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(16/02/2011 11:39:25)

Tribune de Patrick Benazet, Web 2.0 : vers des identités numériques truquées ?

Flash sur l'internet ! C'est désormais le réflexe qu'on peut avoir assez spontanément pour dresser l'inventaire des données personnelles d'un individu. Serons-nous bientôt tous des grands-hommes dans l'encyclopédie du Web, statut réservé jusqu'alors dans les manuels aux individus ayant marqué l'histoire? Le processus de signification assisté par le réseau nous conduit-il vers plus de facilité ou vers plus de difficulté dans la construction de la connaissance des personnes ? L'information literacy est-elle à la portée des internautes rendus à la facilité apparente procurée par les moteurs de recherche sociaux? Nous allons tenter de trouver des réponses à ces questionnements.

Le résultat produit par les outils de recherche documentaire désormais disponibles sur l'internet a des effets assez remarquables tant sur les contenus que sur les cheminements cognitifs, effets que nous analysons à travers les signes composites qu'ils génèrent à un moment où l'identité numérique devient une préoccupation forte des dirigeants de ce monde.

Dès le début des années 1990 et la conception du World Wild Web, la problématique de l'indexation des données était mise en avant. Structuré en pages, le Web faisait ressortir dès le départ le problème du repérage des informations et un « web sémantique » était mis en projet dans la perspective d'une montée en charge des contenus que l'avenir a largement confirmé puisqu'on exprime le nombre de pages en ligne en 2011 à la puissance douze, c'est à dire en trillon (1000 milliards) (1) dont environ 40 milliards seraient indexées par Google contre 26 millions en 2006. Ce projet de web sémantique visait à fournir les outils de structuration de l'information sur la base d'une catégorisation des données (2) associée à de puissants outils d'indexation. L'engouement des internautes depuis l'arrivée du Web 2.0 au milieu de la première décennie des années 2000 n'a pas laissé au web sémantique le temps de s'imposer et donne aujourd'hui lieu à une extraordinaire pagaille sémiotique. Le Web 2.0 a été l'avènement des « réseaux sociaux », sortes de lieux de rencontre dans la sphère virtuelle où chaque individu de notre planète disposant d'un accès à l'internet est libre de publier tout type d'information relative à tout type de sujet et en particulier relative à lui-même (3). Apportant naturellement une réponse à la question de la localisation des données sur les réseaux sociaux, les moteurs de recherche se sont penchés sur ce nouvel environnement donnant naissance aux « moteurs de recherche sociaux ». Même si les technologies mises en oeuvre pour localiser et restituer l'information ne sont pas exposées en toute transparence, la technique du « mashup » est largement usitée. Alors arrêtons-nous quelques instant sur ce mashup. La traduction directe de l'anglais nous donne le mot purée en français, le résultat produit par le mashup s'apparenterait-il à une purée informationnelle ?

1 Google n'indique désormais plus le nombre de pages indexées et le trillon est un ordre de grandeur car le concept de page ne correspond plus à ce qu'il était au départ du fait de l'arrivée des blogs des tchats et autres réseaux sociaux qui donnent aux internautes la possibilité de générer des milliers de pages en une seule seconde.

2 De nombreux dispositifs ont été proposés : des méta-descripteurs aux langages naturels.

3 Facebook est certainement l'exemple le plus représentatif de cette dynamique des réseaux sociaux.

Pour lire la suite de cette tribune rendez-vous dans notre Blog Experts

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(15/02/2011 14:58:04)

Objectif 2011 : 80% des démarches administratives sur Internet

L'Etat entend faciliter la vie des Français avec vingt mesures censées simplifier les démarches administratives, notamment en matière de notifications de reprise d'emploi ou de vente de véhicule. Des projets qui s'ajoutent à la possibilité récente d'alerter les différents services d'administration d'un changement d'adresse, par exemple, via le site Mon-service-public.com.

Une campagne de communication sera prochainement lancée autour du 3939, numéro permettant de joindre des conseillers en matière de démarches administratives. L'entrée de l'administration dans l'ère numérique passera aussi par une suppression de plusieurs centaines de sites afin de se concentrer sur environ 60 sites. Le référencement de ceux-ci sera aussi développé à l'aide de partenariats conclus avec Google et Microsoft. François Barouin a par ailleurs annoncé le passage de la barre de 10 millions de télé-déclarants concernant l'impôt sur le revenu.


Crédit photo : D.R.

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(15/02/2011 14:45:01)

Atos Origin se fixe un objectif "zéro e-mail" pour 2014

Thierry Breton, PDG d'Atos Origin a récemment indiqué qu'il souhaitait voir les collaborateurs de la SSII qu'il dirige abandonner l'envoi de courriers électroniques pour communiquer entre eux. Le dirigeant pense que la messagerie classique pourrait être avantageusement remplacée par d'autres applications qu'il juge plus adaptées à la collaboration. Selon lui, les managers, qui passent de 5 à 20 heures par semaine à lire et écrire des emails, utilisent déjà les réseaux sociaux plus que les moteurs de recherche et passent 25% de leur temps à rechercher de l'information.

