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(23/09/2011 11:35:22)
Annuels Logitech : Le constructeur revoit ses prévisions à la baisse
Pour son année fiscale 2012, qui se terminera au 31 mars 2012, le groupe suisse Logitech table désormais sur chiffre d'affaires d'environ 2,4 milliards de dollars pour un bénéfice opérationnel de l'ordre de 90 millions de dollars. Guerrino De Luca, président et CEO ad intérim, a déclaré dans le communiqué avoir mené ces dernières semaines une évaluation approfondie de l'état des affaires pour l'exercice 2012 et au-delà: «Nous avons maintenant une compréhension approfondie de ce qui doit être corrigé.» Cette révision est liée à la situation économique actuelle.
Fin juillet dernier, Gerald P. Quindlen démissionnait de son poste de CEO et de membre du conseil d'administration de Logitech en raison de résultats décevants. En outre, l'entreprise revoyait ses prévisions de résultats à la baisse soit un chiffre d'affaires de 2,5 milliards de dollars et un bénéfice opérationnel de l'ordre de 143 millions de dollars.
Le groupe vaudois reste toutefois optimiste et s'attend à des résultats plus encourageants ces prochains trimestres, grâce à de nouveaux produits notamment des équipements pour appareils audio et vidéo ainsi que sur ceux destinés aux vidéoconférences. Par ailleurs, des changements dans la distribution sont à prévoir.
(...)(22/09/2011 22:31:36)Leo Apotheker débarqué, Meg Whitman est le nouveau CEO de HP
Après 36 heures de rumeurs, Leo Apotheker a bien été débarqué de son poste de CEO de HP et remplacé Meg Whitman. Ancien CEO d'eBay et candidate républicaine malheureuse au poste de gouverneur de Californie en novembre 2010, Meg Whitman était annoncée depuis plusieurs heures au poste de CEO de HP. Ray Lane, membre du conseil d'administration, a été nommé président exécutif (executive chairman).
La nomination de Meg Whitman semble pour le moins précipitée et fort curieuse. Ce chef d'entreprise - un court moment égaré dans la politique - a laissé un eBay figé et n'a jamais dirigé une entreprise aussi complexe et diversifiée que Hewlett-Packard.
Nous reviendrons plus en détails demain sur cette nomination avec les premières réactions du marché et des analystes. (...)
Open World Forum : Le logiciel libre et Internet dans l'arène politique
« Le logiciel libre a contribué de façon décisive à la révolution numérique, par sa gratuité, sa qualité et le potentiel économique et industriel considérable qu'il représente », a déclaré ce matin le ministre chargé de l'Industrie, de l'Energie et de l'Economie Numérique, en ouverture de l'Open World Forum. La quatrième édition de l'événement consacré au monde de l'Open Source se tient à Paris jusqu'au samedi 24 septembre, à l'Eurosite Georges V. Au passage, Eric Besson a cité en exemple la large utilisation du navigateur web Firefox, la diffusion de l'OS mobile Android basé sur Linux ou, encore, le lecteur VLC, né du projet d'élèves ingénieurs de l'Ecole Centrale de Paris, « l'une des meilleures applications au monde pour diffuser des contenus multimédias ». Pour autant, le ministre juge utile d'insister sur la complémentarité entre logiciels libres et propriétaires, les uns obligeant les autres à s'améliorer constamment.
« Le logiciel libre facilite le transfert de technologie et la mise en oeuvre de standards ouverts et se diffuse de manière croissante. Le gouvernement l'a également identifié comme un axe stratégique », a-t-il rappelé en évoquant plusieurs projets dans lesquels l'Etat français investit, dans les domaines de la télévision interactive, de la portabilité entre plateformes de cloud, des logiciels embarqués et sur la mise à disposition prévue des données publiques via le portail Data.gouv.fr.
Investir sans demi-mesures
Profitant de la présence d'Eric Besson, c'est une véritable charge contre l'action des pouvoirs publics vis-à-vis du numérique qu'a lancé à sa suite Jean-Louis Missika, adjoint au maire de Paris, chargé de l'innovation, de la recherche et des universités. « 25% de la croissance européenne est liée au numérique et c'est encore plus vrai pour la région parisienne. Dans une période de crise aigüe, les investissements doivent se faire sans demi-mesures. On ne peut pas prétendre à un développement d'avenir et supprimer les aides fiscales qui aident les PME, ce que la loi de finances 2011 a mis à mal », a-t-il lancé. Il considère que l'on ne peut pas mettre en place un plan sur plusieurs années et changer les règles du jeu à mi-parcours. « On ne peut pas encourager ce secteur et le traiter comme la poule aux oeufs d'or », a-t-il poursuivi en énumérant les taxes qui ont frappé l'industrie du numérique au rythme d'une nouvelle tous les ans depuis 2007. « Il faut un meilleur accès aux marchés publics pour les PME, ce que nous essayons de faire dans une certaine mesure à Paris. » Pour lui, la France ne fait pas assez pour soutenir l'Open Source. « L'administration devrait avoir obligation pour communiquer de n'utiliser que des standards ouverts ». Jean-Louis Missika a aussi vigoureusement défendu la neutralité d'Internet. « Un Internet non neutre, cela a déjà été testé à grande échelle en France avec le Minitel, on a vu les limites du modèle. Hiérarchiser les conditions d'accès à Internet, c'est remettre en cause la neutralité. L'idée de revenir sur la neutralité n'est pas envisageable. » Il fustige un éventuel système de péage.
Assurer les emplois de demain
Très loquace, l'adjoint au maire de Paris a aussi pointé qu'on ne peut pas souligner le rôle bénéfique d'Internet comme appui au Printemps arabe et voter en France des lois qui portent atteinte aux libertés fondamentales comme peut le faire la Loppsi 2.
« Enfin, sur bien des sujets, la gouvernance est efficace quand elle se place au plus près des territoires », a ensuite abordé Jean-Louis Missika. Prêchant dès lors pour sa paroisse, il a rappelé les actions de la Ville de Paris. Le programme Emergence(s), par exemple, qui accorde des bourses de financement à de jeunes chercheurs pour des projets innovants, le soutien apporté aux pôles de compétitivité locaux et aux nombreux incubateurs, parfois adossé à des organismes de recherche, ainsi que l'association avec Oseo pour soutenir des entreprises en phase d'amorçage. Enfin, sur l'Open Data et la diffusion des données publiques, ce n'est, pour Paris, « pas un projet mais une réalité », selon lui. En conclusion, il a reconnu que certains des sentiers à emprunter étaient complexes, « mais c'est à ce prix que nous assurerons les emplois de demain et la vitalité de la Ville de Paris ». Une intervention largement applaudie par le public de l'Open World Forum, gagné plus particulièrement à certains de ses arguments.
Un peu plus tard dans la matinée, Nigel Shadbolt, membre du conseil de transparence du secteur public britannique, investi dans l'aventure Open Data Outre-Manche, est venu expliquer quels enseignements le gouvernement du Royaume-Uni avait tiré de son projet de mise à disposition des données publiques (data.gov.uk).
Illustration : Eric Besson, ministre chargé de l'Economie Numérique (à gauche) ; Jean-Louis Missika, adjoint au Maire de Paris, chargé de l'innovation, (à droite). Crédit : M.G.
Oracle rachète GoAhead, spécialiste des logiciels de haute disponibilité
Oracle continue ses emplettes avec comme orientation la disponibilité des applications. Pour ce faire, la firme de Redwood a annoncé l'acquisition de GoAhead, pour un montant non dévoilé. La société propose des packages logiciels à destination des opérateurs de télécoms, mais aussi pour les fournisseurs d'équipements réseaux.
L'objectif pour Oracle est de disposer de solutions logicielles pour s'assurer indépendamment des infrastructures IT, de la haute disponibilité en temps réel des différentes applications. GoAhead est basée à Bellevue dans l'état de Washington. Elle comprend plus de 100 000 déploiements avec des clients comme Motorola, Alcatel-Lucent, Lockheed Martin, etc. Oracle veut conclure la transaction avant la fin de l'année 2011.
Une class action contre HP accélérateur du départ de Leo Apotheker
Dans les différents éléments consécutifs au probable débarquement de Leo Apotheker de la présidence de HP, la plainte déposée, le 13 septembre dernier, en nom collectif par un investisseur américain, Richard Gamel, pour propos trompeurs pourrait avoir été un accélérateur. Cette affaire concerne le PDG, Leo Apotheker, mais aussi la directrice financière du groupe, Cathy Lesjak. Selon la plainte, les deux dirigeants ont tenu des propos faussement positifs avant les annonces du 18 août portant sur l'arrêt de la production des TouchPad sous WebOS, mais aussi en lançant la réflexion sur la scission de son activité PC. La class action estime que la valeur de l'action avait été gonflée artificiellement avant de chuter lors des annonces stratégiques de la fin de l'été.
(...)(22/09/2011 15:18:07)Les sénateurs américains accusent Google de favoriser ses services
« Les résultats de recherche de Google semblent favoriser l'affichage de réponses commerciales et autres services, et les services proposés par Google ont l'air d'apparaître toujours en tête des résultats de recherche organiques, » a déclaré le sénateur républicain de l'Utah, Mike Lee. Pour preuve, ce dernier a montré un tableau dans lequel on peut voir que les annonces commerciales de Google s'affichent toujours dans les trois premiers résultats, alors que le classement d'autres sites est variable dans la grille des résultats. « Il semble que Google a « prémâché » ses résultats, » a estimé le sénateur.
Le président exécutif de Google a nié les affirmations du sénateur et celles des autres membres du sous-comité. « Je peux vous assurer que nous n'avons rien préparé à l'avance », a-t-il déclaré. « Google cherche avant tout à offrir les meilleurs résultats possibles, et non à orienter le choix vers ses services, » a-t-il affirmé. « Il semble que le tableau du sénateur Lee cherche à comparer la recherche de produits avec celle de comparateurs de prix, » a déclaré Eric Schmidt. « Je n'ai pas connaissance de méthodes inappropriées, de favoritisme quelconque ou de résultats biaisés dont le but serait de mettre en avant les produits de Google, » a-t-il ajouté.
Quel impact pour les petites entreprises
Mais cette réponse n'a pas satisfait le sénateur démocrate du Minnesota, Al Franken. Selon lui, la réponse faite par le PDG de Google au sénateur Lee, disant qu'il n'avait pas connaissance de méthodes biaisées pour la recherche de services commerciaux était «floue». « Si vous n'êtes pas au courant de ces méthodes, alors qui l'est ? » a-t-il demandé. Les réponses d'Eric Schmidt ne semblent pas non plus avoir convaincu Mike Lee. Au contraire, les réponses du PDG exécutif de Google ont renforcé ses « craintes » quant à l'usage d'une méthode de recherche partiale par le moteur de Google.
Interrogé sur le classement fluctuant de certaines petites entreprises dans les résultats de recherche, Eric Schmidt a déclaré aux sénateurs que Google modifiait ses résultats de recherche environ 500 fois par an. « Google offre un bon service pour la « grande majorité » des petites entreprises aux États-Unis, » a-t-il ajouté. «Tous les sites Web ne peuvent pas apparaître en haut du classement, » a t-il ajouté. » « Pour chaque gagnant, il y a un perdant. »
Des partenaires devenus concurrents
« Le business model de recherche de Google semble avoir changé ces dernières années, après une période d'acquisition frénétique destinée à faire entrer l'entreprise sur de nombreux nouveaux marchés, » a déclaré le sénateur démocrate du Wisconsin Herb Kohl, et président du sous-comité. Le sénateur démocrate du Connecticut Richard Blumenthal, a comparé le business model de Google à une entreprise qui possèderait d'abord un champ de courses, et se mettrait ensuite à posséder des chevaux. « Vos chevaux semblent être gagnants », a-t-il déclaré.
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Les dirigeants de Yelp, un site qui recueille des avis de consommateurs sur les produits et de Nextag, un comparateur de prix, ont fait savoir aux sénateurs que les pratiques de recherche de Google étaient préjudiciables à leur activité. « Au lieu d'innover, Google a copié d'autres services pour créer son propre site commercial, » a déclaré Jeff Katz, le PDG de Nextag. Environ 65% des résultats de recherche de Nextag viennent via Google, et les changements récents dans la manière dont Google affiche ses résultats de recherche ont eu un effet négatif considérable sur le site de Nextag. « Pendant des années, Google a été un bon partenaire, mais l'entreprise californienne a récemment commencé à favoriser ses propres services sur Yelp, » a déclaré Jeremy Stoppelman, cofondateur et PDG de Yelp. « Ces dernières années, Google s'est surtout employé à devenir un site de destination, pas un moteur de recherche impartial, » a encore déclaré le PDG de Yelp. Ce dernier s'est même demandé si Yelp pourrait réussir aujourd'hui avec les pratiques de Google. A la question de savoir s'il lancerait aujourd'hui un site comme Yelp dans l'environnement actuel, Jeremy Stoppelman a répondu : « Je chercherais autre chose à faire ! »
D'autres moteurs sont utilisables
Pour Susan Creighton, partenaire du cabinet d'avocat Wilson Sonsini Goodrich & Rosati et conseiller antitrust de Google, « les utilisateurs de Google peuvent facilement choisir un autre moteur de recherche ou d'autres services, s'ils ne sont pas satisfaits des résultats finaux. » Par exemple, «Amazon.com offre un énorme service de recherche de produits ou Facebook propose beaucoup de publicité pour des services locaux. » Ajoutant : « C'est gratuit et on peut tester instantanément les résultats de recherche d'un autre moteur », a-t-elle commenté. Mais Susan Creighton, autrefois chargée de faire respecter les lois antitrust à la Federal Trade Commission, a mis en garde les sénateurs sur leur tentation à vouloir dire à Google comment obtenir les résultats de recherche. « L'ingérence du gouvernement pourrait transformer les résultats de recherche de Google en un service public réglementé, » a-t-elle déclaré.
(...)(22/09/2011 14:57:46)Oracle sort une appliance base de données plus abordable
Si l'on en croit Oracle, c'est le succès d'Exadata, son appliance associant étroitement serveurs de base de données et baies de stockage, qui l'a conduit à élaborer une version moins coûteuse. L'offre qui a été lancée hier par Mark Hurd, président de la société, avec l'ambition de toucher de nouvelles catégories de clients, en particulier dans les entreprises de taille moyenne (mid-market), combine elle aussi matériel et base de données, en s'appuyant sur le produit phare de l'éditeur, Oracle Database 11g Enterprise Edition, et en regroupant de 2 à 24 coeurs (avec un maximum de 192 Go de mémoire) et 12 To de stockage sur disques SAS. Elle démarre tout de même à 50 000 dollars, avec un processeur deux coeurs (contre 330 000 dollars pour le plus petit modèle d'Exadata).
Baptisée Oracle Database Appliance, cette solution « plug and go », comme l'a présentée Andy Mendelsohn, senior vice-président, responsable des technologies serveur, est en quelque sorte le produit d'entrée de la gamme Exadata ou celui qui y conduit. Doté de « toutes les redondances au niveau matérielle », il a vocation à consolider plusieurs serveurs de bases de données, à concurrence de sa capacité totale, en permettant à des entreprises de moindre taille de mettre en place rapidement et simplement une solution qu'elles n'auraient pas vraiment eu les moyens d'installer autrement. « Une entreprise pourra ainsi proposer le partage de ses données entre ses différents départements », a ajouté Andy Mendelsohn. Interrogé sur le type de traitements que l'appliance permet de gérer, il a indiqué que celle-ci convenait tout autant aux applications transactionnelles que décisionnelles (OLTP et datawarehouses). En revanche, il ne sera pas possible de combiner plusieurs de ces appliances. Pour les besoins nécessitant plus de 24 coeurs et plus de 12 To de stockage, Oracle préconise de passer alors à un modèle de la gamme Exadata.
Une tarification progressive des licences
L'autre aspect intéressant de l'offre est son modèle de tarification sur le logiciel. « Vous payez pour les licences pour ce que vous utilisez », pointe le responsable des technologies serveurs. Et si le client monte en puissance, il paye en fonction de ses besoins. « La mise en route de l'appliance est très aisée, de même que sa maintenance », a assuré de son côté Judson Althoff, vice-président, responsable des alliances et des réseaux au niveau mondial pour Oracle. « Nous avons voulu rendre les choses très simple pour le marché visé », a confirmé Andy Mendelsohn. Selon lui, il est possible de mettre la solution en service en deux heures. (.../...)
Illustration principale : l'Oracle Database Appliance (crédit : Oracle)
Andy Mendelsohn, senior vice-président, responsable des technologies serveurs d'Oracle, lors de l'annonce.
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Côté logiciels, on trouve pratiquement le même assemblage de données que sur l'Exadata, a souligné Andy Mendelsohn. Outre la base de données, la partie logicielle réunit Oracle Real Application clusters (RAC), Oracle Linux et le logiciel Appliance Manager. Ce dernier propose, de façon préconfigurée, des fonctions d'auto-gestion de la base, ainsi que la détection et la correction automatique des situations de défaillance. Il déclenche aussi un appel téléphonique à Oracle si une intervention est nécessaire. La mise à jour de l'ensemble se fait en une seule opération.
La Database Appliance loge dans un unique châssis 4U contenant deux serveurs sous Oracle Linux, chacun comportant deux processeurs Xeon six coeurs d'Intel X5675 et 96 Go de mémoire. Les deux serveurs sont connectés par un lien interne Gigabit Ethernet redondant et chacun propose à la fois une connectivité GbE et 10 GbE. La capacité de stockage brute de 12 To laisse 4 To de stockage utilisable pour la base après l'installation de la double réplication.
D'autres offres packagées à venir
Comme à son habitude, Oracle compare son offre à ce que pourrait offrir ses principaux concurrents, HP en l'occurrence, qui doit assembler les offres de différents fournisseurs pour proposer une solution équivalente. Il met surtout en évidence l'intérêt, pour le client, de s'adresser à un unique vendeur pour l'ensemble du support, quand, en face, l'offre concurrente nécessite le recours à plusieurs supports. « Nous allons essayer d'élargir nos marchés cibles avec des offres packagées combinant matériel et logiciel, afin que davantage d'entreprises puissent profiter de la technologie et permettre à ces clients de monter en puissance en s'appuyant sur ces offres », a conclut Mark Hurd en laissant entendre qu'Oracle pourrait réaliser d'autres innovations dans ce domaine. Le produit sera distribué par les partenaires déjà référencés.
Mark Hurd, président d'Oracle, lors de l'annonce par webcast de l'Oracle Appliance Database (...)
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