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Linux
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(06/06/2006 17:36:40)
Windows Server 2003 plus fiable que Linux, selon le Yankee Group
Les résultats sont tombés: "Windows Server 2003 est plus fiable que Linux", a révélé le Yankee group dans son étude annuelle sur la fiabilité des OS serveurs (*). Windows Server reste toutefois derrière les OS UNIX, notamment HP-UX ou Solaris 10 de Sun, sans en préciser l'ampleur. Si les serveurs OS ont globalement amélioré leur degré de fiabilité, constate le cabinet, Windows Server 2003 a recueilli un degré plus élevé de fiabilité, devant Linux (représenté par Red Hat Enterprise Linux) et les OS open source de niche, "avec 20% de temps d'utilisation supplémentaire à l'année selon des scénarii de déploiements équivalents". En clair, les OS Linux ont enregistré des temps d'inactivité plus longs, et plus nombreux. Plus surprenant, le cabinet attribue cela à la rareté de la documentation des offres open source, "comparé aux OS plus matures et plus établis" En moyenne, l'ensemble des serveurs testés ont connu trois à cinq défaillances par serveur et par an. Soit entre 10 et 19,5 heures de plantages annuels par serveur. Selon les estimations Gartner et IDC au troisième trimestre 2005, les ventes de serveurs Windows avaient détrôné les ventes de serveurs UNIX. Une première. (*) "2006 Global Server Reliability Survey" (...)
(02/06/2006 10:33:29)Red Hat libère ses outils de tests et certifications aux développeurs
Retour aux sources pour Red Hat. L'éditeur open source plus connu pour sa distribution Linux pour serveur Red Hat Enterprise Linux, vient d'annoncer son intention de livrer à la communauté open source ses outils de test développés en interne. Première brique du projet, Dogtail, diffusé sous licence GPL, vise à tester les interfaces graphiques sous Linux, ainsi que les procédures d'automatisations pour desktop. L'idée est de faciliter les tests, et ainsi la certification d'applications, sur ses propres OS. Red Hat prévoit en premier lieu de soumettre à la communauté Fedora, et pourrait dans un second temps décliné une version commerciale, incluant une offre de support. Autre élan tourné vers les développeurs, Red Hat a débuté les tests d'un portail communautaire baptisé "108", censé héberger les sources de projets open source. L'idée est de créer un espace d'échange entre partenaires, développeurs, intégrateurs et éditeurs autour de l'open source. Red Hat explique qu 'il y distillera ses conseils et sa vision en la matière. En savoir plus: Le site de Dogtail : http://people.redhat.com/zcerza/dogtail/ Le site communautaire 108 : www.108.redhat.com/ (...)
(30/05/2006 18:10:41)Ubuntu Linux fait officiellement sa sortie sur les serveurs Sparc T1 de Sun
Comme l'avaient déjà laissé entendre à JavaOne Jonathan Schwartz, le patron de Sun, et Mark Shuttleworth, le patron de Canonical et mentor de la distribution Linux Ubuntu, Canonical a officiellement annoncé aujourd'hui le support des serveurs équipés de la puce UltraSparc T1 ("Niagara") par la version 6.06 d'Ubuntu (nom de code "Dapper Drake"). Lancée en 2004 par le milliardaire sud-Africain - Shuttleworth a fondé Thawte, qu'il a ensuite revendu à Verisign- Ubuntu, est aujourd'hui l'une des distributions Linux les plus populaires dans le monde. Dérivée de Debian, Ubuntu est utilisé par plusieurs millions de personnes dans le monde. Canonical entend accélérer son adoption avec la disponibilité de la version 6 "Dapper Drake". La firme entend aussi développer son utilisation par les entreprises avec le lancement attendu pour le premier juin d'une version serveur de sa distribution. Déja disponible sur processeurs x86 32 et 64 bit ainsi que sur PowerPC, Ubuntu sera désormais disponible sur les serveurs Sun Fire T1000 et T2000. Selon canonical, le portage a été simplifié par la mise dans le domaine public par Sun des spécifications du processeur Sparc T1 "Niagara" qui anime les deux serveurs. La version Ubuntu 6.06 LTS (long-term support) de Cannonical sera accompagnée d'une garantie de maintenance de 5 ans pour les entreprises. La firme devrait aussi proposer des offres de support payantes pour les sociétés qui le désirent. Un contrat de support d'un an devrait ainsi coûter environ 700 $ par serveur UltraSparc T1. Il est à noter que la version Dapper Drake d'Ubuntu pour Sparc T1 ne supporte pas encore l'hyperviseur intégré dans la puce. Canonical travaille cependant sur le support de l'hyperviseur de Sun et devrait proposer prochainement les outils nécessaires pour virtualiser un serveur Sparc T1 en supportant conjointement Solaris et Linux... (...)
(30/05/2006 12:38:25)Red Hat s'étend au Brésil et en Argentine
Red Hat débarque dans le fief de Mandriva. L'éditeur open source américain a annoncé l'ouverture de deux filiales en Amérique Latine. Une première succursale prendra pied à Sao Paolo (Red Hat Brésil), une seconde à Buenos Aires (Red Hat Argentine). Red Hat, pour conquérir directement ce territoire, a racheté deux antennes de son distributeur local. Leur gérant, Julian Somodi, devient directeur général de l'enseigne pour la région Amérique du Sud. Dans un communiqué, l'éditeur explique que son implantation directe au Brésil et en Argentine l'aidera à adapter ses offres au marché local. Les deux succursales garantiront également une prestation de support technique. Rappelons que l'Amérique Latine, considérée comme une région émergente, représente un juteux marché pour les éditeurs de logiciel open source. En février 2005, La Français Mandriva avait racheté le Brésilien Conectiva, pour asseoir sa stratégie sur les entreprises locales. (...)
(14/04/2006 12:57:29)Xen ne sera pas l'hyperviseur exclusif de Linux
Les développeurs du noyau Linux travaillent actuellement à l'écriture d'une couche d'abstraction qui va permettre de décorréler le noyau des hyperviseurs sous-jacent. La conséquence à court terme de ces travaux est, qu'il sera possible pour les clients de choisir l'hyperviseur qu'ils préfèrent sous Linux, tout en conservant les avantages de la paravirtualisation en termes de performances. Décorréler les travaux sur le noyau des travaux sur les hyperviseurs. L'interface de programmation VMI (Virtual Machine Interface), devrait permettre de décorréler les travaux menés sur le noyau et ceux menés sur les couches d'hypervision, permettant ainsi aux développeurs du noyau de se concentrer sur les évolutions de Linux tout en laissant les développeurs de solutions de virtualisation innover pour enrichir les capacités de leurs environnements. Ponctuellement l'interface VMI sera révisée et enrichie de façon à prendre en compte les évolutions des hyperviseurs. Cette séparation a largement été inspirée par VMWare (voir à ce propos le point de Zachary Amsden sur la mailing list du noyau Linux) mais aussi par les conclusions menés par les développeurs du noyau après leur première expériences d'intégration de Xen dans linux. Si ces travaux sont aujourd'hui arrivés à maturité, ils ont aussi montré les dangers d'une trop grande intégration entre la couche de virtualisation et l'OS. Ainsi, les noyaux XenoLinux conçus pour fonctionner avec Xen 2.0.2 ne fonctionnent pas avec Xen 3.x, du fait des évolutions d'API de ce dernier. De même, les noyau XenoLinux les plus récents ne fonctionnent pas avec les vieux hyperviseurs Xen de la série 2.x. De tels inconvénients auraient été évités avec une interface de type VMI, permettant aux entreprises de faire évoluer leurs environnements de virtualisation sans toucher à leurs distributions linux et vice-versa. Pour l'instant VMWare a contribué une implémentation 32 bit de VMI pour le noyau linux 2.6.16-rc6 et indique que son impact sur les performances est négligeable. Des travaux sont en cours avec XenSource pour que l'hyperviseur libre supporte lui aussi VMI, ce qui pourrait être le cas dès la fin du premier semestre. VMI deviendrait alors l'interface par défaut de virtualisation du noyau permettant à Linux de s'intégrer avec l'ensemble des hyperviseurs du marché compatibles avec l'API. De quoi mettre aux rêves d'hégémonie de Xensource sur l'hypervision Linux, mais aussi de quoi encourager la concurrence entre fournisseurs d'hyperviseurs et accélérer le développement de la virtualisation dans le monde libre. De quoi aussi simplifier à terme l'encapsulation de la virtualisation dans le firmware des serveurs x86, un pas qui les rapprocherait encore un peu plus des grands serveurs Unix... (...)
(13/04/2006 12:55:58)Novell envisage des acquisitions pour renforcer son offre open-source
Dans une interview avec nos confrères de Reuters, Ron Hovsepian, le président et COO de Novell n'exclut pas de recourir à la croissance externe pour développer ses activités autour de Linux. "je pense qu'il y a des composants que nous allons développer seul et qui seront très importants. Je crois aussi que nous serons actifs sur le marché des acquisitions dans ce secteur" a expliqué Hovsepian. Depuis son acquisition de Suse, Novell prend progressivement le virage du tout Open source. Récemment, il a lancé la dernière mouture de sa distribution pour postes de travail, SUSE Linux Enterprise 10, la première capable réellement de faire figure d'alternative à Windows. Hovsepian mise notamment sur le développement de Linux dans les marché émergents comme la Chine ou l'Inde pour accroître son activité, des marchés qui font également saliver Microsoft qui entend préserver sa franchise Windows. (...)
(12/04/2006 10:40:49)FreedomHEC, une contre-manisfestation Linux au WinHEC
La communauté Linux prépare un contre-événement au WinHEC 2006 (Windows Hardware Engineering Conference), organisé en mai à Seattle. La manifestation baptisée FreedomHEC sera hébergée en voisin du WinHEC et se débutera un jour après celle-ci. Ironiquement, les détenteurs d'un badge de la conférence Microsoft pourront y accéder gratuitement. FreedomHEC prévoit de fournir des conférences sur l'utilisation de Linux dans tous types de périphériques. Son principal sponsor: Pogo Linux revendeur de serveurs, stations de travail et système de stockage sous Linux. (...)
(11/04/2006 18:00:16)Projet ENERGy: Mandriva surveille en mode distribué les réseaux IP
Mandriva met un pied dans les réseaux VoIP. L'éditeur Linux annonce sa participation dans ENERGy, programme européen ITEA (Information Technology For European Advancement) centré sur le développement d'un outil de surveillance distribuée des réseaux VoIP. L'objectif, explique Ha Quôc Viêt, responsable des projets européens chez Mandriva, est "de traiter les problèmes de congestion liés aux réseaux IP, et d'organiser un système de monitoring". Techniquement, le projet vise au développement et à l'installation de sondes de surveillance, éparpillées sur réseaux IP, et remontant, pour analyse, les informations et données. "La particularité d'ENERGy réside bien sur ce principe de surveillance distribuée," commente Ha Quôc Viêt. Mandriva, moins connu pour son intérêt pour la VoIP que dans Linux, apportera son expertise dans les domaines de la sécurité et de la gestion des réseaux. Et surtout dans le développement des sondes. Une offre commerciale devrait alors aboutir : "dans un premier temps, nous développerons une offre de service de surveillance auprès des grands comptes télécoms, via notre réseaux de partenaires [NDLR- notamment Bull Evidian, Thalès, EADS] ", confie Ha Quôc Viêt. Et dans un second temps, "nous implémenterons les technologies de sécurité dans notre offre Multi-Network Firewall (MNF). Plus tard notre offre desktop, plus grand public, héritera des fonctionnalités de monitoring élaborées lors du projet". Côté financement, Mandriva contribuera au projet ENERGy à hauteur de près de 959 000E et recevra, à échéance, 288 000E de subvention du Ministère de l'Industrie et des Finances. (...)
(10/04/2006 17:46:16)Red Hat acquiert JBoss
Red Hat a annoncé son intention d'acquérir JBoss pour 350 M$ en numéraire et en action. Le numéro un des distributions Linux d'entreprise met ainsi la main sur le numéro un mondial de solutions de middleware J2EE libre. Pour Matthew Szulik, le président et CEO de Red Hat, la décision de racheter Jboss a été prise car "Le marché demande un jeu intégré de solutions open source". Pour Szulik, il est devenu essentiel d'être à même de fournir à la fois le système d'exploitation et une couche middleware agile sur laquelle les entreprises puissent déployer leurs développements Java". Ironiquement, c'était exactement le discours tenu par Novell lorsqu'il a cherché à combiner la distribution Linux acquise lors du rachat de Suse, et les solutions de Middleware ExTend de Silverstream... La seule différence est que Novell s'est longtemps accroché au modèle propriétaire pour SilverStream, condamnant de facto l'union des deux produits. En mettant la main sur Jboss, Red Hat s'assure une capacité de délivrer une pile verticale incluant Middleware et OS à ses clients entreprises, avec un support unique et un modèle de licence unifiée. Szulik se montre même plus ambitieux puisqu'il annonce que Red Hat " va livrer une plate-forme, des outils et des services permettant aux développeurs de proposer aux clients des solutions verticales", une stratégie qui mimique celle d'IBM avec sa pile middleware. [[page]]La montée en puissance de Red Hat pourrait agacer l'un de ses principaux partenaires, à savoir IBM mais aussi des sociétés comme Oracle et SAP. Elle pourrait aussi réaccroitre l'intérêt d'un de ces géants pour Novell, qui détient la seule distribution Linux d'entreprise compétitive avec celle de JBoss. Il est à noter que le rachat de Jboss pourrait avoir des conséquences sur les liens entre le consortium Objectweb et Red hat, mais aussi sur les liens entre Novell et Jboss. Novell revend en effet l'ensemble du catalogue de Jboss à ses clients entreprises. Comme à son habitude, Marc Fleury n'a affiché aucun état d'âme quant à la fusion : "Jboss a choisi Red Hat et je ne commenterais pas les rumeurs qui ont circulé récemment [Plusieurs analystes avaient fait le pari d'un rachat de Jboss par Oracle]. (...) Une large partie des développeurs veulent voir un éditeur indépendant d'outils et de plates-formes open source. (...) Nos business models sont similaires, en fait Red Hat nous a servi de modèle, c'est en quelque sorte notre grand frère." L'acquisition permet en tout cas d'en savoir un peu plus sur l'économie de Jboss. Selon Red Hat, Jboss effectue 70% de son CA avec les activités de maintenance et 30% avec les services. Jboss, qui ne devrait être rentable qu'en septembre, prévoit de réaliser un CA de 40 M$ pour l'exercice 2006 et de terminer l'année avec 60 M$ en carnet de commande. Le tout avec 150 salariés. Par comparaison, Red Hat a réalisé 278 M$ de CA au cours de l'année écoulée avec 1150 salariés. (...)
(10/04/2006 15:01:47)Red Hat rachète Jboss
Red Hat, éditeur open source n°1 annonce l'acquisition du spécialiste du middleware java Jboss, pour environ 350 M$, en action et en numéraire. Red Hat pourrait verser 70 M$ supplémentaires, si Jboss atteint "certains objectifs". L'acquisition devrait se finaliser d'ici la fin mai. L'annonce, pour le moins surprenante, intervient alors que Marc Fleury, PDG de Jboss, avait déclaré que sa société n'était pas à vendre. En réaction aux rumeurs de rachat par Oracle, mi février. Dans un communiqué, Red Hat explique que cette acquisition devrait accélérer sa mutation vers les architectures SOA. Plus d'informations dans notre édition du soir. (...)
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