Au sein d'Atos Origin, des outils collaboratifs et des plateformes communautaires ont déjà été mis en place pour « partager et garder une trace des idées qui naissent sur des sujets allant de l'innovation au Lean Management en passant par les ventes, a notamment expliqué le PDG. L'e-mail ne sera bientôt plus considéré comme la meilleure manière de travailler et d'échanger ». L'objectif affiché est de muer la SSII en entreprise « zéro e-mail » d'ici trois ans.

Messagerie instantanée et plateformes communautaires

Le groupe français a donc décidé de mettre en place des solutions qu'il qualifie de « novatrices » dans le domaine des réseaux sociaux afin de partager une information plus personnalisées, de façon plus immédiate. Des outils qu'il considère en outre plus efficaces en termes de coûts. Afin de devenir une entreprise « où il fait bon vivre », Atos Origin en a déjà déployé certains.

La société dit notamment encourager l'usage de la messagerie instantanée Office Communicator de Microsoft (désormais renommée Lync) et avoir installé des plateformes communautaires. Selon les premiers résultats qu'elle a constatés, le recours à ce type de logiciels aurait d'emblée réduit le volume des e-mails de 10 à 20%.

Illustration : la messagerie instantanée Lync de Microsoft (...)

(15/02/2011 14:39:11)

Le standard HTML5 sera prêt en 2014 selon le W3C

« C'est la première fois que nous sommes en mesure de dire à quel moment le standard sera achevé, » a déclaré Ian Jacobs, directeur du marketing et des communications du W3C. « De plus en plus d'industries et de gens se demandent quand cette norme sera prête. Ils doivent pouvoir compter sur sa stabilité et sur une très forte interopérabilité ». Les préoccupations concernant la date de disponibilité du HTML5, prochaine version de l'HyperText Markup Language, un standard indépendant de toute plate-forme et utilisé dans le monde entier pour le rendu des pages web, se sont multipliées ces dernières années. Dans le même temps, Apple, Google et Microsoft ont commencé à promouvoir les avantages du nouveau langage de l'Internet et à le choisir comme base pour construire des applications web, alors même que la norme n'est pas achevée. Malgré l'enthousiasme de ces entreprises et des autres soutiens dont elle bénéficie, beaucoup mettent en garde contre l'utilisation du HTML5 avant qu'il ne soit tout à fait finalisé. En raison de la complexité de la tâche, les estimations quant à la date de livraison de la version finale n'ont pas cessé de varier : entre un à deux ans et pas avant 2022. La dernière communication entendue à ce sujet faisait même état du 22 mai de cette année !

« À partir du 22 mai 2011 et jusqu'en 2014, le HTML Working Group, chargé de plancher sur la nouvelle norme, aura plusieurs tâches à accomplir avant la finalisation, » a déclaré Ian Jacobs. En effet, le groupe doit examiner et traiter les observations qui auront été soumises à l'organisation jusqu'à cette date butoir. Le groupe s'attend à un feedback considérable pour ce « dernier appel », lequel pourrait entraîner une nouvelle révision du document de travail. Le groupe a également pour mission de concevoir une suite de tests, qui doit prendre en compte le large éventail des navigateurs et plates-formes sur lesquels seront rendues les pages web et exécutées les applications écrites en HTML 5.

Les prochaines évolutions sont déjà envisagées

Compte tenu de la gamme croissante d'appareils permettant d'accéder à Internet, dans laquelle figure les téléviseurs, les tablettes tactiles et les téléphones mobiles, cette interopérabilité est capitale. « L'objectif est d'assurer cette vaste interopérabilité, » a ajouté le responsable du W3C. L'organisme chargé de la normalisation ne prévoit pas d'ajouter de nouvelles fonctionnalités après ce dernier appel. « À partir de là, le groupe ne prendra en compte que les avis concernant l'implémentation et agira en fonction des résultats obtenus au cours des tests réalisés, » a déclaré Philippe Le Hégaret, qui dirige le W3C Interaction Domaine chargé de superviser le développement du HTML, du CSS (Cascading Style Sheets), du SVG (Scalable Vector Graphics) et d'autres normes pour le Web.

En même temps que le groupe finalisera le HTML5, il commencera à travailler sur de nouvelles fonctionnalités et préparera des améliorations pour les versions suivantes. Les membres du groupe de travail ont décrété qu'ils n'attribueraient pas de numéro de version - HTML5.1, HTML6  - aux versions successives. Mais Ian Jacobs et Philippe Le Hégaret ne sont pas aussi affirmatifs. « Pour l'instant, les travaux en cours seront classés sous la dénomination HTML.next, » a dit Ian Jacobs. Le W3C a également annoncé qu'il avait étendu la charte du groupe de travail HTML à 2014. Le HTML Working Group comporte plus de 400 membres, dont des vendeurs de navigateurs Internet, des développeurs de logiciels et d'autres organismes dont l'activité est dépendante du standard de l'Internet.

Illustration principale : page de test HTML5 d'Apple, http://www.apple.com/html5

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(14/02/2011 13:43:39)

Algérie : L'analyse du trafic Internet n'atteste pas des coupures

Des informations contradictoires ont circulé sur l'évolution de la situation en Algérie et plus précisément sur le fait que gouvernement aurait cherché à couper l'accès au web et à supprimer les comptes Facebook. Un article du Telegraph de Londres titre sur une coupure d'Internet en Algérie. Trente mille policiers anti-émeutes ont été mobilisés pour disperser la foule à Alger ce week-end et des journalistes, pris pour cibles par des agitateurs soutenus par l'État. Selon certaines sources, un groupe international de hackers anonymes aurait par ailleurs bloqué le site web du gouvernement algérien.

Mais Renesys a apporté un son de cloche différent samedi soir dans un billet de blog. Cette société britannique spécialisée dans la veille et l'analyse des données de routage sur Internet explique n'avoir rien constaté de tel et n'avoir pas noté d'arrêt d'Internet en Algérie. Elle avait précédemment suivi de près la coupure  Internet égyptienne. « L'Algérie dispose d'environ 135 allocations dans la table de routage globale, et nos données montrent qu'elles ont toutes été routées et relativement stables », a ainsi écrit Renesys.

Les Etats-Unis reparlent d'un «Internet Kill Switch» pour Obama

Les opposants au régime du président Abdelaziz Boutifleka en Algérie ont été encouragés par le succès des mouvements anti-gouvernementaux en Egypte et en Tunisie diffusés, dans une grande mesure, sur Internet et relayés par des médias sociaux. En bloquant l'accès au Web, l'économie égyptienne aurait perdu 90 millions de dollars. Dans ces pays, les manifestations et la répression d'Internet ont ranimé le débat aux États-Unis sur l'opportunité d'accorder de nouveau au président Obama la possibilité et le droit de couper Internet (« Kill switch ») en cas cyber-attaque.

Illustration : Le blog de Renesys

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(10/02/2011 14:07:09)

Adobe corrige 42 vulnérabilités dans Reader X et Flash

Presque toutes les failles corrigées dans le lecteur PDF ont été qualifiées de «critiques» par Adobe, ce qui signifie qu'elles pourraient être exploitées par des attaquants pour introduire des logiciels malveillants sur un système non patché. Cependant, l'éditeur indique que pour plusieurs bugs, il n'est pas certain que l'exécution de code à distance soit possible. 2 failles parmi les 29 seraient vulnérables à des attaques dites «cross-site scripting » (XSS), une tactique banale utilisée par les voleurs d'identité qui ciblent les navigateurs Internet. En particulier, les pirates pourraient exploiter une de ces deux vulnérabilités - dans Windows seulement - pour s'octroyer des privilèges supplémentaires sur un ordinateur.

Beaucoup de bugs dans la version X du Reader

Selon l'avis publié par Adobe, environ la moitié des bugs identifiés dans le Reader X concernent le code d'analyse de fichier pour les polices de caractères, l'image ou la 3D. Tous les bugs, sauf 3, affectent le Reader X, cette version Windows du lecteur lancée en grande pompe par l'éditeur il y a trois mois. Elle comprend la fameuse SandBox, cette technologie qui permet d'isoler l'application de l'ordinateur pour arrêter, ou du moins emprisonner un code d'attaque pour l'empêcher de faire des ravages sur l'ensemble du système d'exploitation. La sandbox intégrée dans le Reader X est basée sur des technologies utilisées par Google et Microsoft : ainsi Google a « sandboxé » son navigateur Chrome, tandis que Microsoft utilise des défenses similaires pour protéger Internet Explorer et Office 2010 dans Windows. Il y a quelques semaines un chercheur avait trouvé une faille dans ce « mode protégé ». Un porte-parole de l'éditeur se veut rassurant « aucun des 26 bugs affectant le Reader X ne concernent la sandbox et ne peuvent donc pas être mis à profit pour contourner la protection. » Le Reader passe en versions 8.2.6, 9.4.2, et 10.0.1 pour Windows et Mac OS X.  Les utilisateurs Linux devront quant à eux attendre jusqu'au 28 février, date à laquelle Adobe livrera les correctifs pour le Reader tournant sous ce système d'exploitation.

Flash mais aussi ColdFusion et Shockwave

Le Tuesday Patch publié met également mis à jour le plug-in Flash, corrigeant 13 vulnérabilités, toutes qualifiées de critiques, car susceptibles d'être exploitées pour exécuter du code malveillant. Adobe a précisé que 8 des 13 failles étaient liées à des problèmes de corruption de mémoire, tandis que les autres bugs été liées au chargement de bibliothèque, à un dépassement de nombre entier et à l'analyse de fonte. La mise à jour de sécurité fait passer Flash en version 10.2.152.26. Comme cela a été le cas il y a un an environ, les utilisateurs de Google Chrome ont pu profiter de la nouvelle version de Flash via une mise à jour du navigateur, également publiée mardi. Adobe a également livré des mises à jour de sécurité pour ColdFusion, son serveur d'applications web de classe entreprise, et pour Shockwave, un player assez répandu pour lire des contenus online animés. « On aurait dit qu'Adobe était prête pour ce cycle de patch ! » a déclaré Andrew Storms, directeur des opérations de sécurité chez nCircle Security, dans une interview. « J'ai été surpris par cette coordination. » Selon Adobe, « cette coordination est sans doute exceptionnelle, parce que le Reader et son cousin Acrobat sont patchés régulièrement. » Reste que, comme le dit Wiebke Lips, la porte-parole d'Adobe, « chaque fois que possible, l'éditeur tente de prévoir, en même temps que le Tuesday Patch, la livraison de mises à jour de sécurité pour d'autres produits. » Cette fois, le calendrier a inclus Flash Player, ColdFusion et le player Shockwave.

Du tout ou rien

Cependant, si Andrew Storm se félicité de la mise à jour simultanée de plusieurs produits d'Adobe, il souligne que l'éditeur continue à livrer des mises à jour de sécurité « tout-ou-rien, » contrairement à Microsoft qui répartit ses correctifs en plusieurs avis séparés, laissant le choix aux utilisateurs de les déployer ou non, selon leur configuration. « C'est du genre à prendre ou à laisser, ça manque de nuances, » estime Andrew Storm. « Pratiquement tout est du code à distance et nous n'avons aucune possibilité d'en avoir un aperçu pour faire un choix, si cela s'avérait nécessaire, pour une raison ou une autre. » À cet égard, les mises à jour de sécurité d'Adobe ressemblent plus à celles d'Apple qu'à celles de Microsoft. « La seule différence, c'est que, avec Adobe, nous savons à quel moment le déjeuner sera servi, » a déclaré le directeur des opérations, évoquant la planification des mises à jour faite par Adobe, contrairement à Apple.

Adobe Reader et Flash pour Windows et Mac OS X peuvent être téléchargés via les liens inclus dans les avis publiés mardi. Mais, comme toujours, les utilisateurs peuvent récupérer les nouvelles versions via les mécanismes de mise à jour intégrés.

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(10/02/2011 13:18:51)

Les femmes et les seniors de plus en plus connectés

Les femmes représentent désormais 49% des Internautes français, selon la dernière vague de l'étude Observatoire des usages Internet de l'institut Médiamétrie livrée mercredi 9 février. En 2010, 66% des femmes s'étaient connectées au web les mois précédents contre seulement 24% en 2001. La population française globale d'internautes est passée, elle, de 16 à 38 millions dans le même temps.

Les seniors font également une entrée remarquée sur Internet. Le nombre de personnes âgées de 65 ans et plus qui se sont connectées durant les derniers mois a été multiplé par huit entre 2001 et 2010. La proportion des moins de 25 ans, qui représentaient 40% des Internautes français en 2001, chute pour atteindre 25%.

La messagerie électronique demeure l'activité principale des internautes français (86%). La messagerie instantanée représente, elle, 47% du temps passé sur le web. 59% des personnes connectées à Internet sont par ailleurs inscrites sur un réseau social alors que 73% des internautes achètent en ligne. Le taux de confiance pour le shopping sur Internet affiche 66%.

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(09/02/2011 16:04:09)

Facebook va déménager chez Sun dans la Silicon Valley

Une page se tourne ou comme le dit l'adage rien ne se perd, tout se crée. Facebook a annoncé sa volonté de déménager ses locaux de Palo Alto où les 1 400 employés étaient un peu à l'étroit pour s'installer dans neuf bâtiments de Menlo Park. Ceux-ci appartenaient à Sun Microsystem, mais lors de l'acquisition de la société par Oracle, ce dernier en a profité pour faire migrer les employés dans ses propres locaux.

Facebook hérite donc d'une surface de 93 000 m² dans la Silicon Valley. Les rumeurs parlent d'une transaction estimée à 100 millions de dollars. Facebook devra néamoins faire quelques travaux, mais comme le montre l'illustration, il a déjà des idées sur la conception architecturale du lieu.

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