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(13/09/2006 17:59:08)
IBM ouvre Sametime à ses partenaires
IBM vient de présenter la version 7.5 de sa plateforme de messagerie instantanée d'entreprise et de collaboration, Sametime. Cette mise à jour annoncée depuis le mois de janvier dernier apporte des avancées significatives. Tout d'abord, comme prévu, Sametime 7.5 intègre des capacités de voix sur IP et peut fonctionner avec les clients de messagerie instantanée d'AOL, Yahoo, Google, et Mac OS X. Surtout, cette nouvelle version de Sametime se veut particulièrement ouverte aux applications d'éditeurs tiers. En effet, elle supporte les composants d'extension développées avec Eclipse. Cisco a ainsi présenté un module permettant à Sametime de supporter les fonctions de conférence audio de ses solutions. Les outils de modélisation en 3D de Dassault peuvent s'utiliser conjointement à Sametime. Sametime 7.5 est disponible depuis la mi-août au prix de 55 $ par utilisateur. IBM prépare déjà la prochaine mise à jour majeure de son logiciel, programmée pour 2007. Dans cette perspective, l'objectif de Big Blue consiste à rendre Sametime le plus extensible et ouvert possible. IBM réfléchit notamment à la création d'interfaces de programmation pour l'intégration de solutions de conférence audio/vidéo tierces au sein de Sametime. (...)
(12/09/2006 14:09:05)Observatoire Arcep: téléphonie sur IP et Internet compensent la baisse du fixe
Selon le dernier observatoire du marché des télécommunications français publié par l'Autorité de régulation des communications électroniques et postales (Arcep), les revenus générés par le marché des communications électroniques en France au premier trimestre 2006 ont atteint 10,1 milliards d'euros dont 9,4 milliards pour les services de communications électroniques proprement dit. Sur ce total, les trois principaux segments du marché que sont la téléphonie fixe, la téléphonie mobile et Internet, ont progressé de 3,5% sur un an pour atteindre 7,9 milliards d'euros soit près de 80% du marché global. L'observatoire fournit une vue intéressante sur plusieurs tendances du marché. Sur le fixe, les revenus des abonnements et frais d'accès représentent désormais autant que les revenus des communications, ce qui illustre la pression appliquée sur le prix des communications, mais aussi la tendance croissante à leur forfaitisation. On constate également que le recul du CA généré par la téléphonie fixe est quasiment compensé par la montée en puissance des revenus liés à l'Internet. Enfin, la croissance de la téléphonie sur IP se poursuit. Selon l'Arcep, plus de 10% des abonnements à la téléphonie fixe s'appuyaient sur cette technologie à la fin du premier trimestre, soit 4,2 millions d'abonnements contre 1,5 million l'année précédente. La téléphonie mobile poursuit elle aussi sa croissance avec une hausse de 8,1% des abonnés et de 15,5% du volume de communications émises (+6,1% en valeur). En revanche, le nombre de numéros portés reste ridicule avec à peine plus de 100 000 numéros portés, preuve que la complexité du mécanisme actuel de portabilité du numéro mobile reste rédhibitoire pour la plupart des clients. (...)
(11/09/2006 18:08:33)Free passe en très haut débit en fibre optique à Paris
Free se jette à l'eau et propose un échéancier pour l'équipement du territoire en fibre optique (Fibre To The Home, ou FTTH). Paris sera bien sûr aux premières loges avec des installations disponibles début 2007. Après la capitale, certaines villes de sa banlieue pourront bénéficier de cette offre. Enfin, certains quartiers de villes de province seront concernés. L'investissement devrait représenter 1 MdE d'ici 2012. L'offre commerciale de Free sera très raisonnable puisque la facture mensuelle devrait continuer de se limiter à 29,99 E, le même prix que pour un accès ADSL avec ce FAI. Ce forfait comprendra la téléphonie illimitée vers les postes fixes en France et à destination de plusieurs pays étrangers. Une offre de TV haute définition sera intégrée ainsi que la mise à disposition du terminal Freebox optique. Petit bémol à cette offre alléchante, le débit. L'abonné équipé en fibre optique ne disposera que d'un accès à 50 Mbit/s. Si le débit peut apparaître très séduisant pour bon nombre d'internautes, il semble faible en regard des débits que doit permettre d'atteindre la fibre optique. Les premiers raccordements effectués par France Télécom (lire à ce sujet l'article sur www.reseaux-telecoms.com) laissaient entrevoir un débit de l'ordre de plusieurs gigabit/s; la différence est de taille. Si ce n'est sur les débits et les services, Free se démarquera tout de même de l'opérateur historique, et pas uniquement sur les prix. En effet, Free promet de louer son réseau de fibre optique à ses concurrents. Le fournisseur d'accès à Internet y voit là une nouvelle source de revenus. Free se positionne en outre comme « partenaire » des collectivités locales qui souhaiteraient disposer d'un réseau de fibres optiques. De son côté, France Télécom souhaite qu'on lui permettre de garder fermé son réseau très haut débit. Il est soutenu en cela par le ministre délégué à l'industrie François Loos (lire à ce sujet l'article sur www.reseaux-telecoms.com) pour qui il « faut laisser un avantage à celui qui prend le risque de l'investissement. » Non sans une certaine ironie, Free va jusqu'à promettre un « service universel gratuit » : l'opérateur promet aux habitants des immeubles raccordés par sa fibre l'accès gratuit à une ligne téléphonique sans abonnement pour les appels d'urgences ou à destinations des services sociaux, un accès à Internet bas débit ainsi qu'aux chaînes gratuites de la TNT. (...)
(07/09/2006 15:47:51)L'Arcep se fâche du faible nombre d'abonnés mobiles inscrits à l'annuaire
Selon les chiffres rendus publics par l'Autorité de régulation des communications électroniques et postales (Arcep), seuls 1,9% des abonnés mobiles français sont aujourd'hui inscrits à l'annuaire universel, un chiffre qui agace furieusement l'autorité qui pointe du doigt la faible coopération des opérateurs mobiles et vient d'ordonner une enquête administrative. Pourtant, ce chiffre est rassurant : il montre que les abonnés ont bien compris les enjeux de la communication de leurs coordonnées mobiles en terme de protection de la vie privée. Au contraire des abonnés fixes, qui doivent indiquer leur souhait de ne pas figurer à l'annuaire s'ils ne souhaitent pas être recensés (stratégie dite de l'opt-out), les abonnés mobiles doivent explicitement faire mention de leur souhait de figurer à l'annuaire pour voir ses coordonnées publiés (opt-in). En clair, seuls 1,9 % des français voient un intérêt à cette publication. Les autres préfèrent le plus prudent "pour vivre heureux, vivons caché". Un choix judicieux, qui leur épargnera sans doute le harcèlement téléphonique mobile et le spam SMS que risquent les 1,9 d'inscrits, sur un terminal considéré comme bien plus personnel que le téléphone de la maison. Dans ce contexte, on peut légitimement s'interroger sur les buts poursuivis par l'Arcep avec son enquête. Car, pour une fois, les intérêts des éditeurs d'annuaires n'ont pas forcément grand-chose à voir avec ceux des utilisateurs. (...)
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