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(23/11/2006 17:44:46)

Les PC des députés passent aux logiciels libres

Bernard Carayon doit être ravi. Le député du Tarn qui avait, dans un rapport remis au Premier ministre début octobre, préconisé l'usage des standards ouverts dans la création et les échanges de documents administratifs, aura, dès 2007, -et s'il est ré-élu-, la possibilité d'utiliser Linux et OpenOffice sur son poste de travail de l'Assemblée nationale. Le Parlement a décidé d'équiper les 1154 postes de travail Windows (les 577 députés ont le droit de posséder deux postes chacun) d'un OS Linux, du navigateur Firefox, de la suite bureautique OpenOffice et d'une solution de messagerie et d'agenda libre. "Une partie de l'infrastructure serveur composée d'Apache, Linux, Mambo et SQUID reposait déjà sur les logiciels libres, confie Olivier Connan, porte-parole de l'Assemblée. On étend l'utilisation des logiciels libres au delà des serveurs pour la pousser sur les postes de travail. Une petite révolution pour une aussi grande communauté administrative." Pour l'Assemblée, la migration d'un environnement Microsoft vers l'Open Source rime avec économie de coût. "Les solutions libres [..] permettront de réaliser de substantielles économies en dépit de certains coûts de mise en oeuvre et de formation", explique-t-elle dans un communiqué, en s'appuyant sur les résultats d'une étude menée notamment par Atos Origin et commanditée par le président de l'Assemblée et les questeurs. "La décision a également été prise sous l'impulsion de certains députés sensibilisés aux logiciels libres", ajoute Olivier Connan. Peu d'interventions externes Le chantier de migration devra être finalisé rapidement, dès la prochaine législature. "Il faut que l'ensemble soit opérationnel pour la fin juin-début juillet 2007, quelques jours après les élections qui auront lieu les 10 et 17 juin", déclare Olivier Connan. "Aucun prestataire n'a été retenu pour le moment, un appel d'offre devrait rapidement être lancé. Mais l'implantation sera faite pour l'essentiel par le service informatique de l'Assemblée." L'Association pour la promotion et la recherche en informatique libre (April) se félicite d'emblée de cette décision: "La dotation en logiciels libres des postes des députés illustre une nouvelle fois les qualités de ces logiciels, permettant à l'Assemblée nationale d'avoir une meilleure maîtrise sur ses équipements, sans dépendance vis-à-vis d'une entreprise donnée, avec une meilleure utilisation de l'argent public», a déclaré Benoît Sibaud, président de l'April, dans un communiqué. Le Libre se fraye un chemin en France Les standards ouverts ainsi que les logiciels libres ou Open Source s'installent dans l'administration française. En point d'orgue, le chantier de migration des postes de travail de la Mairie de Paris, mais également celui des ministères de l'Intérieur (qui troquent leur messagerie Exchange vers une Open Source) et de l'Equipement (le projet Equilinux qui englobe la migration des serveurs sur MandrakeLinux). Plus globalement, le gigantesque chantier Adele (Administration ELEtronique), interminable projet de refonte, doit prendre en compte les contraintes d'interopérabilité entre les divers systèmes d'informations de l'Administration. Et cela passera probablement par l'adoption du format ouvert OpenDocument, comme le préconisait le député Bernard Carayon, début octobre. (...)

(22/11/2006 17:01:48)

Accord Novell/Microsoft : l'OIN rejette l'argument de la protection juridique

L'accord conclu entre Microsoft et Novell continue de faire couler de l'encre. L'Open Invention Network (OIN), fondé en 2005 par IBM, NEC, Novell, Philips, Red Hat et Sony, a décidé de dénoncer à son tour cet accord. Dans un communiqué, l'OIN relève que le récent soutien de Microsoft à Linux est associé à des affirmations « sans fondement » selon lesquelles « les utilisateurs [de Linux] auraient besoin d'être protégés contre d'éventuelles poursuites pour violation de propriété intellectuelle. » Et de souligner que « en fait, Linux n'a jamais fait l'objet d'une telle poursuite » et que, « en accumulant les brevets qui pourraient être utilisés pour protéger l'écosystème Linux, [...] l'OIN a rendu inutile toute offre de protection de tiers. » L'OIN assure avoir racheté, depuis sa création, une centaine de brevets « stratégiques » dans le but de protéger les utilisateurs de Linux contre d'éventuelles procédures judiciaires pour violation de propriété intellectuelle. (...)

(22/11/2006 15:38:02)

La bêta 2 de Flash pour Linux est disponible

Un mois après la première bêta du Player Flash 9 pour Linux, une seconde bêta est disponible sur le site de la R&D d'Adobe. L'éditeur, qui réunissait ses clients en France lundi et en Belgique hier mardi autour de ses solutions professionnelles, en a profité pour réaffirmer son engagement à servir la communauté Linux. Jeff Whatcott, responsable marketing produits d'Adobe, a souligné que Linux était un environnement très délicat à aborder, à cause de ses multiples déclinaisons. Et nous a ainsi fait part de son cas de conscience : « fallait-il livrer la version 8 du Player avec le support de Linux et retarder la version 9 (qui incorpore la v2 de la machine virtuelle ActionScript) ou bien zapper cette version et passer directement au support de Linux dans la version 9 ? » C'est cette dernière option qui a été retenue. Et malgré le projet Tamarin, qui confie justement ActionScript à la Fondation Mozilla, il n'est pas question pour l'instant qu'Adobe aille plus loin, et demande à la communauté Linux davantage que son opinion. (...)

(21/11/2006 17:52:07)

L'accord Novell/Microsoft continue d'alimenter la polémique

Cette fois-ci, ce n'est ni l'équipe Samba, ni Red Hat, mais Microsoft et Novell eux-mêmes qui alimentent la polémique autour de leur accord conclu au début de ce mois de novembre. En effet, les deux partenaires viennent de livrer à un jeu de ping-pong faisant suite aux récentes déclarations de Steve Ballmer sur l'exploitation de la propriété intellectuelle de Microsoft par Linux. Dans une lettre ouverte publiée sur son site Web, Novell a tenu à prendre ses distances par rapport au PDG de Microsoft, exprimant ouvertement son désaccord : « Nous sommes en désaccord complet avec les récentes déclarations de Microsoft concernant Linux et les brevets. Surtout, notre accord avec Microsoft ne constitue en rien l'aveu d'une violation de la propriété intellectuelle de Microsoft par Linux. Affirmer le contraire serait semer le doute et l'inquiétude et empêcherait une concurrence loyale. » La réponse du géant de Redmond ne s'est pas faite attendre : dans un communiqué, Microsoft a indiqué « respecter le point de vue de Novell sur la question des brevets, y compris si [son] propre point de vue est différent. » Ménageant la chèvre et le chou, l'éditeur conforte son partenaire - en assurant que l'accord ne constitue en effet pas un aveu de violation de brevet - sans pour autant renier son propos : « nous avons conduit notre analyse [...] et conclu qu'il était nécessaire et important de créer une convention sur la propriété intellectuelle pour les utilisateurs de ces produits. » Lors d'une conférence téléphonique, Novell et Microsoft ont réaffirmé leur partenariat. (...)

(17/11/2006 16:59:50)

Ballmer : les utilisateurs Linux sont redevables envers Microsoft

C'est bien connu, les Linuxiens doivent tout à Microsoft. Et en particulier, le fait de les autoriser à utiliser ses technologies brevetées. A l'occasion d'une session de questions / réponses lors de la conférence Professional Association for SQL Server à Seattle, le bouillonnant (et théâtral) Steve Ballmer, président de Microsoft, a déclaré que la principale motivation de l'éditeur de se rapprocher de Novell était de "fournir aux actionnaires un retour économique sur nos innovations". Car "Linux utilise notre propriété intellectuelle". "Le fait que ce produit [Linux] exploite nos propriétés intellectuelles brevetées est un problème pour nos actionnaires. Nous dépensons 7Md$ en R&D par an, nos actionnaires attendent de notre part de protéger, licencier ou tirer des bénéfices de nos technologies brevetées", a-t-il enchaîné. Début novembre, Microsoft et Novell ont signé un accord d'interopérabilité entre Suse Linux et Windows. Dans les termes de la transaction, il est prévu que Novell reverse, à un rythme annuel, la somme de 40 M$ à Microsoft. Une opération qui, pour nombre de défenseurs de l'Open Source, s'apparentait à une dîme -"impensable" chez Red Hat-, pour compenser un éventuel viol par Novell de la politique intellectuelle de Microsoft. Ballmer confirme ainsi cette dernière idée et enfonce le clou: "Novell nous paie pour avoir le droit de dire à leurs clients que quiconque utilise Suse est couvert correctement". Dans ce contexte, poursuit-il, "seul un utilisateur qui possède Linux Suse a payé pour l'utilisation de la propriété intellectuelle de Microsoft". Et seulement. Une façon de tourner tous les regards vers les autres éditeurs Linux, alors dans l'illégalité. "Nous souhaiterions passer le même accord avec Red Hat ou d'autres éditeurs Linux". Pour Red Hat, il n'en est de toute façon pas question. (...)

(13/11/2006 16:51:14)

L'équipe Samba demande à Novell de reconsidérer son accord avec Microsoft

Les développeurs de Samba, le serveur CIFS Open Source inclus dans la totalité des distributions serveur Linux mais aussi dans la plupart des Unix modernes, ont publiquement critiqué l'accord Novell-Microsoft, qu'ils jugent inacceptable et destructeur pour la communauté du logiciel libre. "Le fait que Novell ait signé un tel accord montre un mépris profond pour leur relation avec le monde du logiciel libre", indiquent les développeurs de Samba, ajoutant que Novell n'avait pas le droit de nouer à son seul avantage un accord contraire aux idéaux du Libre au nom d'autres [Samba se considère comme un fournisseur de Novell]. "L'une des différences fondamentales entre le monde du logiciel propriétaire et le monde du logiciel libre est que le logiciel propriétaire divise les utilisateurs en les forçant à se plier à des accords de licence coercitifs qui limitent leur droit de partager avec d'autres, alors que le modèle du logiciel libre encourage les utilisateurs à s'unir pour partager les bénéfice du logiciel. L'accord entre Novell et Microsoft est un accord source de divisions. Il crée des différences entre les utilisateurs et les développeurs de logiciel selon qu'ils ont un statut commercial ou non et les gère différemment selon qu'ils ont obtenu leur logiciel directement de Novell ou d'un tiers." Un accord qui affaiblit la position de la communauté du Libre en matière de brevets L'accord affaiblit aussi la position de la communauté du libre en matière de brevets expliquent les développeurs de Samba : "L'utilisation de brevets dans le monde du Libre est inacceptable. Novell qui a participé à de nombreux débats et discussions sur ce sujet le savait parfaitement". Curieusement Novell ne pensait pas différemment avant de signer avec Microsoft. Comme l'indique la position officielle de Novell sur les brevets : " Novell est prêt à utiliser son portefeuille de brevets, qui est très pertinent sur le marché, pour se défendre contre ceux qui tenteraient d'utiliser leurs brevets contre des produits Open Source qu'il vend ou supporte. Cohérent avec son engagement, Novell utilisera son portefeuille de brevet pour se protéger contre toute poursuite visant le noyau Linux ou des composants libres inclus dans son offre (...) Certains vendeurs tenteront vraisemblablement d'arguer du risque de violer des brevets. Les vendeurs qui tenteraient de faire valoir de tels arguments contre des clients ou des concurrents comme Novell le feraient à leur propre péril et avec la certitude de déclencher une réponse". Au vu de l'accord avec Microsoft, on comprend que les développeurs de Samba recherchent toujours la cohérence de la position de Novell. (...)

(06/11/2006 17:27:25)

Pour Red Hat, l'accord entre Novell et Microsoft est impensable

Red Hat, encore ébranlé par l'initiative d'Oracle clonant le support sur son OS Linux, estime que l'accord passé en Microsoft et Novell est "impensable" dans un contexte Open Source. Mais symbolise toutefois une victoire pour tous les éditeurs Linux. Vendredi 3 novembre, Novell et Microsoft ont signé un accord d'interopérabilité portant sur Suse et Windows. Un des termes de l'accord porte notamment sur un engagement de Microsoft à ne pas exercer "ses droits" sur toute technologie incorporée dans Suse Linux. L'éditeur, dans un article publié (sous forme de FAQ) sur son site, explique que "seuls les standards ouverts permettent une interopérabilité que tout le monde peut implémenter. C'est la vraie solution. Cela n'implique pas de signer un partenariat". A la question, seriez-vous prêt à signer un accord similaire avec Microsoft, Red Hat réplique et insiste sur le fait qu'"une taxe sur l'innovation est impensable. Les logiciels libres et Open Source fournissent l'environnement nécessaire pour une vraie innovation". L'indemnisation, désormais incluse dans Open Source Assurance Red Hat a toutefois glissé très discrètement dans son article que son programme de protection légale (Open Source Assurance) inclurait désormais l'indemnisation contre toute tentative de violation de la propriété intellectuelle. A l'origine, Open Source Assurance garantissait ses abonnés de la pérennité des systèmes Red Hat (Red Hat enterprise Linux et Jboss Enterprise Middleware) soit en remplaçant le code posant un problème de violation de copyright, soit en le modifiant pour qu'il devienne exploitable légalement, soit en obtenant les droits nécessaires pour son utilisation. (...)

(03/11/2006 17:51:18)

Novell et Microsoft concluent un vaste accord d'interopérabilité

Novell et Microsoft ont signé hier un large accord de coopération portant sur l'interopérabilité entre la distribution Suse Linux et les technologies Windows et Office. L'annonce est un tournant pour les deux sociétés qui ont passé une large partie des quinze dernières années à s'affronter sur le marché (avec le résultat que l'on sait pour Novell) puis dans les tribunaux. Il est particulièrement symbolique pour Novell, dont Microsoft a été la Némésis, et qui n'a eu de cesse, quelque soit son CEO, de faire du géant de Redmond son principal concurrent. Un accord technologique Avec l'accord signé hier, cette page est désormais (ou du moins provisoirement) tournée. Microsoft et Novell vont désormais collaborer sur trois domaines techniques clés: virtualisation, services Web et Open Document, afin d'assurer l'interopérabilité de leurs solutions. L'objectif affiché par les deux sociétés est de permettre une cohabitation harmonieuse entre les environnements Linux et Windows au sein des datacenters. Par exemple, Microsoft supportera pleinement Windows sur l'implémentation Xen de Suse, alors qu'il se refuse à le faire pour VMware et les autres distributions Linux... De même, "toutes les technologies de type Samba ou Mono sont couvertes par l'accord" explique Bernard Ourghanlian, le CTO de Microsoft France. Avec toutefois une exception notable : WINE dont la technologie est considérée comme une tentative de clonage par Microsoft et qui de ce fait est exclue du champ de l'accord. Une protection juridique contre la violation des brevets Microsoft Un autre aspect essentiel de l'accord porte sur la propriété intellectuelle. Selon les termes de l'accord Novell a acquis une licence des brevets essentiels de Microsoft et l'éditeur de Redmond s'engage à ne pas exercer "ses droits" sur toute technologie incorporée dans Suse Linux. De la même façon, les développeurs à but non commercial et les utilisateurs individuels sont protégés de toute poursuite par l'accord. Bien évidemment, le parapluie juridique de Microsoft se limite à la distribution de Suse et ne concerne pas les autres distributions. De fait, fort de l'accord avec Novell, Microsoft, et son directeur des affaires juridiques, Brad Smith, continuent d'agiter le chiffon rouge de la propriété intellectuelle en direction des autres partisans de Linux. Le géant continue de suggérer que Linux enfreint certains de ses brevets et contrevient à sa propriété intellectuelle, même si lors de la conférence, Brad Smith s'est bien gardé de répondre à la question de savoir si Red Hat viole la propriété intellectuelle du géant de Redmond. En fait il y a un pas entre les rodomontades de l'éditeur et d'éventuels actes contre des éditeurs ou utilisateurs de distributions Linux. Le jeu des brevets et de la propriété intellectuelle est tel dans le monde du logiciel que sa mise en pratique relève largement de la destruction mutuelle assurée. Et on voit mal comment Microsoft pourrait s'en prendre à IBM, Red Hat ou Oracle, et au travers d'eux à quelques millions de sociétés qui sont aussi ses clientes sans courir le risque d'être accusé d'abuser de sa position dominante dans plusieurs pays. Un risque de fragmentation de la communauté Linux ? Bruce Perens, un avocat bien connu des solutions libres, estime en revanche que l'accord comporte une menace plus voilée de fragmentation de la communauté du libre. Pour lui le risque est le suivant :"[Ce que dit Microsoft est que] vous devez achetez la distribution Linux de Novell comprenant la licence des technologies Microsoft, ou il y aura une menace implicite que Microsoft vienne frapper à votre porte pour faire valoir ses droits". Pour Perens, l'accord signé avec Novell mérite d'être analysé en détail car il pourrait "être en violation de la licence GPL". En fait, Novell qui jusqu'alors faisait front commun avec les autres acteurs du Libre sur le sujet des brevets, a préféré mettre ses propres intérêts et ceux de ses clients en avant, plutôt que de poursuivre sur la ligne communautaire. Une position dont il faudra voir à l'usage quel impact elle aura sur l'attitude des développeurs libres vis à vis de la firme, surtout si Novell conserve en interne certaines des technologies marquées du fer Microsoft. Chez Red Hat, où l'on se remet déjà difficilement de l'annonce par Oracle de sa propre offre de support, la "trahison" de Novell clôture une semaine difficile. Reste désormais à savoir si l'appui de Microsoft suffira à Novell pour regagner des parts de marché face à Red Hat. Notons enfin pour terminer que l'accord signé entre Microsoft et Novell n'affecte pas les poursuites antitrust engagées par Novell contre le géant de Redmond au sujet de WordPerfect. On peut être amis et conserver quelques désaccords. (...)

(03/11/2006 08:12:53)

Microsoft recommande Suse aux amateurs de Linux

Microsoft et Novell ont tenu hier une conférence de presse pour annoncer un accord d'interopérabilité sans précédent, aux termes duquel l'éditeur de Windows recommandera Suse aux entreprises "désirant utiliser simultanément des solutions Windows et Linux". Les deux entreprises s'entendent également sur l'administration de leur environnement respectif, et ont conclu un accord sur l'utilisation des technologies brevetées. Pour simplifier, les clients de Suse seront protégés de tout risque lié à une possible violation de brevets Microsoft. Bien sûr, Steve Ballmer, CEO de Microsoft, a tenu à rappeler qu'il ne s'agissait pas de sa part d'encourager à acquérir plus de Linux, mais bien de respecter la volonté de choix des clients. "Si vous voulez quelque chose, a-t-il dit, je continuerai de vous dire Windows, Windows, Windows." Davantage de détails dans la journée. (...)

(31/10/2006 09:52:29)

IBM lance une version de Notes pour Suse Linux Desktop

IBM a discrètement publié en octobre une version linux de son client Notes pour la distribution Suse Linux Enterprise Desktop (SLED) 10 de Novell. Notes 7.0.1 pour SLED 10 vient s'ajouter aux versions déjà disponibles pour Windows, Mac OS X et Fedora Linux. Si Domino, le serveur Notes, est disponible sur Linux depuis 1998, IBM a longtemps été très réticent à supporter Linux comme environnement client. Tout d'abord parce que l'OS libre n'a qu'une faible présence sur le bureau et ensuite parce que Big Blue a longtemps préféré mettre en avant son portail Workplace et le client riche associé sous Linux. Cette réticence n'est plus de mise. La prochaine mouture du client Notes, nom de code "Hanover", actuellement en bêta, sera multi-plates-formes et supportera nativement le format Open Document pour une meilleure intégration avec Open Office. (...)

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