indiquer que l'objet était réparé. Désormais, c'est le logiciel qui cherche à joindre le client via tous les canaux de communication disponibles, le technicien ne perd plus son temps. Avaya s'impose donc un autre challenge : prendre son bâton de pèlerin et aller convaincre les éditeurs de progiciels de l'intérêt d'intégrer son offre dans la leur. Cela lui ouvrirait notamment les portes des PME, qu'Avaya a plus de mal à toucher que les grands comptes. « Si Sage décidait d'inclure dans ses progiciels l'invocation de nos services Web, nous servirions des milliers de PME », rêve tout haut Jocelyne Attal. (...)

(25/10/2007 15:17:28)

Pierre Chappaz lance un concours de start-up

Le co-fondateur de Kelkoo lance un concours de start-up sur son blog. Encouragé par ses lecteurs, qui l'ont poussé à faire évoluer « kelblog » vers une tribune des entrepreneurs, Pierre Chappazl propose à tous les créateurs de start-up exclusivement tournés vers Internet de réaliser une vidéo de 2 minutes présentant leur société puis de la publier sur n'importe quelle plateforme vidéo (Dailymotion, Youtube, etc.). Le concours commencera le 26 octobre pour se terminer le 23 novembre et les résultats seront publiés le 1er décembre. Les vidéos seront également mises en ligne sur le blog de Pierre Chappaz et toute la communauté devrait participer à l'élection de la meilleure idée. La sélection de la meilleure start-up sera effectuée en fonction de différents critères dont l'expérience de ses fondateurs, le modèle économique mais également la réponse à un besoin clairement identifié, etc. Le gagnant recevra les conseils personnalisés de Pierre Chappaz, voire même une implication financière, pour l'aider à réussir. (...)

(25/10/2007 09:53:55)

Microsoft met un pied dans le capital de Facebook

Courtisé par Google et Microsoft, Facebook a finalement décidé de vendre une partie de son capital à l'éditeur de Windows. Le site communautaire va ainsi céder une participation de 240 M$ à Microsoft (soit 1,6% du capital), lequel accroîtra par ailleurs les services de publicités qu'il fournit à Facebook, devenant la plateforme publicitaire tierce exclusive de son nouveau partenaire. A travers cette prise de participation, le site emblème du Web 2.0 est valorisé 15 Md$. « Cela est un pari sur le futur de Facebook et positionne Microsoft pour une éventuelle acquisition, plus tard, tout en plaçant Facebook à l'abri de Google », estime Greg Sterling, analyste pour Sterling Market Intelligence. Sans reconnaître avoir été approchés par Google, les dirigeants de Facebook ont néanmoins affirmé être « chanceux d'avoir tant de personnes qui veulent s'associer avec nous autour de la publicité ». L'argent récolté par Facebook à travers cette prise de participation devrait être consacré à son développement, afin de répondre à l'exponentielle croissance du nombre de ses utilisateurs. Une croissance que le groupe entend voir perdurer au cours des douze mois à venir. « C'est clairement une bonne chose pour Facebook, confirme Greg Sterling, le site met la main sur une somme conséquente pour croître, et Microsoft lui permet d'atteindre la valorisation qu'il espérait. » Facebook, qui compte actuellement 320 salariés, espère faire passer ce chiffre à 700 dans un an. Chaque jour, le site enregistre environ 250 000 nouvelles inscriptions, pour un total avoisinant les 49 millions d'utilisateurs. La moitié de ces derniers se connecte quotidiennement au site. Du côté de Microsoft, l'opération pourrait lui permettre de se renforcer dans le domaine de la publicité en ligne, un domaine dans lequel le groupe de Redmond n'est jamais parvenu à s'imposer comme un acteur de poids. Microsoft avait ainsi vu MySpace et Youtube lui glisser des mains, et signer respectivement avec News Corp. et Google. Reste que le réservoir de publicité que constituent les réseaux sociaux semble fragile, la majorité de leur contenu étant sans véritable intérêt, voire sujet à controverse ou objet de vulgarité. « Il faut se poser ce genre de questions à propos de la viabilité des réseaux sociaux en tant que vecteurs de publicité », estime Allen Weiner, analyste au Gartner. Ce dernier pense néanmoins que les réseaux sociaux devraient évoluer dans les cinq années à venir, devenant, parallèlement à leur coeur de métier, des plateformes de fourniture de contenu. (...)

(24/10/2007 13:05:31)

Yahoo soutient des projets environnementaux pour compenser ses émissions de gaz carbonique

Soucieux de l'avenir de la planète, Yahoo s'est engagé sur la voie de l'écologie en soutenant des programmes qui favorisent l'utilisation des énergies renouvelables. « La demande en électricité ne cesse d'augmenter en Inde et au Brésil et leur énergie provient pour l'essentiel du pétrole. Nous voulons encourager le développement des énergies hydrauliques et éoliennes », a déclaré Christine Page, directrice de la stratégie de l'énergie et du climat de Yahoo à l'AFP. Yahoo a ainsi annoncé lundi 17 octobre son soutien à des projets hydrauliques au Brésil et éoliens en Inde. La société aurait déjà investi dans un projet hydraulique dans un village à quelques 2000 kilomètres de Sao Paulo (Brésil) et dans une turbine à vent dans l'ouest et le sud de l'Inde. Cette annonce intervient après la promesse faite en début d'année par la société de compenser les quelque 250 000 tonnes de gaz à effet de serre émis par la consommation d'énergie de son siège de la société en Californie. Si on ne peut qu'applaudir l'effort consenti par Yahoo pour l'environnement, on peut toutefois regretter que, de manière générale, ce genre de mesures s'applique principalement aux pays en voie de développement. Concrètement, les initiatives pour promouvoir les énergies « propres » se multiplient dans ces pays pour la simple raison qu'ils ne sont pas encore équipés. C'est donc plus simple. (...)

(22/10/2007 15:12:11)

Wimax devient enfin une norme internationale de l'ITU

L'international Telecommunication Union (ITU), groupe radio (ITU-R) vient de statuer sur Wimax, la reconnaissant comme une technologie sans fil du groupe IMT-2000 (International Mobile Telecommunications). En lui attribuant le 18 octobre dernier le statut de standard international, l'organisme place Wimax sur un pied d'égalité avec les autres normes 3G déjà en place, à savoir le WCDMA, le CDMA-2000 ou le TD-SCDMA. Cette normalisation est particulièrement importante pour l'allocation des ressources de fréquence par les gouvernements car de plus en plus de pays s'engagent sur la voie de la transmission radio avec la technologie Wimax, notamment aux Etats-Unis et en Asie. Concrètement, aujourd'hui un opérateur mobile disposant des fréquences 900 MHz (GSM), 1800 MHz (GSM) et 2,2 GHz (UMTS) pourrait utiliser ces fréquences pour déployer du Wimax. Ou, en d'autres termes, lorsqu'un pays autorise le déploiement d'un réseau 3G, les opérateurs auront la possibilité de déployer indifféremment les technologues WCDMA, CDMA-2000 ou Wimax. Officiellement baptisée IMT-2000 OFDMA TDD WMAN, le mode de transmission radio Wimax est la sixième technologie sans fil reconnue par le groupe de travail IMT-2000. Nul doute que cette normalisation contribuera à un développement des réseaux utilisant cette technologie, entraînant par la même occasion une redistribution des cartes entre les opérateurs. Les analystes sont notamment unanimes sur le fait qu'elle devrait favoriser des implémentations en Europe où elle est encore peu présente et ainsi contribuer à une augmentation des volumes de production, laquelle permettrait de diminuer les coûts des équipements dans le monde entier. (...)

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