Flux RSS
Internet
5069 documents trouvés, affichage des résultats 921 à 930.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(21/01/2011 16:41:35)
Orange investirait dans Dailymotion
Après la musique en ligne, via une prise de participation de 11% du site Deezer, voilà qu'Orange s'intéresserait à un investissement dans la plateforme vidéo Dailymotion. Selon l'Express, l'opérateur pourrait se porter acquéreur de 30 à 50% de l'éditeur, soit un investissement de 50 à 75 millions d'euros sur une base de valorisation de Dailymotion estimée à 150 millions d'euros. Si cette information se révélait exacte, Orange poursuivrait ainsi sa stratégie dans les contenus, cadrée par Stéphane Richard lors de son plan Conquêtes 2015. Le dirigeant avait rejeté l'idée de continuer à jouer cavalier seul dans les contenus (cession de Cinemas Séries à Canal +) et que la poursuite de cette activité se déroulerait sur la base de partenariat et de prise de participation minoritaire. L'intérêt d'Orange pour Dailymotion semble ne pas plaire aux représentants syndicaux de la CFE-CGC qui estiment que le prix éventuellement payé pour intégrer Dailymotion est particulièrement « salé ».
(...)(21/01/2011 10:46:24)Gestion de contenu web : Drupal plus évolutif en v.7
Drupal a eu dix ans cette semaine. La première version du logiciel de gestion de contenu web est sortie le 15 janvier 2001. Des millions de sites Internet reposent sur ce CMS Open Source, disponible dans sa version 7 depuis le début du mois (http://buytaert.net/drupal-7.0-released). C'est une version axée sur l'usage, livrée à l'issue de trois années de développement. « Nous nous sommes attachés le concours de quelques-uns des meilleurs experts mondiaux dans ce domaine, a confié début janvier Dries Buytaert, créateur du logiciel Open Source et directeur technique de la société Acquia qui fournit le support commercial du produit. Ils ont travaillé pendant six mois sur la facilité d'utilisation de Drupal 7 ».
Utilisateurs, développeurs tout autant que les administrateurs des sites sont concernés par les apports de cette version. Le système back end a été entièrement ré-architecturé, avec un renforcement des capacités de conception graphique, de la navigation et de la nomenclature. Des fonctions de correction en ligne et wysiwyg ont été ajoutées. Il sera possible de bâtir des sites plus importants qu'avec la précédente version. En revanche, la v.7 du logiciel de gestion de contenu (CMS) pourrait être quelquefois plus lente. « Dans un site, certaines parties pourraient être plus lentes, tandis que d'autres seront plus rapides », a reconnu Dries Buytaert. Mais l'ensemble aura des capacités d'évolution plus importante.
Une couche d'abstraction pour les bases de données
Le support des bases de données a été amélioré avec l'ajout d'une nouvelle couche d'abstraction, et une meilleure prise en charge de Postgres et SQLIte. La gestion des images est plus facile, en particulier les ajouts, la génération de vignettes, la manipulation de différents formats et des fichiers privés. Par ailleurs, un environnement de test automatisé est désormais inclus dans le logiciel de gestion de contenu.
Séduit par cette version, le site d'information Examiner.com (22,4 millions de visiteurs uniques par mois) a indiqué être passé de ColdFusion à Drupal 7. Matthew Saunders, son directeur technique du site explique que le logiciel permet d'utiliser des bases de données plus rapides telles que MongoDB. Il souligne par ailleurs que le CMS a été conçu pour que les non-spécialistes puissent aussi s'en servir [et pas uniquement les développeurs des sites].
Pour effectuer la mise à jour de Drupal 6 vers la version 7, il faut exécuter un script spécifique. Les utilisateurs devront peut-être réécrire un peu de code sur les modules personnalisés et aussi procéder à des mises à jour sur les interfaces de programmation (API).
La plateforme a vraiment commencé à prendre au cours des deux dernières années, considère Dries Buytaert. Drupal 7 sert également de base à la version cloud, Drupal Gardens. A ce jour, 30 000 sites ont été construits sur Drupal Gardens, a indiqué le directeur technique d'Acquia.
Parmi les intégrateurs de Drupal en France figurent notamment Alter Way et Smile (l'annuaire des prestataires proposé sur drupalfr.org rassemble plus de 300 inscrits).
