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(18/07/2007 11:43:07)

Palmarès des principales hantises des DSI

D'après CIO Connect - une organisation britannique semblable au Cigref français -, le management, la gestion des salariés ainsi que les problématiques de sécurité font partie des préoccupations majeures des responsables informatiques. « Cela peut paraître surprenant, mais la principale préoccupation des DSI consiste à mettre en adéquation les besoins engendrés par le business et les technologies informatiques, notamment au niveau de l'accessibilité aux ressources de l'entreprise», déclare Nick Kirkland, directeur marketing de CIO Connect. Autre défi : les DSI doivent améliorer leur prise en charge de la gestion du changement, « et cela prend souvent beaucoup de temps », souligne Nick Kirkland. Ce même consultant rajoute que « le principal souci des DSI, ce n'est pas la techno pure et dure. L'enjeu peut se résumer ainsi : améliorer la gestion du personnel, se focaliser sur la communication interne ainsi que contrôler et accompagner le changement ». En quatrième position, on retrouve des problématiques liées aux ressources humaines. La « génération iPod ou Google » - comme la surnomme l'étude - avance des prétentions bien différentes de celle de ses prédécesseurs. Pour ces nouveaux utilisateurs, la mobilité fait partie du lot quotidien (changement de service, déménagement...). Les salariés bougent dans l'entreprise, et ils considèrent que la technologie doit s'adapter à ce nouveau type de nomadisme. La sécurité des systèmes d'information constitue la cinquième préoccupation des DSI. « Elle représente deux défis majeurs : le contrôle des accès, et la réduction des fuites d'information. Cette dernière peut avoir des conséquences dramatiques, car outre la perte concurrentielle, elle implique directement la responsabilité du DSI. (...)

(18/07/2007 11:31:29)

Microsoft aimerait financer plus de thésards en France

A l'occasion du dixième anniversaire du centre Microsoft Research de Cambridge, Fabien Petitcolas, chercheur en sécurité et responsable des programmes de soutien à la recherche pour l'Europe, a expliqué que la société souhaitait développer ses relations avec les universités françaises afin de financer les travaux de plus de thésards dans l'hexagone. Depuis 2004, Microsoft Research contribue au financement de la nouvelle génération de scientifiques au travers d'un programme européen de financement de thésards, le PhD scholarship programme. Ce programme finance actuellement les travaux de quelques 60 doctorants et devrait toucher environ 80 doctorants d'ici la rentrée. Concrètement, il permet de financer les travaux des étudiants chercheurs retenus, mais aussi de les mettre en relation avec d'autres chercheurs en Europe au travers de programmes soutenus eux aussi par l'éditeur. Microsoft propose aussi des stages pour ces doctorants (près de 60 à 70 stages annuels). Il est à noter que les investissements ne se limitent pas à la recherche en informatique pure, puisqu'ils sont aussi utilisés pour financer des recherches dans d'autres disciplines, notamment les biosciences ou l'écologie par exemple pour modéliser des écosystèmes. Actuellement, le programme finance 7 étudiants en France, un chiffre que Fabien PetitColas juge décevant. Il faut dire que l'Hexagone semble peu réactif aux initiatives de l'éditeur, alors qu'un pays comme l'Irlande, ajoute par exemple 2€ à tout euro dépensés pour le financement de chercheurs par l'éditeur. A titre d'anecdote, le service CIFRE de l'Association nationale de la recherche technique aurait récemment répondu à une sollicitation de l'éditeur, demandant un rendez-vous pour voir comment il pourrait contribuer au financement de chercheurs, qu'il ne "fonctionnait pas sur rendez-vous"... (...)

(18/07/2007 11:27:56)

SalesForce renforce ses services au point d'en faire une plateforme

En annonçant son langage de programmation Apex, SalesForce compte bien passer rapidement du rang de prestataire de service à celui d'hébergeur de plateformes. Après neuf mois de développement, Apex, le langage qui permet de développer et de personnaliser des applicatifs hébergés est disponible. Pour SalesForce, Apex est vital. Ce langage propriétaire devrait lui permettre de, disons, fidéliser ses clients qui auront investi dans sa plateforme ainsi que d'attirer des partenaires pour la mise en service d'applications complémentaires. Borland a ainsi annoncé travailler au développement d'applicatifs complémentaires. Les uns et les autres seront ainsi moins sensibles aux chants des sirènes qui ne devraient pas tarder à se faire entendre du côté, par exemple, de Microsoft ou de SAP. Apex fait partie de l'annonce de l'environnement Summer'07 qui sera accessible le mois prochain en 14 langes. Summer'07 comprend aussi un portail pour faciliter l'intégration et un gestionnaire de workflow qui permet d'insérer des règles dans les flux métiers. SalesForce revendique 32 000 entreprises clientes de ses services de GRC (gestion de la relation client, CRM). (...)

