Flux RSS

Linux

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

522 documents trouvés, affichage des résultats 411 à 420.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(03/01/2007 17:26:54)

Linux, prêt pour les systèmes critiques, selon une étude Saugatuk

Selon une étude réalisée par Saugatuk Research (réalisée auprès de DSI internationaux), presque la moitié des entreprises interrogées (133 sociétés mondiales) motoriseront les applications critiques de leur système avec Linux d'ici cinq ans. Une hausse qui devrait être par ailleurs fulgurante, continue l'étude. Seulement 18 % des entreprises utiliseront Linux, ou des logiciels Open Source, pour équiper leur applications sensibles d'ici à la fin 2007. Mais ce taux devrait s'accélérer pour atteindre 25 % en 2009, puis 45% en 2011. "Linux ainsi que les applications Open Source ont atteint un point critique du marché, précise l'étude. Les accords passés par Oracle [unbreakble, ndlr] et Microsoft [avec Novell, ndlr] ont renforcé l'idée que l'Open Source était prête pour l'entreprise, un message martelé par IBM, Unisys et d'autres depuis des années". Les fournisseurs SaaS devraient également bénéficier de cet intérêt pour l'Open Source dans la mesure où "ce modèle réduit les coûts de maintenance et apporte une plus forte standardisation" (...)

(20/12/2006 17:40:58)

Le projet de collecte pour accélérer Debian s'avère contre-productif

Trouble dans la communauté Debian. Le projet de financement Dunc-Tank, démarré le 19 septembre dernier, a fait en partie capoter la sortie de version 4 de Debian GNU /Linux, nom de code Etch, initialement fixée au 4 décembre. Dunc-Tank, premier projet du genre, visait à l'origine à collecter des fonds, sous forme de dons, pour accélérer les développements de Etch, et sortir la distribution selon le calendrier initial. L'argent collecté devait servir à payer deux développeurs senior (Release Manager - 6 000 $ chacun), Andreas Barth (en septembre) et Steve Langasek (en octobre), à plein temps pour tenir ainsi les délais. A l'époque, le projet avait divisé la communauté, déclenchant une véritable levée de bouclier de la part d'un groupe mené par Jörg Jaspert qui, dans une lettre ouverte publiée sur la mailing-list Debian, avait déclaré que Dunc-Tank ne ferait qu'engendrer le désintérêt pour Debian des développeurs non-rémunérés. Une attitude par ailleurs qualifiée d'"enfantine" par Andreas Barth sur son blog, tout en admettant que la raison du décalage d'Etch n'était pas seulement dûe au litige autour de Dunc-Tank. "Une énergie incroyable a été dissipée par le projet Dunc-Tank qu'Anthony Towns [le responsable du projet Debian, NDLR] a imposé malgré de fortes objections. Cela a entraîné une perte de temps dans les différentes discussions qui ont eu lieu. En réaction, certains développeurs ont pris du recul ou carrément quitté le projet, sentant qu'il était en train de changer et ne correspondait plus forcément à leurs idées. Ces développeurs n'étant, pour certains, pas des moins actifs, l'impact s'en est ressenti", commente Julien Blache, développeur Debian et futur président de l'association Debian France en cours de création. Pour autant, outre l'échec manifeste de Dunc-Tank , du moins "sur le critère de la sortie d'Etch", les raisons fondamentales du décalage sont d'ordre technique. Et Julien Blache de dresser un inventaire : "Nous avons environ 140 bugs à fixer dans Etch à l'heure actuelle, dont une partie est déjà corrigée et en attente de migration. Il nous faut encore une nouvelle version de l'installeur. La RC2 devrait, à priori, être la dernière RC avant la release". Cette dernière étant prévue au plus tard pour le début deuxième trimestre 2007. (...)

(12/12/2006 17:56:09)

OpenSuse 10.2 est disponible

Novell annonce la version 10.2 d'OpenSuse, la distribution Linux développée en collaboration avec la communauté Open Source réunie autour du projet éponyme et disponible gratuitement en téléchargement. Pour rappel, Novell avait créé le projet OpenSuse en 2004, à partir de la version 10 de l'OS, pour notamment en favoriser la pénétration sur le marché. Selon l'éditeur, cette mouture doit, grâce à ses quelque 1500 packages logiciels, fournir "tout ce dont un utilisateur a besoin pour démarrer avec Linux". A l'image des autres distributions Linux pour bureau du marché, tels Mandriva Linux 2007 (payante), ou encore SLED 10 (Suse Linux Enterprise Desktop), autre bureau Linux (payant) de Novell. OpenSuse 10.2 propose une kyrielle d'applications bureautiques et multimedia, comme OpenOffice, Firefox 2.0, la messagerie instantanée GAIM et l'outil de recherche pour desktop, Beagle. Le tout intégré aux interfaces KDE ou Gnome. Novell précise qu'OpenSuse ne convient pas aux déploiements en entreprise, mais fournit un bon moyen d'évaluer les technologies de l'OS, telles que l'environnement de développement Mono ou l'outil de virtualisation Xen. (...)

(12/12/2006 12:17:48)

Ulteo, le projet d'OS Linux connecté de Gael Duval

Gael Duval, un des fondateurs de l'ex-MandrakeSoft (désormais Mandriva), remercié en mars dernier, revient dans la course à l'OS Linux par le projet Ulteo. Depuis le 5 décembre en version alpha1 (nom de code Sirius), Ulteo vise, selon l'éditeur, à délivrer l'utilisateur de toute tâche d'administration système et de mises à jour. Poussant ainsi un peu plus loin les travaux de "vulgarisation" des OS Linux, entrepris par les géants du secteur, Mandriva et Suse, en livrant des distributions de plus en plus tournées vers le grand public. Le projet Ulteo veut proposer, en théorie, un système connecté composé d'applications adaptées aux besoins de chacun, et d'en automatiser la gestion (notamment la mise à jour). Et dans cette même optique, les équipes d'Ulteo travaillent, selon le site de l'éditeur, à une version accessible en ligne, depuis un simple navigateur. La version alpha1 de Sirius reste disponible en liveCD (basé sur Ubuntu et Debian) ou en binaires. Elle repose un noyau Linux 2.6.15 et KDE 3.5.2. (...)

(06/12/2006 18:08:12)

Novell termine l'année sur des résultats décevants

Novell a publié des résultats préliminaires décevants pour son exercice fiscal 2006. L'année écoulée a été marquée par un recul de 7 % du chiffre d'affaires, à 967 M$ contre 1,039 Md$ l'année précédente. Ce recul s'est encore accéléré au dernier trimestre puisque le CA de la firme a régressé de 15% à 244,9 M$. Côté résultat net, la photo est plus rassurante. Novell a ainsi réalisé 21 M$ de profits sur l'ensemble de l'exercice. Ce chiffre fait a priori pâle figure par rapport aux 373 M$ de l'an passé, mais le bénéfice de 2005 incluait le versement de 440 M$ provenant de la résolution à l'amiable du différent antitrust avec Microsoft. Comme l'an passé, la progression des ventes des produits libres et notamment de sa distribution Linux, n'a pas permis à Novell de compenser le fort recul des ventes des produits historiques dont Netware. Cette situation devrait amener Novell à licencier de nouveau une partie de ses salariés et à provisionner une charge pour restructurations dans le courant 2007. Pour avoir une idée des problèmes auxquels devra faire face Novell, il suffit de regarder le chiffre d'affaires réalisé sur Linux par la firme. Au 4e trimestre, les ventes de SUSE Linux Enterprise Server n'ont représenté que 13 M$ de CA, un chiffre en hausse de 32% sur l'année. Dans le même temps les ventes de Netware et d'Open Entreprise Server chutaient de 25%. Selon Novell, les ventes d'OES et de Netware devraient poursuivre leur recul en 2007 (-15 à -20%) . (...)

(05/12/2006 14:04:54)

L'OSDL rétrécit son équipe et ses activités

L'Open Source Development Labs (OSDL), le consortium qui finance le développement du noyau Linux et fait sa promotion, vient de licencier un tiers de son personnel (son CEO, Stuart Cohen, est également parti) et a annoncé son souhait de se concentrer sur un nombre restreint de dossiers. L'OSDL sera désormais dirigé par Mike Temple, l'ancien directeur financier. Le consortium est financé par 70 sociétés dont HP, IBM, Intel, Nokia, Novell et Red Hat. Dans un communiqué, l'OSDL a indiqué que Linux est désormais devenu un composant normal des SI des entreprises, et qu'à ce titre, sa mission d'évangélisation de l'OS libre devait évoluer. "Nous prévoyons de nous concentrer sur un nombre restreint de projets, où nous pouvons avoir un impact fort", a expliqué l'OSDL. L'un de ces projets est le Portland project, un jeu d'API communes entre les bureaux Gnome et KDE, dont l'objectif est de mettre un terme à la rivalité entre les deux environnements graphiques pour permettre le décollage de Linux sur les postes de travail. L'OSDL continuera à employer 19 personnes et poursuivra son financement des grands développeurs collaborant au noyau Linux dont Linus Torvalds ou Andrew Morton. (...)

(30/11/2006 17:34:20)

Xandros, un bureau Linux qui mise sur la compatibilité Windows

Hasard du calendrier, c'est durant la semaine du lancement de Windows Vista que Xandros, ex-Corel Linux, dévoile la dernière version de son bureau Linux, Xandros Desktop Professional Version 4. Comme ses concurrents (notamment Novell et Mandriva), le desktop pro de Xandros arbore lui aussi un bureau KDE 3D et embarque une série d'outils liés à la sécurité (Xandros Security Suite), à la VoIP avec Skype, à la bureautique avec OpenOffice. Il intègre le support du bluetooth et des cartes EDGE, 3G et enfin HSDPA. Mais sa particularité réside davantage dans ses possibilités à s'adapter aux environnements Windows. Cela se traduit d'abord, côté utilisateur, par le module CrossOver qui permet de lancer des logiciels Microsoft, telles que Office 2003, sur le bureau. Mais aussi côté administrateur: compatibilité avec les réseaux Microsoft, connecteur pour Exchange ainsi que la possibilité d'écrire sur des partitions NTFS. A cela s'ajoute un outil de déploiement massif, Xandros Deployment and Management Server. Xandros Desktop Professional Version 4 est commercialisé 99E, pour l'heure en version anglaise et allemande. L'éditeur vend également une version 4 de sa distribution pour particulier (entre 39,99$ et 79,99$), annoncée en juin dernier. (...)

(29/11/2006 17:26:58)

Novell / Microsoft: quelques points de désaccords lors des négociations

Dans une interview accordée à nos confrères Computerworld (groupe IDG), Ron Hovsepian, PDG de Novell, décrit les coulisses de l'accord controversé passé avec Microsoft. Tout en revenant de façon romancée sur les premiers contacts entre les deux parties - Kevin Turner, directeur opérationnel de l'éditeur de Redmond a servi de relais vers Steve Ballmer -Hovsepian explique les différents points de négociations qui n'ont, d'un côté comme de l'autre, pas abouti. Ainsi, on y apprend qu'une des premières positions de Microsoft était de limiter la virtualisation à Windows et pas à Linux. En d'autres termes, seul Windows aurait été capable de virtualiser Linux et pas l'inverse. Un faux départ déraisonnable pour le PDG qui d'emblée estimait que les capacités de virtualisation devaient être "bi-directionnelles pour donner le choix aux clients". Hovsepian raconte ensuite que Microsoft n'a pas approuvé la possibilité de faire tourner certains de leurs outils - il parle notamment de Visual Studio, mais également d'Office- sur la plateforme Linux de Novell. Au cours de l'entretien, le PDG de Novell a également ré-affirmé le bien-fondé pour ses clients de l'accord sur l'échange de propriété intellectuelle, tout en expliquant de nouveau que l'accord ne justifie en rien toute violation potentielle de brevets de Microsoft. Le 21 novembre, suite à des déclarations de Steve Ballmer qui affirmait à demi-mot que l'accord était un moyen pour Novell de se payer des brevets Microsoft, Hovsepian avait rédigé une lettre ouverte à la communauté pour s'expliquer. (...)

(24/11/2006 15:43:53)

Adobe : pas d'Apollo pour Linux... dans un premier temps

« La version développeur d'Apollo devrait arriver dans la première moitié de la prochaine année calendaire, et la version finale a priori dans la seconde moitié. » Il faudra donc attendre encore un certain temps avant de voir des projets basés sur la nouvelle plate-forme cliente d'Adobe, à écouter Jeff Whatcott, directeur marketing produits senior de l'éditeur, responsable des solutions d'entreprise. Les Linuxiens devront attendre encore davantage : « Linux ne sera pas supporté dans la version initiale », nous a-t-il confié. Non parce que l'éditeur n'aime pas Linux - « je suis un des plus passionnés par l'Open Source », s'exclame Jeff Whatcott - mais à cause d'une certaine complexité induite par la multiplicité des plates-formes et des pilotes logiciels (« pour le support de l'audio, par exemple »). Cela viendra donc ultérieurement. Apollo reprendra les technologies utilisées dans Flex, capables de mixer un accès aux grilles de données avec une interface Flash. Il supportera aussi d'autres technologies d'interface, comme PDF et HTML. SAP a ainsi bâti son interface Muse à l'aide de ces technologies, en y ajoutant également le support des ActiveX afin de pouvoir afficher par exemple du Word ou de l'Excel. Encore une chose dont Adobe ne proposera pas le support en standard. Christophe Coenraets, évangéliste technique senior d'Adobe, tient toutefois à rappeler que les développeurs peuvent d'ores et déjà avoir un aperçu d'Apollo, dans la mesure où « il reprend le modèle de programmation de Flex ». Les applications développées dans le FlexBuilder « peuvent donc être testées dans le navigateur et en mode Apollo », moins le support du PDF. (...)

(23/11/2006 17:57:49)

IDC confirme la montée en puissance des serveurs x86 Windows et Linux

Le dernier observatoire trimestriel du marché des serveurs d'IDC confirme la montée en puissance des serveurs x86 face aux serveurs Unix. Selon le cabinet d'études, les ventes de serveurs x86 ont progressé de 4,8 % sur un an pour atteindre 6,6 Md$ au cours du troisième trimestre 2006. Dans le même temps, les ventes de serveurs Unix reculaient de 1,7 %, à 3,9 Md$. Sans surprise, ce sont les livraisons de serveurs Linux qui ont progressé le plus vite au cours de l'année écoulée. Entre juillet et septembre, le marché Linux a atteint 1,5 Md$ soit une progression de 5,4% sur un an. Les serveurs Linux représentent désormais 11,8% du marché total des serveurs. Il est toutefois à noter que la progression de l'OS libre a sensiblement ralenti puisque la croissance des ventes avait été six fois supérieure l'an passé. Les ventes de serveurs Windows continuent elles aussi à bien se porter, puisqu'elles ont progressé de 4,6 % sur un an pour atteindre 4,8 Md$. Du côté des constructeurs, la palme de la croissance revient à Sun, dont le chiffre d'affaires serveurs x86 a bondi de 46,5% sur un an, contre 7,7% pour IBM et 6,6% pour HP. Sun, qui a essentiellement misé sur le haut de gamme du marché, confirme ainsi sa bonne santé. D'après nos estimations, ses ventes de serveurs x86 représentent désormais près de 12% de son revenu serveurs. IBM a quant à lui profité d'un pic de ses ventes de mainframes, qu'IDC attribue au lancement des z9 EC (entreprise Class). Ses revenus liés aux grands systèmes auraient ainsi bondi de 25% par rapport à l'an passé. Les serveurs lames progressent, Intel se redresse IDC note également le succès croissant des architectures de serveurs lames. Cette catégorie de serveurs pèse désormais plus de 10% des ventes de serveurs x86 en revenus (738 M$ au cours du 3e trimestre). IBM reste le champion du secteur avec 42,3% du marché devant HP avec 35%. Dell, Fujitsu-Siemens, Sun et des acteurs comme NEC se partagent les restes. Il est à noter que Sun pourrait encore accroître sa percée sur le marché x86, si ses serveurs lames connaissent le même succès que ses serveurs rack Opteron. On signalera pour terminer que le 3e trimestre a été le premier depuis 4 ans au cours duquel Intel a regagné quelques points de marché sur AMD. Certes, les ventes d'Opteron ont crû de 79,7% par rapport à l'an passé, mais cela n'a pas suffi pour contenir le succès des nouvelles puces Xeon 5100 "WoodCrest" d'Intel. Ce dernier est ainsi parvenu à augmenter ses ventes pour contrôler 80,2% du marché. Reste que le répit pourrait être de courte durée avec le lancement par IBM d'une gamme élargie de serveurs Opteron et la montée en puissance des serveurs Opteron de Dell. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >