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(18/02/2011 17:31:54)
Google améliore Social Search
Google a apporté plusieurs améliorations à son service de recherche Social Search qui permet aux internautes de retrouver en ligne les contenus publics de leurs réseaux sociaux. Depuis son lancement en 2009, les résultats de Social Search étaient publiés dans une section spéciale au bas de la page. Ils seront désormais intégrés aux résultats selon leur pertinence. Ainsi, il sera possible de voir dans les résultats davantage de personnes, collègues et amis, avec des annotations sous les résultats qu'ils ont créés ou partagés.
La recherche sociale a été élargie en y incluant les liens que les gens ont partagés sur Twitter ou sur d'autres sites. Par le passé, le service n'affichait que les résultats créés et liés à un profil Google. Désormais, si une personne qu'un utilisateur connaît a publiquement partagé un lien, celui-ci s'affiche dans ses résultats avec une mention qui n'est visible que par l'utilisateur, et seulement s'il est connecté.
Enfin, le service donne plus de contrôle sur la façon de relier des comptes. Les utilisateurs peuvent toujours connecter un compte publiquement sur leur profil Google, mais Social Search ajoute maintenant la possibilité le faire de façon privée. De plus, si les algorithmes trouvent un compte public susceptible d'appartenir à un utilisateur, l'outil invite ce dernier à connecter son compte directement depuis la page de résultats et dans les paramètres de son compte Google. Pour l'instant disponible en anglais, cette version de Social Search sera déployée au cours de la semaine à venir. (...)
La justice autorise l'encapsulage des liens profonds
Voilà une jurisprudence qui va faire grincer des dents chez les éditeurs de contenus en ligne, toujours soucieux de préserver leurs marques de tout parasitisme. Par un jugement du 6 décembre 2010 rendu par le tribunal de grande instance de Nancy et qui vient d'être publié, le site « dijonscope.com » a été autorisé à réaliser une revue de presse (même si le terme est juridiquement inapproprié) de sites tiers, revue qui se présente sous la forme d'une part de courts extraits (titre...) et d'autre part de pages aux couleurs de Dijonscope intégrant dans des cadres (frames) des pages d'autres sites. Bien entendu, aucun accord préalable n'avait été sollicité des dits sites tiers. Deux sites ont porté plainte : « Le Journal de Saône-et-Loire » et « Le Bien Public ».
Deux points confirmés et une nouveauté
Dans cette affaire, deux points sont simplement confirmés par le jugement malgré les demandes opérées par les deux journaux « victimes ». La création de liens dits « profonds », c'est à dire pointant sur une page précise d'un site tiers, ne posait pas de soucis depuis longtemps. De même, la « courte citation » avec un lien profond vers l'article cité sur le site d'origine, ne pose pas plus de difficulté.
La véritable nouveauté de cette jurisprudence est la possibilité désormais offerte d'intégrer dans un cadre (frame) la page complète du site d'origine, ce cadre étant lui-même situé dans une page du site effectuant la revue de presse, comprenant une identification propre et, éventuellement, des publicités autonomes.
Ni parasitisme, ni contrefaçon, ni concurrence déloyale
L'argumentation développée par le tribunal est très précise (voir le texte du jugement). En particulier, il conteste l'existence d'un préjudice pour les sites plaignants, base de toute action civile. Et il ne relève aucune contrefaçon en se justifiant par le droit à la courte citation. L'identification des sites d'origine des contenus est en effet claire. En aucun cas le site agrégateur ne laisse entendre être à l'origine de ces contenus et mentionne même expressément l'inverse. Son propre bandeau n'a pour fonction que de permettre à l'internaute de revenir sur la page d'accueil du site agrégateur qui ne perd ainsi pas sa propre audience au profit des sites tiers cités. Les pages d'origines étant intégrées dans des cadres (frames), celles-ci ne sont en rien altérées ou détournées. L'audience continue d'être décomptée au bénéfice des sites d'origine. Les publicités d'origine s'affichent normalement. De la même manière, le référencement sur des moteurs de recherche n'est pas altéré par la méthode employée. Les sites plaignants ne sont donc en aucun cas privés d'audience ou de revenus publicitaires
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Les candidats peinent à trouver un emploi sur le Net
Si les sites d'offres d'emplois sont le moyen le plus utilisé aujourd'hui pour trouver du travail, ils semblent néanmoins susciter plus de frustrations que de satisfactions. C'est ce que révèle un sondage réalisé par l'institut OpinionWay pour le cabinet de conseil en ressources humaines Précontact. Les résultats de l'enquête montrent en effet que seuls 39% des Français considèrent les sites d'offres d'emploi comme étant le moyen le plus efficace pour décrocher un job. Les candidats seraient en attente de repères dans un marché de l'emploi où la peur de passer à côté d'une opportunité reste importante.
Les réseaux sociaux : une opportunité pour les recruteurs, pas pour les candidats
En contradiction avec l'apparente facilité induite par le développement de services sur Internet, la recherche d'emploi exigerait une certaine technicité de la part des candidats : ainsi, plus de 80% d'entre eux considèrent que chercher du travail sur le Net est une démarche qui demande du professionnalisme et de l'expérience et qui est également perçue comme exigeante, voire éprouvante. Si près d'un sondé sur deux déclare utiliser un réseau social, plus de 2/3 des personnes interrogées n'aurait pas expérimenté les sites communautaires pour décrocher un job. Les trois quart (77%) des candidats indiquent ne pas se connecter sur les réseaux sociaux grand public (comme Facebook ) pour entrer en contact avec un employeur potentiel, 10% seulement l'utilisant au moins une fois par semaine. Même constat pour les réseaux sociaux professionnels (Viadeo, LinkedIn), boudés par les deux tiers des candidats. Ils ne sont que 3% à les considérer comme l'outil le plus efficace pour trouver aujourd'hui du travail.
Ce sondage a été réalisé par l'institut OpinionWay pour le cabinet de conseil en RH Précontact. auprès d'un panel de 4 146 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 à 55 ans, pour obtenir un échantillon de 999 personnes.
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Collaboratif : SAP adosse son StreamWork aux API OpenSocial
SAP a ajouté le support des API OpenSocial à son logiciel en ligne StreamWork. Celui-ci propose à une équipe dispersée un ensemble d'outils pour réfléchir en groupe et prendre des décisions concertées. Après avoir été proposé en version bêta limitée pendant plusieurs mois, StreamWork a été lancé au printemps dernier. Désormais, les logiciels qui utilisent les interfaces de programmation OpenSocial (développées par Google) peuvent donc être présentés à ses utilisateurs par le biais du catalogue d'outils de l'application. Google Translate en fait partie. SAP cite aussi les produits d'éditeurs tels que Atlassian, Doodle (illustration ci-dessus), Got Decisions, MindMeister ou encore CS Odessa (et son logiciel ConceptDraw MindWave, illustration ci-dessous).
SAP cherche des applications partenaires qui correspondent à ce que les utilisateurs de StreamWork aimeraient trouver. L'éditeur tient compte de leurs « feedbacks », a expliqué Holly Simmons, directrice senior du marketing on-demand, à nos confrères d'IDG News Service. Il est plus logique d'étendre les fonctions du logiciel vers les produits dont les clients se servent déjà. Les intégrer à StreamWork réduit le nombre de personnes qui devront passer d'un outil à l'autre.
La version de base de StreamWork est gratuite. La Professional Edition démarre à 9 dollars par utilisateur et par mois aux Etats-Unis (elle comporte des fonctions d'administration avancées). Il y a aussi une Enterprise Edition, qui inclut des fonctions de contrôle et d'allocation de ressources (à partir de 192 dollars par utilisateur et par an). Pour connaître la tarification appliquée dans les autres pays, il faut contacter l'éditeur.
Outils de collaboration : un marché très encombré
Evidemment, comme tout vendeur de solutions de collaboration, SAP se retrouve sur un marché très encombré comportant des flopées de nouvelles offres, qui côtoient des plateformes aussi largement adoptées que Microsoft SharePoint. Sans compter que certaines tentatives pour faire adopter ce genre d'outils ont fait long feu. Invoquant un taux d'adoption trop bas, Google lui-même a stoppé les développements de sa plateforme baptisée Wave, autour de laquelle il avait pourtant fait pas mal de battage. SAP avait d'ailleurs pris soin, à l'époque, d'offrir la possibilité d'intégrer son StreamWork à Google Wave. Il se rabat maintenant sur OpenSocial, une option que le Centre d'Innovation de SAP Business Objects (à Levallois-Perret) avait déjà retenue pour l'outil d'analyse des réseaux sociaux SNA.
Holly Simmons n'a pas souhaité indiquer combien de clients payants SAP avaient déjà drainé vers StreamWork à ce jour. Elle se contente d'affirmer que « les ventes se portent très bien ». Pour l'instant, la plupart des clients sont des PME. Le profil typique, c'est une petite entreprise de conseil qui veut élaborer des stratégies et partager des documents avec des clients distants de plusieurs milliers de kilomètres, explique la directrice marketing.
Les grandes entreprises ont des demandes différentes. Elles veulent notamment aider leurs employés à travailler plus efficacement avec les logiciels qu'ils utilisent déjà. L'Enterprise Edition de StreamWork n'est sortie qu'en décembre dernier. SAP démarre donc à peine la phase de commercialisation du produit.
L'éditeur a lui-même déployé en interne l'outil, à travers toute l'entreprise, ajoute Holly Simmons. Tout en explorant l'aspect communauté de partenaires, SAP a aussi prévu d'ambitieux plans de développement de son côté avec cet outil. Les clients devraient s'attendre à voir approfondir l'intégration de StreamWork avec les logiciels de gestion de l'éditeur, précise Holly Simmons. « Les gens veulent l'utiliser dans un contexte métier. Nous ne sommes pas juste en train de créer une autre suite de productivité ». (...)
Google aura aussi sa plate-forme d'abonnements : One Pass
Baptisée "Google One Pass", cette plateforme permettra aux éditeurs de proposer du contenu numérique aux particuliers via des sites internet ou des applications mobiles.L'éditeur précise que l'ensemble des contenus numériques achetés sur "One Pass" seront accessibles sur les tablettes, les smartphones et les sites web grâce. Les utilisateurs seront simplement invités à s'identifier à l'aide d'une adresse email et d'un mot de passe. Par l'intermédiaire de cette plateforme, les éditeurs de presse pourront commercialiser leurs abonnements et leurs articles à l'unité.
"Notre objectif est de fournir une plateforme ouverte et flexible qui renforce notre engagement visant à soutenir les éditeurs, le journalisme et l'accès à un contenu de qualité", affirme le PDG de Google dans un communiqué. Pour le moment, le service "One Pass" est disponible en France, au Canada, en Allemagne, en Italie, en Espagne, au Royaume-Uni et aux Etats-Unis. Cette annonce arrive juste après celle d'Apple qui propose son propre service d'abonnement dédié à la presse, à la musique et aux vidéos.
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