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(25/01/2011 10:16:41)

Le e-commerce français progresse en 2010

Croissance à deux chiffres pour le secteur français du e-commerce. En 2010, et dans un contexte économique plus favorable, la population de cyberacheteurs a grimpé de 12% à 27,3 millions d'internautes (soit 3 millions d'acheteurs supplémentaires). La Fevad fait remarquer que le nombre de cyberacheteurs progresse plus vite que le nombre d'internautes (+9%). Conséquence, les achats en ligne ont représenté 31 milliards d'euros l'an dernier (+24%), contre un chiffre d'affaires global de 25 milliards en 2009, et 20 milliards en 2008. En tout, pas moins de 340 millions de transactions en ligne ont été enregistrées en 2010, soit 60 millions de plus que l'année précédente.

Le montant moyen d'une transaction s'est élevé à 91 euros en 2010, soit son niveau d'avant crise. En moyenne, un cyberacheteur réalise 12 transactions par an, pour un montant total estimé à 1 100 euros. Ces bons résultats s'expliquent par un « très bon premier semestre 2010 (+27%) et des ventes de Noël record avec plus de 6 milliards d'euros dépensés sur les sites de e-commerce français » indique la Fevad dans un communiqué.

100 000 sites marchands cette année


Le secteur a également profité d'une confiance en hausse des Français pour les commandes en ligne. En 2010, 65% des internautes ont été confiants dans le paiement sur Internet (+17%). Autres facteurs d'explication, l' « afflux massif d'internautes âgés de 65 ans et plus », qui sont 73% de plus à avoir déjà acheté en ligne par rapport à 2009. En 2010, la Fevad recensait 81 900 sites marchands actifs, soit une augmentation de 28% par rapport à 2009. En douze mois, pas moins de 17 800 nouveaux sites de e-commerce ont fleuri sur la Toile. Le cap des 100 000 sites devrait être franchi en cours d'année. A noter enfin, la catégorie tourisme signe la meilleure performance du e-commerce en 2010, avec une hausse des ventes de 20% sur un an.

Le bilan e-commerce 2010 a été réalisé à partir du panel iCE 40 composé de 40 sites marchands majeurs (3 Suisses, Alapage, Fnac, Nouvelles Frontières, Pixmania, Rue du Commerce, Surcouf, Voyages-sncf.com, etc.) et du panel des plateformes de paiement totalisant près de 80.000 sites (Atos Worldline, SP-Plus, Crédit Mutuel-CIC, Monext, Ogone, PayBox et PayPal).

(...)

(24/01/2011 14:28:55)

Facebook lève 1,5 Md$ et se valorise à 50 Md$

Il s'agit de la plus importante levée de fonds de l'histoire de Facebook. En fin de semaine dernière, la société fondée par  Marc Zuckerberg a annoncé qu'elle avait obtenu 1,5 milliard de dollars, investis dans des actions ordinaires de classe A. Ainsi renforcé, Facebook se trouverait valorisé à 50 milliards de dollars.

Le fameux réseau social explique qu'il a, d'une part, obtenu un milliard de dollars par le biais d'une offre sursouscrite conduite par Goldman Sachs auprès de clients non américains. S'y ajoutent 500 millions de dollars levés un mois plus tôt auprès de la firme d'investissement russe Digital Sky Technologies (DSK), déjà actionnaire, de Goldman Sachs Group et de fonds gérés par ce dernier.

Cet apport vient conforter les réserves de trésorerie de Facebook et lui apporter une flexibilité financière qui lui permettra d'explorer toute opportunité qui se présenterait, a commenté son directeur financier, David Ebersman (en photo), sans fournir plus de précision. On peut penser à des rachats de technologie, bien sûr, ou encore à un développement de l'implantation (un projet de deuxième datacenter a été lancé cet été). 

Un apport étranger limité à 1 Md$

La société a précisé avoir été approchée par la banque d'investissement et DSK qui souhaitaient investir dans son capital et avoir trouvé l'opportunité intéressante. A l'origine, il était prévu de permettre à des investisseurs américains de participer à cette levée de fond. Mais Goldman Sachs a finalement décidé de la limiter à des investisseurs étrangers, craignant que l'attention des médias la rende illégale au regard des lois américaines de sécurité (ainsi que la banque l'a expliqué au Wall Street Journal), ce qui aurait mécontenté certains clients américains.

De son côté, Facebook ajoute qu'il aurait pu obtenir jusqu'à 1,5 milliard de dollars en fonds étrangers, une forte demande s'étant manifestée, mais a préféré limiter cet apport à 1 Md$. La société dépassant les 500 actionnaires, elle compte commencer à publier des résultats financiers à partir du 30 avril 2012.

Facebook songe à s'agrandir vers la Valley

En marge de cette annonce, le Wall Street Journal signale que Facebook serait en discussion pour changer de siège social. La firme, actuellement installée à Palo Alto, s'intéresse à un campus de la Silicon Valley situé à plusieurs kilomètres de là et précédemment occupé par Sun Microsystems. Selon l'une de ses porte-parole contactée par le quotidien américain, la société étudie des options pour trouver un emplacement à long terme qui conviendrait aux besoins de son activité en croissance.

