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(21/09/2011 16:23:06)
Un premier bureau français pour le W3C
Le W3C (World Wide Web Consortium) dispose désormais d'un bureau en France, abrité par l'Inria. L'institut renouvelle donc son engagement aux côtés de l'organisme de normalisation dont il a hébergé, dès sa création et pendant plusieurs années, la branche européenne. L'une des activités premières du bureau français consistera à promouvoir la participation des acteurs français de l'industrie et de la
recherche aux activités de standardisation du W3C.
Aider le W3C à atteindre ses objectifs
« Par leur participation active au W3C, les représentants de l'industrie peuvent faire bien mieux que suivre l'évolution rapide du Web, ils peuvent en être les instigateurs », a estimé Bernard Odier, responsable du bureau W3C France, dans un communiqué. De son côté, Jeff Jaffe, PDG du W3C, a déclaré que, grâce à ses relations avec le monde industriel en France et en Europe, l'Inria était en position idéale pour aider le consortium à réaliser ses objectifs.
Les activités de promotion et de recrutement du bureau France, installé à Paris, viendront compléter les activités techniques réalisées par le personnel du W3C installé ailleurs en France (Sophia Antipolis).
Pour marquer ce lancement, le bureau organise une session sur les données ouvertes lors de l'Open World Forum qui se tiendra le 22 septembre à Paris, en collaboration avec Inria et la Mairie de Paris.
Illustration : Bernard Odier, responsable du bureau W3C France. Crédit photo : D.R
(...)
16 apps Android utiles aux informaticiens (2e partie)
9 - Android VNC-Viewer (gratuit)
Si vous préférez le VNC pour les connexions de bureau à distance, si la configuration du routeur ne vous pose pas de problème, et si vous disposer d'adresses IP statiques ou un nom d'hôte DNS dynamique, alors vous pouvez envisager de vous tourner vers ce petit client VNC open source. Celui-ci supporte les connexions VNC avec la plupart des serveurs VNC sous Windows, Linux et Mac OS X, aussi bien en WiFi que via un réseau mobile.
Contrairement au client Wyse PocketCloud, cette appli n'affiche aucune publicité et offre la fonction de zoom pincée gratuitement. En contrepartie, celui-ci ne sait pas sécuriser vos connexions automatiquement. Pour cela, il faudra recourir à une autre application, comme ConnectBot, pour crypter la connexion à l'ordinateur/serveur auquel vous souhaitez accéder à distance.
http://market.android.com/details?id=android.androidVNC
10 - Spiceworks Mobile (gratuit)
Si votre entreprise utilise la solution de gestion informatique Spiceworks, vous pouvez utiliser ce client pour voir votre réseau et faire l'inventaire des PC, traiter les tickets de maintenance, communiquer et gérer les utilisateurs, grâce au support d'Active Directory. Vous pouvez également communiquer avec d'autres administrateurs de la communauté Spiceworks pour demander un feedback, trouver de l'aide ou rechercher des informations.
https://market.android.com/details?id=com.spiceworks&feature=search_result
11 - ActiveDir Manager (gratuit ou 1,99 dollar)
Vous travaillez avec Active Directory dans votre entreprise ? Alors l'appli ActiveDir Manager est incontournable. Celle-ci vous permet de voir et de gérer les utilisateurs, les groupes et les ordinateurs directement depuis votre terminal sous Android. Elle vous permet aussi de réinitialiser les mots de passe utilisateur, de désactiver ou de modifier les comptes, de valider les adhésions à des groupes, et d'effectuer d'autres tâches d'administration ordinaires. ActiveDir Manager supporte Windows Server 2000 et suivant, avec StartTLS, SSL, ou aucun cryptage. L'application peut se connecter directement au serveur Active Directory en VPN via WiFI ou réseau cellulaire. Seule différence entre les versions gratuite et payante : cette dernière permet d'enregistrer les paramètres et les options de connexion LDAP.
https://market.android.com/details?id=net.bealsystems.ADUserManager
12 - WiFi Analyzer (gratuit)
Si vous utilisez le WiFi au sein de votre entreprise, vous aurez peut-être envie de vous faire aider par cet outil d'analyse pour établir les points d'accès, vérifier l'utilisation des canaux, résoudre les dysfonctionnement liés au WiFi, ou vérifier la sécurité du réseau sans fil. Celui-ci permet notamment d'afficher et d'exporter les détails relatifs aux points d'accès : SSID, adresse MAC, cryptage, canal utilisé et niveau du signal en dBm, le tout sous forme de barre graphique avec légende. Vous pouvez voir les canaux sous forme graphique, avec chaque point d'accès et le niveau du signal en temps réel, et avoir accès à un historique récent. L'outil effectue un classement des canaux et donne des recommandations sur les plus performances. Un visualiseur de signal permet aussi de trouver les points d'accès.
https://market.android.com/details?id=com.farproc.wifi.analyzer&feature=search_result
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13 - SharesFinder (gratuit)
Cette appli cherche les serveurs Windows (SMB), FTP et HTTP partagés sur le réseau auquel vous êtes connecté en WiFi. Cela peut s'avérer utile si vous essayez d'accéder à des fichiers sur le réseau ou à l'occasion d'un audit de sécurité. Pour chaque serveur/dossier partagé détecté, vous verrez les adresses IP et l'adresse pour le contrôle d'accès au média, le nom SMB, et le nom du vendeur.
L'appli permet également les opérations ordinaires de transferts de fichiers et de gestion de fichiers SMB distants, notamment la création et la suppression des fichiers et des dossiers. Il est possible de se connecter anonymement ou à l'aide d'un nom d'utilisateur et un mot de passe. En ce qui concerne les ressources HTTP, SharesFinder utilise le navigateur Internet. Pour les ressources FTP, vous pouvez vous connecter via un client FTP tiers, comme AndFTP.
https://market.android.com/details?id=com.scan.places
14 - Overlook Fing (gratuit)
Si vous effectuez un quelconque travail sur le réseau de votre entreprise, cette appli est incontournable. Elle sait faire du scan de port TCP, envoyer des pings, effectuer du traceroute, et rechercher des DNS sur un réseau Wi-Fi. Elle peut également afficher des informations détaillées (SSID, informations sur les IP, vitesse) sur la connexion Wi-Fi active.
Il est possible de voir et d'exporter les coordonnées (adresse MAC, IP et fournisseur) de chaque ordinateur ou périphérique détecté sur le réseau, lesquelles sont personnalisables avec un nom, une icône ou des notes. Vous pouvez également effectuer un scan de ports ou envoyer des pings à un ordinateur ou un périphérique particulier. L'appli peut aussi lancer des applications clients tierces pour le SSH, Telnet, le FTP, le FTPS, le SFTP, le SCP, le http, le HTTP sécurisé et le SMB.
https://market.android.com/details?id=com.overlook.android.fing
15 - RouterPasswords (gratuit)
Encore un must-have pour tous ceux qui travaillent avec les équipements réseaux : une simple base de données qui contient les informations de connexion et d'identification par défaut de plus d'un millier de routeurs, de passerelles, de modems et autres éléments réseaux. Même s'il est possible de trouver ces éléments en ligne, RouterPasswords permet un accès hors ligne rapide à ces informations. Il suffit de taper le nom du modèle ou de la marque du matériel, et l'appli liste les éléments correspondants.
https://market.android.com/details?id=net.davidgouveia.routerpasswords
16 - Linux Commands (gratuit)
Si vous utilisez Linux, sans être un expert de la ligne de commande, cette appli est vraiment une mine de référence, puisqu'elle répertorie plus de 500 commandes Linux facilement accessibles. Il suffit de sélectionner une commande pour en voir la syntaxe, la description et toutes les options relatives. Vous pouvez même noter vos commandes favorites et les afficher au démarrage, en plus de pouvoir y accéder manuellement. On peut certes trouver ces mêmes informations en ligne, mais l'appli offre un accès hors ligne très appréciable.
https://market.android.com/details?id=com.dekryptedit.LinuxCommands
Pour consulter les huit autre apps pour Android, cliquez sur ce lien
Smile s'empare du hollandais Stone-IT
Smile, intégrateur français de solutions Open Source, vient d'acquérir Stone-IT, un spécialiste des logiciels libres situé aux Pays-Bas pour un montant non communiqué. Grâce à ce rachat, la SSII française se renforcera dans une région où elle est présente depuis une dizaine d'années. Elle proposera une palette de services (consulting, développement, intégration, formation, maintenance applicative et infrastructure) sur l'ensemble des domaines métiers où l'open source est utilisé (site internet, intranet, portail, e-Commerce, GED, ERP, BI, messagerie).
Création d'une filiale en Belgique
Situé dans la ville d'Utrecht, Stone-IT a été créé il y a 15 ans. Le groupe, qui compte le secteur public et celui de la santé comme principaux clients, devrait réaliser un chiffre d'affaires proche de 2 M€ en 2011. « «L'offre de Stone IT est complémentaire avec celle de Smile aux Pays-Bas, de sorte que les possibilités de synergies sont immédiates », a déclaré Marc Palazon, président du directoire de Smile dans un communiqué.
En parallèle à ce rachat, la SSII a annoncé la création d'une filiale à Bruxelles, pour viser l'ensemble du marché belge et luxembourgeois. Cette agence sera intégrée à l'entité Smile Bénélux.
(...)
285 millions d'euros pour Andromède, le cloud souverain français
Pour concurrencer les principaux clouds publics d'origine américaine, IBM, HP, Microsoft, Amazon Web Services ou Rackspace et surtout échapper au fameux Patriot Act US, la France aura son cloud public national : un projet baptisé Andromède et lancé en 2009 par François Fillon. Le 18 janvier 2010, le premier ministre déclarait : « Mon souhait est que ce nouveau type d'infrastructure de service fasse l'objet d'un partenariat public-privé grâce aux fonds du programme pour les investissements d'avenir. Il faut absolument que nous soyons capables de développer une alternative française et européenne dans ce domaine, qui connaît un développement exponentiel [...] Force est de constater que les Nord-Américains dominent ce marché, qui constitue pourtant un enjeu absolument majeur pour la compétitivité de nos économies, pour le développement durable et même, j'ose le dire, pour la souveraineté de nos pays »
En partie financé par le grand emprunt, ce cloud souverain a été relancé en aout dernier avec la signature d'un protocole d'accord entre la Caisse des Dépôts, et ses partenaires privés France Telecom/Orange, Thalès et Dassault Systèmes alors que Capgemini a préféré se retirer du projet. La Caisse des Dépôts investira 135 millions d'euros, France Telecom et Thales apporteront 60 millions chacun et Dassault Systèmes 30 millions, rapporte le quotidien Les Échos.
Un cloud souverain pour réduire les coûts des SI de l'Etat ?
Pour réduire les coûts de fonctionnement de ses systèmes d'informations - la principale mission de Jérôme Filippini, le directeur interministériel des systèmes d'information et de communication - l'État est bien obligé de mettre en place les recettes qui fleurissent dans le privé. Mais pour garantir la sécurité et la confidentialité des données, le gouvernement a décidé de confier ces infrastructures stratégiques à 3 groupes bien français. Nulle dimension européenne dans ce projet, alors que la standardisation des infrastructures cloud au niveau continental est le seul moyen de proposer des plates-formes aussi compétitives que celles d'Amazon ou de Microsoft. Si le projet Andromède n'est qu'un nouvel avatar du génie français qui consiste à faire plus cher et moins interopérable, les objectifs de réduction des coûts vont passer à la trappe au profit du discours habituel sur l'excellence française.
Selon Les Échos, « Orange fournira les infrastructures en colocation à Andromède et l'ensemble de la connectivité nécessaire aux clients d'Andromède ». La partie sécurité sera assurée par Thalès, une de ses spécialités. On ne sait pas encore quelle sera la contribution technologique de Dassault Systèmes, pas vraiment un poids lourd du cloud computing. « Ca avance dans le bon sens, mais on ne peut ne rien dire de plus pour l'instant», nous a simplement confié un porte-parole de Dassault Systèmes.
Enfin selon une source syndicale, le projet Andromède concernera tout d'abord « le domaine de l'e-santé, des données personnelles, mais aussi d'accueillir les données de type e-gouvernement ».
(...)(21/09/2011 12:29:42)
Cisco étoffe la gestion de la couche réseau virtualisé de Windows Server 8
Cisco va proposer deux solutions pour s'arrimer aux serveurs équipés de l'hyperviseur Hyper-V 3 de Microsoft, extraire l'information de la couche réseau relative aux machines virtuelles Hyper-V et ajouter les fonctions de contrôle, de gestion et de configuration de la couche réseau Cisco à ces machines.
La première solution supportant la technologie Hyper-V est une déclinaison du switch Nexus 1000V Series de Cisco en commutateur virtuel distribué. Celui-ci a été adapté à la technologie Hyper-V 3 des machines virtuelles par l'ajout de cartes Ethernet virtuelles qui peuvent être gérées par le Virtual Supervisor Module, un autre composant du commutateur de Cisco. Selon le constructeur, le module de supervision est étroitement intégré à Microsoft System Center Virtual Machine Manager, ce qui permettra aux clients de définir des privilèges distincts pour des niveaux d'administration différents. Le module de supervision peut être déployé sur une appliance physique ou sur une machine virtuelle. La totalité du commutateur distribué peut être hébergé sur l'appliance physique Cisco Nexus 1010 Virtual Appliance Services.
Gérer les VM Hyper-V 3 à partir de NX-OS
Selon Cisco, cette combinaison offre aux administrateurs Cisco un moyen plus facile de gérer les machines virtuelles, car ils peuvent utiliser le logiciel Cisco NX-OS avec lequel ils sont déjà familiers. Les machines virtuelles apparaissent comme des extensions du réseau physique, ce qui facilite l'application des politiques, le provisionning et le diagnostic des problèmes éventuels sur les machines virtuelles. Ici, l'environnement virtuel n'est pas traité séparément, mais il a été placé sous un parapluie de protection.
Le Nexus 1000V a également été intégré à d'autres produits Cisco afin de pouvoir étendre leurs fonctionnalités aux machines virtuelles. Dès son lancement, le commutateur virtuel sera compatible avec les services de trois produits de réseau virtuel. À commencer par Virtual Security Gateway, qui permet l'application de politiques de sécurité par zone dans des environnements virtuels multi-tenant. Vient ensuite Virtual Wide Area Application Services, qui supporte l'optimisation des performances pour les applications hébergées sur les serveurs virtuels des datacenters et des clouds privés. Enfin, Network Analysis Module qui apporte de la visibilité à l'environnement virtuel pour la résolution de problèmes de performance. Hyper-V est déjà fourni avec son propre commutateur virtuel, mais, selon Cisco, celui-ci n'offre pas le même degré de contrôle que le Nexus 1000V à venir.
Cliquer sur l'illustration pour l'agrandir
Des produits pour Windows Server 8 uniquement
L'équipementier lance également une nouvelle version de Hyper-V-friendly de l'Unified Computing System Virtual Machine Fabric Extender (UCS VM-FEX), lequel étend la gestion Cisco aux environnements virtuels. Les avantages de ce système sont proches de ceux apportés par le Nexus 1000V, à ceci près qu'il permet de voir la couche réseau et les contrôles de l'environnement virtuel, comme l'a précisé Cisco. Avec l' UCS VM-FEX, les administrateurs peuvent gérer les éléments physiques et virtuels de leurs réseaux comme une seule et même infrastructure pour le provisionning, la configuration, la gestion, le monitoring et le dépannage.
Ces produits fonctionneront exclusivement avec la version 8 de Windows Server, attendue fin 2012. Les versions existantes de Nexus 1000V et de l'UCS VM-FEX travaillent déjà avec les environnements virtuels Hyper-V concurrents de VMware. Pour l'instant, le prix de ces nouveaux produits n'est pas encore disponible.
Crédit photo : Cisco
SAP s'offre Crossgate, un spécialiste de l'EDI
SAP a annoncé qu'il allait acquérir Crossgate, un intégrateur de services B2B, pour un montant non divulgué. Partenaire de longue date de l'éditeur de progiciels allemand, Crossgate, dont le siège est situé à Munich, revendique quelque 40 000 partenaires et compte des entreprises comme BASF, Olivetti et Mobile telco 3 parmi ses clients. Ses solutions permettent aux entreprises de communiquer avec leurs partenaires, clients ou fournisseurs, par le biais d'échange de données électroniques (EDI).
En procédant à ce rachat, SAP entend offrir davantage de valeur ajoutée à ses clients qui cherchent à collaborer, partager des données et automatiser les processus. Crossgate propose des services de facturation électronique qui couvrent les signatures, la surveillance de la conformité, l'intégration avec les systèmes de back-office des clients et les processus financiers.
Un accord de distribution passé en 2008
En 2008, SAP avait investi dans cet intégrateur, avant de conclure un accord de distribution qui avait lui avait permis d'inclure, en extension, le moteur B2B Content Engine de Crossgate dans ses applications.
SAP a aussi revendu le produit "SAP E-Invoicing for Compliance application by Crossgate". Ce dernier donnait la possibilité aux entreprises d'envoyer et de recevoir, de façon électronique, des factures EDI ou compatibles PDF, assorties d'une signature numérique.
Peter Maier, directeur général, responsable de la division solutions d'entreprises de SAP a déclaré, « En acquérant les solutions très spécifiques de Crossgate, nous aidons les utilisateurs à étendre leurs processus métier de bout en bout que ce soient pour leurs clients ou leurs partenaires. »
L'opération devrait être finalisée d'ici au 1er novembre.
Illustration : la solution de Crossgate permet de synchroniser les données et documents de différents formats à travers un réseau interentreprises (source graphique : Crossgate)
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