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(25/07/2007 15:47:26)
STMicro, dans le rouge, s'allie à IBM pour la fabrication de puces
Le franco-italien STMicroelectronics a signé mardi 24 juillet un accord avec IBM pour développer des technologies de nouvelle génération destinées à la fabrication de puces. Cette alliance portera sur « le développement de procédés technologiques pour les puces 32 et 22 nm (CMOS), sur les techniques de conception et sur la recherche dédiée à la fabrication des tranches de silicium 300 mm » détaille STMicro dans un communiqué. Pour mieux collaborer, chacune des entités va installer une partie de ses équipes de développement chez son partenaire. Ainsi, des effectifs de STMicro iront à East Fishkill et Albany, dans l'état de New York, tandis qu'une équipe de R&D d'IBM s'installera à Crolles, le site de production isérois du franco-italien. Objectifs de ce partenariat ? Augmenter la rapidité d'innovation tout en réduisant les coûts associés à la R&D. S'ils sont atteints, STMicro sera alors en mesure de redresser la barre. Le fabricant n'est en effet pas au mieux financièrement avec des pertes creusées (758 M$) et un recul de la marge brute (34,7% contre 35,4% au deuxième trimestre 2006), selon Reuters. (...)
(25/07/2007 14:18:36)Jim Zemlin : "L'Open Source entre maintenant dans une seconde phase"
En janvier, deux des organisations les plus actives dans la promotion et le développement de Linux et de l'Open Source, l'Open Source Development Lab et Free Standards Group ont fusionné pour donner naissance à la Linux Foundation. A sa tête, Jim Zemlin, ancien directeur exécutif de la FSG. Nos confrères américains de Computer World ont pu s'entretenir avec lui à la conférence Ubuntu Live sur les prochaines actions de la Linux Foundation et sur l'adoption grandissantes de applications Open Source. Computer World : Une fusion n'est jamais simple. Comment a fonctionné l'alliance de l'Open Source Development Lab et du Free Standards Group jusqu'à présent ? Jim Zemlin : C'est une alliance réussie qui s'est effectuée comme sur des roulettes. Nous avions toutes les raisons d'effectuer ce rapprochement puisque nos deux entités étaient complémentaires, en termes de promotion, d'éducation, d'outils de développement et de discours. Linux devient de plus en plus populaire. La communauté rentre dans une phase où elle proposera de meilleurs logiciels avec de meilleures fonctions. Depuis 2001 et le projet d'IBM Linux pour les entreprises, Linux séduit et ne peut plus être vu comme quelque chose de « nouveau ». Qu'est ce que cela signifie aujourd'hui ? Nous entrons maintenant dans une seconde phase, où la différence entre l'Open Source et les logiciels propriétaires doit être encore plus soulignée. Je ne pense pas que j'ai besoin d'expliquer les avantages d'une architecture ouverte ou de la réactivité sur le marché. Mais dans un second temps, il faut élever son niveau de jeu et accroître son avantage qui, pour l'Open Source, est la rapidité de l'innovation technologique. Comment se préparer à cette seconde phase ? Si la popularisation de Linux et de l'Open Source n'est plus nécessaire, quel peut être le rôle de la Linux Foundation auprès de la communauté IT ? Nous souhaitons continuer à collaborer avec d'autres communautés Open Source comme les fondations Mozilla, Apache ou encore Eclipse. Chacun de ces groupes est assez important pour s'adapter à une plus grande collaboration afin de renforcer l'opposition entre les systèmes ouverts et fermés. En collaborant, chacun peut travailler sur son coeur de mission avec d'autres organisations, comme le Software Freedom Law Center en aidant à faire face aux problématiques juridiques liées à linux et l'Open Source. J'aimerais qu'il y ait plus de collaboration transversale, un calendrier mieux synchronisé sur tous les projets et de meilleurs tests pour s'assurer de la stabilité des produits. Le projet Ruby est un parfait exemple. Quand vous soumettez un code, il faut aussi penser au protocole de test qui va avec. Quel est le principal message que vous adressez à la communauté IT aujourd'hui à propos de Linux et de l'Open Source ? J'essaie d'être très clair en soulignant qu'il n'y a aucun risque inhérent à utiliser de l'Open Source. Le succès que l'on peut rencontrer dans certaines entreprises aide le mouvement du logiciel libre. Nous avons besoin que tout le monde réussisse, c'est fondamental pour l'Open Source. La passion que génère Ubuntu est bonne pour Red Hat et d'autres fournisseurs. Il faut garder un oeil là-dessus. Leur réussite est la nôtre. (...)
(25/07/2007 13:44:41)L'Etat injecte 83 M€ pour financer 70 projets de R&D
83 M€, c'est le montant alloué par l'Etat pour soutenir 70 projets de recherche et développement issus de 40 pôles de compétitivité et dont les dossiers ont été sélectionnés à l'issue du quatrième appel à projets du fonds unique interministériel. Les collectivités territoriales ont indiqué leur intention de financer certains de ces projets au côté de l'Etat, à hauteur de près de 50 M€. « On peut estimer que les PME impliquées dans ces projets bénéficieront directement de près de 40 M€ », ont indiqué les ministères de l'Agriculture, de l'Ecologie, de l'Economie, de l'Enseignement supérieur, de la Défense et de la Santé, dans un communiqué commun. Parmi les 70 dossiers sélectionnés, huit projets ont été élaborés par le pôle de compétitivité Aerospace Valley de Toulouse (Haute-Garonne). « Ils concernent le domaine de l'aéronautique pur mais aussi l'espace et ses applications et les systèmes embarqués », a précisé François Vernières, responsable des programmes de recherche et technologie du pôle toulousain. En cumulé, les quatre appels à projets du fonds interministériel et la première sélection de 2005 ont permis de soutenir 332 projets des pôles de compétitivité, pour un total de dépenses R&D de près de 3 milliards d'euros, impliquant 9 000 chercheurs et un financement public de 930 M€ dont plus de 520 M€ par l'Etat. Un cinquième appel à projets sera lancé mi septembre 2007. Les dossiers devront être présentés avant le 1er décembre 2007. (...)
(25/07/2007 13:21:49)Nokia rachète Twango, site de partage de fichiers multimédias Web 2.0
Nokia a annoncé le rachat de Twango, un site d´hébergement, dédié à l'organisation et au partage de photos, de vidéos et de fichiers audio. Cette opération, dont le montant atteint 100 M$ (source WSJ), permet au géant finlandais de renforcer son offre multimédia, mais aussi de renforcer sa présence dans l´univers du web 2.0. Le constructeur confirme ainsi sa volonté de proposer une plate-forme de communication complète à ses clients. Déjà partenaire du blog Vox et du site de partage de photos FlickR, Nokia étoffe sa gamme de services, tout en facilitant la gestion du partage des données sur PC et sur mobile. « L'acquisition de Twango est une étape concrète qui entre dans le cadre de notre vision des services Internet, qui consiste à fournir un accès sans limite à l'information, au divertissement et aux réseaux communautaires, a déclaré Anssi Vanjoki, directeur de la branche multimédia de Nokia, dans un communiqué relayé par Reuters. Nous avons la suite d'expériences multimédias en ligne la plus complète, incluant la musique, la navigation, les jeux vidéo, et - avec le rachat de Twango - la photo, la vidéo ainsi que divers types de documents », a-t-il ajouté. Le service Twango devrait rester gratuit dans les mois à venir. Nokia a toutefois annoncé la création de services premiums payants. Pour le moment, l'offre n´est disponible qu'en anglais. Société américaine employant dix salariés, Twango a été créé en 2004 par des anciens de Microsoft. L´audience du site reste toutefois très limitée si on la compare à ses principaux concurrents, comme YouTube ou Flickr, selon les cabinets d´audience Hitwise et Quantcast. (...)
(25/07/2007 12:48:46)Les PME françaises à l'ère du papier pour recruter
Une étude menée par HEC Junior pour le compte de Taléo, éditeur de solutions de gestion des talents, montre que les PME françaises sont encore à l'ère du papier pour réaliser leurs recrutements. Réalisée auprès de plus de 700 entreprises de taille moyenne de l'industrie, du commerce et des services, l'enquête indique que les agences d'intérim et les annonces presse sont les deux premiers canaux de recrutement utilisés par les PME de l'Hexagone : 74% des personnes interrogées déclarent ainsi avoir recours aux agences d'intérim pour faire face à leurs besoins en terme de recrutement, 70% publient des annonces dans la presse et 64% font appel à des cabinets de recrutement spécialisés. Internet est en revanche en retrait avec un peu plus d'une PME sur deux (56%) qui diffuse ses annonces sur son site corporate ou sur un site d'emploi. Autre source de recrutement pour les PME, les organismes spécialisés, comme l'Anpe qui arrive en tête avec près de 66% des suffrages, et qui devance les salons professionnels, les cabinets spécialisés et la cooptation. De la même façon, le recours à un système de gestion des candidatures automatisé n'est pas prêt d'entrer dans les habitudes des entreprises de taille moyenne : en effet, à la question « quels sont les moyens dont vous disposez en interne lors d'un recrutement ? », 85,6% des entreprises disent trier parmi les candidatures déjà reçues. Le bouche à oreille arrive en seconde position avec 54,2%, suivi par la cooptation citée à 50,4%. Loin derrière, l'utilisation d'un logiciel de gestion des candidatures est tout de même cité par 23,6% des entreprises interrogées. (...)
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