Flux RSS

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

108538 documents trouvés, affichage des résultats 3581 à 3590.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(07/06/2011 09:52:24)

Après Linkedln, Groupon joue son avenir en bourse

Groupon a déposé jeudi dernier les documents nécessaires à son entrée en bourse, grâce à laquelle la société compte lever 750 millions de dollars. Groupon, dont l'activité consiste à vendre en ligne des coupons de réduction pour des commerces locaux, a vu ses revenus augmenter rapidement l'an dernier et atteindre 645 millions de dollars au premier trimestre 2011. Active dans 43 pays, la jeune entreprise compte plus de 80 millions de clients et emploie 7000 collaborateurs. Durant le premier trimestre, la société a cependant fait 114 millions de dollars de pertes. Bien que Google ait proposé six milliards pour racheter l'entreprise - ce qu'elle a refusé - la hauteur de ses pertes ne manque pas de soulever des critiques quant au modèle d'affaires de Groupon.

Le modèle d'affaires...

Groupon se positionne en tant qu'intermédiaire spécialisé dans les bons de réduction de groupe. Les commerces locaux peuvent proposer de tels coupons à la vente sur le site de Groupon pour attirer de la clientèle. La firme fait figurer ces rabais dans ses offres du jour, affichées selon la localisation de l'internaute. Lorsqu'un bon est vendu, le commerce partage les revenus avec Groupon. Les clients obtiennent quant à eux des réductions largement supérieures aux montants qu'ils déboursent.

... sous le feu de la critique

La première critique concerne les coûts marketing de Groupon. En effet, pour acquérir de nouveaux commerces publiant des coupons, Groupon dépense massivement. C'est l'une des raisons de ses pertes et beaucoup pensent que ces frais ne vont pas se réduire avec la croissance de la société. Car, seconde critique, les commerces ayant publié des coupons ne seraient pas si satisfaits et hésiteraient à recommencer. D'une part parce que les offres spéciales sont utilisées par les clients usuels (prêts à payer le prix fort) ou attirent une clientèle sans intérêt. D'autre part, parce que pour être attractifs, les rabais sont trop élevés pour être viables sur la durée - un  argument que certains rejettent pour les commerces dont les coûts marginaux sont réduits (salle de fitness par exemple). Par ailleurs, les clients ont tendance à se méfier de certains rabais basés sur des prix artificiellement élevés. Troisième critique, le manque de barrière à l'entrée sur ce créneau pour d'autres entreprises, en particulier des sociétés leader comme Facebook ou Google.

Enfin, si tout cela ne suffisait pas, certains estiment que le fondateur de Groupon n'est pas lui-même convaincu de l'avenir de l'entreprise. Ils en veulent pour preuve le fait qu'il a utilisé l'essentiel d'un investissement récent d'un milliard de dollars dans l'entreprise pour rembourser une part de des propres investissements.

www.ictjournal.ch

(...)

(07/06/2011 11:46:33)

La Tunisie veut devenir la championne du Nearshore

La ville de Bengalore, en Inde, a su devenir la Silicon Valley du sous-continent. Un peu plus même. La fonction de simple sous traitant est recouverte par des compétences en développement et en R&D de niveau mondial (*). Un tel exemple inspire de nombreux pays. La Tunisie, si elle n'a pas la même taille, offre en revanche une grande proximité avec le vieux continent. On parle de nearshore et non pas d'offshore. Avec de nombreux atouts que les chefs d'entreprise locaux veulent promouvoir rapidement.

La Révolution du Jasmin date des mois de décembre et janvier dernier en Tunisie. Tout de suite après, des chefs d'entreprise locaux ont crée une nouvelle association : TACT (Tunisian Association for Communication and Technologies, Association tunisienne pour la communication et la technologie). « Notre but, souligne Badreddine Ouali, directeur général de Vermeg (**) et porte-parole de TACT, est double : procurer des débouchés sur place aux jeunes diplômés et promouvoir la Tunisie comme destination nearshore».

32 000 de ces demandeurs d'emplois en TIC

La Tunisie compte 180 000 chômeurs diplômés, 30 à 35 000 de plus chaque année. La situation ne fait qu'empirer. 32 000 de ces demandeurs d'emplois appartiennent au monde des TIC,  12 000 sont formés chaque année, toutes filières confondues. Or, selon Tact, 50 000 emplois peuvent être créés en Tunisie, en BPO (externalisation  de  processus administratifs, paie, centre d'appels, etc...) ou IPO (externalisation  de fonctions informatiques).

Pour y arriver, Tact veut séduire les grands prestataires des TIC, comme HR Access, HP, Sungard, Alcatel, ST Microelectronics. L'association intervient dans des séminaires et des salons, pour promouvoir la Tunisie en tant que future place nearshore mondiale. La concurrence est rude. Mais la Tunisie estime avoir de nombreux atouts selon Badreddine Ouali : son niveau d'éducation élevé, le fait que le pays soit très francophone mais aussi italophone et anglophone, les infrastructures haut débit et les zones d'entreprises, la proximité (une à deux heures d'avion de l'Europe). L'Inde n'est pas concurrente, Wipro et TCS pourraient même s'y implanter et les grands donneurs d'ordre européen trouver intérêt à se procurer un back up de leurs grandes implantations indiennes.

(*) Parmi les géants mondiaux implantés sur place : Accenture, Adobe, Amazon, BO, Cap, HP, Google, Logica, Microsoft, Steria, Yahoo. (...)

(07/06/2011 11:46:46)

L'Avicca dénonce les obligations de couverture des licences 4G

L'Avicca (Association des villes et collectivités pour les communications Électroniques et l'audiovisuel) regrette le recul des obligations de couverture du territoire par les opérateurs pour les futures licences « 4G ». Elle rappelle que les associations de collectivités et d'élus avaient demandé sur plusieurs points une amélioration de la prise en compte de l'aménagement numérique du territoire. « Or, dans le projet de décision publié en mai 2011, les exigences minimales sont, au contraire, en retrait par rapport au texte précédent : le délai global est rallongé d'un quart (de 12 à 15 ans) et la « zone prioritaire » est amputée de 30 % de sa population » déclare Yves Rome, président de l'Avicca.

L'Avicca détaille ainsi un ensemble de points en retrait par rapport à ce qu'elle estimait souhaitable. Le taux de couverture finale de la population proposé (99,6%) par l'Arcep correspond pratiquement aux meilleures couvertures constatées sur la 2G en 2009 et ne constitue pas le minimum (99,8 %) que les opérateurs peuvent atteindre avec de simples mesures de mutualisation, estime-t-elle. « Ces écarts de deux dixièmes de points peuvent sembler infimes, mais signifient concrètement que la population ainsi exclue varie du simple au double » regrette l'association. Elle poursuit « le minimum départemental s'apparente, quant à lui, à un minimum minimorum, tant il a  été fixé bas (90%) ».

Une vision étroitement concurrentielle

Pour l'association, « les critères fixés correspondent à une logique de concurrence par les infrastructures, et poussent ainsi à la hausse, par compétition, le montant des licences. La presse a fait état des divergences de vue entre l'Arcep et le gouvernement sur l'aménagement numérique du territoire. Les arbitrages finaux ne sont pas en faveur de cet aménagement, mais contribuent au budget de l'Etat en 2011. Cependant, les effets négatifs de ces choix se feront sentir pendant longtemps ».

L'Avicca estime que cette concurrence fondée sur les infrastructures n'est pas un objectif en soi et propose « la promotion d'une concurrence fondée sur une infrastructure neutre et ouverte ». (...)

(07/06/2011 11:46:40)

HP livre un tableau de bord au-dessus de son offre logicielle

Sous la forme d'un tableau de bord destiné aux directions informatiques, le logiciel IT Executive Scorecard, annoncé la semaine dernière par HP, vient chapeauter le portefeuille applicatif de gestion des performances IT constitué par le groupe californien. Un portefeuille que HP a largement étoffé au fil des années, notamment avec les rachats de Peregrine, Mercury, ArcSight, ou encore, Fortify (cf encadré ci-dessous).

