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(30/10/2006 11:41:33)

Red Hat se prémunit contre l'offre d'Oracle

Après l'annonce d'Oracle jeudi, d'une offre de support de Red Hat Linux pour un prix de 50% inférieur (environ) à celui pratiqué par Red Hat lui-même, l'éditeur du Linux le plus populaire dans les entreprises a dû prendre quelques mesures pour soutenir son cours de Bourse. Vendredi, Red Hat a annoncé un plan de rachat de ses propres actions, à hauteur de 250 millions de dollars, plus 75 M$ de dette. Jeudi, le cours avait chuté de 24%, à 14,83 dollars. Vendredi, après cette annonce, il remontait de 5,39%. Nombre d'observateurs s'étaient d'ailleurs demandé si l'annonce d'Oracle n'était pas tout simplement un moyen de faire baisser le prix de Red Hat afin de pouvoir le racheter. Côté prix du support, Matthew Szulik, le CEO de Red Hat, a décidé de camper sur ses positions. Il l'a affirmé vendredi, sur la chaîne câblée américaine CNBC, et a démarré une campagne de communication sur le thème « unfakeable Linux », qu'on pourrait traduire par « Linux incopiable », en réponse au « unbreakable Linux » (Linux incassable) d'Oracle. Iain Gray, vice président responsable des offres de services de support de l'éditeur, a ainsi estimé que le prix n'était pas le principal souci des utilisateurs. « Personne ne m'interroge sur le prix du support, dit-il. La majorité des préoccupations qui nous sont rapportées concernent la façon dont on gère le support de l'infrastructure, comment on travaille avec de multiples fournisseurs de matériels et de logiciels. » L'IOUG se dit « très excitée » par l'annonce d'Oracle Dans son blog, Dave Dargo, CTO d'Ingres, concurrent Open Source d'Oracle, a ainsi raillé la promesse d'économies d'Oracle, en rappelant que les quelques centaines de dollars concernées ne sont qu'une paille au regard du coût du support de la base de données. Le club des utilisateurs Oracle, en revanche, s'est dit « très excité » par l'annonce, la moitié de ses membres environ faisant tourner leur base Oracle sur Linux. Ari Kaplan, président de l'IOUG (Independent Oracle User Group), apprécie l'idée d'avoir un fournisseur unique : « Ce support d'Oracle pour Linux embrasse toute la couche des meilleures technologies depuis le système d'exploitation jusqu'à la base de données, [en passant par] le middleware Fusion, le serveur d'applications et les applications. » Rien ne dit en revanche que le support proposé par Oracle sera à la hauteur, en termes de réactivité ou de connaissance du produit, de celui offert par le propre concepteur de cette distribution Linux. Et comme le soulignait il y a quelque temps Dave Dargo dans un entretien avec www.lemondeinformatique.fr, Oracle ne peut faire que la moitié du chemin vers un support global : dans la mesure où la base de données n'est pas sous licence GPL, Oracle ne peut pas offrir de correctif intégré pour l'ensemble, base et système d'exploitation. (...)

(27/10/2006 12:33:15)

Canonical annonce la version 6.10 d'Ubuntu

Située sur l'île de Man (un paradis fiscal), dans la mer d'Irlande, Canonical est une société fondée et financée par Mark Shuttleworth, un entrepreneur sud africain, et dédiée à la promotion de projets Open Source tels que Ubuntu (une distribution Linux GNU basée sur Debian), Bazaar (une implémentation de GNU Arch), Go Open Source (pour la promotion des logiciels libres en Afrique du Sud) et TheOpenCD (une collection d'applications libres pour Windows). Parmi les nouveautés de la mouture 6.10 d'Ubuntu dénommée « Edgy Eft », on trouve le processus de démarrage rapide UpStart qui remplace le vieux procédé de boot utilisé sous système V Unix. A noter que Edgy Eft arrive juste quelques jours après Fedora Core 6 de Red Hat, distribution Linux également gratuite et déjà téléchargée plus de 10 000 fois au cours des cinq premières heures de présence en ligne. Mais grande différence, Canonical propose un support gratuit alors que Red Hat enjoint ses utilisateurs à passer à la version Red Hat Enterprise (payante) pour obtenir un support. Précisons que Ubuntu 6.10 accueille notamment la dernière version de l'interface graphique Gnome 2.6, le navigateur Web Firefox 2.0, le logiciel de courrier électronique Evolution 2.8 ainsi que Tomboy, un utilitaire pour prendre des notes et enfin F-Spot pour gérer des photos. (...)

(26/10/2006 17:07:30)

Oracle lance Unbreakable Linux 2.0 dans les jambes de Red Hat

Après avoir officiellement effectué la clôture du NASDAQ pour le 20e anniversaire de la cotation d'Oracle en bourse, Larry Ellison a annoncé hier le lancement d'Oracle Unbreakable Linux 2.0. Cette offre, qui se présente en surface comme une offre de support Oracle pour le système d'exploitation Linux de Red Hat, marque en fait l'entrée officielle d'Oracle sur le marché des distributions Linux. Selon Larry Ellison, deux obstacles entravent encore la progression de Linux dans les entreprises. Le premier est l'absence d'un véritable support entreprise pour l'OS. Oracle indique notamment que les entreprises doivent souvent attendre la prochaine version du kernel linux pour bénéficier d'un correctif, sans possibilité de régression sur le kernel existant. "Pour les grands comptes, c'est tout simplement inacceptable. Un vrai support entreprise nécessite des correctifs pour la mouture en production et non pas sur une version à venir". L'autre obstacle selon Ellison est le coût élevé du support Linux et la menace de violation de propriété intellectuelle qui pèse toujours sur l'OS. "Accélérer l'adoption de Linux dans les entreprises" C'est officiellement pour résoudre ces problèmes et accélérer la diffusion de Linux dans les entreprises qu'Oracle lance Unbreakable Linux 2.0. La nouvelle offre résonne comme un défi à Red Hat. Ce que propose en effet Oracle est de supporter la distribution du numéro un mondial Linux pour 50 à 66% moins cher que Red Hat. Le programme n'est pas limité aux clients des autres produits Oracle, mais ceux-ci bénéficient d'une période d'essai gratuite de 50% sur les tarifs de lancement Concrètement quand Red Hat facture 999$ par serveur bi-processeur pour son support de base, Oracle propose une offre équivalente pour 399$. Pour un nombre illimité de processeurs, le prix d'Oracle est de 999$ contre 2499$ pour Red Hat. Oracle propose aussi un support "Premier" 24/24 au niveau mondial avec notamment la correction des bugs, l'indemnisation et la protection juridique contre toute violation de propriété intellectuelle et le portage des correctifs sur les versions existantes ou antérieures du Kernel. Ce support est facturé 1199$ quelque soit le nombre de CPU. Plus qu'un programme de support, une vraie distribution Dans la pratique, Oracle supporte l'ensemble des versions de Red Hat advanced Server (3 et 4) sur plates-formes x86 32 et 64 bit (le support d'autres plates-formes comme Itanium et Power est à l'étude). L'éditeur fournit un programme de configuration qui en quelques secondes reparamètre l'OS pour aller chercher ses mises à jour et correctifs sur l'Unbreakable Linux Network (ULN) en lieu et place de Red Hat Network (RHN). Oracle ne s'arrête toutefois pas là et propose sa propre version de Red Hat sous la forme de binaires et d'images ISO. Selon Oracle, il ne s'agit pas d'un fork (une version autonome parallèle). Comme l'explique Wim Coekaerts le vice-président de l'ingénierie Linux de la firme, "Nous récupérons le code source de Red Hat et en retirons les marqueurs ainsi que les éléments copyrightés [tels que les logos, NDLA]. Ce code est ensuite recompilé pour générer nos exécutables". Coekaerts assure qu'Oracle synchronisera systématiquement les correctifs qu'il apportera à "son" Linux avec le code de Red Hat de façon à éviter la fragmentation. Oracle communiquera également le code source de ses correctifs dès leur publication aux autres distributeurs Linux ainsi qu'à la communauté. Menace pour l'avenir de Red Hat ? Interrogé sur le risque d'affaiblir voire à terme de menacer l'existence de Red Hat, Larry Ellison, provocateur, a rappelé que le but d'Oracle est "d'accélérer l'adoption de Red Hat Linux. Je ne pense pas que cela va tuer Red Hat. Cela relève la barre du support et les amènera peut-être à revoir leurs prix. C'est le capitalisme. C'est la concurrence". A un utilisateur qui l'interrogeait sur la volonté d'oracle de baisser les coûts de support de ses propres produits, Ellison a également rétorqué, moqueur, qu'Oracle " étudie toujours la baisse de ses prix". Comme le rappelle dans son blog Dave Dargo, le CTO d'Ingres, il est facile de mettre en avant des économies de quelques centaines de dollars sur le support Linux quand on continue à facturer 35000 dollars pour le support de sa propre base de données. Et Oracle ne court aucun risque que Red Hat vienne riposter sur son terrain. Le code source de son SGBD et de ses logiciels est fermé et les dirigeants de la firme ont confirmé que cela n'était pas près de changer. En attendant, l'action Red Hat plongeait de plus de 10% dans les transactions après la clôture du NASDAQ effectuée par Ellison. (...)

(25/10/2006 17:45:09)

Munich met le turbo pour sa migration vers l'open source

Munich a effectivement commencé à migrer ses 14 000 postes de travail sous Linux au mois de septembre dernier, trois ans après avoir lancé son projet LiMux et avec un an de retard. Loin de vouloir renoncer, la ville espère désormais rattraper ce retard en accélérant les déploiements : « nous prévoyons de finaliser la migration d'ici à 2008 et je ne vois aucune raison de ne pas y parvenir », explique Wilhelm Hoegner, DSI de Munich. Dans ce délai de moins d'un an, la ville espère notamment réussir à convaincre certains de ses fournisseurs de lui fournir les connecteurs nécessaires à l'interface entre ses applications et ses postes de travail. SAP a déjà accepté d'intégrer la suite bureautique OpenOffice avec une prochaine version de son progiciel. Du point de vue utilisateur, Christine Strobl, la mairesse de Munich, s'avoue déjà satisfaite du début de la migration : « je ne suis pas une experte en technologie, mais je dois admettre qu'il est extrêmement facile de migrer vers ces nouveaux logiciels. » Le retard enregistré par le projet ne devrait pas entraîner de surcoût . En s'appuyant sur les coûts actuels, Wilhelm Hoegner estime que la migration devrait coûter moins que les 35 ME prévus au budget. (...)

(04/10/2006 17:55:20)

Mandriva 2007: la réponse de Mandriva à SLED 10

Mandriva 2007, dernière mise à jour de l'OS Linux pour desktop, s'extirpe enfin de ses phases de tests. Le Français Mandriva, son éditeur, a rendu disponible en téléchargement les versions gratuites du système (les éditions Mandriva One et Linux Free). Les versions commerciales et payantes restent également en vente sur la boutique en ligne : l'édition Discovery pour les non-initiés (à 44 euros), la PowerPack (à 79 euros) et enfin le haut de gamme la PowerPack + pour les utilisateurs avertis (à 179 euros). Mandriva compte ainsi jouer des coudes sur un marché du bureau Linux déjà trusté par Red Hat et surtout par Suse Linux (SLED 10) de Novell, qui à l'image de Mandriva 2007, couvre un éventail de fonctionnalités multimédia et pratiques dédiées notamment au grand public. La mouture 2007 de Mandriva dévoile notamment un bureau 3D, un ensemble d'outils bureautiques (OpenOffice, TheGimp, Firefox et Thunderbird), de loisirs (lecteurs video et audio, jeux) et enfin d'utilitaires (antivirus Kaspersky, Firewall, Skype et un outil d'installation de paquets RPM simplifié). Il est à noter que Mandriva a lancé le 20 septembre Mandriva Corporate 4.0, dernière mouture de son OS serveur. (...)

(25/09/2006 17:40:32)

IBM pourrait supporter la distribution Linux du chinois Red Flag

Après les distributions Linux de Red Hat et de Novell, IBM pourrait supporter celle du chinois Red Flag pour ses applications. Profitant d'un entretien avec nos confrères de IDG News Services la semaine dernière, Adam Jollans, directeur marketing d'IBM pour l'open source, a indiqué que la prochaine distribution Linux supportée par Big Blue pourrait venir du marché chinois, avec Red Flag en favori : « nous observons de très près la Chine pour voir ce qui s'y passe. » Mais Adam Jollans n'a pas manqué de souligner qu'IBM aborde avec prudence la question du support des distributions Linux. L'éditeur dispose d'un portefeuille logiciel fort d'environ 300 produits. En assurer le support sous Red Hat et Suse, sur plateformes x86, Power et zSeries, implique le test de 1800 logiciels. Le support d'une troisième distribution porterait à 2700 le nombre de logiciels à tester. Pour autant, IBM ne se veut pas fermé. Adam Jollans assure ainsi que Big Blue va supporter d'autres distributions Linux dès maintenant, mais principalement pour des clients ou des installations de grande ampleur. (...)

(22/09/2006 13:02:11)

LiMux/ Munich: les premiers PC ont enfin migré

La ville de Munich démarre enfin la migration Linux de ses 14 000 postes de travail Windows, trois ans après avoir annoncé le projet de chantier. Limux, nom du projet qui comprend également le passage d'Office à OpenOffice, accuse un an de retard par rapport au calendrier fixé initialement. Un décalage qui avait attiré l'attention du Sénat allemand en juillet dernier. Depuis mardi, cent PC ont migré vers l'OS Open Source dédié, bâti sur une distribution Debian 3.1, l'interface KDE 3.5 et OpenOffice 2.x. Pour aider les utilisateurs, les équipes de développeurs ont notamment publié un guide de conversion de formats bureautiques, d'Office vers OpenOffice. Au total, ce sont près de 200 postes de travail qui devraient basculer, "ceux utilisés pour des tâches basiques" nuance le chef du projet, d'ici à la fin de l'année. Avant d'entamer le gros du chantier: la migration des départements tenus par les processus métiers complexes. L'objectif est toujours de réaliser 80% du projet en 2008, rappelle le chef de projet. Rappelons que Limux ne couvre qu'une partie de l'infrastructure de la Mairie. Certaines applications resteront équipées en Windows et une petite partie du parc restera sur Apple. (...)

(20/09/2006 18:12:14)

Debian va payer ses contributeurs pour respecter ses délais

Debian se prépare à rémunérer ses développeurs clés afin de s'assurer du respect de la date de lancement de la version 4.0 de sa distribution Linux, fixée au 4 décembre prochain. Une démarche originale pour un projet de développement communautaire. Ce qui est présenté comme une « expérimentation » s'inscrit dans une démarche de rupture avec les habitudes de retard du groupe de développement : la seule date de sortie jamais respectée fut celle de Debian 1.3, en juin 1997. Baptisé Dunc-Tank, ce projet expérimental va devoir faire ses preuves en assurant la rémunération à temps plein des développeurs Steve Langasek et Andi Barth en octobre et novembre, respectivement. Imaginé par le chef de projet Anthony Towns, Dunc-Tank a fait l'objet d'âpres discussions pendant près d'un mois : « ce fut assez polémique, avec à la fois des soutiens et des objections très forts », explique Anthony Towns. Néanmoins, le projet aurait déjà reçu de nombreuses promesses de dons. Reste à savoir de combien le projet Dunc-Tank a besoin pour aboutir. Optimiste, Anthony Towns estime que « l'argent pourrait même ne pas être nécessaire. Nous sommes déjà bien placé pour respecter la date de lancement. ». Réponse dans quelques mois. (...)

(19/09/2006 17:42:15)

Red Hat sort une pile applicative intégrée pour les développeurs J2EE

Red Hat a dévoilé aujourd'hui sa première pile serveur d'application Open Source basée sur les composants acquis après le rachat de Jboss. La pile Applicative de Red Hat se compose du serveur Red Hat Enterprise Linux, de JBoss Application Server, de JBoss Hibernate et d'une base de données à choisir entre MySQL et PostgreSQL. Destinée aux développeurs Linux et Java faisant tourner moins de 10 serveurs, l'offre de Red Hat sera proposée prochainement en ligne via le Red Hat Network pour un prix approximatif de 1999 $ par serveur (licence illimitée avec support). Avec sa nouvelle offre, Red Hat espère séduire les utilisateurs actuels des serveurs d'applications J2EE de BEA Systems et IBM, les deux leaders du marché des serveurs d'applications Java. Ce n'est d'ailleurs pas un hasard si l'annonce tombe à la veille de l'ouverture de BEAWorld à San Francisco, et si Red Hat nargue IBM en ajoutant que ses prochaines annonces porteront sur des offres à destination de marchés verticaux. (...)

(14/09/2006 17:43:12)

Coder en .NET 2.0, générer du Java, déployer sur Linux

L'éditeur américain Mainsoft a annoncé la disponibilité de Visual MainWin for J2EE Version 2.0 Technology Preview (nom de code Grasshopper), un outil qui permet de réutiliser les compétences Microsoft Windows et Visual Studio pour développer des applications J2EE sur plates-formes Linux. Visual MainWin est un plugin de Visual Studio permettant aux développeurs d'utiliser Visual Basic .NET, C# et ASP.NET pour créer des applications cross-plateforme qui tourneront sur Linux en s'appuyant sur un serveur d'application J2EE. La version 2.0 Technology Preview n'est pas complète. Elle supporte Visual Studio 2005 et le framework .NET 2.0, mais partiellement. Elle est pour l'instant limitée au langage C#, avec cependant les nouveautés de la version C# 2.0. Elle permet de créer des applications Web qui se déploient sur Apache Tomcat, sur Linux ou toute autre plate-forme Java. Cette version est téléchargeable sur le site de Mainsoft. La version finale du produit avec le support complet de Visual Studio 2005 et du framework .NET 2.0 est prévue pour la fin du premier trimestre 2007. (...)

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