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(18/01/2011 11:22:55)

Facebook livre les numéros de mobiles et les emails de ses abonnés (MAJ)

(MAJ*) Expliquant sa décision dans un billet de blog, Facebook précise que les développeurs d'applications seront en mesure d'accéder aux informations de contact seulement si l'utilisateur l'y autorise. Le site de réseau social ajoute par ailleurs avoir créé de nouveaux paramètres d'autorisation pour permettre ce transfert. Il souligne également que « l'accès et l'utilisation de ces données est régie par les règles régissant la plateforme. » En l'occurrence, le volet n°3 stipule « une politique de confidentialité qui impose d'avertir les utilisateurs sur la nature des données personnelles utilisées et comment celles-ci seront exploitées, rendues publiques, partagées, ou échangées. » La règle 6 interdit aux développeurs « de transférer directement ou indirectement des données émanant du réseau social, y compris les données utilisateur ou les ID utilisateur de Facebook, à une régie publicitaire, des plateformes d'échange, un courtier en informations, ou vers des systèmes connexes impliquant une publicité ou une monétisation, même dans le cas où l'utilisateur consent à un tel transfert ou à un tel usage. »

Une menace réelle


Mais pour Graham Cluley, expert en sécurité chez Sophos, ce choix « pourrait accroître le niveau d'exposition des utilisateurs de Facebook. » Celui-ci rappelle que les cybercriminels ont déjà fait leurs preuves et montré leur capacité à tromper les victimes pour récolter des informations personnelles sensibles. « Il va devenir plus facile que jamais pour des développeurs d'applications inconnus de recueillir encore plus d'informations personnelles sur les utilisateurs. On peut imaginer, par exemple, que des individus mal intentionnés mettent en place une application malveillante uniquement pour récolter des numéros de téléphone mobile afin de les utiliser ensuite pour du spamming par SMS ou de vendre ces données à des entreprises pour du cold calling (ou appels à froid), » écrit l'expert de Sophos. « La possibilité d'accéder à ce type de données personnelles accroit les risques de vol d'identité, » conclut-il.

*Dernière minute : Facebook a décidé de suspendre la délivrance des données personnelles (adresse postale et coordonnée téléphonique) à l'attention des développeurs. Le site de réseau social souhaite réfléchir pour mieux communiquer auprès des utilisateurs et améliorer les boîtes de dialogue invitant à partager leurs informations privées.

(...)

(18/01/2011 10:17:43)

ToIP en entreprise, une adoption en demi-teinte en 2010

Grande conclusion de cette étude, en 2010, les acheteurs potentiels ont retardé leurs investissements en IPBX. Et ce, contrairement à l'édition précédente, 2009 située en période de crise, qui montrait une progression  de l'investissement en ToIP(**).  Les intentions de fin 2009 ne se sont donc pas traduites en décision. 2010 dessine un marché plus atone, comme si la crise jouait à retardement. « Les entreprises naviguent encore à vue, 2011 devrait montrer un rattrapage et des investissements à hauteur de ceux de 2009, les intentions d'investissement restant relativement élevées, mais tout cela reste à confirmer » analyse le Directeur du cabinet Scholé, Nicolas Amestoy et d'ajouter « les entreprises progressent d'ailleurs rarement de façon linéaire et planifiée, mais plutôt site après site, étape par étape ». L'étude Scholé montre d'ailleurs où se situent les intentions d'achat. En matière d'IPBX, par exemple, ces futurs clients  sont des entreprises multi-sites, de plus de 500 salariés ou de 50 à 249 salariés.

Autre confirmation de la stagnation du marché, le chiffre global d'entreprises en ToIP reste le même en 2010 qu'en 2009 : 26%. Logiquement, les trois quart des entreprises françaises constituent donc une cible. Toutefois, la progression globale de la ToIP en France a atteint certaines limites. Plusieurs facteurs l'expliquent.

PME et les TPE sont très mal informées

La communication n'a pas éclairci le sujet. Les PME et les TPE sont très mal informées. Certaines sont équipées en ToIP sans le savoir. Elles reconnaissent des services avancés sans savoir qu'ils sont issus de la ToIP. Outre cette mauvaise  communication, l'existant  joue son rôle de frein. L'opérateur historique a habitué le client français à une certaine qualité de service (communication non interrompues, absence d'échos ). La ToIP a du mal à proposer une qualité supérieure, en France du moins. C'est pourtant par les services et la qualité de ces services qu'elle peut faire la différence.

La ToIP connaît d'ailleurs un indice de satisfaction encore limité : 71% des entreprises interrogées jugent cette qualité aussi bonne que celle des communications traditionnelles, 11% la trouvent meilleure, mais 18% la situent moins bonne que celle des communications traditionnelles ! Et le retour sur investissement n'est pas le critère de satisfaction principal : 40% de entreprises le jugent tout à fait satisfaisant, 32% a peu près satisfaisant, 7% pas du tout, 21% restent sans réponse.

Globalement, sur un ensemble de 435 000 entreprises, l'étude montre que 86% des entreprises disposent d'une solution de communication. 68% ont un PBX, et 39% une box adsl, ce sont les choix principaux. Deux alternatives, les logiciels de téléphonie, situés à 6%, l'IP centrex a 2% complètent le tableau. 14% des entreprises interrogées assurent n'avoir aucune de ces solutions, 6% n'en savent rien. Autres caractéristiques : Ils ont déjà un ou plusieurs sites équipés, leur PBX est hors d'âge (neuf ans ou plus, donc le renouvellement est proche), ils ont l'intention d'acheter un routeur, et pour les plus grandes, sont vouées aux liaisons spécialisées. Autant de critères intéressants pour les prestataires.

 

(*) 1 600 établissements interrogés par téléphone, 700 de 6 à 49 salariés, 750 de 50 à 499, 150 de 500 et +.

(**) La ToIP  s'entend au sens large : box adsl (pro pou grand public), Pabx et routeur, IPBX, IP centrex, logiciels de téléphonie.

(...)

(17/01/2011 16:43:13)

24 villes TIC reçoivent le label "5 @"

Fondé en 1999 par l'association Villes Internet, ce label est le pendant high-tech des Villes et villages fleuris, distinction récompensant le fleurissement des communes françaises. Les villes sont ici labellisées d'un certain nombre d'arobases (5 au maximum) en fonction de leurs initiatives en faveur de la démocratisation des TIC auprès de leurs citoyens (accès des TIC au public, utilisation des outils numériques dans la vie locale, etc.). Cette année, 52 villes ont été labellisées 4 ou 5 arobases, soit 12 de plus qu'en 2010. 24 villes ont reçu 5 @, et 28 ont décroché 4@. En tout, 303 communes ont été couronnées "Ville Internet 2011".

Toutes les régions sont représentées, notamment l'Ile-de-France, Rhône-Alpes et Nord-Pas-de-Calais, qui regroupent à elles seules la moitié des villes récompensées. A noter, 64 villages de moins de 3.000 habitants font partie des lauréats cette année.

La ville de Saint-Médard-en-Jalles, organisatrice de l'édition 2011, a ainsi été récompensée de 5 @ pour son action en faveur des logiciels libres. La ville a par exemple fait l'acquisition de 60 ordinateurs fonctionnant sous Linux Ubuntu et participe au projet pilote européen Isac 6+, visant à développer un nouveau moteur de recherche intelligent.

 

(...)

(17/01/2011 11:35:22)

Malgré Hadopi, les téléchargements continuent de plus belle

Alors que la Haute Autorité pour la diffusion des oeuvres et la protection des droits sur Internet entame la deuxième phase de la riposte graduée (l'envoi des avertissements aux internautes récidivistes), ce sondage indique que la part des internautes ayant cessé de téléchargé depuis l'entrée en vigueur de la nouvelle loi demeure très faible. Ainsi, 4% des internautes interrogés déclarent avoir complètement arrêté de télécharger, car ils pensent être devenus plus facilement repérables.

A l'inverse, 15% des sondés reconnaissent continuer à télécharger malgré la mise en place d'Hadopi. En détail, 9% continuent de le faire en faisant plus attention qu'avant aux contenus et aux moyens de téléchargement, et 6% n'ont rien changé à leur pratique. Concrètement, sur les personnes qui téléchargeaient illégalement avant Hadopi, 75% n'ont pas cessé de le faire aujourd'hui.

Des internautes très méfiants vis à vis des sondeurs

Enfin, 80% des internautes déclarent n'avoir jamais, ou presque jamais, téléchargé de contenus, et que leurs habitudes n'ont pas changé (newsgroup, VPN, téléchargement direct...). Pour rappel, l'Hadopi a envoyé entre octobre et décembre 70 000 emails d'avertissement aux internautes soupçonnés de téléchargement illégal sur les réseaux peer-to-peer, les seules surveillées par les factotums de Hadopi. La Haute autorité entend passer à la vitesse supérieure et espère envoyer quelque 10 000 mails d'avertissement envoyés par jour.

(...)

(17/01/2011 10:25:17)

Forrester optimiste sur le marketing interactif 2.0 en 2011

Le cabinet Forrester vient de publier deux nouvelles études intitulées « 2011 Interactive Marketing Predictions » et « 2011 : Now Social Media Marketing Gets Tough » consacrées à l'évolution attendue du marketing dans l'année qui s'ouvre. Selon ces études, le marketing interactif devrait continuer de se développer, notamment en s'appuyant sur les réseaux sociaux. Pourtant, les difficultés ne manquent pas dans ce développement.

Selon Forrester, les acteurs de ce marché vont dépenser plus en ligne en 2011 dans des outils interactifs avec leurs clients et prospects. 43% d'entre eux l'anticipe selon une enquête menée par le cabinet d'études. Cette croissance des budgets répond à un besoin d'outils plus pointus : la qualification des clients et prospects deviendra un point fort des actions qui ne seront plus menées uniquement en fonction des canaux de contact. Cela implique donc une maîtrise plus forte de l'identification des contacts et des liens avec le SI pour remonter les informations pertinentes sur les contacts antérieurs. Les entreprises vont également chercher à étendre leur prospection en ligne à de nouvelles cibles.

Des prospects difficile à dompter

Si 59% des adultes américains sont présents sur au moins un réseau social, ce chiffre atteignant 80% au sein de la « génération Y », ils sont ciblés par un nombre d'actions de plus en plus important. Il en résulte un encombrement des canaux de communication et attirer l'attention des prospects et clients devient complexe.

En plus de cette sur-sollicitation, le ciblage serré des prospects et clients se heurte à une difficulté nouvelle : la prise de conscience des atteintes à leur vie privée par les cibles du marketing interactif. Il en résulte une difficulté plus grande à utiliser des informations personnelles et donc à tirer réellement parti des outils de type « 2.0 ». Conséquence ce type d'action est faible : moins de 20% des internautes ont accepté de « devenir ami » d'une marque sur un réseau social. Selon Forrester, la situation du marketing interactif est donc bien difficile. Mais le cabinet estime que ce n'est certainement pas le moment de désinvestir, bien au contraire. Simplement, il faut investir mieux, en étant plus créatifs, et surtout en étant digne de la confiance des prospects et clients, sans chercher à les sur-solliciter ou les abuser.

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(17/01/2011 10:14:43)

Wikipedia souffle ses dix bougies

Fondé en janvier 2001, Wikipédia est en partie l'oeuvre de Jimmy Wales, un homme d'affaires américain qui avait pour projet de mettre au point un logiciel permettant de réaliser une encyclopédie libre et accessible en plusieurs langues. Après un premier essai avorté (« Nupedia »), Jimmy Wales lance une seconde tentative, qui sera la bonne, en se basant sur le principe du volontariat et de la collaboration. Les internautes, quelle que soit leur langue, peuvent contribuer à Wikipédia en y apportant des articles ou en réalisant des modifications ou des mises à jour sur les autres textes mis en ligne.

La recette connaît un succès indéniable. En dix ans, Wikipédia a publié pas moins de 17 millions d'articles dans près de 270 langues, de l'anglais au français en passant par l'arabe, l'espagnol, l'occitan, le swahili ou le groenlandais, et dans tous les domaines; histoire, arts, culture, sciences, évènements, géographie, religions, biographies, etc. Selon les données du cabinet ComScore, Wikipédia reçoit chaque mois 410 millions de visiteurs (novembre 2010), et pointe au cinquième rang mondial des sites les plus consultés. L'encyclopédie se réjouit aussi d'être le seul site du top 10 à caractère collaboratif et non lucratif.

Quelques cadavres dans le placard


Dépourvu de publicité, Wikipédia assure son financement par l'argent versé par les donateurs (mécènes, lecteurs, etc.). Pour assurer le développement du site et rémunérer sa trentaine de salariés, la société a levé fin 2010 une campagne de dons qui lui a permis de récolter 16 millions de dollars, soit plus du double qu'en 2009. Si la réactivité de Wikipédia constitue l'un de ses points forts (l'annonce du décès d'une célébrité y est parfois publiée avant certains médias en ligne), la pertinence de ses articles est souvent sujette à controverses, notamment à cause de son système de rédaction ouvert au public. En décembre 2007, une enquête menée par le magazine allemand Stern sur 50 articles pris au hasard avait toutefois révélé que les textes, dans 43 cas, étaient plus précis et plus actualisés que ceux de l'encyclopédie en ligne et payante Brockhaus. En France, le succès du site a eu raison d'une institution littéraire, le Quid, qui a cessé sa parution papier.

Afin de commémorer son dixième anniversaire, Wikipédia lance une série d'événements à travers le monde (150 à ce jour).

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(14/01/2011 14:46:26)

Les chiffres Internet clés de l'année 2010

Pour sa compilation 2010, Pingdom a recueilli les données annuelles provenant de différentes sources, comme des cabinets d'étude (ComScore, Pew Research Center), Verisign, la société qui gère les noms de domaine .com et .net, des sites spécialisés dans la mesure d'audience Web (StatCounter), ou encore des portails et des réseaux sociaux (Facebook, YouTube, Flickr, Twitter, etc.). En 2010, pas moins de 107 billions d'emails (107 millions de millions) ont été envoyés dans le monde, à un rythme de 294 milliards par jour. Reste que 89,1% de ces messages sont en réalité des spam, expédiés de manière automatique par des serveurs. Au total, la toile comptait l'an dernier 2,9 milliards de comptes email (dont un quart professionnels), pour 1,88 milliard d'utilisateurs actifs (480 millions de plus qu'en 2009). Internet comptait également 255 millions de sites web en fin d'année (dont 88,8 millions en .com). 21,4 millions de nouveaux sites sont apparus sur la toile en 2010.

Du côté du web social, les chiffres les plus importants sont pour Facebook, avec 600 millions d'utilisateurs fin 2010 dont 250 millions de nouveaux membres arrivés en 2010, 3 milliards de photos téléchargées par mois, et 2 milliards de vidéos visionnées tous les mois. Le nombre de "tweets" publiés sur Twitter s'élève à 25 milliards, alors que le nombre de membres de ce site a atteint les 175 millions (+100 millions en un an). 7,7 millions d'entre eux sont des "followers" du compte de Lady Gaga, qui est la personne la plus suivie sur Twitter.

5 milliards de photos sur Flickr

Parmi les autres chiffres intéressants relayés par Pingdom figurent le nombre de blogs sur Internet, qui s'élève à 152 millions, celui du nombre de vidéos vues sur YouTube (2 milliards par jour), ou la quantité de vidéos publiée sur le même site (35 heures de vidéos par minute), et le nombre de photos hébergés par le site de partages d'images Flickr (5 milliards).

Enfin, la toile comptait, à mi-2010, 1,97 milliard d'utilisateurs (+14% en un an). L'Asie concentre la plus forte population d'internautes (825,1 millions), devant l'Europe (475,1 millions), l'Amérique du Nord (266,2 millions), les Amériques centrales et du Sud (204,7 millions), l'Afrique (110,9 millions, soit seulement 1 habitant sur 10), le Moyen-Orient (63,2 millions), et l'Océanie (21,3 millions).

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(13/01/2011 12:18:02)

Selon une étude européenne, les jeunes internautes français plus prudents sur le web

Réalisée par la London School of Economics auprès de plus de 25 000 jeunes de 9 à 16 ans, cette étude révèle que les deux problèmes les plus courants rencontrés par les jeunes internautes sont l'accès à des contenus malsains en ligne et l'usage excessif d'Internet. Ils sont par exemple 21% chez les 11-16 ans à avoir été confrontés à des contenus malsains, comme des messages de haine contre certains groupes (12%), des messages pro-anorexiques (10% en moyenne mais 19% chez les filles de 14-16 ans), des appels à l'automutilation (7%), à la prise de drogues (5%) ou au suicide (5%).

Cependant, ces chiffres s'avèrent moins élevés en France. L'Hexagone serait même le pays de l'UE le moins touché par ce genre de problèmes. Ainsi, 14% des jeunes Français interrogés ont déjà été exposés à ce type de contenus en ligne. C'est 7 points de moins que la moyenne européenne (21%), et deux fois moins qu'en Norvège ou en République tchèque (23%). "L'enquête montre aussi que ce que les adultes identifient comme un problème ne l'est pas forcément pour leurs enfants. Par exemple, 14% des enfants ont vu des images sexuelles sur Internet, mais ils sont seulement un tiers à estimer que cela a été une expérience pénible" indique le rapport de l'étude. A l'inverse, les messages agressifs ou blessants sur Internet peuvent générer plus de souffrance chez les jeunes. 6% des 9-16 ans ont déjà reçu ce type de messages, mais les deux tiers de ceux qui en ont reçu ont été "assez" ou "très" tracassés.

Attention aux drogués du web

Par ailleurs, 23% des jeunes Européens évoquent un problème lié à l'usage excessif d'Internet, comme le fait de négliger ses amis, manquer de sommeil, ou rencontrer des difficultés à l'école. Ce dernier chiffre est à mettre en perspective avec la multiplication des accès à Internet dans l'environnement des enfants. 87% peuvent ainsi se connecter à la maison, 63% à l'école, 53% chez des amis, et 42% chez d'autres membres de leur famille. Ils sont même 49% à se connecter dans leur chambre. Le surf dans la chambre à coucher concerne 74% des jeunes Danois, alors que les petits Français sont en-dessous de la moyenne européenne (41%).
Ils sont également 93% à se connecter à Internet au moins une fois par semaine, et 60% le font tous les jours ou presque. En moyenne, ils y passent 1 heure et demi par jour, et la moitié déclarent "se sentir plus eux mêmes" sur le Web que dans leurs relations en face à face.

Les filles plus prudentes sur Facebook

Quant au phénomène des réseaux sociaux, il touche une majorité des jeunes : 59% des 9-16 ans (et 81% des 15-16 ans) ont au moins un profil sur un site de réseau social, qui demeure public dans 26% des cas, les filles étant plus nombreuses à imposer un accès privé à leur page. A noter, si ces utilisateurs communiquent essentiellement avec des personnes qu'ils connaissent déjà, un quart d'entre eux sont toutefois en contact avec des inconnus, lors de chats ou de jeux en ligne.

L'enquête EU Kids Online a été financée par la Commission européenne et réalisée par la London School of Economics entre mai et août 2010 dans 25 pays européens auprès de 25.140 enfants âgés de 9 à 16 ans, utilisateurs d'Internet, et un de leurs parents.

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