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(13/01/2011 10:03:24)

Un site pour lutter contre le phishing en France

L'éditeur de logiciels Microsoft, le site de paiement en ligne Paypal, et la société informatique française Cert-Lexsi ont lancé en France, une plateforme Internet permettant de lutter contre les sites frauduleux. Les internautes pourront ainsi signaler en quelques clics les sites francophones de phishing.

Baptisée « Phishing Initiative », cette opération consiste à inciter les internautes à signaler un site francophone suspecté d'« hameçonnage », une escroquerie visant à soutirer des informations personnelles (coordonnées bancaires, numéro de téléphone, etc.). Les sites signalés comme suspects pourront, après vérification, être bloqués des navigateurs web. Sur Internet Explorer, Microsoft assure que le blocage s'effectuera « en moins d'une heure », au lieu de 48 heures précédemment.

Les internautes détectant un site suspect peuvent dès à présent soumettre son adresse au site http://phishing-initiative.com.

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(12/01/2011 15:29:11)

MySpace se sépare de la moitié de ses salariés aux Etats-Unis

Le coup est dur pour les salariés de MySpace. Le réseau social, propriété du groupe News Corp, a en effet décidé de licencier 500 employés,  ce qui représente 47% de ses effectifs.  Cette décision est la conséquence d'une stratégie engagée par le site communautaire autrefois leader et désormais mis à mal par ses concurrents. L'entreprise a également indiqué qu'elle allait rompre ses partenariats commerciaux avec le Royaume-Uni, l'Allemagne et l'Australie pour la gestion de ses ventes de publicité et de contenu. Mike Jones, PDG de MySpace a toutefois tenté d'apporter une note positive à ces nouvelles en déclarant que la participation des utilisateurs s'était renforcée depuis que le site était devenu un outil de divertissement pour les jeunes. " Ces changements sont certes difficiles, mais ils sont nécessaires pour que l'entreprise puisse renouer avec la croissance et profiter d'une rentabilité soutenue, a t-il justifié dans un communiqué. Ils ont été dictés par les enjeux purement liés à nos activités traditionnelles, et ne reflètent en rien la performance du site."

Musique, TV et films sur iTunes, Netflix, Amazon et Hulu

Le dirigeant prévoit également que MySpace deviendra une entreprise plus agile et flexible, ce qui devrait accélérer le développement de produits et favoriser une culture axée sur l'entrepreneuriat et l' innovation. Le site communautaire n'en est pas à ses premières suppressions de postes. En 2009,  d'importantes coupes avaient été effectuées en raison d'un avenir incertain. Alors que Facebook dominait déjà le monde des réseaux sociaux, les dirigeants de MySpace avaient du batailler ferme pour que leur service continue d'être pertinent. Reste à savoir si la réorientation vers des contenus de divertissement à destination de la génération numérique sera couronnée de succès, en lui insufflant un second souffle. Ses membres ont déjà accès à divers contenus de divertissement, musique, émissions de télévision ou films, sur des sites comme iTunes, Netflix, Amazon et Hulu. Les dirigeants de MySpace avaient l'intention de réorienter le réseau depuis un certain temps. C'était le souhait du prédécesseur de Mike Jones, Owen Van Natta, un ancien dirigeant de Facebook, qui avait démissionné de la direction de l'entreprise en février 2010, après moins d'un an passé à ce poste. MySpace fait partie du groupe News Corp qui l'avait acquis à la mi-2005 pour quelque 580 millions de dollars A ce moment là, le réseau disposait d'un grand potentiel pour devenir une mine d'or en terme de recettes publicitaires.

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(12/01/2011 10:58:21)

Internet mobile, un usage majoritairement personnel

L'équipementier Cienna s'est intéressé aux connexions à l'Internet mobile en France, Allemagne et Royaume-Uni. Le cabinet YouGov a réalisé une étude sur le sujet pour son compte dont il ressort que les usages professionnels ne sont pas prioritaires pour les usagers actuels.

L'utilisation majeure de l'accès Internet mobile est le surf sur le web (45% en France, 55% en Allemagne et 47% au Royaume-Uni), notamment pour conserver le contact avec ses amis via des outils comme les réseaux sociaux. Pourtant rien n'interdit un usage professionnel : 75% de la population française utilise une connexion Internet mobile dont 88% sont satisfaits ; les chiffres étant respectivement 73% et 81% en Allemagne contre 65% et 85% au Royaume-Uni. La France est doc clairement au sommet pour l'accès Internet mobile. Même s'ils sont satisfaits de la qualité de leur liaison, 22% des Français envisagent de changer d'opérateur.

48% des adultes se connectant via un accès mobile utilisent celui-ci comme accès principal en France contre 53% en Allemagne mais seulement 23% au Royaume-Uni. Malgré ces bons chiffres, le marché n'est pas saturé. 17% des Français pas encore équipés, 12% des Allemands et seulement 4% au Royaume-Uni envisagent de se doter d'un tel accès. Mais, à l'inverse, 43% des Français non-équipés, 54% des Allemands et 72% des Britanniques n'en voient pas l'utilité.

