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Linux
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(03/12/2008 14:58:41)
Les principales distributions Linux en ordre de marche pour IPv6
La Linux Foundation vient d'annoncer fièrement que les principales déclinaisons de Linux sont désormais officiellement compatibles avec la norme IPv6, dès l'installation. Alors que le protocole IPv4 d'attribution des adresses IP arrive à saturation dans certaines régions, son successeur IPv6 peine à s'imposer. Face à cette situation, le département de la Défense (DoD) américain avait émis une recommandation pour que ses principaux fournisseurs informatiques soit certifiés compatibles avec IPv6, sous peine d'être exclus de ses prochains appels d'offres. En réaction à cette décision, la Linux Foundation a lancé un groupe de travail dédié à IPv6 sous la direction de Venkata Jagana, architecte en chef réseau au Linux Technology Center d'IBM. Même si certains éléments de Linux étaient déjà dans les faits compatibles avec IPv6, ils n'étaient pas aux normes du département de la Défense. La Linux Foundation a donc remis à niveau des outils comme IPSec for IPv6, le support MIB, ICMPv6 et DHCPv6. « Le mandat IPv6 et ses obligations sont des travaux si lourds qu'il est difficile pour une seule société de les traiter seule dans son coin, explique Jim Zemlin, directeur exécutif de la Linux Foundation. C'est exactement le type de travail et de collaboration que la Linux Foundation peut faire avancer. » Dans les faits, peu d'éditeurs ont déjà annoncé une compatibilité totale avec IPv6. Du côté de Linux, Red Hat Entreprise Linux 5 et Suse Linux Entreprise 10 de Novell ont déjà été reconnus compatibles par le DoD. Et en dehors de Linux, Windows Vista de Microsoft et Solaris 10 de Sun ont également été approuvés. (...)
(03/12/2008 12:08:39)Eric Besson épaule le Libre à l'Open World Forum
Avec un discours d'Eric Besson certainement agréable aux oreilles des acteurs du Libre. C'est ainsi que s'est ouverte la séance plénière du Forum mondial du Libre, hier à Paris. Dans une allocution bienveillante à l'égard du logiciel libre, qu'il a qualifié de mâture, le secrétaire d'Etat chargé de l'Economie numérique a souligné « l'importance et l'universalité de l'Open Source, au-delà de certains débats parfois stériles et partisans » et s'est enthousiasmé en évoquant le logiciel libre comme « une opportunité et un enjeu formidables » pour l'administration. Eric Besson a profité de l'occasion pour rappeler qu'il a concocté le Plan France Numérique 2012, remis à Nicolas Sarkozy en octobre. Un document qui prévoit plusieurs mesures pour « encourager la création d'entreprises dans l'édition de logiciels ansi que leur développement à l'international, quel que soit le modèle retenu par les acteurs, libre ou propriétaire. » Le plan du secrétaire d'Etat fait, en réalité, peu allusion au logiciel libre et privilégie une approche du secteur de l'édition plus générale. L'April ne s'est d'ailleurs pas privé, à la lecture du texte, d'accuser Eric Besson d'avoir « effacé le logiciel libre de l'économie numérique ». Vente liée, RGI et feuille de route du Libre Mais cela se passait il y a plus d'un mois et, ce 2 décembre, Eric Besson a dans sa besace quelques annonces concrètes. En premier lieu, la mise en place d'un groupe de travail sur la vente liée, une pratique consistant à imposer l'achat de logiciels lors de l'acquisition d'une machine neuve. Ce dossier fait l'objet de tractations sans fin entre la DGCCRF (Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes), les industriels et les associations de consommateurs. Mais point de réjouissance hâtive : la date de création du groupe de travail n'est pas fixée - on sait seulement qu'elle doit intervenir avant la fin 2009 - et la vente découplée n'est évoquée que sous l'angle de l'expérimentation. Autre annonce, qui n'est finalement qu'une redite de ce que contenait le Plan Numérique 2012, la publication du Référentiel général d'interopérabilité (RGI). Présenté comme un moyen « d'assurer l'interopérabilité entre administrations et de favoriser le développement de l'écosystème logiciel, et précisément celui du logiciel libre », le RGI sera publiée avant la fin de l'année. Cette publication aurait pu déjà avoir lieu mais, comme nous l'indiquions au mois de mai, Microsoft serait intervenu auprès du gouvernement pour la retarder. Enfin, Eric Besson s'est associé aux travaux préparatoires de la feuille de route devant mener le Libre jusqu'en 2020. Ce document - Floss* Roadmap 2020 - constituera la « référence pour identifier les secteurs clefs de l'industrie du logiciel, et en particulier ceux où il est stratégique d'investir pour rester compétitif à moyen terme. » *Free Libre Open Source Software (...)
(01/12/2008 12:47:20)Le Forum Mondial du Libre ouvre à Paris
Le Forum Mondial du Libre (Open World Forum) vient de s'ouvrir à Paris pour deux jours à la Maison de la Chimie. La conférence inaugurale est consacrée aux profils des métiers liés aux FLOSS (Free, Libre, Open Source Software). D'ici demain soir, quelque 160 intervenants (universitaires, experts, représentants de communautés, éditeurs, consultants...), venant d'une vingtaine de pays, doivent prendre la parole, avec parmi eux le Brésil comme invité spécial. Dans le monde Open Source, la manifestation est soutenue par les consortiums OW2 et QualiPSo, par différentes associations -l'Adullact, l'AFUL, l'April et Silicon Sentier, ainsi que par les pôles de compétitivité franciliens Cap Digital et System@tic. Premier 'developer day' de la communauté Nuxeo ECM Plusieurs conférences se tiendront dans le cadre de ce forum international, notamment celle de QualiPSo-Osor sur la qualité de l'Open Source, le premier « developer day » de la communauté Nuxeo ECM (solution de gestion de contenu) qui donnera lieu à une table ronde mettant en présence Alfresco et Nuxeo. L'ERP5 World Forum, réunion de la communauté du progiciel intégré ERP5, se penchera sur les prochaines évolutions de l'application, avec un focus sur les fonctions d'inventaire, de comptabilité et de gestion de la relation client (CRM). L'événement accueille aussi le Forum Mondial du Netbook, ces ultra-portables dont les ventes ont connu un développement fulgurant cette année. Feuille de route pour les Floss d'ici à 2020 Mardi soir, à l'issue d'une journée où il sera débattu des politiques publiques permettant de faire des solutions libres et en Open Source un levier pour le développement économique, la session de clôture, à 17 heures, s'achèvera sur une présentation de la feuille de route et des recommandations pour les Floss d'ici à 2020. Plusieurs éditeurs, notamment SugarCRM (gestion de la relation client) ou JasperSoft (solutions décisionnelles), profiteront de Forum Mondial du Libre pour présenter de nouvelles versions de leurs logiciels. (...)
(20/11/2008 16:25:08)IBM veut acquérir Transitive pour consolider les applications hétérogènes
IBM s'est porté acquéreur de la société anglo-américaine Transitive. Forte de 48 brevets, sa technologie Quick Transit permet de transcrire dynamiquement le code d'une application sur un autre processeur que celui d'origine. Autrement dit, le savoir-faire de Transitive permet, par le biais de l'émulation, de consolider des applications hétérogènes sur des plateformes hôtes. IBM se dote donc d'un outil d'hébergement d'applications tierces sur ses plateformes. Quick Transit permet de transcrire du code dynamiquement à partir des architectures processeurs suivantes : X86, PowerPC, Mips, Itanium, Sparc et processeurs mainframe. La présence de cette couche réduit les performances de 10 à 50% selon l'importance des appels processeur. La technologie QuickTransit de Transitive est éprouvée. C'est elle, sous le nom de Rosetta, qui a permis à Apple de quitter les processeurs PowerPC pour ceux d'Intel. IBM est également client de Transitive. Sa technologie est au coeur du produit PowerVM Lx86 (ex-PAVE, System P Application Virtual Environment) qui permet de faire tourner du Linux X86 sur plateforme Power. Outre Apple et IBM, Fujitsu Siemens, Red Hat, HP et Sun sont clients de Transitive. Désormais, il y a fort à parier qu'IBM va garder l'exclusivité du savoir faire de sa nouvelle acquisition. Les plateformes Sparc/Solaris pourraient être une cible de choix pour IBM. (...)
(19/11/2008 10:35:44)Deux systèmes au-delà du Petaflops dans le Top500
Roadrunner plie mais ne rompt pas. En tête du précédent Top500, publié en juin dernier, IBM, Intel et Linux squattent le Top500, le supercalculateur petaflopique d'IBM garde la première place du classement des plus imposants monstres de calcul de la planète. Un peu plus performant qu'en juin, Roadrunner (en photo ci-dessus) affiche désormais un peu plus de 1,1 Pflops (un petaflops équivaut à un million de milliards d'opérations par seconde). Le Jaguar de Cray, installé au Laboratoire national d'Oak Ridge aux Etats-Unis, bondit directement sur la deuxième marche du podium, talonnant Roadrunner avec 1,059 Pflops. C'est le deuxième à franchir le cap mythique du Pflops. Intel reste largement majoritaire avec près de 76% des configurations, mais c'est le couple PowerXCell d'IBM et Opteron d'AMD qui donne sa puissance à Roadrunner. Le Jaguar héberge, lui, les quadricoeurs du numéro 2 mondial des processeurs. AMD équipe cinq autres des 10 premiers et l'architecture PowerPC, deux. Un seul des 10 premiers systèmes est équipé par Intel. Certes, il s'agit du numéro 3 et d'un tout nouveau système SGI installé à la Nasa avec une performance proche de 500 Tflops. Par ailleurs, deux tiers des supercalculateurs intègrent désormais des quadricoeurs, modèle en passe de devenir un standard avec les sorties récentes du Core i7 d'Intel et du Shanghai d'AMD. Coté système, Linux n'est guère menacé, avec 88% des systèmes. Un numéro dix chinois équipé de Windows HPC Server [[page]]A l'exception de sa tête, le classement des dix premiers du Top 500 est bouleversé par rapport à la dernière liste, publiée cet été. Neuf machines sont installées aux Etats-Unis (dont 7 au DoE, Département de l'énergie). Exit l'Allemagne, l'Inde et la France (désormais respectivement 11e, 13e et 14e). Elles laissent la place à la Chine qui se glisse en 10e position avec son Shanghai Supercomputer Center équipé du tout nouveau Windows HPC 2008. L'Hexagone place 26 systèmes dans le classement et culmine à 128 Tflops avec le site du Genci (Grand équipement national de calcul intensif). Enfin, en attendant le Green500 (classement des supercalculateurs par efficacité énergétique) qui sera dévoilé le 20 novembre, le Top500 classe désormais aussi ses machines en fonction de leur consommation énergétique. A ce jeu là, IBM gagne encore. Selon l'organisme, les configurations les plus efficaces en la matière s'appuient sur des lames à base de Cell (536 Mflops/W) ou des systèmes BlueGene d'IBM. La consommation moyenne du classement est de 358 kWatt alors que l'efficacité énergétique moyenne se situe à 132 Mflops/Watt. Et seuls 14 systèmes dépassent le MWatt. (...)
(14/11/2008 16:41:25)Le Gartner prédit l'émergence de clouds privés chez les grands comptes
Dans l'univers déjà brumeux du cloud computing, le Gartner Group en rajoute une couche. Selon les analystes de ce cabinet, les grandes entreprises s'intéressent de près aux infrastructures en cloud computing de fournisseurs comme Google et Amazon, non pour leur déléguer les leurs, mais plutôt pour apprendre comment les faire muter sur leur modèle. Et l'analyste Thomas Bittman de créer le concept de cloud computing privé. Il exposera sa vision complète du phénomène le mois prochain dans le cadre de la conférence annuelle du Gartner à Las Vegas. En attendant, il souligne que l'offre actuelle de cloud computing des fournisseurs s'adresse en fait aux clients en quête d'externalisation. Bien qu'il soit mis en avant, le cloud de ces fournisseurs n'est là que pour répondre à un besoin de sous-traitance. Le Gartner prévoit que l'appel au cloud computing pour l'externalisation concernera en priorité le courrier électronique. Le nombre de boîtes de courriels hébergées selon ce modèle passera de 1% du total en 2007 à 20% en 2012. Une prédiction qui résonne avec l'annonce d'Exchange Online par Microsoft en mai dernier. L'éditeur prévoit que, d'ici cinq ans, " la moitié des boîtes Exchange seront sur Exchange Online." La suite logique de la virtualisation [[page]] Quant à la version privée du cloud computing, elle s'inscrit dans la suite logique de la généralisation de la couche de virtualisation qui s'insère de plus en plus dans les serveurs et qui commence à s'immiscer sur les postes clients. Cette 'décorrélation' entre les ressources matérielles et les logiciels ouvre de nouveaux horizons à ce qu'il était coutume d'appeler l'informatique distribuée. C'est dans ce contexte que surgit le VDC-OS (Virtual datacenter OS) de VMware, qualifié par le Gartner de "méta système d'exploitation". Son rôle est d'orchestrer toutes les ressources informatiques pour assurer un bon fonctionnement aux applications. Pour Thomas Bittman, ces clouds privés ne naîtront pas en un jour. Il s'agit plus d'une tendance architecturale lourde des systèmes d'information des grands comptes. Pour les PME, le schéma est différent. Le Gartner pense que, d'ici cinq ans, un important pourcentage d'entre elles aura fait appel à des prestataires de ressources en cloud pour constituer leur système d'information. En fait, le Gartner ébauche un paysage bigarré où les entreprises intègrent plus ou moins, et sous des formes variables, cette informatique distribuée d'un nouveau genre à leur système d'information. Elle fédère des ressources à la fois locales et distantes et à la fois en propre ou externalisées sous le contrôle d'une administration centralisée. (...)
(12/11/2008 16:47:23)Trimestriels : GFI Informatique peu affecté par la crise
GFI Informatique a publié des résultats trimestriels conformes aux attentes : le chiffre d'affaires est en progression de 13,5% à 180,6 M€. La SSII française affirme être capable de traverser la crise grâce à la mise en place d'un plan de « développement durable et profitable » dès le mois d'avril, à l'issue d'un premier trimestre difficile. GFI Informatique avait alors dû faire face à des frais inattendus (5 M€) pour contrer l'OPA hostile de Fujitsu Services lancée en mai 2007. Pour accompagner sa croissance, GFI recrute 200 collaborateurs qui iront renforcer les agences du grand Sud (Lyon, Grenoble, Aix-en-Provence, Montpellier) et de l'Est de la France (Belfort, Metz, Nancy, Strasbourg). Les profils recherchés sont variés. Pour le pôle Intégration de systèmes (nouvelles technologies J2EE, .Net, PHP, Java, grands systèmes, ERP), GFI recrute des chefs de projets, des consultants SAP et Business Objects, des développeurs, des ingénieurs études et développement, des techniciens helpdesk... En Infrastructure et production (dans les environnements Windows, Unix, Linux et Oracle), GFI recherche des analystes programmeurs, des architectes et des analystes fonctionnels. Deux sessions de recrutement sont organisées au sein du siège social de GFI Informatique, dans le 8e arrondissement de Paris, les 14 et 28 novembre prochains. Le groupe compte actuellement 10 051 salariés contre 9 484 il y a un an. En France, GFI Informatique emploie 6 096 collaborateurs, soit 204 personnes de plus qu'en septembre 2007. (...)
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