Illustration : David Ebersman, directeur financier de Facebook
(crédit : Facebook)

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(24/01/2011 13:20:15)

Près de la moitié des internautes français téléchargent illégalement

Mise en place en octobre dernier, la Haute autorité, en charge du dispositif de la riposte graduée (envoi d'avertissements aux internautes téléchargeant de manière illicite), dresse un premier panorama réalisé auprès de deux larges échantillons d'internautes français (2 687 personnes au total). Selon cette enquête, 49% des personnes interrogées reconnaissent télécharger illégalement, contre 51% qui déclarent n'avoir jamais consommé sur Internet des produits culturels (musique, vidéos, etc.) de manière illicite.

Toutefois, seuls 13% des sondés avouent télécharger illégalement de manière régulière (4% « toujours », et 9% « souvent »), tandis que 36% ne le font qu'occasionnellement voire exceptionnellement (15% « quelquefois », et 21% « rarement »). Parmi ces « fraudeurs » du Web, les hommes sont majoritaires (58%, contre 42% de femmes), alors que les internautes qui téléchargent légalement sont avant tout des femmes (55% contre 45% d'hommes). Autres éléments de ce portrait-robot, l'âge précoce du téléchargeur (18% ont entre 15 et 17 ans, 21% entre 18 et 24 ans, et 33% entre 25 et 39%), ainsi qu'une origine géographique de province (82%) plutôt que francilienne (18%). Ils appartiennent le plus souvent à une catégorie socio-professionnelle supérieure (34%) ou sont inactifs (38%).

Un regain de téléchargement et un changement de comportement post Hadopi

Le rapport souligne par ailleurs que les personnes qui téléchargent illégalement sont bien équipées en matériel électronique : disques durs externes, smartphones, baladeurs audio/vidéo, etc. Ils dépensent également plus d'argent pour l'achat de biens culturels que ceux qui téléchargent légalement. Cette pratique ne ralentit pas, souligne l'Hadopi, mais elle tend à se diversifier. Ainsi, un quart des internautes qui téléchargent de manière illicite le font depuis plus de cinq ans, mais près du tiers (29%) déclarent avoir commencé depuis moins de 6 mois, soit après l'entrée en vigueur de la loi contre le téléchargement illégal.

Le prix constitue le premier frein au téléchargement licite (37%), devant la diversité de l'offre (21%), l'habitude de consommation licite (13%) et le paiement en ligne (12%). Interrogés sur l'impact de l'Hadopi vis à vis de leurs comportements face au téléchargement, un internaute sur quatre (25%) reconnait que la Haute autorité l'incite à changer ses habitudes de consommation en ligne. Mais la peur du gendarme reste sans effet sur plus de la moitié du panel (52%).

Cette enquête a été menée par la société Toluna pour l'Hadopi, du 25 octobre au 4 novembre 2010, auprès de deux échantillons représentatifs d'internautes français âgés de 15 ans et plus (respectivement 1.624 et 1.063 internautes).

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(24/01/2011 09:57:01)

Un plan d'action pour mieux protéger les achats en ligne

Dans la ligne de mire du secrétaire d'Etat à la Consommation et au Commerce, les faux avis de consommateurs et les produits dangereux. La Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) a été saisie pour intensifier ses contrôles. Le dispositif compte également mieux protéger les consommateurs en cas de faillite d'un e-commerçant. Premier axe de travail pour renforcer la protection et l'information des cyberacheteurs : les faux avis de consommateurs. Le secrétaire d'Etat prévient que "les pratiques commerciales trompeuses seront sanctionnées". A ce sujet, une charte de bonnes pratiques et d'engagements sera lancée prochainement.

A noter qu'au chapitre des pratiques commerciales déloyales, les soldes d'été feront l'objet d'une vaste enquête. Il s'agira de vérifier si les prix des e-commerçants sont bien conformes. Si la DGCCRF devra mener à bien ses contrôles pour relever des manquements dans ce domaine, elle positionnera également son action sur la sécurité des produits mis en vente sur la Toile. A ce titre, les compléments alimentaires et les articles mettant en avant les allégations de santé feront l'objet d'une surveillance accrue.

Enfin, ce plan d'action prévoit de "faire aboutir les initiatives prises début 2010" pour éviter que les cyberacheteurs ne soient lésés en cas de faillite d'un commerçant en ligne. Pour l'heure, les transporteurs peuvent se retourner contre le consommateur, n'ayant pas été payé de la livraison. Le cyberacheteur est donc sommé de les payer une seconde fois. "Une telle situation s'est présentée lors de la liquidation judiciaire de la CAMIF, les transporteurs allant jusqu'à réclamer aux clients désemparés des frais de plusieurs centaines d'euros", avance le secrétaire d'Etat.

Crédit photo : Renata Osinska

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