Crédit photo : D.R.
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(11/01/2011 13:46:19)

Le Parlement européen réfléchit au blocage des sites Internet pédophiles

Cette restriction, qui sera mise aux voix devant l'ensemble du Parlement au début du mois de février, suscite quelques préoccupations de la part de groupes défendant la liberté du droit numérique.

Préparé par la parlementaire italienne Roberta Angelilli, ce rapport propose que le blocage soit laissé à l'appréciation des autorités nationales, entérinant en quelque sorte le statu quo actuel. Mais les défenseurs des droits numériques s'inquiètent du fait que certains parlementaires pourraient proposer un blocage obligatoire, une position qui aurait la faveur de la Commission européenne et du Conseil. Le texte adopté par le Conseil européen déclare que « les États membres devraient prendre les mesures appropriées pour supprimer des pages web contenant ou diffusant de la pornographie impliquant des enfants, » y compris des « mesures non législatives. » Il ajoute que « le blocage de l'accès devra être subordonné à des garanties adéquates, en particulier pour assurer que le blocage soit limité à ce qui est nécessaire, que les utilisateurs soient informés des raisons de ce blocage et que les fournisseurs de contenu, autant que possible, soient informés de la possibilité de le contester. »

Un transfert de responsabilité sur les FAI


L'European Digital Rights (EDRi) s'est élevé contre cette approche, faisant valoir qu'un tel blocage alerterait les criminels présumés que leurs activités ont été repérées. « Il est incroyable que, pour bloquer un site accusé d'avoir mis en ligne des images en violation flagrante avec le droit des enfants, la proposition suggère d'avertir poliment le délinquant présumé en lui offrant en plus la possibilité de se plaindre,» a déclaré Joe McNamee de l'EDRi. « Il semble que la priorité n'est pas d'identifier les enfants, n'est pas d'enquêter sur les criminels, mais plutôt d'éviter au public d'y accéder par inadvertance. D'autant que, il n'a jamais été prouvé que la solution du blocage aurait l'impact souhaité. Cette mesure est purement cosmétique et ne traite pas du vrai problème. Elle permet aux autorités de prétendre qu'elles font quelque chose pour y remédier, alors qu'en réalité elles ne font que reporter la responsabilité sur les fournisseurs d'accès Internet. »

Selon l'EDRi, la propre évaluation faite en 2007 par la Commission européenne quant aux mesures à prendre contre le terrorisme, s'opposait au recours au blocage, au motif que les sites internet se déplaçaient beaucoup. Un service de hotline mit en place au Canada pour la protection du droit des enfants a pu observer qu'un site pédophile avait changé d'adresse 121 fois en 48 heures. En plus de son impact contreproductif sur la protection des enfants, les adversaires du blocage du web estiment que cette solution est dangereuse. « Les pays qui ont recours au filtrage du web pour cibler les sites pédopornographiques aujourd'hui, protègeront demain les monopoles des jeux d'argent et bloqueront les sites politiquement indésirables après-demain, » a déclaré Joe McNamee. « Nous voyons déjà cela se produire en France » a-t-il ajouté, peut-être en référence à la demande de fermeture de l'hébergement de Wikileaks.

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(11/01/2011 11:07:43)

Salesforce.com rachète Dimdim pour communiquer en temps réel

Pour ajouter des fonctions de communication en temps réel à  son outil de collaboration Chatter, lancé en juin et très vite adopté par de nombreux clients, l'éditeur californien Salesforce.com vient de s'offrir la société Dimdim pour 31 millions de dollars. Créée en 2007 par DD Ganguly et Prakash Khot, la start-up a développé des applications de conférence web, de présentation, de notification de présence et de partage d'écran et de messagerie, le tout accessible en mode hébergé à partir d'un navigateur. Elle est installée aux Etats-Unis, dans le Massachussetts, ainsi qu'à Hyderabad, en Inde.

Le succès rencontré par Chatter, aujourd'hui déployé par 60 000 clients selon Salesforce.com, incite ce dernier à renforcer cette solution avec laquelle il affiche l'objectif d'importer dans les entreprises le modèle popularisé par Facebook. En décembre, sur sa conférence Dreamforce, le spécialiste de la gestion de la relation client dans le cloud a annoncé la possibilité d'accéder gratuitement à son logiciel de collaboration sur l'invitation d'un utilisateur payant. Une option qui ouvre Chatter aux utilisateurs qui ne sont pas clients de l'application de CRM Salesforce.

Des comptes Dimdim encore ouverts quelques semaines

A l'attention des utilisateurs de son service, Dimdim explique sur son site que les comptes mensuels seront ouverts jusqu'au 15 mars et les comptes annuels jusqu'à la fin de la date d'abonnement prévu. Les documents chargés sur la plateforme ne seront plus accessibles après l'expiration de cette date. Quant au code Open Source proposé par Dimdim, il sera toujours disponible sur SourceForge.net, mais la société ne contribuera plus au projet.

Lors de sa précédente opération de rachat, en décembre, la société de Marc Benioff avait choisi d'acquérir Heroku, plateforme PaaS destinée au développement d'applications en Ruby. Sur Dreamforce, Salesforce.com a également dévoilé Database.com qui doit fournir à ses clients une infrastructure de base de données.

Illustration : capture d'écran de Dimdim (crédit : SourceForge.net)

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