Flux RSS

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

108538 documents trouvés, affichage des résultats 2311 à 2320.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(30/09/2011 16:28:50)

HP annule deux projets de délocalisation

Chez HP, les salariés ont reçu d'excellentes nouvelles pour l'Angleterre et la France avec respectivement 200 et 64 postes sauvés des délocalisations suite à de longues actions associant syndicats et employés. La CFTC d'HP indique, sur son blog, qu'un premier projet concernant le service logistique Global Parts Supply Chain (GPSC) d'HP CCF (Centre de compétences France) consistait à supprimer 64 emplois sur 166 sur le site de Grenoble d'ici octobre 2012 pour les délocaliser en Bulgarie.
« Nous avons été informés de ce projet en septembre 2010 », indique Guy Benoist, délégué syndical central d'HP CCF. « HP souhaitait réduire les coûts de sa logistique en Europe, or,  il ne pouvait pas compter sur un retour sur investissement (ROI)  rapide. Le directeur du centre logistique, opposé au projet, et s'inquiétant d'un risque de perte de compétences, a très vite été remercié. Dans le même temps, des listes de postes critiques et non critiques avaient été établies avant l'été, et une présentation des changements d'intitulés de poste était prévue en comité d'entreprise. Mais aucune instance représentative n'avait été officiellement informée de ce projet ».

Alertes, menaces de délit d'entrave, messages à la direction

La CFTC d'HP s'est donc fortement engagée dans plusieurs actions collectives : arrêt de travail, alertes DP et CHSCT (en raison des conséquences de cette situation sur la santé des salariés),  menaces de délit d'entrave et messages adressés à la direction du constructeur qui a finalement décidé de suspendre le projet. «Le nouveau PDG d'HP France, Gérald Karsenti n'a pas fermé sa porte », ajoute Guy Benoist. « Il s'est déplacé jusqu'à Grenoble pour étudier la question. »

Pour l'Angleterre, tout a commencé avec une grève des employés travaillant sur un contrat informatique pour le ministère du travail (DWP- Department for Work and Pensions). Le mouvement de protestation contre le transfert de 200 postes en Inde a été soutenu par le syndicat britannique PCS. Des députés locaux ont également mis en évidence les implications de sécurité en cas de gestion à l'étranger d'une base de 25 millions de citoyens. En raison de la nature sensible du travail effectué par les salariés d'HP et la pression syndicale, le gouvernement a eu le dernier mot et le transfert des postes a été annulé d'un commun accord avec le groupe.

Illustration: Crédit photo: D.R

(...)

(30/09/2011 17:23:45)

Recap IT : Timeline de Facebook vulnérable, Amazon dégaine la Kindle Fire, Oracle prépare OpenWorld

Les actualités sur la sécurité auront tenu toute la semaine. Dès le lundi, des spécialistes se sont interrogés sur la vulnérabilité de la fonctionnalité de Timeline de Facebook. De plus en plus de voix d'utilisateurs aux Etats-Unis et en Europe se font entendre sur cette fonction biographique avec au coeur des débats la protection des données personnelles. Mercredi, c'est Symantec qui dévoile une technique de piratage qui expédie des courriels vérolés qui semblent provenir des imprimantes multifonctions de l'entreprise. Le même jour, on apprenait que le site MySQL.com a été piraté pour injecter des logiciels malveillants. Cette affaire montre aussi que les sites de logiciel Open Source commencent à devenir des cibles. Enfin, la fin de la semaine a été marquée par la découverte d'un piratage du réseau informatique d'Areva. Le spécialiste du nucléaire s'est voulu rassurant en indiquant qu'aucune données sensibles n'a été touchée. Enfin, le rapport annuel des équipes de sécurité d'IBM X-Force souligne la montée en puissance des malwares au sein des applications mobiles.

Amazon lance Kindle Fire

Attendue, la tablette d'Amazon a été finalement dévoilée mercredi soir. Elle s'appelle la Kindle Fire et coûte 200 dollars. Elle est très orientée vers les contenus en s'appuyant sur les offres de l'éditeur aussi bien pour les livres, que pour la musique et la vidéo. Certains voient déjà dans cette tablette un concurrent à l'iPad, alors qu'elle s'adresse à un marché différent, mais complémentaire. Il faudra attendre pour connaître les premiers chiffres de vente. Sur ce marché des tablettes, des rumeurs ont bruissé en fin de semaine sur un potentiel abandon par RIM de la fabrication de sa tablette BlackBerry PlayBook. Le constructeur canadien a démenti en qualifiant ces insinuations de « pure fiction ». Enfin, pour finir sur la mobilité, Intel a annoncé la mort de son OS Meego pour le ressusciter avec Samsung sous le nom Tinzen.