Illustration : Drupal 7 (crédit : Drupal.org)
Des pirates exploitent le minicloud d'OVH
Octave Klaba, le PDG de l'hébergeur OVH a posté un message sur la page de maintenance de la société daté du 8 janvier dernier, qui indique « face à l'utilisation abusif de miniCloud par les hackeurs pour les attaques, les scans et les flood, nous avons déjà annoncé que nous allons devoir protéger les infrastructures en bloquant le trafic UDP sur le miniCloud. Les abus se sont accélérés depuis 2 jours. Nous sommes maintenant à une dizaine attaques en 48H sur les miniCloud. Nous avons décidé d'aller plus vite que prévu: le trafic UDP sur le mC vient d'être bloqué définitivement. »
Nous avons voulu interroger OVH pour connaître la nature des attaques (un lien avec l'affaire Wikileaks ou autre), l'impact sur les clients de l'offre minicloud (éventuel remboursement), mais la société nous a indiqué n'avoir rien à déclarer sur ces sujets. L'offre minicloud propose une mise à disposition de ressources informatiques dont le coût varie en fonction de la mémoire virtuelle souhaitée (de 0,01 euros HT/h pour 256 Mo à 0,08 euros HT/h pour 2048 Mo).
Google abandonne le populaire H.264, pour promouvoir les vertus de WebM
Les standards vidéo au sein d'HTML5 continuent d'opposer Microsoft et Google, Microsoft ayant choisi de soutenir le H.264 pour Internet Explorer 9, alors que Mozilla, Opera, Adobe et Google ont décidé de pousser le format WebM, ce qui laisse prévoir une longue bataille des standards. Et Google admet avoir du pain sur la planche. « Nous reconnaissons que le format H.264 dispose actuellement d'un plus large soutien dans la communauté des éditeurs, des développeurs, et chez les constructeurs, même si l'adhésion au format WebM évolue rapidement, » écrit Mike Jazayeri, Product Manager chez Google, sur le blog du navigateur Chrome.
Cependant, celui-ci maintient que les restrictions imposées par les droits de licence du H.264 risquent à terme de freiner l'innovation et de conduire à l'abandon de ce format. Certes, ce dernier dispose d'un plus grand soutien aujourd'hui, mais « il n'y aura pas d'accord pour en faire la base du standard vidéo HTML en raison des contraintes liées à son mode de licence, » écrit encore le responsable de Google. « Pour utiliser et distribuer le H.264, les vendeurs de navigateurs Internet et de systèmes d'exploitation, les fabricants de matériel, et les éditeurs qui font payer pour le contenu, doivent également reverser d'importantes royalties, et n'ont aucune garantie que ces droits ne seront pas encore plus élevés dans l'avenir. Pour des entreprises comme Google, ces droits de licence ne sont pas conséquents, mais pour le démarrage de la vidéo de prochaine génération et pour les marchés émergents qui en dépendent, ces redevances viennent limiter l'innovation. » Dans les conditions de licence du H.264, accessibles sur le site web du MPEG LA, LLC, le numéro un mondial en matière de licences technologiques alternatives groupées, qui administre les octrois de licence, on trouve, parmi les titulaires des droits du H.264, Apple, Cisco, HP, LG, Microsoft, Polycom, Sony, Toshiba et bien d'autres encore.
Une prise en charge par les plug-ins
Mike Jazayeri précise que même si Google a annoncé qu'elle allait retirer le support du H.264 de son navigateur Chrome, peu d'utilisateurs remarqueront la différence, du moins pour le moment. « Le H.264 tient une place importante et la grande majorité des vidéos H.264 diffusées sur le web aujourd'hui sont lues avec l'aide de plug-ins comme Flash et Silverlight, » écrit-il. « Ces plug-ins sont et continueront d'être pris en charge par Chrome, » explique-t-il. « Notre annonce ne concerne que la balise vidéo, qui fait partie des évolutions d'HTML 5. Celle-ci est très prometteuse, mais peu de sites l'utilisent aujourd'hui, si bien que le nombre d'utilisateurs qui seront directement touchées par ce changement est minime. »
L'abandon du format vidéo H.264 par Google a également suscité beaucoup d'interrogation quant à l'influence que pourrait avoir le géant du web sur l'avenir de la vidéo sur Internet, certains se demandant si cette stratégie de Google ne visait pas « à contrôler le format vidéo sur le web » ? Pour répondre à cette préoccupation, Mike Jazayeri fait remarquer que «la majorité des organisations et des personnes qui contribueront au format WebM ne sera pas affiliée à Google ou à une entité unique, », et que les développeurs tiers « ont déjà créé une alternative de grande qualité (et compatible) à WebM. » Celui-ci reconnaît que la situation actuelle n'est pas parfaite, puisqu'elle impose aux éditeurs de générer plusieurs copies vidéo pour s'adapter aux besoins des différents navigateurs. « Surtout, nous sommes dans une impasse pour faire évoluer la vidéo au sein d'HTML, » écrit-il. «Le fait de ne pas avoir de codec de référence en matière de la spécification HTML est loin d'être idéal. »
Vers un tarif social pour l'ADSL et le mobile
Le secrétaire d'Etat à la Consommation Frédéric Lefebvre doit tenir une table ronde, le 27 janvier prochain, invitant les opérateurs à faire des propositions sur un tarif social dans l'Internet fixe pour les foyers les plus modestes, selon le quotidien La Tribune. Ce projet avait déjà été lancé il y a un an par le Premier ministre François Fillon, qui avait évoqué à l'époque des offres triple play à 20 euros par mois pour les plus démunis. Des opérateurs avaient proposés dans le cadre de convention avec les bailleurs sociaux d'appliquer des tarifs bas pour l'accès téléphonique, plus un accès à Internet haut débit (limité à 512 kbits).
Pour rappel, Frédéric Lefebvre avait fait voter en 2008 le principe d'un tarif social dans la téléphonie mobile. Orange, propose par exemple depuis 2009 une offre spéciale à 10 euros par mois pour les bénéficiaires du RSA. Sur ces différentes initiatives, les opérateurs restent circonspects en estimant qu'ils vont de nouveau mettre la main à la poche, après plusieurs vagues successives de taxes, redevances, etc.
(...)(20/01/2011 09:50:08)Les Français férus de la vidéo en ligne
Les internautes Français ont été 6,5 millions à consulter chaque jour un site de vidéos ou de cinéma en novembre 2010, soit une progression de 34% par rapport au même mois en 2009. Cette catégorie de sites affiche la plus forte croissance d'audience sur Internet, selon le baromètre Médiamétrie/NetRatings. Autres sites en forte progression, les moteurs de recherche (17,5 millions d'internautes, +16%), les blogs et sites communautaires (11,8 millions, +24%), les portails généralistes (16,4 millions, +13%) et les sites de jeux en ligne (6,6 millions, +27%). En novembre dernier, 37,51 millions de personnes âgées de 11 ans et plus se sont connectées à Internet, soit une hausse de 8% sur un an. 33,5 millions d'internautes se sont connectés à domicile et en haut débit (+11%). Le nombre de foyers français ayant un accès à Internet au 3ème trimestre 2010 est estimé à 18,36 millions (+11%), soit plus de deux foyers sur trois (67,7%).
Google superstar
Au classement des sites les plus visités de France, Google domine toujours largement les débats, avec 36,35 millions de connexions en novembre 2010 sur ses différentes déclinaisons (moteur de recherche, Google Maps, Gmail, etc.). Suivent le portail MSN/Windows Live de Microsoft (28,32 millions), Facebook (27,27 millions), les sites classiques de Microsoft (site officiel, Hotmail, etc.) avec une audience de 24,3 millions, Orange (21,8 millions), le site de vidéos YouTube (20,9 millions), l'encyclopédie Wikipédia (19 millions), le site de Free (18,4 millions), le portail Yahoo! (18 millions) et le site des Pages Jaunes (17,34 millions).
(...)(19/01/2011 14:28:44)Plus de téléchargements légaux et gratuits pour les internautes français
Selon le baromètre REC de l'institut GfK, diffusé mercredi 19 janvier en exclusivité par l'AFP, les internautes seraient de plus en plus enclins à télécharger légalement de la musique sur des sites dédiés. 43% des sondés ont utilisé des magasins de musique en ligne, gratuits comme payants, plutôt que des réseaux d'échange ou de partage de fichiers en ligne (41% des personnes interrogées), au 4ème trimestre 2010.
Ces résultats montrent aussi l'importance de la gratuité sur le web. En effet, 74% des personnes interrogées ont consulté ou téléchargé plus de livres gratuits que d'ouvrages payants sur Internet. A contrario, la presse reste encore largement majoritaire au format papier (62 %). Seuls 14% des lecteurs lisent exclusivement la presse numérique.
En ce qui concerne la vidéo, les contenus les plus téléchargés et/ou visionnés sur la Toile sont les séries télé (59%), devant les films (57%). Ce baromètre trimestriel analyse les comportements des Français sur la Toile et propose une vue d'ensemble des marchés de contenus numériques. Il a été établi par Gfk sur la base d'un échantillon de 1 000 personnes âgées de 15 à 65 ans, représentatif de la population française des internautes.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |