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Linux

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(07/04/2006 10:15:18)

Intel et Red Hat veulent aider les entreprises à déployer Linux

Intel et Red Hat viennent d'annoncer conjointement la création d'un programme visant à aider les entreprises « à accélérer et à optimiser leurs déploiements de solutions Linux ». Baptisé Red Hat-Intel Solution Acceleration Program, ce programme entend « donner accès aux entreprises en temps réel à des informations critiques, des outils et le support dont elles ont besoin pour optimiser leurs solutions Linux à forte valeur ajoutée sur les plateformes Intel, » exploque Jon Bork, directeur du bureau du programme Open Source d'Intel. Concrètement, le programme conjoint de Red Hat et d'Intel prévoit de favoriser le transfert de connaissances et la formation; la mise en oeuvre de solutions de démonstration; l'accès à des solutions de référence; ainsi que le test et le portage d'application. Le programme se concentrera notamment sur les initiatives mettant en oeuvre la virtualisation et les architectures multi-coeurs. Le programme de Red Hat et d'Intel sera accessible en ligne depuis les sites des deux partenaires ainsi que dans trois centres spécialisés en Virginie, en Inde, en Allemagne, et quatorze autres centres installés dans des bureaux de Red Hat à travers le monde. (...)

(06/04/2006 17:35:10)

Microsoft lance un site dédié à Linux

A l'occasion de LinuxWorld, Microsoft devrait aujourd'hui dévoiler un portail web censé détailler ses efforts d'interopérabilité avec Linux et l'open source. Baptisé http://port25.technet.com, - le port 25 est le port de communication par lequel transitent les emails- , le site représente la porte d'entrée de tous les travaux d'interopérabilité entrepris dans les laboratoires Microsoft, explique l'éditeur de Redmond. Et de s'assurer au final que sa stratégie en la matière est bien comprise, «en toute transparence ». Cette semaine, Microsoft avait également ouvert son nouvel environnement de virtualisation Virtual Server 2005 R2 à la plupart des distributions Linux de Red Hat et Novell. Rappelons que l'interopérabilité des protocoles propriétaires de Microsoft est notamment un point de friction entre l'éditeur et la Commission Européenne. (...)

(06/04/2006 17:39:14)

Le projet Portland rapproche KDE et Gnome

L'OSDL (Open Source Development Labs) et freedesktop.org ont dévoilé leurs premiers développements du projet Portland (« Portland Project »). Ce dernier a pour objectif de lier les API des deux environnements graphiques Linux, Gnome et KDE. Afin de fluidifier les travaux des développeurs, généralement obligés de choisir l'un ou l'autre pour interfacer leurs développements. Le projet, lancé en décembre 2005 par les architectes de l'OSDL, se compose d'outils en ligne de commande et d'une série d'API. Ils sont actuellement testés auprès de développeurs. Mais une première version béta est prévue pour la fin mai. Et la version 1.0, dès juin. (...)

(06/04/2006 17:40:47)

Red Hat ferme la Fedora Foundation

Quelques mois seulement après sa création, Red Hat vient de décider de fermer la Fedora Foundation. L'éditeur estime aujourd'hui que le rôle de cette fondation, créée en juin dernier, est inutile quand elle n'entrave pas tout simplement l'avancée du projet Fedora. La fondation n'a pas su trouver son rôle propre. Ainsi, elle aurait pu servir à la communauté Open Source pour déposer des brevets mais la croissance fulgurante de l'Open Invention Network lui a enlevé ce rôle. De même, la fondation n'a pas su devenir une force par rapport aux tribunaux. Enfin et surtout, la création de Fedora Foundation était le résultat d'une demande expresse de la communauté pour ouvrir Fedora. Mais ce but n'a pas été atteint : la partie commerciale de Red Hat est fondée sur Fedora et il lui est impossible de ne pas avoir un droit de veto. Pour compenser la fin de la fondation est morte, Red Hat vient de muscler le projet Fedora avec de nouvelles ressources. Reste à maintenir le fragile équilibre entre développeurs de la communauté et édition "commerciale" de distributionx linux. (...)

(06/04/2006 12:04:08)

Ingres développe une appliance Linux

Ingres veut revenir sur le devant de la scène. L'éditeur open source a déclaré à LinuxWorld travailler au développement d'une appliance combinant sa base de donnée et un OS Linux. Pour l'heure à l'état de prototype, l'ensemble baptisé Ingres Software Appliance est attendu avant la fin de l'année. Cela servira de socle pour d'autres appliances, explique Ingres. Les constructeurs pourront alors y reposer une couche applicative supplémentaire, et ainsi développer leur propre boitier. Pour Ingres, le concept de "pile" devrait également faciliter la maintenance de l'ensemble et alléger les procédures d'intégration. L'OS Linux embarqué est un dérivé d'une distribution connue, mais Ingres n'a pas souhaité en dévoiler le nom. (...)

(04/04/2006 16:57:51)

Linux peine à convaincre le marché de l'embarqué

Alors que Linux s'immisce au plus profond des systèmes d'informations des entreprises de toute taille, le marché de l'embarqué, lui, est frileux à basculer vers l'OS open source. Et n'intéresse peu ou pas du tout les constructeurs de solutions mobiles. C'est ce que révèle une étude publiée (*) à l'occasion de la conférence 2006 Embedded Systems Conference Silicon Valley. Ainsi, un seul maigre 17% des constructeurs interrogés utilisent l'OS au pingouin pour motoriser leurs appareils, qu'ils soient PDA, téléphone portables, ou autres boîtiers autonomes. Tandis que 66% d'entre eux déclarent rejeter (à 34%) ou ne pas voir de projets en cours (à 32%) reposant sur Linux. Plus surprenant, le taux d'adeptes diminuerait, passant de 25% en 2005, à 17% aujourd'hui. Plusieurs raisons sont à noter, nous explique l'étude. En premier, la maturité : Linux souffrirait de problèmes liés à la compatibilité entre applications et pilotes (à 60%), de manque de performance et d'absence de gestion du temps réel (à 31%) - éléments primordiaux dans l'embarqué-. Et ensuite la rareté du support (à 28%). Soit en clair, les constructeurs seraient dans l'incapacité de développer -et donc de commercialiser- une offre appropriée au marché. Du côté des adeptes Linux, un coût amoindri ainsi que la flexibilité restent les principaux -et indissociables de toute offre open source- arguments. Rappelons au passage que Linux est soutenu par trois initiatives visant à la promotion et à la standardisation d'un socle pour les solutions mobiles, notamment les téléphones portables. Le « Mobilinux Open Framework » autour Montavista et PalmSource travaille à des API standards entre Linux et les couches applicatives. Ce qu'a également entrepris le très sérieux consortium OSDL (Open Source Developement Labs) -qui emploie notamment Linux Torvalds- autour de son projet Mobile Linux Initiative (MLI). Et enfin LIPS (Linux Phone Standardization Forum) sous l'impulsion de PalmSource et France Télécom, et dont les premiers appareils sont attendus en 2007. (*) 2006 Embedded Systems Design State of Embedded Survey (...)

(04/04/2006 12:42:23)

IBM et Novell s'associent pour pousser Linux dans les PME

Enième tentative de séduction Linux envers les PME : Novell et IBM ont décidé de réunir leurs forces afin de mieux cibler le marché très juteux des petites structures. Au programme : la commercialisation d'une deux solutions middleware combinant SuSE Linux Enterprise Server, le serveur d'application Websphere Application Server Community Edition, DB2 Express-C, ainsi que , côté matériel, la possibilité d'y greffer un serveur xSeries ou BladeCenter. Pour mémoire, Websphere Application Server Community Edition est un serveur d'application IBM gratuit et J2EE reposant sur Geronimo. DB2 Express-C est également une version gratuite de DB2, SGBD de Big Blue. Une première solution commune sera proposée par Novell via son partenaire Avnet, qui se chargera, selon Novell, de l'intégration avec les environnements Microsoft. Le second, qui devrait également embarquer une version de test des outils VMWare, sera dispensé par IBM, tant chez ses partenaires que ses clients, sous le nom Integrated Linux Stack. Une version davantage tournée vers les développeurs est en prévision, incluant notamment les outils Eclipse. Sortie officielle: fin avril 2006 (...)

(03/04/2006 17:53:30)

Virtual Server 2005 R2 : désormais gratuit et compatible Linux

Microsoft a annoncé ce jour la disponibilité de Virtual Server 2005 R2, la dernière mouture de son environnement de virtualisation pour Windows. Désormais gratuit, Virtual Server supporte aussi officiellement les distributions linux serveur et clientes de Red Hat et Novell. En revanche, Microsoft a abandonné l'idée originelle de supporter les extensions d'assistance à la virtualisation d'AMD (Pacifica) et Intel (VT) dans Virtual Server R2. Ce support n'arrivera finalement qu'au premier trimestre 2007. Comme l'explique Eric Nataf responsable de l'offre infrastructure de Microsoft France, " Virtual Server R2 sera désormais gratuit en téléchargement. C'est une direction vers laquelle évolue l'industrie avec l'inclusion gratuite de la couche de virtualisation dans les systèmes d'exploitation". Microsoft a, il est vrai, un petit temps de retard sur ses concurrents. VMware a déjà annoncé la gratuité de son environnement de virtualisation VMware Server et Red Hat et Novell ont annoncé que les prochaines moutures de leurs distributions serveurs intégreront l'hyperviseur Xen, conçu par XenSource à Cambridge. Redmond devrait les imiter à la fin 2007, avec l'inclusion d'un hyperviseur dans Windows Longhorn Server. Cette inclusion gratuite de la virtualisation entérine le rôle important de la technologie dans l'optimisation des ressources des serveurs x86. Mais pour Eric Nataf, elle ne signifie pas que la virtualisation doit être déployée systématiquement : " Clairement la virtualisation est intéressante pour les environnements de test et de développement, mais aussi pour l'optimisation de ressources serveurs. En revanche, virtualiser des ressources critiques comme la base de donnée ou la messagerie n'est pas forcément une pratique recommandée par Microsoft". La gratuité de la couche de virtualisation ne signifie pas pour autant que Microsoft abandonne tout espoir de gagner de l'argent avec cette technologie. Pour Eric Nataf, "D'une manière générale, la monétisation se fera au niveau de la couche de management. La politique de Microsoft dans ce domaine sera d'intégrer la gestion des environnements virtualisés dans nos outils existants, Microsoft Operations Manager (MOM) et Systems management Server (SMS)". Support officiel de Linux Avec Virtual Server R2, Microsoft apporte une fonction très attendue de certains clients. Comme promis en novembre lors du dernier IT Forum, l'éditeur a annoncé le support officiel de Linux en tant qu'OS hébergé. "Jusqu'alors Linux tournait dans Virtual Server, mais cette pratique n'était pas supportée. Avec R2, nous livrons des virtual machines add-ins qui permettent d'optimiser les performances. Nous fournissons notamment des pilotes pour la souris, la vidéo, et pour SCSI" Microsoft apporte aussi un support technique officiel pour les clients qui font tourner Linux dans Virtual Server. Ce support se limite à l'interopérabilité. En clair, si le problème rencontré est lié à un défaut ou à un problème avec Virtual Server, Microsoft guidera le client dans la résolution de son souci. Si en revanche le problème rencontré est lié à Linux, sa résolution sera renvoyée à l'éditeur de la distribution. La bonne nouvelle est que l'éditeur met en place des équipes de support produit spécialisées, formées aux principales distributions Linux de Red Hat et Novell, pour répondre aux demandes de ses clients... Virtual Server 2005 R2 devrait être téléchargeable gratuitement sur le site de Microsoft au cours des prochains jours à l'adresse : http://www.microsoft.com/windowsserversystem/virtualserver/downloads/default.mspx . (...)

(30/03/2006 18:00:54)

L'OSDL créé le Fellowship Fund pour financer les développeurs open source

Tout à sa stratégie d'être au centre des développements Linux, l'OSDL (Open Source Development Labs) vient d'annoncer la création d'un fond d'aide aux développeurs open source, l'OSDL Fellowship Fund. Son principe: rémunérer ponctuellement les développeurs pour qu'ils se dégagent de leurs contraintes professionnelles. Et se concentrent alors sur leurs travaux à l'OSDL. Son objectif : caler les cycles de développements du noyau Linux et de projets adjacents sur les besoins du marché. Le fond servira ainsi de levier financier à certains projets que le Technical Advisory Board (TAB) -comité de développeurs, récemment formé pour superviser les évolutions technologiques du noyau- aura défini comme étant une « haute priorité ». Et décidera au final quelle impulsion donner à quel projet. Des équipes de développeurs seront alors sélectionnées par le TAB. Ils seront alors rétribuer pour se consacrer à plein temps sur leurs développements au sein de l'OSDL. « Beaucoup de développeurs de la communauté sont souvent contraints par des obligations professionnelles, occasionnant parfois des conflits d'intérêts avec leur employeur. Ce fond servira alors à les payer sur la durée du projet », commente Claude Buellens, directeur EMEA de l'OSDL. Plus globalement, ce fond vise également à aligner les développements de l'OS open source sur le marché. Et surtout « combler ses petits trous et ses retards dans le processus de développement », confie Claude Buellens. «Linux est devenu bien accepté en entreprise. Mais ça ne veut pas dire qu'il soit accepté à 100%. Nous ne voulons pas freiner son ascension par quelque retard dans les processus de développement. » Pour l'heure, les procédures d'attribution, tout comme la nature des projets, sont encore étudiés par le TAB. « Dans le passé, l'OSDL s'est notamment concentré sur Samba en intégrant Andrew Trigdell, son créateur, dans ses laboratoires », glisse Claude Buellens. Même incertitude quant aux donations des entreprises. (...)

(30/03/2006 18:02:15)

Doublement du bénéfice net trimestriel de Red Hat

Red Hat a enregistré un bénéfice net de 27,3 M$ pour le quatrième trimestre de son exercice fiscal 2006, clos le 28 février dernier, soit 131 % de mieux qu'un an plus tôt. De quoi rendre jaloux son principal concurrent, Novell. Pour la période, le chiffre d'affaires de l'éditeur de distributions Linux s'établit à 78,7 M$, soit 37 % de plus qu'au quatrième trimestre de l'exercice précédent. Cette progression est principalement liée à celle des ventes de licences qui ont progressé de 44 % en un an, à 66,7 M$. Sur l'ensemble de l'exercice 2006, le chiffre d'affaires de Red Hat a progressé de 42 % à 278,3 M$, pour un bénéfice net de 79,7 M$, soit 75 % de mieux que pour l'exercice précédent. Dans un communiqué, l'éditeur relève que "l'année écoulée a permis d'affirmer [sa] capacité à gérer la croissance » et attribue sa réussite commerciale aux « interactions positives entre [sa] communauté, [son] écosystème, et [ses] clients." (...)

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