Oracle fait des pré-annonces

Alors que l'évènement OpenWorld va se dérouler la semaine prochaine à San Fransico, Oracle a fait plusieurs annonces cette semaine. Il a ainsi présenté un super serveur Sparc T4 qui sera disponible à la fin de l'année 2011. Mark Hurd, vice-président d'Oracle a d'ailleurs indiqué qu'une feuille de route claire et précise serait dévoilée sur les processeurs Sparc. La firme de Redwood a également annoncé la sortie de Solaris 10 8/11. Par ailleurs, des analystes ont donné leur sentiment sur les annonces qui seront faites sur OpenWorld.

(...)

(30/09/2011 14:59:45)

IBM X-Force : les appareils mobiles de plus en plus ciblés par les malwares

Le rapport « X-Force 2011 Mid-Year Trend and Risk Report » publié par les équipes d'IBM sur montre que le marché de la téléphonie mobile est une cible privilégiée par les pirates. Selon ce document, les méthodes d'attaques menées contre les systèmes d'exploitation mobiles vont passer de 18 en 2009 à environ 35 d'ici la fin 2011, tandis que le nombre de vulnérabilités passera d'environ 65 à plus de 180 sur la même période. « Au premier semestre 2011, nous avons constaté une augmentation de l'activité des logiciels malveillants visant la dernière génération de smartphone, notamment parce que les pirates ont flairé les nombreuses opportunités sur ce type d'appareil,» affirme le rapport.

Ce dernier, qui prend les terminaux fonctionnant sous Android comme exemple, explique que certaines des applications proposées par les places de marché sont des malware. Si bien que les utilisateurs devraient être plus vigilants dans leurs choix et sur les relais où ils téléchargent leurs applications. « Les marchés d'application Android sont l'un des vecteurs les plus populaires et les plus efficaces pour distribuer des logiciels malveillants. A côté du marché officiel propre à Google, il existe de nombreux marchés tiers non-officiels, » indique le rapport. Un autre problème avec les appareils mobiles, notamment les téléphones, c'est que les utilisateurs sont dépendants du constructeur pour corriger les failles identifiées dans le système d'exploitation. Ces vulnérabilités connues peuvent rester en l'état, non pas parce que les correctifs n'existent pas, mais parce qu'ils ne sont pas fournis tels quels par les fabricants de téléphones. « De nombreux fournisseurs de téléphonie mobile ne s'embarrassent pas pour faire des mises à jour de sécurité sur leurs appareils, » indique encore le rapport.

Des logiciels de plus en plus vulnérables


En dehors de la mobilité, ceux qui luttent contre les malware sont face à une menace croissante liée à la faiblesse des logiciels évalués par le système de notation Common Vulnerability Scoring System (CVSS), ceux affichant des notes de 10/10 étant les plus critiques. Selon le CVSS, au cours du premier semestre 2011, le pourcentage de vulnérabilités critiques a fait un bond, passant de 1% à 3%, comparé à l'année 2010. Certes, ce niveau reste faible, mais il atteint tout de même le triple de l'année dernière. « Et, au milieu de l'année en cours, le nombre de vulnérabilités critiques est déjà supérieur à celui de toute l'année dernière, » indique encore le rapport. « Presque toutes ces failles critiques posent un problème sérieux : elles permettent l'exécution de code à distance, avec un impact potentiel important sur un produit logiciel de classe entreprise », ajoute encore le rapport.

Les vulnérabilités se concentrent aussi sur un nombre de plus en plus réduit de fournisseurs, comme le constate le rapport. En 2009, 10 produits logiciels se partageaient un quart (25%) de toutes les vulnérabilités les plus critiques signalées. Au milieu de cette année, ce nombre a bondi à un tiers (34%). IBM X-Force n'a pas dévoilé les noms de ce Top 10. « L'essentiel, c'est que les services informatiques des entreprises consacrent cette année autant de temps, sinon plus, à déployer des correctifs pour ces produits, » indique le rapport.

Le rapport met aussi en évidences quelques améliorations :

- Pour la première fois depuis 5 ans, les vulnérabilités affectant les applications web sont passées de 49% à 37%.

- Les vulnérabilités critiques sont au niveau d'il y a quatre ans.

- Le spam et le phishing traditionnels sont en baisse.

(...)

(30/09/2011 14:19:44)

HP mise sur les imprimantes connectées

Après une semaine agitée, HP revient sereinement à ses fondamentaux avec les annonces de ses différentes divisions. Vyosmesh Joshi, vice-président exécutif en charge de l'activité Imaging and Printing Group (IPG), a assuré en personne à Dublin la présentation des dernières offres du groupe californien. L'occasion de revenir sur la bonne santé d'une division souvent présentée comme la poule aux oeufs d'or du groupe. En 2001, cette branche réalisait un chiffre d'affaires de 19 millions de dollars au niveau monde (essentiellement les Etats-Unis), aujourd'hui Vyosmesh Joshi (ou VJ comme il aime à se présenter) annonce un revenu de 26 milliards de dollars. Un peu moins que l'activité PSG (40 milliards de dollars environ) condamnée à la scission mais beaucoup plus profitable. En 10 ans, les profits d'IPG ont doublé.

Pour revenir aux annonces IPG, VJ déclare très sûr de lui que « la stratégie ne va pas changer. Nos employés, nos technologies et notre habilité ne vont pas changer. Le business est fort et le marché en croissance. Nous avons une vision pour dix ans. Les opportunités sont sans limites ». Fort de ses 14 714 brevets, la division IPG semble avancer sur une route bien tracée : l'impression dans un monde connecté. Ici aussi le déclin de l'activité PC est relativisé par la multiplication des terminaux.

Pour s'adapter, les imprimantes vont presque toutes devenir connectées. Des mises à jour des micro-codes sont progressivement proposées par HP pour ajouter de fonctionnalités à certains vieux modèles dotés d'une interface réseau. Les LaserJet et les multifonctions pourront ainsi accéder au cloud pour apporter des fonctions de stockage, de partage mais aussi d'impression. L'app ePrint de HP permet déjà de chercher une imprimante sur un réseau local sans fil pour imprimer un document depuis un iPhone, un iPad ou un iPod Touch. HP n'est toutefois pas le seul sur ce créneau. Canon propose également une application pour iOS (Canon iEPP) avec les mêmes fonctions. VJ compte bien passer de 10 millions d'imprimantes HP connectées en aout 2011 à 50 millions en décembre 2012. Et toutes les imprimantes commercialisées par HP à partir de 79 euros seront dotées de ces fonctions.

Les grands comptes toujours choyés


HP ne délaisse pas pour autant les grands comptes avec des solutions pour améliorer l'administration de ses périphériques. Le logiciel Exstream 8.0 assure par exemple l'expédition et la réception de documents à la demande, et accélère les capacités de traitement des transactions avec signature électronique. L'outil Exstream Delivry Manager enregistre également toute l'activité dans l'entreprise pour savoir où et vers qui sont expédiés les documents.

[[page]]

Pour renforcer ses propos, VJ a invité plusieurs clients à témoigner de leurs pratiques des produits d'impression HP. Une architecte espagnole du cabinet EMBT, Vaiva Simoliumaité, a ainsi expliqué combien de temps lui faisait gagner le cloud de HP pour la diffusion et le partage contrôlés de documents de travail. « On envoie les fichiers dans le cloud et on contrôle qui a accès aux documents : collaborateurs, clients, partenaires. On n'a plus de problèmes d'emails non reçus ou de connexions FTP difficile à établir. »

Un imprimeur français, Pierre-François Catté, PDG de la CPI, est venu souligner les gains gagnés en productivité grâce aux solutions d'impression numérique de HP. « Nous sommes en mission critique, cela peut paraître étrange quand on parle de livres mais si notre machine est indisponible 24 heures, nous perdons des commandes ». CPI imprime 600 millions de livres par an en France et à l'étranger, 85% en traditionnel et le reste avec des solutions numériques. Il s'agit essentiellement de petites séries entre 1 000 et 3 000 exemplaires pour rendre de nouveau disponibles des ouvrages épuisés. Absent sur scène, La Poste a toutefois été mise en avant par VJ avec un accord pour l'impression de timbres à domicile avec les produits HP. Une expérience similaire a été menée en Allemagne avec la Deutsche Post.



Signalons enfin que de nombreux produits, ont été annoncé à destination du grand public et des PME. Parmi les plus intéressants citons la LaserJet M275 (voir ci-dessus) et l'Envy 110. La première est un périphérique multifonctions doté d'un caméra placé au bout d'un bras vertical pour scanner en 3D des objets de petites tailles placés sur le capot. Il ne s'agit pas de prendre une poto 3D mais de numériser un objet 3D. La seconde est une imprimante pour le foyer qui ressemble au bloc d'un chaine Hifi haut de gamme.

Illustration principale : Vyosmesh Joshi, vice-président exécutif en charge de l'activité Imaging and Printing Group (IPG)

(...)

(30/09/2011 13:20:30)

Une tablette étudiante à 1 euro par jour lancée par Orange et le gouvernement

Pour ce prix, ils disposeront d'un iPad 2 ou d'une Samsung Galaxy Tab et d'un accès internet 3G. Le ministre de l'enseignement supérieur Laurent Wauquiez s'engage à ce que n'importe quel étudiant puisse bénéficier de cette offre, qu'il fréquente un établissement public ou privé, sans aucune restriction ni d'âge ni de ressources. Cette opération reviendra au final pour qui y souscrira à 730€ sur deux ans.

La spécificité de cette offre, c'est son coût mensuel qui n'excédera pas 31€/mois, soit 1€/jour pour disposer d'une tablette de qualité (un iPad 2 à 16Go ou une Samsung Galaxy Tab 8,9 pouces) et d'une connexion 3G avec un volume de données de 1Go par mois. Au-delà, les étudiants peuvent prolonger leur connexion, à raison de 3€ de plus par palier de 100 Mo. Pour le moment, seul Orange propose cette offre, baptisée « Let's go Proxima Etudiant ».

Le ministère souhaite également que soient développées des applications utiles pour les étudiants, tant sur le plan pédagogique que sur tout ce qui concerne leur vie quotidienne. Les universités françaises comptent aujourd'hui 20 000 « hotspots » (points de connexion WiFi) : 94% des résidences sont raccordées à internet et 60% des cafétérias proposent le WiFi.

L'objectif de cette offre « une tablette pour 1€/jour » est de convaincre 10 000 étudiants d'ici à la fin de cette année.

(...)

(30/09/2011 12:55:26)

Intel s'offre Telmap, spécialiste des services de géolocalisation

L'annonce du rachat de Telmap par le fondeur de Santa Clara a été faite lors de la conférence Intel AppUp Elements 2011 à Seattle qui rassemble les développeurs de sa boutique d'application (App Up). Telmap propose en marque blanche, en mode hébergé et géré des services de localisation pour les opérateurs mobiles dans le monde. Ses clients incluent Orange, Vodafone, Vodacom, SFR, O2, Telefonica, SingTel Optus, Cellcom et Pelephone. La société israélienne a confirmé dans un message Twitter son rachat par Intel.

Pour Intel, cette acquisition représente une étape supplémentaire dans sa stratégie dans la téléphonie mobile et plus particulièrement dans les services et les applications. Telmap va devenir une filiale d'Intel. Elle possède une expertise sur la localisation, la cartographie et les services de navigation en proposant des offres de bout en bout sur l'ensemble des terminaux mobiles. Avec Telmap, Intel indique qu'il pourra directement fournir aux développeurs, via des API, des services de localisation au sein de plusieurs éléments, les terminaux mobiles, les systèmes d'exploitation et les architectures de processeurs.

Intel a annoncé à la conférence que 807 000 applications ont été téléchargées et 350 000 personnes sont inscrites pour utiliser son magasin AppUp. Cette place de marché applicative, lancée en 2010, a été conçue pour stimuler le développement d'applications pour les netbooks et les PC.

(...)

(30/09/2011 12:51:18)

Le BlackBerry PlayBook de RIM dans les pas du TouchPad d'HP ?

Selon John Vihn, analyste spécialisé dans les semi-conducteurs chez Collins Stewart, un autre « iPad killer » pourrait bientôt rejoindre le TouchPad d'HP au cimetière des nouveautés technologiques. Dans une note adressée à ses clients aujourd'hui, celui-ci indique en effet que selon ses informations, « RIM aurait arrêté la production des PlayBook et qu'il envisagerait sérieusement de se retirer du marché de la tablette. » Il ajoute que « RIM aurait annulé ses autres projets de développement de nouvelles tablettes. »

Cet avis sur l'arrêt de la production des PlayBook arrive juste après la baisse du prix de la tablette de RIM - moins 200 dollars - par le site de vente en ligne du distributeur Best Buy et de la sortie de la tablette Kindle Fire d'Amazon, vendue 199 dollars et présentée comme étant, elle aussi, la première tablette vraiment capable d'empiéter sur le marché de l'iPad d'Apple.

De la « pure fiction » selon RIM


Dans une interview à Reuters, la porte-parole de RIM, Marisa Conway, a démenti les analyses de John Vihn, les qualifiant de « pure fiction » et a affirmé que l'entreprise « restait fortement engagée sur le marché de la tablette et impliquée dans l'avenir de sa plate-forme QNX. » C'est au printemps dernier que RIM avait sorti son PlayBook et bien que construite autour d'un hardware de qualité, la tablette souffre de plusieurs défauts essentiels, comme l'absence d'une messagerie autonome, d'un carnet d'adresse et d'un agenda indépendant, le seul moyen pour les utilisateurs d'accéder à ces fonctionnalités étant de synchroniser la tablette avec leurs propres terminaux BlackBerry via une connexion bluetooth. Depuis son lancement en avril, le constructeur n'a livré que 700 000 unités de Playbook. C'est peu, comparé au 1 million d'iPad 2 qu'Apple aurait vendu en un week-end au moment de sa sortie en mars dernier.

Kevin Michaluk, chroniqueur pour CrackBerry, dit pour sa part qu'il ne serait pas surpris si le constructeur canadien arrêtait la production du PlayBook, dans la mesure où « RIM a déjà renoncé à développer une version 10 pouces de la tablette et que, comme nous le savons, les ventes de tablettes 7 pouces ont été très moyennes. » De fait, « RIM ne fait pas de bénéfices sur ce marché. » Selon le chroniqueur, « RIM va s'éloigner du marché de la tablette, en tous cas pour le moment, et se concentrer sur le développement de ses smartphones basés sur QNX, qui seront, espère-t-il, plus compétitifs face à l'iPhone et aux appareils sous Android. »

HP a été le premier constructeur à hisser le drapeau blanc, en annonçant cet été la fin de la production de son TouchPad, même si l'énorme baisse de prix - moins de 100 dollars pour la version de base - avait provoqué un rush sans précédent sur le produit dont les stocks ont été épuisés en quelques heures.

(...)

(30/09/2011 12:44:19)

Sécurité des échanges numériques : Keynectis acquiert OpenTrust

Avec le rachat d'OpenTrust par Keynectis, ce sont deux spécialistes français de la sécurité des échanges numériques qui unissent leurs forces. L'objectif annoncé est d'accélérer le développement de leurs activités en France et à l'international où OpenTrust dénombre déjà quelque deux millions d'utilisateurs dans plus de cent pays. Avec ce renfort, Keynectis compte doubler son chiffre d'affaires d'ici trois ans, en réalisant alors la moitié de celui-ci à l'export, indique l'éditeur dans un communiqué. Ensemble, les deux sociétés disent totaliser près de 20 millions de chiffres d'affaires avec 120 collaborateurs. Elles réunissent des logiciels proposés en mode service (SaaS) ou sous forme de licences, dans le domaine de la confiance numérique pour l'e-administration, de la gestion des identités et des transactions dématérialisées interentreprises.

Dans le domaine de l'identité numérique, Keynectis propose des solutions telles que Sequoia e-Passport avec laquelle les gouvernements peuvent protéger et vérifier les passeports électroniques et biométriques, ou encore Sequoia CitizenID, pour la production de titres sécurisés tels que les cartes d'identité ou les permis de conduire. L'éditeur a mis au point des produits d'authentification forte comme K.Access qui prend appui sur une clé USB, un téléphone portable ou un baladeur numérique comme l'iPod. Il dispose également de solutions de signature électronique (K.Websign et K.Sign), de certification des données transmises (Certify.Center) et de protection des infrastructures (certificats SSL, coffre-fort électronique). Il dispose par ailleurs d'un bouquet de services, Trustfull e-gaming, pour garantir l'intégrité des opérations dans le domaine des jeux en ligne.

Atteindre une taille critique en Europe

De son côté, l'offre logicielle d'OpenTrust comprend des fonctions d'authentification forte, de signature électronique et de non-répudiation. Elle permet de sécuriser les équipements d'interconnexion au réseau et les terminaux d'accès (smartphones inclus), et d'installer des processus de dématérialisation de l'information, que le système d'information des entreprises soit géré en interne, dans un cloud privé, ou qu'il recoure à des applications hébergées dans un cloud public. Sa suite intégrée et modulaire rassemble les logiciels OpenTrust PKI (Public Key Infrastructure), SMC (Smart Card Manager), MFT (Managed File Transfer), SPI (Signature and Proof Infrastructure). En mode SaaS, l'éditeur propose OpenTrust Electronic Signing Desk et Secure Post Office.

Ensemble, les éditeurs, basés l'un et l'autre à Issy-les-Moulineaux, continueront à se focaliser sur cinq domaines : l'identité numérique, la sécurité dans l'entreprise, les solutions mobiles, la signature et la dématérialisation et les échanges B-to-B. Le directeur général de Keynectis, Pascal Colin, soulignait peu de temps avant le rachat à 100% d'OpenTrust que les deux sociétés se connaissaient bien et que leur rapprochement était soutenu par un actionnariat fort très familier de leur écosystème (*). Olivier Guilbert, PDG d'OpenTrust, pointait pour sa part l'opportunité d'atteindre une taille critique dans le domaine des infrastructures de confiance en Europe.

Illustration : K.Sign, solution de signature électronique de Keynectis.

(*) Au capital de Keynectis se côtoient
Gemalto, Morpho (Groupe Safran), la Caisse des Dépôts et Consignations, Euro-Information (Groupe Crédit Mutuel-CIC), L'imprimerie Nationale et TDH (Thierry Dassault Holding), Thierry Dassault étant de président du conseil d'administration de Keynectis. A celui d'OpenTrust figurait notamment les fonds d'investissements Iris Capital, GemVentures, Crédit Agricole Private Equity, Elaia Ventures, Seeft Ventures et 123Venture.

(...)

(30/09/2011 11:40:18)

Le réseau informatique d'Areva piraté

Areva vient de reconnaître que son système informatique avait été attaqué par des pirates. Selon L'Expansion, qui évoque une origine asiatique, ces intrusions duraient depuis deux ans.  Elles auraient touché non seulement la France mais également des sites du groupe à l'étranger.  Areva a confirmé que son réseau informatique avait été piraté. « Nous avons subi une attaque et nous avons pris de mesures afin que ces actes ne se renouvellent pas », a indiqué le service communication du groupe. « Des mesures de renforcement de nos systèmes de sécurité ont été prises avec le soutien de l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'informations (Anssi) ».

Areva s'est voulu rassurant en précisant que les attaques portaient sur des données non critiques et pas sur des informations sensibles  il y a eu un accès frauduleux sur le  réseau commun d'infrastructures permettant l'échange d'informations non critiques, a précisé Areva.  Les secrets industriels du groupe n'ont pas été impactés.  

Illustration: Crédit photo: D.R
(...)

(30/09/2011 11:28:34)

La TV en ligne dépasse le milliard de consultations en France

En dépassant le milliard de contenus regardés sur le web, la télévision en ligne effectue une avancée et s'ancre encore davantage dans le quotidien des téléspectateurs et internautes français. Par rapport aux huit premiers mois de 2010, le procédé a progressé quantitativement de 42%.

Sur les 187 millions de programmes d'août dernier, 7% d'entre eux ont été regardés depuis un écran mobile (PC portable, téléphone mobile et tablette). 45% des émissions rattrapées se rattachaient au domaine du divertissement, genre davantage prisé en période estivale.

Le baromètre TV en ligne entend quantifier la consommation des programmes cathodiques effectuée chaque mois sur internet, à partir des données chiffrées délivrées par les quatre principaux groupes audiovisuels (TF1, France Télévisions, Canal+ et M6). L'ensemble des supports digitaux, PC, TV connectée, mobile et tablette, seront pris en compte dans les calculs.

(...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >