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(24/07/2007 17:04:05)

Démission de Didier Herrmann, membre du conseil d'administration de LogicaCMG

Rien ne va plus au board de LogicaCMG. Après l'annonce, fin mai, du départ de Martin Read, directeur général du groupe anglo-néerlandais, suite à des résultats décevants au Royaume-Uni, - avec des ventes en baisse de 4,1%- , Didier Herrmann, ex président de la SSII française Unilog, et membre du conseil d'administration de LogicaCMG, a également été prié de remettre sa démission. Celle-ci devrait prendre effet de façon immédiate, a indiqué le groupe aujourd'hui dans un communiqué, précisant par ailleurs, qu'Aydin Azemour, Patrick Guimbal et Torsten Strass continueront à « assumer leurs responsabilités opérationnelles respectivement en France et en Allemagne. » Une carrière de plus de 30 ans chez Unilog En guise d'explication, le groupe se contente simplement d'insister sur « le rôle important tenu par Didier Herrmann dans l'intégration d'Unilog et sur les10 M£ d'économies générés en 2006 », et le remercie pour « sa contribution dans l'entreprise. » La rédaction du Mondeinformatique.fr ne dispose pas d'éléments supplémentaires, la direction d'Unilog Groupe LogicaCMG n'ayant pas donné suite à sa demande. Agé de 56 ans, Didier Herrmann a mené l'essentiel de sa carrière chez Unilog qu'il a intégrée en 1972. Dès 1978, il prend des responsabilités managériales qui le mèneront en 1992 à la direction d'une business unit de 500 personnes spécialisée dans les grands systèmes et la micro-informatique. En 1992, ayant rejoint le directoire d'Unilog, il sera à l'initiative de la création des premières offres packagées qui représentent depuis 2004 deux tiers du CA, avant d'être nommé à la tête d'Unilog Régions. Anciennement à la tête des activités internationales, instigateur du renforcement d'Unilog en Allemagne et de l'implantation de la SSII au Royaume-Uni en 2001, il est nommé vice-président d'Unilog en juin 2005 puis président du directoire d'Unilog, avant de devenir membre du conseil d'administration de LogicaCMG et vice-président en charge de la France, de l'Allemagne et de la Suisse. (...)

(24/07/2007 15:21:01)

Trois millions d'OLPC disponibles en octobre prochain

Le feu vert pour la fabrication des XO, les ordinateurs portables conçus pour les enfants des pays pauvres, a été donné. Les XO, élaborés dans le cadre du programme OLPC (One laptop per child), devraient sortir des chaînes de production en octobre - et non septembre, comme indiqué jusque-là. Au moment de leur commercialisation, il devrait y avoir 3 millions de machines disponibles au prix unitaire de 176$. Au début du projet, la barre avait été fixée à 100$, et les animateurs du projet espèrent toujours pouvoir parvenir à moyen terme à ce tarif. A noter qu'Intel, qui a rejoint récemment le projet OLPC cofondé par son concurrent AMD, a lancé un projet concurrent qui a accouché d'un Classmate PC à 225$. Ce sont les Etats impliqués dans le projet qui achèteront ces ordinateurs afin de les redistribuer à leurs écoliers. Sont déjà inscrits : Argentine, Brésil, Cambodge, Costa Rica, République Dominicaine, Egypte, Etats-Unis, Grèce, Libye, Nigeria, Pakistan, Pérou, Rwanda, Tunisie et Uruguay. (...)

(24/07/2007 14:19:25)

Victoire en cassation de la CGT de HP France sur les primes

Bonne nouvelle pour le syndicat CGT de HP France. La centrale syndicale vient en effet de remporter une victoire décisive devant la Cour de cassation, sur les litiges qui l'opposent à l'employeur au sujet de la prime dénommée "cash profit sharing" ou "company performance bonus". Sollicitée pour la seconde fois sur ce dossier, la Cour de cassation confirme son analyse : la prime, versée depuis 1962, constitue un usage auquel HP ne pouvait pas renoncer de manière unilatérale. Par ces motifs, la Cour casse ainsi le seul jugement qui avait été favorable à la direction et qui concernait trois salariées qui n'avaient aucune mention relative à cette prime sur leur contrat de travail. Le jugement est d'autant plus important qu'il consacre la nature d'usage de cette prime versée depuis 1962. De 2002 à 2004, en plusieurs groupes successifs, ce sont finalement 230 salariés qui, soutenus par la CGT, ont déposé devant les conseils de prud'hommes de Vienne, de Grenoble, de Boulogne-Billancourt et de Palaiseau, la même réclamation. Compléments de salaires sur cinq ans Cette décision augure vraisemblablement un dénouement favorable aux réclamations des salariés soutenus par la CGT. HP devra donc leur payer des compléments de salaire sur cinq ans. « Nous invitons la direction d'HP à régler spontanément tous les litiges en cours, et à intégrer la prime dans le salaire de base, a indiqué la CGT d'HP dans un communiqué. Et nous poursuivons notre action visant à généraliser à l'ensemble des salariés le règlement de cette prime pour 2001 à 2006, dans le cadre de l'intersyndicale qui s'est constituée en 2006 sur ce sujet, avec la CFDT et la CFE-CGC. » Ainsi, la décision d'aujourd'hui constitue un élément important qui vient consolider le bien-fondé de la "class-action" engagée par l'intersyndicale en décembre 2006, à laquelle plusieurs centaines de salariés se sont joints. (...)

(24/07/2007 12:18:18)

L'IEEE se penche sur un double standard Ethernet 40 et 100 Gbps

La dernière réunion des comités de travail sur l'Ethernet de l'IEEE, qui s'est tenue à San Francisco mi-juillet, a débouché sur un nouvel axe de travail. Le HSSG (Higher Speed Study Group) a décidé de ne rien décider, et va donc plancher sur un double standard, 40 et 100 Gbps. Le débat entre partisans des deux futurs hauts débits faisait rage depuis plusieurs mois. En décembre dernier, il semblait que l'IEEE se dirigerait vers le 100 Gigabit par seconde, opérant un bond similaire aux précédents (après les 10 Gbps, 1 Gbps, 100 Mbps et 10 Mbps). 40 Gbps pour les serveurs, 100 Gbps pour les coeurs de réseaux Finalement, le HSSG, qui réunit des constructeurs, des opérateurs et des équipementiers tels qu'Alcatel Lucent, Broadcom, Dell, Cisco ou Intel, travaillera sur les deux débits, afin de contenter tout le monde. John D'Ambrosia, qui préside le comité, explique en effet que si les besoins en termes de débit augmentent quels que soient les situations, les évolutions sont distinctes : alors que le trafic sorti des serveurs double environ tous les deux ans, le trafic sur les réseaux opérateurs double lui tous les 18 mois. Les opérateurs poussent donc vers le 100 Gbps, les fabricants de serveurs et de commutateurs vers le 40 Gbps, a priori plus économique à implémenter. C'est la première fois qu'un comité de travail Ethernet travaille sur deux vitesses à la fois dans un seul standard. Il s'agira du 802.3ba. Plusieurs interfaces physiques seront définies pour chaque vitesse. (...)

(24/07/2007 11:16:29)

Le Cnam signe un contrat de développement avec l'Etat

L'Etat a renouvelé le contrat de développement avec le Cnam. Portant sur près de 39 millions d'euros, en augmentation de 6% par rapport à la période 2003-2006, le contrat 2007-2010 accompagne le Conservatoire national des arts et métiers (Cnam) dans une nouvelle et importante étape de son développement. L'accord signé le 18 juillet dernier par Laurence Paye-Jeanneney, administratrice générale du Cnam et Valérie Pécresse, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, réaffirme, dans sa première partie, l'importance des trois missions de l'établissement : formation professionnelle supérieure des adultes, recherche technologique et innovation, diffusion de la culture scientifique et technique. Dans sa deuxième partie, le contrat insiste sur le caractère national du Cnam et l'importance de son réseau, et l'invite à s'appuyer sur une politique active de développement et de renforcement de l'usage des technologies numériques. (...)

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