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Linux

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(28/02/2007 12:26:50)
Ingres lance officiellement son appliance base de données sur Linux
Ingres a officiellement lancé le résultat de son projet Icebreaker, sous le nom... Ingres Icebreaker. Il s'agit d'une « applicance virtuelle », autrement dit le couplage, prêt à l'emploi, de deux logiciels serveurs Open Source : la base de données Ingres 2006 et une distribution Linux adaptée fournie par rPath. Avantages avancés par l'éditeur : la solution est légère - elle n'inclut que les composants de Linux nécessaires pour faire tourner l'application, ce qui correspondrait à 20% à peine du système d'exploitation total ; elle supporte les offres de virtualisation de VMWare comme de XenSource, et peut être dupliquée rapidement sur n'importe quel serveur ; Ingres assurera la maintenance de l'ensemble comme s'il s'agissait d'un seul logiciel. Depuis sa séparation avec CA en 2005, Ingres avait renoué avec ses clients, notamment au travers de clubs utilisateurs, peaufiné une nouvelle version de sa base de données, et expliqué sa stratégie Open Source (voir ci-dessous Sur le même sujet). L'éditeur se sent prêt désormais à poursuivre d'autres opportunités de marché. Ingres vise en premier lieu les fournisseurs d'applications hébergées, qui peuvent avoir besoin de monter rapidement des environnements de production. L'éditeur espère également que des partenaires se serviront d'Icebreaker comme support pour des appliances spécialisées, en y intégrant par exemple des applications de décisionnel. Icebreaker est disponible sous licence GPL 2, gratuitement ou au travers de l'abonnement au service de maintenance. (...)
(26/02/2007 16:31:38)IBM n'assure pas ses logiciels sur le Linux d'Oracle
« Si nos programmes ne fonctionnent pas avec Oracle Entreprise Linux, veuillez vous adresser à Oracle." Voici, selon Reuters, le discours d'IBM sur d'éventuels problèmes de compatibilité entre leurs logiciels et la distribution Linux d'Oracle. Pourtant, l'éditeur assure que sa distribution, commercialisée depuis octobre dernier, est identique à celle distribuée par Red Hat qui, elle, est certifiée par IBM. Pour Matthew MacMahon, porte-parole d'IBM, une éventuelle certification d'Oracle Entreprise Linux dépendra du succès de cette distribution : « Nous allons attendre et voir s'il y a une demande commerciale. Si nos clients veulent cette distribution, nous la supporterons. » Du côté d'Oracle, aucun commentaire a été fait à cette annonce, ni sur la manière dont Oracle agirait si ses clients ne peuvent pas faire fonctionner des logiciels tiers sur sa distribution, ni sur le nombre de clients ayant acheté sa distribution depuis son lancement en Octobre. À titre de comparaison, Red Hat Enterprise Linux est certifiée compatible avec 2 755 applications professionnelles. (...)
(19/02/2007 12:05:04)Mandriva implémente le desktop semantique Nepomuk sur KDE4
"Le code KDE est d'ores et déjà disponible dans la version de travail KDE4", se félicite Stéphane Laurière, en charge du projet de desktop sémantique Nepomuk chez Mandriva. Une grande avancée pour le projet. Nepomuk (Networked Environment for Personalized, Ontology-based Management of Unified Knowledge) a vu le jour en février 2006, financé à 50% par le programme FP6 de l'Union européenne. Il vise, outre le fait de porter les travaux du Web sémantique sur le poste de travail, à développer et standardiser une série d'API de services pour la gestion sémantique et partagée de l'information sur le poste de travail. Outre Mandriva, le projet est notamment soutenu par la communauté KDE, Mozilla et Eclipse, ainsi que par IBM, SAP et HP. Un an après, les travaux se poursuivent. Et parmi les grosses nouveautés, "on retrouve l'intégration d'un moteur sémantique dans KDE4", indique Stéphane Laurière. Soit la première étape de l'intégration au bureau Linux le plus populaire, avant sa finalisation et sa sortie fin 2007. Autre modification importante, la définition finalisée d'une pyramide d'ontologies (qui gère les liaisons logiques entre les meta-données) pour qualifier notamment les annotations. En outre, Nepomuk renferme également "la recherche par méta-données, un moteur de wiki sémantique et enfin un outil de suggestion de mots clefs provenant des outils IBM [utilisant IBM LanguageWare, technologie de traitement linguistique, Ndlr]". "Il s'agit d'assister l'utilisateur dans sa saisie de texte", commente Stéphane Laurière. Vers Eclipse et Mozilla En 2007, Nepomuk devrait dans un premier temps poursuivre son intégration à KDE 4 avec la gestion des tags et d'ontologies. Puis devrait débarquer sur Java. "On veut cibler les utilisateurs Eclipse, souligne Stéphane Laurière, et ainsi faire tourner l'ensemble sur Eclipse RCP (Rich Client Platform), tant back-end que poste client". Un déclinaison qui doit également voir le jour sur Mozilla, à travers les technologies XUL et XPCOM. Enfin, 2008 devrait être témoin de la standardisation des API et de la création d'une fondation Semanticdesktop, dont le but sera d'assurer les relations entre la communauté et les industriels du poste de travail sémantique et de maintenir les standards". (...)
(15/02/2007 15:31:35)Le directeur du labo Open Source de Microsoft s'explique sur les travaux avec Novell
Sam Ramji, directeur du laboratoire Open Source de Microsoft, a publié sur Port 25, le blog du labo, une note expliquant la nature des travaux menés avec Novell, dans le cadre du partenariat signé entre les deux éditeurs. Sam Ramji s'étend ainsi longuement sur les besoins en matière d'interopérabilité pour consolider des serveurs Linux et Windows sur une même machine. Et notamment sur les essais à mener avec les standards, WS-Federation et WS-Management. « Un certain nombre de personnes m'ont approché au sujet de ce projet, écrit-il, pontifiant : 'si vous [Microsoft] implémentiez simplement ces spécifications comme elles sont écrites, vous n'auriez pas besoin de faire tout ce travail'. En fait, cela relève d'une méconnaissance de l'ingénierie logicielle et de l'intéropérabilité. » (...)
(13/02/2007 17:15:44)Microsoft et Novell feront serveurs communs, et plus si affinités
Windows et Linux peuvent-ils cohabiter en paix ? Selon Steve Ballmer, PDG de Microsoft, et Ron Hovsepian, PDG de Novell, la réponse est oui. Les deux sociétés ont annoncé une série de développements logiciels afin d'assurer que les deux systèmes d'exploitations puissent se partager un même serveur physique sans friction. Ainsi, Windows Virtual Server 2005 service pack 1, attendu pour le printemps, permettra la virtualisation sous SuSE Linux Enterprise Server 10. Et la prochaine version de Windows Server, le fameux Longhorn, non seulement permettra la virtualisation sous SuSE Linux, mais l'acceptera avec son hyperviseur intégré. Ce qui devrait lui permettre de tourner plus vite qu'avec une émulation classique. En retour, l'hyperviseur Open Source Xen, intégré à SuSE Linux Enterprise Server 10, reconnaîtra également Longhorn comme un système d'exploitation invité privilégié. « Nos clients voulaient des méthodes pour faire fonctionner Linux et Windows ensemble », explique Bob Tenczar, directeur produits pour Windows Server chez Microsoft, « Et la consolidation de serveurs était l'une de leurs premières préoccupations. » Ce n'est pas la seule, et la virtualisation n'est que l'un des quatre axes de collaborations futurs entre Novell et Microsoft. La gestion des services Web, l'interopérabilité des annuaires et des formats de documents sont également au menu des discussions. Cette alliance, et en particulier le fait que Novell accepte de payer pour utiliser les brevets et licences de Microsoft, n'est pas du goût de tous. Certains membres de la Free Software Foundation (FSF) ont même été si choqués qu'ils ont retardé la sortie de la GPL (General Public Licence) v3. Ils voudraient que celle-ci puisse restreindre les facultés de Novell pour distribuer certaines mises à jour faites sur des secteurs clés de Linux (ou de Xen). Interrogé par Reuters, le porte-parole de la FSF Eben Moglen a indiqué que la version 3.0 devrait être disponible avec un mois de retard en mars, mais sans indiquer si des restrictions seront mises en place. (...)
(09/02/2007 15:54:30)La virtualisation au menu du nouveau noyau Linux
La version 2.6.20 du noyau Linux est sortie, et avec elle commence une nouvelle ère pour le système libre : celle de la virtualisation. Plusieurs solutions existaient déjà pour virtualiser des systèmes Linux, mais l'ajout d'une solution au coeur du système posait problème. Tant XenSource que VMWare auraient bien voulu voir leur code adoubé, mais il semblait délicat de se lier à une de ces technologies en particulier. Linus Torvalds, qui dirige les travaux de développement du noyau au sein de la Linux Foundation, estime avoir trouvé la solution avec la paravirtualisation, ce qui permet de faire cohabiter plusieurs machines virtuelles. Le noyau inclut aussi une technologie de virtualisation développée par une start-up israélienne, Qumranet, appelée KVM (Kernel-based Virtual Machine). Celle-ci sait tirer parti des fonctions de virtualisation des derniers processeurs Intel et AMD. Malgré ces ajouts, Linus Torvalds dit qu'il s'agit surtout d'une version de stabilisation. (...)
(05/02/2007 15:57:55)La FSF songe aux mesures de rétorsion suite à l'accord Novell-Microsoft
Novell pourrait bientôt ne plus avoir le droit de distribuer Linux, selon Reuters. La FSF (Free Software Foundation) se donne deux semaines pour décider d'agir - ou non - à l'encontre de l'éditeur, suite à l'accord que ce dernier a signé avec Microsoft en novembre dernier. Eben Moglen, conseiller juridique de la Fondation, cité par la dépêche Reuters, explique que le conseil d'administration n'a pas encore arrêté sa décision, mais que des voix s'y sont élevées pour punir Novell. La même dépêche indique que du côté de Novell, on a choisi de ne pas s'exprimer tant que la FSF ne se serait pas déterminée. En fait, reprise et précisée par Linux-Watch, l'information porte davantage sur la façon dont la version 3 de la GPL pourrait empêcher à l'avenir ce genre d'accord. Qui vient rappeler aux entreprises que Linux vit sous la menace constante de brevets susceptibles d'être opportunément retrouvés ici ou là. La FSF détient les droits sur le compilateur et la librairie C Concrètement, la FSF ne pourrait pas interdire à Novell d'éditer une distribution Linux, précise Loïc Dachary, président de FSF France. « La FSF ne peut interdire que des logiciels pour lesquels elle détient les droits d'auteur. » Soit quelques morceaux du noyau, jugés « non signifiants », mais surtout des éléments aussi importants que la librairie C et le compilateur. La FSF pourrait s'opposer à la redistribution de ces éléments logiciels en vertu d'un article de la GPL, continue Loïc Dachary, qui précise que quelqu'un qui ajouterait un brevet pour interdire la redistribution se verrait lui-même interdire de diffuser le logiciel. Pour l'heure, Novell n'a pas fait usage de ses brevets pour s'opposer à quoi que ce soit. Mais « Microsoft et Novell signant un pacte de non-agression mutuelle, cela signifie implicitement qu'ils ont des armes pour agresser ceux qui ne font pas partie de leur accord », estime le président de FSF France. (...)
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