(18/07/2007 09:54:43)

Antitrust : Microsoft bientôt fixé sur son sort

Microsoft saura le 17 septembre s'il doit s'acquitter ou non de l'amende record de 497 M€ dont il écopé pour s'être rendu coupable d'abus de position dominante. Enfin ! pourrait-on dire, puisque le tribunal de première instance de la cour européenne de justice (CEJ) statuera alors sur un recours formé par Microsoft contre une décision prise par la commission européenne il y a plus de trois ans. A l'époque, Bruxelles avait conclu qu'en liant Windows Media Player et Windows, Microsoft avait déloyalement concurrencer des rivaux comme Real Networks et Apple. En outre, l'éditeur aurait réussi à devancer ses concurrents sur le marché des systèmes d'exploitation pour serveurs d'entrée de gamme faute de leur avoir fourni les informations suffisantes sur les moyens pour faire intéragir leurs produits avec des plates-formes PC sous Windows. D'après les juristes qui suivent ce cas de près, quatre cas de figure sont possibles, dont deux paraissent peu probables. Première possibilité peu vraisemblable: La CEJ suit parfaitement les conclusions de la commission sur les deux reproches faits à Microsoft. Elle considèrerait alors l'éditeur comme un obstacle à l'innovation sur le marché du logiciel et demanderait son démantèlement, faisant alors passer Windows dans le domaine public. Deuxième possibilité tout aussi peu vraisemblable: La court donne raison à Microsoft sur les deux points. Elle déclare que les rapides évolutions de l'industrie IT sont conduites par des monopoles et qu'un monopole finit inévitablement par être dépassé par un autre monopole. De fait, les régulateurs ne devraient donc pas être trop stricts dans l'application des lois antitrust et autoriser des entreprises en position dominante telle que Microsoft à utiliser tous les moyens nécessaires pour faire perdurer leur situation. La court devrait toutefois prononcer un verdict plus mitigé. Elle pourrait ainsi s'aligner sur l'avis de la commission concernant les problématiques d'interopérabilité, mais aller dans le sens de Microsoft au sujet du bundle Windows/Windows Media Player. Microsoft serait donc obligé de livrer immédiatement à ses concurrents toutes les informations nécessaires pour assurer l'interopérabilité de leurs logiciels avec avec les siens. Il en résulterait une montée en puissance des rivaux de Microsoft à ses dépends et une mise à niveau de l'éditeur par rapport à des entreprises comme Sun Microsystems, Oracle, IBM. Les acteurs du logiciels libre bénéficieraient en outre du code source d'Office, eux qui ont été jusqu'ici marginalisés sur le marché lucratif des applications pour PC. En contrepartie, Microsoft ne serait pas obligé de commercialiser une seconde version de Windows sans Windows Media Player, ce qu'il a été forcé de faire en Europe. Il pourrait même livrer son système d'exploitation renforcé de nouvelles fonctions, au détriment de toute autre innovation à succès émanant d'éditeur de logiciels comme Google. En résumé, ce dénouement restaurerait une concurrence saine sur le marché du logiciel telle qu'elle existait au siècle dernier mais serait sans effet pour empêcher Microsoft de se renforcer sur de nouveaux marchés. Reste qu'à l'inverse, Microsoft pourrait perdre sur la décision de la commission concernant le bundle mais gagner du côté de l'interopérabilité. La court lui ordonnerait alors de créer une société séparée autorisée à vendre une version non couplée de Windows. Cette société aurait la possibilité de concurrencer la version couplée et serait libre de nouer des partenariats avec d'autres éditeurs de logiciels. Dans ce cas de figure, Microsoft pourrait toujours cacher à ses concurrents des informations dans le but de les handicaper sur certains marchés, par exemple sur celui des systèmes d'exploitation pour serveurs d'entrée de gamme. Ce qui lui permettrait de dominer l'environnement informatique bureautique traditionnel aux dépends de sociétés comme Sun Microsystems, IBM et Oracle. Dit autrement, un tel dénouement pourrait conforter les positions de Microsoft sur l'important mais mature marché des solutions lié à l'environnement bureautique. Mais, cela limiterait sa capacité à parer les attaques sur les nouveau marchés liés à l'Internet. (...)

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