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(26/11/2009 16:34:55)
La fonction Informatique reculerait à 10% des embauches de cadres d'ici à juin 2010
Les embauches de cadres devraient continuer à baisser en Europe d'ici à juin 2010, selon une enquête de l'Apec publiée cette semaine. Pour la France, le recul de la fonction Informatique semble se confirmer, précise l'association. L'enquête menée sur huit pays européens(*) fait état, pour l'ensemble des secteurs d'activité, de prévisions de recrutement oscillant entre 360 000 et 420 000 embauches de cadres, pour la période allant de juillet 2009 à juin 2010. Cela correspond à une diminution de 9 à 22% par rapport aux 463 200 embauches réalisées entre juin 2008 et juin 2009 (volume lui-même en baisse de 28% comparé à l'année précédente, soit les embauches réalisées entre juillet 2007 et juin 2008). En France, sur cette période, les prévisions oscillent entre 82 000 et 101 000 recrutements, soit -5% à -23% pour l'hypothèse la plus pessimiste. Cela nous ramène aux niveaux les plus bas enregistrés entre 1993 et 1998. Sur ce total, la fonction informatique ne devrait représenter que 10%, soit 3 points de moins qu'entre juillet 2008 et juin 2009 où elle avait déjà chuté à 13% des embauches de cadres sur l'Hexagone, alors qu'elle pesait 25% des recrutements entre juillet 2005 et juin 2008. France : 3 recrutements sur 10 en R&D et des débutants moins touchés qu'ailleurs Dans ce paysage morose, l'Apec relève toutefois deux points positifs en France. D'une part, la fonction 'Etudes, Recherche et Développement' pourrait constituer la première fonction d'embauche, avec près de trois recrutements sur dix, ce qui traduit « la volonté des entreprises de soutenir l'innovation », souligne Eric Verhaeghe, président de l'Apec. Le secteur de services resterait le premier à recruter sur cette fonction. D'autre part, la France serait, avec la Belgique, le pays où les recruteurs font le plus souvent confiance aux débutants dont la situation apparaît « relativement moins dégradée ». En octobre, l'Apec avait diffusé une étude montrant que 80% des jeunes diplômés (de niveau Bac+4 et plus) de 2008 ayant choisi les disciplines informatique, télécommunications et technologies multimédia avaient trouvé un emploi, contre 68% seulement pour l'ensemble de l'échantillon interrogé. En revenant sur le bilan 2008-2009, l'Apec confirme par ailleurs le brutal recul de la mobilité inter-entreprises entre juillet 2008 et juin 2009, en particulier en France (-4%) et aux Pays-Bas (-3%), alors qu'il y avait jusqu'à présent sur ces pays de nombreux mouvements entre entreprises. Visiblement, les cadres ont jugé préférable de différer quelque peu leurs projets d'évolution professionnelle. (*) Méthodologie : enquête menée en juin 2009 dans des entreprises de dix salariés et plus du secteur privé marchand, en Allemagne, Belgique, Espagne, France, Italie, Luxembourg, Pays-Bas, Royaume-Uni et Suisse. L'Apec précise que les entreprises interrogées constituent un échantillon représentatif de l'emploi cadre par secteur d'activité et par taille d'entreprise (...)
(26/11/2009 16:13:39)L'Icann part en guerre contre la redirection des DNS en cas d'URL mal orthographiées
On a beau faire attention, et les navigateurs ont beau simplifier la notation d'URL, il arrive encore fréquemment que l'adresse Web tapée comporte des erreurs, et amène vers un site à vocation publicitaire (ou pire). C'est contre cette pratique de redirection des DNS (Domain name system) que l'Icann (Internet corporation for assigned names and numbers), qui gère le système mondial des noms de domaines sur Internet, part en guerre. L'institution a formellement condamné ces pratiques, et propose de les interdire à l'avenir. Pour l'Icann, une URL mal tapée ou la tentative d'accéder à un domaine qui n'existe pas (renvoyant la propriété NXDOMAIN) devrait être très clairement indiquée à l'internaute. Or, certains opérateurs de DNS en profitent pour substituer à ces fausses adresses IP celles d'autres domaines (pratique appelée NXDOMAIN substitution). L'Icann voit dans cette pratique de captation de trafic plusieurs risques. Pour l'utilisateur, d'abord, dont les temps de réponse peuvent s'allonger (dans le cas d'un courriel envoyé au domaine en question, il pourrait même ne jamais être averti que ce dernier n'existe pas), ou qui peut arriver sur un site mal famé. Ainsi, exemple concret, pour joindre la chaîne de magasins Boulanger, le fait de taper Boulanger.com à la place de Boulanger.fr renvoie vers Searchresultsdirect.com, un site « de mauvaise réputation », à en croire l'alerte générée par le plug-in de Web of Trust (voir l'image). L'Icann pointe aussi les dangers que cela fait courir à l'architecture même. Une telle implémentation, explique l'institution, n'est pas neutre, et dès lors chaque mise en oeuvre devrait faire l'objet de tests poussés. Même alors, d'autres problèmes demeureraient : point de faiblesse unique, risque de fragmentation de l'écosystème DNS, ou de voir des données sensibles transiter par des pays aux législations différentes... (...)
(26/11/2009 13:13:32)Dématérialisation des factures : un marché en progression de 21% en 2009
La dématérialisation des factures reste marginale sur le volume total de factures échangé en France ou dans le monde. Mais, selon une étude menée par Markess International(*), elle est en forte progression et des ilots d'usages se développent par effet boule de neige à partir de grands donneurs d'ordres comme par exemple Carrefour, dont 80% des factures entrantes sont aujourd'hui dématérialisées avec valeur fiscale. Le cabinet d'étude évalue à 400 millions d'euros en France en 2009 le marché des logiciels et services associés aux projets de dématérialisation de factures, contre 330 M€ en 2008, soit une progression de 21%. La tendance va se poursuivre ; entre 2009 et 2011, le cabinet d'études prévoit une croissance annuelle moyenne de 29% pour ce marché. La crise semble peu impacter ces projets. Il est vrai que la motivation essentielle pour la dématérialisation des factures reste la baisse du coût de leur traitement. Liée à l'automatisation et à l'accélération des processus comptables et financiers (avec les impacts évidents sur la trésorerie), cette baisse est maximale avec la dématérialisation fiscale de bout en bout. L'impact sur l'image d'une entreprise adoptant la facturation électronique n'est pas non plus neutre, cette entreprise pouvant paraître davantage éco-responsable. Plusieurs niveaux de dématérialisation La notion de dématérialisation de factures est appréhendée différemment selon les entreprises, celles-ci mettant en oeuvre des méthodes et des technologies différentes. Le premier niveau est un transfert papier « ordinaire » de la facture, mais le traitement de celle-ci chez le destinataire se fait au travers d'une numérisation du papier qui, seul, conserve une valeur légale. Un peu plus sophistiqué : le couplage d'une facture papier (éventuellement numérisée) et d'un flux EDI qui sera inséré automatiquement dans le système d'information du destinataire. Enfin, la dématérialisation dite "fiscale" se fait en absence totale de papier, par échange de flux signés, horadatés et archivés numériquement. Cet échange peut concerner autant des factures non-structurées (PDF signé retraité manuellement) que des flux structurés (par exemple au format EbXML), avec divers intermédiaires (PDF signé accompagné d'un flux XML de métadonnées traité automatiquement, lecture automatique du PDF pour insérer son contenu dans le SI...). Par rapport à 2008, Markess International dit constater une progression modérée du volume de factures dématérialisées au sens fiscal. Dématérialiser au sein de l'Europe Or aucune procédure n'est réellement normalisée pour la facturation électronique à valeur fiscale propre (sans double papier). Des formats comme EbXML font partie des formats qui peuvent être choisis, parmi d'autres. Des plates-formes de prestataires comme celles d'Accelya ou de B-Process peuvent servir de pivot entre entreprises utilisant nativement des formats différents de factures électroniques. Lorsque les factures doivent, en plus, franchir une frontière, même au sein de l'Europe, il convient de se préoccuper également de la valeur du certificat de signature électronique utilisé dans chaque pays. Là encore, les plates-formes d'intermédiation permettent d'externaliser le problème. Les entreprises ayant répondu à l'enquête Markess International sont surtout intéressées par une dématérialisation des factures avec nos grands partenaires commerciaux habituels : Belgique, Espagne, Grande Bretagne, Allemagne et Italie. Dans plus de la moitié des cas, une dématérialisation des factures impactant plusieurs pays au sein d'un groupe est gérée à partir d'un seul pays, souvent le pilote initial. Les deux autres cas, des projets multiples non-coordonnées ou des projets multiples coordonnés, se répartissent à peu près équitablement. La standardisation des procédures et des technologies est une clé essentielle du succès de ces projets internationaux, à côté de la très forte implication de la direction générale pour l'imposer. (*)Méthodologie de l'étude L'étude « dématérialisation des factures : enjeux français et européens » a été sponsorisée par Accelya, b-Process, Cegedim, Itesoft et StreamServe. Elle a été réalisée d'une part en ligne d'Août à Octobre 2009 auprès de 190 responsables et décisionnaires au sein d'organisations privées comme publiques dont 60% dématérialisent au moins une partie de leurs factures B2B, d'autre part par voie d'entretien auprès de 34 prestataires. L'échantillon des entreprises utilisatrices est constitué de 48% d'industries, 30% du négoce/commerce, 8% du secteur public, 7% de prestataires de services et le solde des autres secteurs. La moitié des structures répondantes ont un effectif inférieur à 500. Les résultats de l'enquête n'ont pas été redressés pour rendre l'échantillon représentatif. (...)
(26/11/2009 13:04:47)Semestriels Solucom : Cosmosbay-Vectis en difficulté
Solucom publie les résultats des six premiers mois de son année fiscale 2009-2010, achevés au 30 septembre. Le chiffre d'affaires, 48,3 millions d'euros (M€), progresse de 1% en organique. Le résultat opérationnel courant, 3,2 M€, baisse de 35%. Le résultat opérationnel, également 3,2 M€, baisse, lui, de 33%. Le résultat net part du groupe, à 2 M€, baisse de 33%. Solucom explique ces résultats par les difficultés de sa nouvelle filiale, Cosmosbay-Vectis, rachetée au mois d'avril 2008 afin de lui permettre de dépasser les 100 M€ de chiffre d'affaires. Lors de son rachat, elle réalisait 21,7 M€ de CA annuel pour une marge d'exploitation de 7%. Son taux d'activité est en baisse à 57% au 2e trimestre 2009/2010 contre 65% lors du 1er trimestre. Le taux d'activité de l'ensemble du groupe se monte à 78% sur le semestre contre 79% sur l'ensemble de l'exercice précédent. Le prix de vente journalier moyen (722 euros) a reculé de 2% par rapport l'année précédente. (...)
(26/11/2009 12:57:55)Tribune : Les réseaux sociaux, piliers des écosystèmes d'entreprise !
Le renouvellement naturel des employés d'une entreprise s'accompagne d'une profonde modification d'attitude envers la technologie, dont les entreprises feraient bien de tirer parti. Les jeunes, de la génération Y (ou « digital natives ») entrent en effet dans le monde du travail, en apportant avec eux ce que Luc Bretones nomme « un monde de conversations ». Représentant de l'Institut G9+ et co-animateur Essec Business & Technologie et Centrale Marseille IT, Luc Bretones organise une conférence sur le sujet le 8 décembre prochain, dans le cadre des rencontres de l'Institut G9+, association qui réunit les anciens diplômés en TIC de grandes écoles françaises. En préambule de cette conférence, il enfourche avec David Fayon, auteur de « Web 2.0 et au-delà », Économica, et co-auteur de « Facebook, Twitter et les autres... », Pearson (à paraître), un de ses chevaux de bataille favoris, dans une tribune présentée sur notre blog Experts : « Les réseaux sociaux constituent un terreau de nouveaux usages pour les entreprises qui sauront efficacement les intégrer pour créer de la valeur. Les opportunités sont nombreuses : partage du savoir et plus grande réactivité par rapport aux clients, meilleure fluidité de l'information entre les métiers de l'entreprise, identification de communautés d'experts, adoption plus facile d'une culture et d'un langage communs. » LeMondeInformatique.fr avait rappelé l'importance de cette transition dans le dossier « Digital natives : ils vont bouleverser l'entreprise », ainsi que dans un débat télévisé intitulé : L'entreprise 2.0, mythe ou réalité. (...)
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