A travers le tableau de bord, qui propose plus de 200 indicateurs de performances (KPI), les DSI vont pouvoir faire remonter des informations issues des différentes solutions de HP installées dans l'entreprise : le développement applicatif (ALM), la gestion des infrastructures (Operations Management), les fonctions de sécurité, la planification financière. Ils pourront dès lors bénéficier d'une vision plus claire pour répondre aux diverses questions qu'ils se posent quotidiennement : « Est-ce que je dépense correctement mon budget ? Mes clients sont-ils satisfaits par rapport aux benchmarks de mon secteur d'activité ? Quels sont les projets en retard ? », donne en exemple Claire Delalande, responsable Marketing et Partenaires HP Software France.

HP IT Executive Scorecard
Ci-dessus, quelques indicateurs pouvant être affichés dans l'IT Executive Scorecard de HP (cliquer ici pour agrandir l'image)

Un jeu de données unifié

A partir d'une technologie fournie en OEM par SAP Business Objects, l'IT Executive Scorecard s'appuie sur l'IT Data Model pour intégrer les données provenant de l'ensemble de la suite applicative de HP, désormais regroupée sous le nom de « IT Performance Suite ». L'objectif du logiciel, c'est d'unifier ces informations issues de différentes sources dans un seul jeu de données.

Il est également possible de récupérer des mesures provenant de logiciels édités par d'autres fournisseurs. Le logiciel IT Executive Scorecard propose des rapports préétablis qui peuvent être personnalisés. Il devrait être disponible en juillet prochain. (...)

(07/06/2011 11:46:18)

Virgin Mobile devient full MVNO avec SFR

L'opérateur s'associe avec SFR pour le premier accord d'Opérateur Mobile Dégroupé (Full MVNO) en France. C'est la maison mère de Virgin Mobile en France, Omea Telecom, et son président Geoffroy Roux de Bézieux qui annonce la signature d'un contrat global avec SFR, comprenant l'utilisation du réseau mobile 3G+ et du réseau fixe ADSL de l'opérateur.

Ce premier accord d'opérateur mobile dégroupé, inédit en France, est d'une durée de cinq ans renouvelable.  Cette démarche  vient  compléter l'accord existant avec Orange. Omea Telecom annonce avoir choisi Ericsson comme fournisseur de solution de coeur de réseau.

En route vers l'ADSL

L'équipementier suédois fournira donc à Virgin Mobile l'ensemble de l'infrastructure télécoms nécessaire à la gestion complète de ses clients : HLR (système contenant les bases de données relatives aux cartes SIM des clients de Virgin Mobile), les plateformes de services et les équipements de contrôle et de routage du trafic (commutateurs circuit et solutions paquet). L'exploitation et la maintenance de ce réseau seront assurées par Ericsson.

De plus, SFR sera le prestataire de Virgin Mobile pour le lancement début 2012 de sa Virgin box. Virgin Mobile proposera ainsi une offre de services quadruple play personnalisée, intégrant la fourniture d'accès à Internet, la téléphonie fixe et mobile, ainsi qu'un bouquet de 250 chaînes de télévision.
(...)

(07/06/2011 12:09:54)

Tribune de Franck Trognee: Contrôler les applications web 2.0 avec un firewall

Les administrateurs informatiques s'efforcent de fournir les meilleures solutions de sécurité réseau mais doivent faire face à des collaborateurs utilisant de plus en plus de logiciels encombrants, dangereux et surtout ayant un comportement à risque en termes d'utilisation d'Internet.

Les firewalls utilisés aujourd'hui dans de nombreuses entreprises se réfèrent uniquement aux ports et aux protocoles et ne sont donc pas en mesure d'identifier les applications cloud et SaaS ainsi que les multiples services web 2.0 qui reposent sur le navigateur. Par conséquent, ces équipements ne peuvent distinguer le trafic productif de l'improductif. De ce fait, l'informatique en est réduite à un contrôle binaire du trafic, ne laissant le choix qu'entre blocage et autorisation. Faut-il donc bloquer des ports ou des protocoles entiers à seule fin de filtrer quelques applications indésirables ? Ou bien faut-il plutôt ouvrir les vannes et autoriser l'accès à toute application susceptible d'être utile, même au risque de saper la productivité et d'exposer l'entreprise aux menaces ? Le choix est cornélien.

Pour lire la suite, cliquer sur ce lien (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >