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(05/09/2006 18:07:26)

L'opérateur de fibre optique parisien Erenis nomme Daniel Caclin à sa tête

Erenis, l'opérateur de fibre optique qui ambitionne de desservir les foyers parisiens avec des services de triple-play à très haut débit, a annoncé l'arrivé de Daniel Caclin au poste de Président directeur général. Ce polytechnicien et ingénieur général des télécommunications, né en 1953, a un long passé dans les télécoms, puisqu'il a fait l'essentiel de sa carrière au sein du Groupe France Télécom, où il est arrivé en 1977. Après avoir grimpé les échelons de l'opérateur historique, où il a dirigé la région Poitou, puis Transpac et Global One, Daniel Caclin était devenu CEO d'Equant en mars 2000. En décembre 2004, il a fait les frais de l'arrivée de Thierry Breton à la tête de l'opérateur historique et a officiellement remis sa démission "après avoir accompli la mission qui lui avait été confié d'intégrer les différents composants d'Equant et de réorienter la société vers les services à valeur ajoutée"... Fin connaisseur du secteur français des télécoms, ce passionné d'alpinisme devra maintenant assurer l'ascension d'un opérateur pour l'instant marginal (environ 40 000 logements raccordés à Paris) mais qui a déjà réussi à lever près de 26,5 ME depuis le début de l'année pour assurer son développement... (...)

(05/09/2006 18:12:18)

Fibre optique : les Hauts-de-Seine agréent six candidats

Le déploiement d'un réseau en fibre optique dans les Hauts-de-Seine vient de franchir une étape décisive. Selon nos confrères des Echos, six opérateurs candidats* ont été agréés par le Conseil général. L'objectif du département est de permettre, à l'horizon 2013, un accès à très haut débit à l'ensemble de la population et des entreprises des Hauts-de-Seine. "Nous préparons l'après-ADSL, explique Martin de Mijolla, le directeur des systèmes d'information des Hauts-de-Seine. Les services nouveaux que demanderont les usagers dans un avenir proche nécessiteront une connexion très haut débit. La fibre optique constitue la solution technologique fondamentale, qui garantit en outre un débit symétrique". De la grande entreprise au particulier L'Assemblée départementale vise quatre types de clientèle susceptibles d'être raccordés au réseau très haut débit : les grandes entreprises, qui peuvent d'ores et déjà profiter d'une connexion en fibre si elles sont prêtes à en supporter le prix et pour lesquelles l'objectif est de parvenir à un tarif moindre ; les TPE, pour lesquelles le très haut débit permettra l'accès à une gamme de nouveaux services à moindre coût ; les services publics, notamment l'enseignement - toutes les salles de classes devraient être équipées d'une connexion en 2007 ; l'ensemble du public résidentiel du département - seule une partie de la population peut aujourd'hui profiter de l'ADSL2+, une inégalité théoriquement corrigée en 2013. Le Conseil général n'a pas vocation à être opérateur Pour le département, il ne s'agit pas de se poser en fournisseur de service : "nous ne prétendons pas être opérateur, note Martin de Mijolla. Le Conseil général se concentre sur ce qu'il est seul à pouvoir faire : mettre en place l'infrastructure qui permettra aux opérateurs d'offrir les services concurrentiels qu'ils sont prêts à offrir". Concrètement, l'appel d'offre lancé en avril 2006 vise à désigner un délégataire de service public. Celui-ci sera chargé de déployer et d'administrer le réseau pendant 20 ou 25 ans. Il sera donc l'investisseur et devra gérer son risque économique en agissant dans le cadre des contraintes de service public contenues dans la convention qu'il signera avec le Conseil général. Parmi ces contraintes se trouvent l'obligation de desservir l'ensemble du territoire départemental, la neutralité vis-à-vis des opérateurs télécoms clients, le respect d'une base tarifaire publique déposée et contrôlée, etc. Le délégataire qui sera désigné - probablement au cours du premier semestre 2007 - n'acheminera pas directement les flux vers les utilisateurs. Pour cela il s'appuiera sur des opérateurs télécoms ou autres FAI qui activeront la fibre préalablement installée. Le coût du déploiement du réseau sera donc entièrement à la charge du délégataire de service public, le Conseil général ne prenant en charge que le montant de la subvention qu'il accordera à ce dernier en fonction des contraintes qui lui incombent et du contenu du cahier des charges. Au total, la subvention accordée par l'Assemblée départementale pourra atteindre 25 ME au cours des trois premières années, et ne dépassera pas 70 ME sur six ans. *Les six candidats sont France Télécom, LDCollectivités, Vinci, MGP Contracting, Tutor et Axione.

(...)

(04/09/2006 17:52:33)

L'UE planche sur la création d'un super-régulateur des télécoms

Bruxelles réfléchit à la création d'un régulateur européen pour le secteur des télécoms. Une idée qui, si elle séduit certains acteurs, suscite le scepticisme de la majorité d'entre eux. L'idée est développée dans une étude* sur l'avenir de la régulation des télécoms. La Commission européenne s'interroge notamment sur la pertinence de la mise en place d'une instance pan-européenne chargée de traiter avec les principaux acteurs et particulièrement avec les opérateurs historiques. Parmi les organisations et les personnes interrogées, "plusieurs ont suggéré qu'un contrôle communautaire renforcé engendrerait une meilleure harmonisation à travers l'Union européenne", explique l'exécutif communautaire dans un communiqué. Pour la majorité des intervenants, si des mécanismes de régulation améliorés sont nécessaires, la mise en place d'un super-régulateur se heurte à de nombreuses difficultés. Au palmarès, non exhaustif, des embûches évoquées, la faiblesse des régulateurs nationaux côtoie le manque de services pan-européens et l'inégale application de mécanismes de régulation existants. Les régulateurs nationaux jugés inefficaces S'il ne faut retenir qu'un élément des multiples pistes avancées par les parties interrogées dans l'étude, "c'est que l'exécution de la régulation doit être poursuivie et, dans certains cas, améliorée", lit-on dans le document. Sur la mise en place d'une autorité européenne de régulation (ERA, pour European regulatory authority), le rapport conclut que "la plupart des acteurs interrogés y sont opposés". Certaines entités, notamment des opérateurs alternatifs, estiment toutefois qu'une ERA serait utile pour imposer les éléments de régulation aux grandes structures car le régulateur n'aurait alors aucun intérêt au maintien des statu quo nationaux. Les régulateurs nationaux étant décrits comme laxistes ou inefficaces pour imposer les mécanismes de régulation aux opérateurs historiques. *Preparing the Next Steps in Regualtion of Electronic Communications, réalisée par Hogan & Hartson et Analysys. (...)

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