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(20/06/2011 15:05:32)
L'Icann autorise de nouveaux suffixes dans les adresses web
C'est à Singapour que l'Icann (Internet Corporation for Assigned Names and Numbers) a autorisé ce lundi matin l'utilisation de nouveaux suffixes dans les adresses web. Les premiers à en profiter devraient en toute logique être les entreprises et les villes, dans des visées marketing évidentes. Ainsi, à la place d'un traditionnel .com ou .fr, il va bientôt falloir s'habituer à .microsoft voire même un .paris.
« Les adresses Internet vont pouvoir se terminer par n'importe quel mot dans n'importe quelle langue, donnant aux entreprises et organisations à travers le monde la possibilité de présenter leur marque, leurs produits, leur communauté ou leur cause sous des formes nouvelles et innovantes », fournit en explication l'Icann dans un communiqué. Cette extension des noms de domaine était à l'étude depuis de longs mois au fil des réunions publiques semestrielles de l'autorité de régulation d'Internet.
A partir du 12 janvier 2012
Cette fois, c'est fait. Dès le 12 janvier 2012, n'importe quel groupe, mouvement ou collectivité pourra lancer une procédure pour obtenir une ou plusieurs extensions à son nom. Le processus d'attribution, encore abstrait, promet toutefois d'être complexe et relativement cher.
La haute autorité de gestion des noms de domaines dans le monde n'a jusqu'à présent accordé que 22 noms de domaines génériques (contre environ 250 extensions correspondant chacune à un pays). La dernière extension autorisée par l'ICANN a été en avril dernier le fameux .xxx, destinée à l'industrie pornographique. Cette annonce est sans conteste l'un des plus grand changement concernant les noms de domaine depuis l'apparition du .com en 1985.
Illustration : à gauche, Peter Dengate Thrush, président du conseil de directeurs de l'Icann, à droite, Rod Beckstrom, président et CEO de l'Icann (source : Icann) (...)
Les partis politiques à l'heure des réseaux sociaux
Si les premières expériences d'outils sociaux en ligne à des fins politiques datent de la fin du vingtième siècle (notamment par le mouvement Attac), le développement de ces outils a été progressif au cours des dix dernières années. Certains leaders politiques en ont même fait un différenciateur, comme Howard Dean et Barack Obama aux Etats-Unis ou Ségolène Royal en France. Le cabinet Useo, spécialisé dans l'étude et le conseil autour des outils sociaux, vient de publier une étude sur les Réseaux Sociaux des Mouvements Politiques (RSMP). Ceux-ci sont, selon Useo, appelés à jouer un rôle prépondérant pour la campagne des élections présidentielles de 2012. A l'inverse, la diffusion d'informations avec des outils comme Facebook ou Twitter n'a pas été spécialement étudiée.
Constatant que les hommes politiques doivent profondément revoir leurs pratiques à cause des impacts des RSMP sur les organisations, le cabinet parle d'une « acculturation de nos démocraties modernes ». Au même titre que les entreprises face aux Réseaux Sociaux d'Entreprises (RSE), les mouvements politiques se trouvent en effet confrontés, par exemple, à l'aplatissement des hiérarchies et à la collaboration en ligne généralisée. Pour les auteurs, les mouvements politiques ont largement adopté ces outils (malgré des échecs retentissants comme à l'UMP) et ont, de ce point de vue, une plus grande maturité que les entreprises privées.
Plusieurs RSMP sont étudiés en détail par le cabinet Useo dans sa publication. Les fonctionnalités de ceux-ci sont ainsi détaillées selon leur capacité à permettre l'organisation d'activités, à partager de l'information, à développer des liens entre militants, à débattre, etc. Le cabinet a veillé à équilibrer son étude entre la droite (Epicentre, Les Démocrates, Villepincom.net), les écologistes (Europe Ecologie) et la gauche (L'Autre Gauche, Désirs d'Avenir, La Coopol). Les « créateurs de possibles » de l'UMP avait fermé avant le lancement de l'étude mais a été positionné dans les graphes autant que possible, montrant ainsi que les raisons de l'échec pouvaient être liées à ses fonctionnalités mêmes.
Alcatel-Lucent Entreprises : Adapter les sociétés aux futurs enjeux IT
Alcatel-Lucent Entreprises a décidé de sillonner la France avec son Dynamic Tour en allant à la rencontre des partenaires et des clients. Le mot d'ordre pour cette troisième édition est « communiquer ensemble autrement » et l'équipementier, lors de son étape Parisienne, avait des choses à dire dans plusieurs domaines. Comme l'a rappelé Nicolas Kaplun dans son discours introductif « on me pose souvent la question comment se porte le navire Alcatel-Lucent et bien je réponds qu'Alcatel-Lucent Entreprises est un multicoque transocéanique, cela signifie que nous allons plus vite que le vent. Depuis 5 trimestres, notre croissance est plus rapide que celle du marché » et de préciser les 4 grandes axes d'activités « les solutions opérateurs ; le Contact Center avec la marque Genesys affiche une croissance de 20% en France sur 2010 ; le monde de la data et des infrastructures et enfin les pays émergents ». Les raisons de cette croissance résident dans l'innovation, selon le dirigeant et ses équipes ont montré lors de cet évènement quelques solutions pour répondre aux futurs enjeux des entreprises.
Présence dans le datacenter affirmée
Manque de communication ou besoin de rester discret, Alcatel-Lucent Entreprises est présent au sein du datacenter et plus exactement sur la partie réseau à travers ses switch. La stratégie de la société passe se décline en deux axes le« maillage » et le « Pod (performance-optimized datacenter) ». Ce dernier s'appuie sur l'Omniswitch 6900, un commutateur LAN empilable 10 Gbit Ethernet (jusqu'à 64 ports pour la version X40 et 32 ports sur la version X20). Il s'utilise comme un commutateur top-of-rack ou end-of-row dans un data center. Il peut également être déployé comme commutateur pour coeur de réseau de petite taille, ou comme commutateur d'agrégation classique dans un châssis 1RU.
On notera que des modules 40 Gbit Ethernet seront disponibles en option. Alcatel-Lucent mise aussi sur l'interconnexion de ces « pods » à travers son architecture « maillée », qui fournit une matrice de commutation complète qui peut relier plus de 14 000 ports 10 Gbit Ethernet de serveurs avec seulement deux commutateurs centraux, ce qui permet d'obtenir une résilience sans équivalent et une latence de bout en bout inférieure à cinq microsecondes. Ces produits seront disponibles au mois de juillet.
La communication unifiée convergente
Sur la partie communications unifiées, l'équipementier a présenté son offre Open Touch. Partant de principe que la communication se délivre de manière variée, vidéo, voix, data (messagerie instantanée, présence,...) et sur différents types de terminaux, mobiles, smartphone, softphone, téléphonie fixe, etc.
Illustration : Discours inaugural de Nicolas Klapun, DG France d'Alcatel-Lucent Entreprises
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Alcatel-Lucent Entreprises a développé une architecture convergée sur ces problématiques en se reposant sur le protocole SIP et ses solutions OmniPCX.
Open Touch se décline en trois modèles, la Business Edition (évolution de l'offre BICS (Business integrated Communication Solution)) qui pilote entre 500 et 1500 utilisateurs ou 1000 à 3000 terminaux. La version Multimedia Services apporte un complément logiciel à l'OmniPCX R 10 en intégrant les services de communication unifiée, de vidéo et de messagerie mail pour 1500 utilisateurs. Enfin, l'Open Touch Federation Services permet l'interconnexion avec d'autres IPBX comme le service Aura d'Avaya par exemple grâce à SIP.
Une meilleure prise en compte des réseaux sociaux
Dans le domaine des centres de contact et de la relation client, les entreprises sont confrontées à l'émergence des réseaux sociaux comme canal de dialogue sur les marques avec à la clé la gestion de sa e-réputation. Pour ce faire, Alcatel-Lucent Entreprises et son entité dédiée à ce marché, Genesys fournissent une solution, Genesys Social Engagement, qui surveille, analyse et interagit avec les consommateurs via les réseaux sociaux et les canaux traditionnels. L'objectif est d'accompagner les entreprises dans leur stratégie médias sociaux et surtout être réactif et attentif aux fameux « signaux faibles ».
Illustration : Discours inaugural de Nicolas Klapun, DG France d'Alcatel-Lucent Entreprises
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