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(29/12/2010 09:44:29)

Facebook devance Yahoo sur le Web

Les données de ComScore pour le mois de novembre 2010 créditent Facebook de 648 millions de visiteurs uniques dans le monde, contre 630 millions pour Yahoo!, désormais relégué au quatrième rang du Web. Le mois précédent, les deux sites étaient au coude à coude avec 633 millions de visiteurs uniques.

Facebook est donc le troisième site le plus visité sur la Toile, derrière Google, avec 970 millions de visiteurs uniques en novembre, et Microsoft (869 millions). Cependant, les audiences de Google et Microsoft sont celles de groupes de sites ; Google Search, Google Maps, ou encore Gmail pour Google, et MSN et Hotmail pour Microsoft. Aux Etats-Unis, Yahoo demeure le troisième site le plus populaire (181 millions de visiteurs uniques), devant Facebook (152 millions).

Le réseau social a dépassé cette année la barre des 500 millions de membres. Fondé en février 2004 sur un campus universitaire américain, Facebook génère aujourd'hui 1,7 million d'interactions par minute, mais aussi 100 000 demandes d'amis approuvées, 135 000 chargements de photos et 500 000 commentaires.

(...)

(28/12/2010 11:15:16)

KA-SAT, un satellite pour couvrir les zones blanches

"Ce lancement est un événement important pour notre pays à plusieurs titres : il va tout d'abord permettre de généraliser l'accès à Internet haut débit dans des zones d'Europe et du bassin méditerranéen qui en sont aujourd'hui dépourvues, il constitue ensuite une évolution technologique importante, et il conforte enfin la place occupée par la France dans l'industrie du satellite", a déclaré Eric Besson, ministre de l'Industrie, de l'Energie et de l'Economie numérique.

En France, KA-SAT va permettre de desservir jusqu'à 300.000 foyers en Internet haut débit, avec des débits montants compris entre 6 et 10 Mbits/s. L'ouverture des services commerciaux pour ces communications satellitaires est prévue pour la fin mai 2011. "Ce nouveau satellite va améliorer la qualité de service disponible pour les 1,5% de foyers qui ne bénéficient pas du haut débit par ADSL", précise un communiqué.

Construit pas Astrium pour Eutelsat, KA-SAT est le premier satellite européen de la génération des grands satellites multifaisceaux. Il peut exploiter en orbite 82 faisceaux associés à 10 stations au sol. Le dispositif permettra de réutiliser 20 fois une même bande de fréquences sur des régions distinctes, avec une capacité totale de 70 Gigabits par seconde.

Crédit photo : Astrium (...)

(24/12/2010 11:09:25)

Quelles régulations pour le Net ?

(Source EuroTMT) Depuis quelques années, un débat monopolise toutes les attentions : celui de la « net neutralité ». Lancé aux Etats-Unis par les géants de l'Internet en raison de l'absence de concurrence sur la boucle locale, il a rebondi en Europe où politiques et associations de consommateurs s'inquiètent de la possibilité pour certains (comprendre les opérateurs télécoms) d'entraver l'accès à la Toile.

Si les tentations de censure d'Internet par certains gouvernements (comme le montre l'affaire Wikileaks) justifient ces craintes, ce débat sur la « net neutralité » cache, en fait, un tout autre objet : comment réguler les relations entre Internet, les télécommunications et l'audiovisuel (et plus généralement les industries culturelles) ? Car Internet est aussi (et d'abord ?) un gigantesque enjeu économique et financier. Faisant voler en éclats toutes les barrières, Internet constitue le champ de confrontations entre trois acteurs : les opérateurs de télécommunications, l'audiovisuel traditionnel et les fournisseurs de contenus en ligne. Or de lourdes réglementations encadrent l'action de deux premiers, alors que la troisième catégorie d'acteurs n'est soumise à aucune régulation.

Réguler Internet ou déréguler les médias et les télécoms

Industrie virtualisée et donc facilement délocalisable, Internet impose donc une remise en cause des réglementations des télécoms et de l'audiovisuel. « Il existe une solution simpliste : comme on ne peut pas réguler Internet, il suffirait alors de faire sauter la régulation audiovisuelle. Mais cette régulation se justifie au regard de plusieurs objectifs (financement de la création, protection de l'enfance...). Il faut donc trouver une régulation adaptée à Internet » constate Emmanuel Gabla, du CSA, tout en reconnaissant qu'un tel travail ne peut se faire qu'au niveau européen ou international. En fait, cette remise en cause des régulations sectorielles pose un problème majeur surtout pour l'audiovisuel. Car pour les télécoms, le nouveau Paquet voté fin 2009 permet aux autorités de régulation nationales d'avoir les moyens d'analyser les relations entre les opérateurs télécoms et les acteurs de l'Internet et d'agir le cas échéant.

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Et pas seulement contre les opérateurs télécoms, un peu trop rapidement jugés par l'opinion publique comme de possibles fauteurs de troubles. « Du point de vue de l'Arcep, la régulation d'Internet, c'est avant tout la régulation des réseaux. Si les services et contenus sont virtualisés, le trafic circulant sur les réseaux est bien réel et c'est sur lui que la régulation de l'Arcep à une prise » souligne Jean-Ludovic Silicani, le président de l'Arcep. Et il y a un endroit bien précis où la régulation télécoms peut s'appliquer : au niveau des interconnexions.

Un déséquilibre économique certain

Pour le coup, certains grands noms de l'Internet (comme Google) ont investi dans les réseaux pour disposer de leur propre infrastructure : Google dispose ainsi de quelques 200 points d'interconnexion avec des opérateurs télécoms, Facebook en a 27. Or jusqu'à présent dans l'Internet, ces interconnexions étaient soumises à la règle du « peering » (connexion et échange de trafic point à point) gratuit. Mais le déséquilibre du trafic échangé entre Google et chaque opérateur télécoms est devenu tel que les autorités de régulation peuvent vérifier si le géant de l'Internet n'abuse pas de sa force pour contraindre les opérateurs à maintenir des accords de gratuité là où il devrait payer pour faire passer son trafic. La situation est en revanche beaucoup plus complexe pour l'audiovisuel. « En 1986, lors de l'ouverture de l'audiovisuel à la concurrence, un deal a été conclu entre les acteurs privés et le gouvernement : en échange de la gratuité des fréquences radio, les entreprises avaient un certain nombre d'obligations en matière de contenus et de financement du cinéma », rappelle un spécialiste.

Google/YouTube et Facebook ne financent pas la production de contenus

« Or ce deal est en train de voler en éclats puisqu'une part croissante des programmes audiovisuels passe maintenant par les réseaux télécoms, alors que les acteurs traditionnels sont en concurrence avec des acteurs de l'Internet sur lesquels ne s'appliquent pas ces contraintes » précise ce même spécialiste. D'où une double interrogation : que faire, à terme, de cette partie du spectre radio d'émission utilisée gratuitement par l'audiovisuel traditionnel alors que les besoins de la téléphonie mobile (qui paie - elle - ses fréquences) sont croissants, et comment appliquer à Internet les contraintes de l'audiovisuel ? Si tous les acteurs sont conscients du problème, personne n'a la réponse.

Et certains dans l'audiovisuel se réfugient trop facilement derrière quelques certitudes (la consommation de la télévision traditionnelle demeure élevée) pour évacuer la question. « Faisons attention aux équilibres économiques en place qui sont fragiles : les mêmes règles doivent s'appliquer à tout le monde » répond ainsi un dirigeant de l'audiovisuel, refusant de voir que le monde a changé. Avec l'arrivée massive des téléviseurs connectés dans les foyers occidentaux, l'explosion des cadres réglementaires est en train de se produire. Et faute d'une réponse rapide des pouvoirs publics européens, c'est bien Internet qui imposera sa loi.

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(24/12/2010 10:47:19)

Des chercheurs révèlent une attaque zero-day sur IE

« Microsoft enquête sur une nouvelle menace rendue publique d'une éventuelle vulnérabilité dans Internet Explorer,» a déclaré Dave Forstrom, directeur du groupe Trustworthy Computing Group de l'éditeur dans un communiqué. « Actuellement, aucun élément ne nous permet de penser que des attaques en cours tentent d'utiliser cette vulnérabilité ni qu'elle peut avoir une conséquence sur les produits Microsoft utilisés par nos clients. »

La faille, mise à jour pour la première fois début décembre par l'entreprise de sécurité informatique française Vupen, a été découverte dans le moteur HTML de IE. Elle pourrait être exploitée pendant l'exécution, par le navigateur, d'un fichier CSS (Cascading Style Sheets) comprenant des commandes « @import.» Celles-ci permettent aux concepteurs de sites web d'importer des feuilles de style externes dans un document HTML existant. Le 9 décembre, Vupen avait émis un avis, confirmant la vulnérabilité dans IE8 sous Windows XP, Vista et 7, et dans IE version 6 et 7 sous XP. Les pirates pourraient activer le bug depuis une page web falsifiée, puis détourner le PC pour y déposer des logiciels malveillants ou y voler des informations confidentielles. Vupen, qui a mis au point et exécuté son exploit, a utilisé le code d'attaque uniquement pour réaliser des tests de pénétration auprès de ses propres clients. Mais mardi d'autres chercheurs ont rendu le bug IE public. Abysssec Security Research a ainsi publié une courte vidéo de démonstration détaillant l'attaque, et le chercheur en sécurité Joshua Drake a ajouté un exploit fonctionnel au kit de tests de pénétration du projet Metasploit. Il crédite aussi un blog de sécurité chinois pour avoir révélé la vulnérabilité le mois dernier.

Contourner les barrières existantes


Contrairement à d'autres bugs récents affectant Internet Explorer, celui-ci peut être exploité sur la dernière version 8 du navigateur tournant sur l'OS le plus récent de Microsoft, Windows 7. Surtout il parvient à détourner les dernières barrières de défenses anti-exploit DEP (Data Execution Prevention) et ASLR (randomisation des zones d'adressage). Selon HD Moore, chef de la sécurité chez Rapid7 et créateur de Metasploit, le code de Joshua Drake fonctionne de manière fiable avec IE8 sous Windows 7, mais est légèrement moins fiable sur le navigateur sous Windows XP.« La façon dont le programme contourne DEP et ASLR est remarquable » a ajouté HD Moore. En effet, celui-ci s'appuie sur une faille dans Windows qui permet aux pirates de forcer le système d'exploitation à charger des bibliothèques de liens dynamiques (DLL) en .Net obsolètes qui n'ont pas d'ASLR. « C'est le .Net qui est utilisé par le programme pour contourner l'ASLR et le DEP, » a précisé HD Moore. « C'est une technique solide qui s'appliquera à des exploits à venir, sauf si Microsoft bloque le chargement des  anciennes bibliothèques .Net. »

La stratégie d'attaque .Net a été présentée en août dernier par deux chercheurs de McAfee, Xiao Chen et Jun Xie, lors de la conférence sur la sécurité XCON qui s'est tenue Beijing. HD Moore crédite Xiao Chen pour la découverte de la technique .Net. Même si Microsoft a beaucoup travaillé les défenses ASLR et DEP, l'éditeur a reconnu que les chercheurs avaient trouvé des moyens de les contourner en exploitant des faiblesses de l'ASLR. Dave Forstrom de Microsoft n'a pas donné de date de sortie pour le patch qui corrigera cette vulnérabilité. Il indique simplement que Microsoft prendra « les mesures appropriées » une fois qu'elle aura bouclé son enquête. Le prochain Patch Tuesday régulier est prévu pour le 11 janvier 2011. Mais étant donné que la firme de Redmond sort traditionnellement une mise à jour de son navigateur tous les deux mois, et que la dernière mise à jour est intervenue la semaine dernière, il n'est pas impossible qu'il faudra patienter jusqu'au mois de février pour disposer du patch corrigeant cette faille.

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(23/12/2010 12:50:20)

La TV connectée à la croisée de la valeur

(Source EuroTMT) Le concept est à peine né, les premiers téléviseurs sont à peine vendus que déjà la TV connectée voit s'engager une lutte féroce entre différents protagonistes dont aucun n'a l'assurance de sortir vainqueur. Chaînes de télévision, FAI, géants de l'Internet, fabricants de téléviseurs... Tous ces acteurs se ruent aujourd'hui pour tenter de s'imposer sur ce nouveau marché que l'IDATE estime à 41,3 milliards d'euros d'ici 2015 pour les cinq plus grands pays européens. Selon une autre étude réalisée par GroupM, 7,6 millions de foyers français pourraient être équipés de téléviseurs connectables à Internet en 2012 et 42,2 % des téléviseurs seront connectés dans le monde d'ici 2014. On comprend que cela attise les convoitises. « A l'instar de l'irruption d'Apple dans le cellulaire, il y a une réelle interpénétration des territoires » relève un familier de ces questions, tout en observant que « la plupart des constructeurs de téléviseurs (Samsung, Sony, LG, Panasonic) sont également présents dans le cellulaire ».

Un bouleversement de la chaine de valeur

« On assiste à un bouleversement complet de la chaîne de valeur » constate Christophe Aulnette, directeur général de Netgem, tout en soulignant la situation assez unique de l'Hexagone avec 25 % des abonnés à l'IP TV dans le monde (soit près de dix millions de foyers français recevant la télévision par le biais de l'ADSL).  « Il y a très clairement deux catégories d'approches, celle des FAI avec des services administrés et celle des fournisseurs de contenus qui s'affranchissent des contraintes, notamment en matière de droits de diffusion, imposées aux FAI et pour qui la connexion Internet est devenue une simple commodité » décrypte un observateur.

Pour les uns (les fabricants de TV), il s'agit de trouver de nouveaux relais de croissance alors que se multiplient les écrans sur lesquels il est possible de voir du contenu audiovisuel. Les broadcasters essayent pour leur part de défendre leur territoire qui jusqu'à présent s'est révélé assez profitable. Les FAI tentent de développer un marché qui leur permet de consolider leur chiffre d'affaires (Free a vendu 4,9 millions de VoD et d'abonnements S-VoD au premier semestre 2010). Quant aux majors de l'Internet (Google, Yahoo et même Apple), tels des mercenaires de la technologie, ils s'immiscent partout où ils peuvent espérer gagner de l'argent.

Guerre de mouvement ou guerre de position ?

Le résultat est pour le moment un joyeux bazar où se nouent des alliances d'intérêt (par exemple entre Google TV et Sony) dont on se demande si le premier objectif n'est pas de neutraliser l'adversaire plutôt que de gagner des parts de marché. « Le paysage n'est pas du tout fixé. Les acteurs, qui génèrent le plus de crainte comme Apple ou Google, n'ont pas encore convaincu. Et les chaînes de télévision qui sont les premières menacées n'ont pas tardé à réagir » explique Sophie Girieud, consultante à l'Idate et auteur d'une étude exhaustive sur la TV Connectée. Car la question qui sous-tend l'avenir de la TV connecté, c'est de savoir quel est le modèle économique ? « Pour les acteurs du Web, il est clair que le modèle repose sur la publicité avec la possibilité d'aller sur un marché plus large que celui sur lequel ils interviennent actuellement.

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Et aussi le fait d'intervenir différemment des chaînes de télévision en remplaçant le prime-time par la publicité ciblée, comme ils le font sur le Web. De leurs côtés, les constructeurs se lancent dans les offres de services de façon parfois très agressives comme Sony et son Qriocity » précise Sophie Girieud. Mais, contrairement à d'autres experts qui pensent que cette intrusion des fabricants pourraient affaiblir les FAI (« A long terme, TV connectées et boîtiers hybrides constituent une menace potentielle sur la valorisation des offres triple play à 30 euros dont 50 % de la valeur est attribuée aux services de télévision » explique le cabinet d'étude NPA Conseil »), l'analyste de l'IDATE estime que les FAI ont une véritable carte à jouer  : « les fournisseurs d'accès ont un circuit fermé, un parc d'abonnés captif et surtout une facturation simplifiée et sécurisée puisque tous les services sont payés directement via la facture mensuelle.

La facturation centralisée par le FAI est sa principale force

Ils sont vraiment bien positionnés d'autant plus avec les nouvelles box qui ont pour objectif d'apporter de nouveaux services à la Télévision ». Mais les services proposés (beaucoup de protagonistes rêvent notamment de renouveler la réussite de l'AppStore) ne suffiront pas à eux-seuls à faire le succès de la TV connectée. La simplicité d'utilisation et l'interface seront également déterminantes : « D'abord, il faut un outil approprié sous forme de pointeur ou de clavier car les télécommandes actuelles ne sont pas du tout adaptées à ces nouveaux services. Mais l'enjeu va surtout être de ne pas perdre la simplicité de la TV. Il faut donc faire attention avec les univers enrichis et la standardisation est donc primordiale. Or dans ce domaine, les grandes chaînes de télévision ont déjà de bonnes habitudes » conclut Sophie Girieud.

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(23/12/2010 12:30:23)

Alcatel-Lucent poursuit plusieurs sociétés dont Apple sur des codecs vidéo

La plainte a été déposée lundi devant la cour de justice américaine de Californie (District Sud). Dans le cas d'Apple, MPT veut obtenir des royalties sur « tous les produits vendus par Apple offrant des fonctionnalités vidéo, » lesquels, selon MPT, utilisent ces brevets. Cela concerne aussi bien les MacBook, les iPhone et son logiciel de montage vidéo Final Cut, comme l'énonce la plainte. Les quatre brevets cités font appel à des codecs vidéo utilisés pour compresser les données transformées en signal vidéo numérique.

Le groupe réclame aussi des redevances pour les appareils photo et les caméscopes vendus par Canon, les caméscopes vidéo numériques vendus parTiVo, et les smartphones vendus par LG. Les procédures judiciaires concernant les smartphones sont devenues monnaie courante. Ainsi, la semaine dernière, Nokia a élargi son action en justice contre Apple, laquelle a contre-attaqué en accusant à son tour le fabricant finlandais de violer plusieurs brevets utilisés dans ses téléphones mobiles. L'entreprise de Steve Jobs est également impliquée dans une autre bataille de brevets avec HTC et Motorola.

Créé en 2006 lors de la fusion entre Alcatel et Lucent Technologies, le Multimedia Patent Trust a hérité certains brevets du portefeuille de Lucent. Depuis, MPT possède et contrôle ces actifs, mais les bénéfices qui en résultent reviennent à Alcatel-Lucent. Dans le passé, le MPT avait déjà été impliqué dans des actions en justice l'opposant à Microsoft, notamment.

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