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(27/11/2009 17:04:26)

La Fevad dévoile son palmarès : Amazon.fr élu meilleur site de l'année par les internautes

Le site d'e-commerce Amazon.fr a été élu "meilleur site de l'année" par les internautes, lors de la troisième édition de la Nuit des Favor'i, organisée par la Fevad (Fédération e-commerce et vente à distance), qui s'est tenue le 26 novembre au soir. Le site reçoit deux autres récompenses : meilleur site "Produits culturels" et meilleure "Plateforme de commerce entre internautes" (cf. encadré ci-dessous). Avec trois récompenses sur neuf, le large plébiscite d'Amazon.fr par les internautes est indiscutable. L'an passé, c'est Voyages-sncf.com qui avait été récompensé du titre de "meilleur site de l'année" et ce dernier n'apparaît même pas dans le choix des internautes. Est à noter que le site Yves-rocher.fr conserve son titre de meilleur site "Beauté". 1 976 cyberacheteurs ont participé à ce vote. Le jury de professionnels, composé de personnalités du monde de l'internet, des médias, de la communication et du commerce en ligne, et présidé cette année encore par Jacques-Antoine Granjon, président de Vente-privee.com, récompense notamment Consogloble.com, en tant que Favor'i "Ethique". Le Favor'i de la Performance "Ernst & Young" revient une nouvelle fois au site Fnac.com. Pour ce prix, "chaque site est évalué sur 140 critères regroupés en 5 grandes catégories: le référencement, la convivialité, le net marketing, l'ergonomie et les fonctionnalités de commerce en ligne". (...)

(27/11/2009 17:01:14)

Le PDG d'Avanquest entre au conseil d'administration de Syntec Informatique

La représentativité des éditeurs de logiciels gagne un peu de terrain au conseil d'administration de Syntec Informatique avec l'arrivée de Bruno Vanryb, PDG d'Avanquest Software, société d'édition de logiciels pour le grand public, (ex-BVRP Software). Au printemps dernier, déjà, Viviane Ribeiro, présidente de Lefebvre Software, éditeur de solutions de gestion financière, avait intégré le comité exécutif de la chambre professionnelle qui compte aussi Romain Hugot, directeur de Sage France. Sur les vingt-huit membres du conseil d'administration de la chambre professionnelle, huit représentent désormais le monde de l'édition de logiciel. Aux côtés de Gérard Claverie, 1er vice président de Syntec Informatique et vice président du conseil de surveillance de l'éditeur Générix Group, figurent aussi Pascal Rialland, DG de SAP France, Eric Boustouller, PDG de Microsoft France, Eric Bantegnie, président d'Esterel Technologies et Philippe Ozanian, DG d'Infovista. Mais les acteurs des services restent majoritaires avec dix-huit membres siégeant au Collège Conseil et services informatiques et deux au Collège Conseil en technologies. Cette volonté réaffirmée de Syntec Informatique de donner plus de voix aux éditeurs dans ses structures a peut-être été aussi suscité par les initiatives qui se multiplient dans ce domaine, notamment du côté de l'Afdel, association française des éditeurs de logiciels créée fin 2005. Mieux faire connaître l'énorme vivier d'éditeurs en France et tenir compte de leur diversité Président d'honneur de Middlenext, association représentant des valeurs moyennes cotées, Bruno Vanryb fut aussi président de l'association d'entrepreneurs Croissance Plus. En rejoignant les instances dirigeantes de Syntec Informatique, il compte apporter son expérience des relations avec les pouvoirs publics pour mieux faire connaître son secteur d'activité. « Le métier d'éditeur de logiciels est très mal cerné en France. On connaît très bien les sociétés de services et les très grands éditeurs, comme Microsoft, ou encore ceux qui sont spécialisés sur un créneau, comme Dassault Systèmes sur la CAO, ou sur un métier - les médecins par exemple. Mais on méconnaît les éditeurs plus généralistes. On ne sait pas qu'il y a en France un vivier énorme d'éditeurs de logiciels. » Le PDG d'Avanquest constate que les pouvoirs publics appréhendent mal ce secteur qui n'est donc pas considéré comme un secteur prioritaire, alors qu'il s'est bien développé dans d'autres pays, aux Etats-Unis notamment. « Le retard que l'on constate en France n'est pas lié à un manque de compétences des acteurs, mais à une méconnaissance, insiste Bruno Vanryb. Les Français ne savent pas qu'ils ont des leaders, comme Ubisoft par exemple, qui est en concurrence directe avec les leaders internationaux du jeu vidéo. » Le marché des logiciels grand public sur lequel évolue Avanquest est un secteur très internationalisé. C'est une certaine forme d'édition de logiciels qui offre l'intérêt de représenter des éditeurs français aux Etats-Unis. « Jean Mounet et son conseil d'administration ont bien compris, et je les en remercie, que nos métiers d'éditeurs de logiciels étaient très divers et que Syntec Informatique devait être représentatif de cette diversité, apprécie Bruno Vanryb. Avanquest est peut-être, par son côté grand public, un peu plus sur le devant de la scène que d'autres éditeurs. Cela permettra peut-être de donner un coup d'accélérateur. » Bruno Vanryb prône l'investissement, rejette les subventions [[page]] En acceptant de venir renforcer le pôle éditeur d'une organisation comme Syntec Informatique, « qui a bâti une présence forte, historique et légitime en raison du poids qu'elle représente dans l'industrie en termes de chiffre d'affaires et d'emplois », le président d'honneur de MiddleNext souhaite mettre au service de l'édition sa « très grande expérience des actions qui permettent de faire connaître les entreprises et les filières auprès des pouvoirs publics. » Il rappelle au passage qu'il est totalement hostile à toute forme de subventions. En revanche, il trouve intéressant qu'un organisme comme le FSI (fonds stratégique d'investissement) s'intéresse à des entreprises de technologies. Sa société, Avanquest, vient d'en bénéficier puisque le fonds a décidé d'y investir 9 millions d'euros pour l'aider à se développer à l'international. Le marché grand public : un autre éclairage sur le métier d'éditeur Les métiers représentés par Syntec Informatique sont essentiellement tournés vers les entreprises alors qu'Avanquest vend d'abord au grand public et aux TPE/PME. Au conseil d'administration de la chambre syndicale, c'est avec Microsoft et peut-être Infovista que la société de Bruno Vanryb a le plus de points communs. « Sur le grand public, nous faisons le même métier que Microsoft mais avec une taille de PME. Nous réalisons un pourcentage énorme de nos ventes sur Internet, environ 14 ou 15 M€ en téléchargement chaque année avec un panier moyen inférieur à 20 euros, explique le PDG. C'est intéressant car c'est une autre façon de faire ce métier d'éditeur de logiciels. L'activité et le poids relatif d'un éditeur qui réalise un chiffre d'affaires annuel de 100 M€ auprès des entreprises, avec une centaine de produits vendus, ne peut pas être vraiment comparé à un éditeur qui diffuse des centaines de milliers de produits par an sur le marché. » Vu sous cet angle, Bruno Vanryb pense que son expérience du grand public peut lui permettre d'apporter un autre éclairage sur le métier d'éditeur. (...)

(27/11/2009 16:40:38)

Neelie Kroes remplace Viviane Reding comme commissaire européenne aux TIC

Le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, a présenté la composition de sa future équipe. Exit la dénomination de commissaire à la société de l'information, poste qu'occupait Viviane Reding, au profit d'un « digital agenda », ou programme numérique, confié à Neelie Kroes, ex-commissaire responsable des problèmes de concurrence (photo). Pour qui suit l'actualité du secteur informatique, Neelie Kroes n'est donc pas une inconnue, puisqu'elle s'est à ce titre illustrée dans plusieurs procédures antitrust : aux dépens d'Oracle, de Microsoft, d'Intel... Neelie Kroes, élevée par ailleurs au rang de vice-présidente de la Commission, supervisera l'INFSO (Direction générale Société de l'information et Médias, amputée toutefois de la partie Programme média confiée à l'Education et à la Culture), ainsi que l'Enisa (Agence européenne chargée de la sécurité des réseaux et de l'information). Viviane Reding, également vice-présidente de la Commission, prend de son côté le portefeuille de la Justice, des Droits fondamentaux et de la Citoyenneté. La nouvelle Commission doit maintenant être approuvée par le Parlement européen en janvier prochain, et son mandat courra jusqu'au 31 octobre 2014. (...)

(27/11/2009 14:17:15)

29 900 professionnels de l'informatique au chômage en octobre, selon la Dares

29 900 professionnels de l'informatique étaient inscrits à Pôle Emploi en octobre 2009 et n'avaient pas exercé d'activité dans le mois. Cela correspond à 1 000 personnes de plus que le mois précédent, sur une population évaluée à 500 000 informaticiens en France. Ce sont les dernières statistiques produites hier par la Dares (Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques du ministère de l'Emploi). Depuis le début de l'année, la hausse s'établit à 35,9%. Et en un an, le nombre de professionnels de l'informatique inscrits dans cette catégorie a augmenté de 48% (9 700 personnes de plus). 35 400 informaticiens en recherche d'emploi En ajoutant à ce décompte les professionnels de l'informatique inscrits à Pôle Emploi mais ayant tout de même exercé une activité réduite dans le mois, on arrive à un total de 35 400 personnes sur le mois d'octobre, soit 1 300 de plus qu'en septembre. En un an, cet effectif a augmenté de 41,6% (10 400 personnes de plus). Cette semaine, l'Apec a également publié une étude montrant que les embauches de cadres risquent de continuer à baisser en Europe d'ici à juin 2010, avec un recul qui se confirme pour la fonction informatique. Les embauches de cadres de ce secteur ne représenteront que 10% des 82 000 à 101 000 recrutements de cadres prévus, contre 13% un an plus tôt et 25% les trois années précédentes. (...)

(27/11/2009 13:26:19)

L'analyste Ray Wang accuse SAP de faillir à ses promesses d'innovation

Ancien analyste de Forrester, aujourd'hui chez Altimeter, Ray Wang a sévèrement critiqué les résultats obtenus par SAP en termes d'innovations. Invité à s'exprimer à la conférence des utilisateurs SAP d'Irlande et du Royaume-Uni, l'analyste a listé une série d'échecs conduisant des grands clients à chercher des solutions alternatives pour leurs dépenses en matière de progiciels. Une charge qui n'est pas sans rappeler celle de son ex-collègue John Rymer, qui a récemment fait part de ses doutes sur les intentions de SAP en matière de middleware. Ray Wang reconnaît que SAP investit beaucoup en R&D ; toutefois, il estime que les retours ne sont pas au rendez-vous. Pour lui, malgré les 1,6 Md€ consacrés l'année dernière à la R&D (soit 19,4% du chiffre d'affaires, à comparer aux 13,7% qu'Oracle y consacre), SAP est toujours en retard sur ses promesses, et n'annonce aucune innovation avant 2014. Une enquête d'Altimeter auprès de 73 gros clients SAP a mis en évidence quelques priorités pour eux : la réduction de la complexité et du TCO, simplifier l'intégration sans investissement supplémentaire, finir ce qui était promis sur la feuille de route originale, réduire les coûts de maintenance ou bien clairement démontrer la valeur, et enfin se focaliser de nouveau sur l'innovation (Web 2.0 ou Saas, par exemple). Ray Wang pointe notamment « cinq grands revers » : Netweaver, Duet, Business ByDesign, Solution Manager et le support d'entreprise. Il estime néanmoins que le potentiel de SAP est considérable, il serait simplement souvent caché des utilisateurs finaux à cause de dissensions politiques internes. L'analyste a donc encouragé les utilisateurs à adhérer aux associations, afin de pouvoir davantage peser sur la feuille de route de SAP. C'est aussi ce qu'a dit le patron du club utilisateurs SAP UK and Ireland User Group, Alan Bowling : « Nous avons connu une belle collaboration avec SAP cette année, mais comme toujours, nous aimerions pouvoir aller plus loin. On adorerait pouvoir être inclus dans les discussions sur l'innovation. En tant qu'utilisateurs, nous pourrions jouer un grand rôle pour les aider à décider quelles innovations doivent sortir des labos et être mises sur le marché. Ce serait super d'avoir ainsi une meilleure visibilité sur ce qui se passe dans les labos, et aider SAP sur la direction à suivre en matière de R&D. » SAP prône la co-innovation Tim Noble, qui préside SAP Irlande et Royaume-Uni, a répondu en substance que c'était déjà la politique observée : « SAP accorde une grande attention à l'innovation, ainsi qu'à la co-innovation tant avec des partenaires qu'avec des clients. Nous avons une feuille de route claire jusqu'en 2012, qui a été annoncée publiquement, et nous procéderons à d'autres annonces l'année prochaine, ainsi que nous l'avons indiqué lors de la présentation de nos résultats du troisième trimestre. Mettre le client au coeur de notre organisation est notre objectif principal, et il est critique pour nous d'écouter leurs besoins en matière d'innovation et de mieux communiquer sur nos plans pour cette année 2010. » Enfin, alors que Ray Wang incite fortement les entreprises à aller chercher dans les offres Saas de quoi compléter leurs solutions SAP, Alan Bowling se montre moins critique. « SAP a admis n'avoir pas tout fait bien lors de la première itération de BusinessByDesign, mais ce qu'ils font maintenant est très intéressant. L'approche hybride, où vous pouvez avoir certains de vos processus dans le nuage et d'autres toujours chez vous est très innovante. Des entreprises qui estiment trop risqué de mettre des processus critiques dans le cloud pourraient ainsi conserver ces derniers chez elles et déployer dans le cloud les processus moins critiques. » (...)

(27/11/2009 11:59:40)

Plusieurs scénarios à l'étude pour le futur réseau de Free

( Source EuroTMT ) Après avoir annoncé le 10 novembre que la candidature d'Iliad à la quatrième licence mobile était recevable, l'Arcep est donc entré dans la phase d'examen du dossier qui pourrait déboucher, si tout va bien, sur une décision avant la fin de l'année. Et l'on voit mal maintenant ce qui pourrait empêcher la maison mère de Free d'entrer sur le marché de la téléphonie mobile, le groupe ayant eu quatre années pour préparer son dossier. En obtenant sa licence en fin d'année (ou au tout début de 2010), Iliad devrait alors pouvoir lancer commercialement ses offres dix-huit mois plus tard, soit durant la deuxième moitié de 2011. Principal obstacle, les antennes A condition toutefois que l'opérateur puisse déployer rapidement son réseau et notamment les antennes. Un point qui suscite de nombreuses interrogations compte tenu de la polémique sur les effets sanitaires des antennes, mais sur lequel Iliad ne s'est jamais exprimé. Souhaite-t-il s'appuyer, en ville, sur un réseau de femtocells, comme le suggèrent de nombreuses rumeurs ? Mais cette architecture de réseau, qui serait alors totalement nouvelle, poserait, selon des spécialistes, de nombreux problèmes. De plus, « un tel réseau ressemble plus à la téléphonie mobile à la mode Be Bop » affirme un opérateur, qui a étudié la question, en faisant référence à l'ancien réseau de téléphonie sans fil lancé par France Télécom dans les années 90. Si ce problème continuera à susciter des interrogations tant qu'Iliad n'aura pas dévoilé ses solutions, le futur opérateur va aussi devoir régler, avant d'ouvrir commercialement son réseau, un autre gros problème : l'accord d'itinérance qu'il passera avec un (ou plusieurs) opérateur(s) de réseau. Roaming national une fois 25% de la population couverte La future licence prévoit en effet que le nouvel opérateur pourra bénéficier d'un accord de roaming national dès qu'il aura couvert 25 % de la population avec sa propre infrastructure : un taux suffisamment bas (il correspond en gros à l'Ile de France) pour que le nouvel opérateur puisse proposer dès l'ouverture une couverture nationale. Si l'Arcep se montrera vigilante sur les conditions (techniques et financières) proposées par les opérateurs de réseau, les MVNO se frottent déjà les mains en espérant que cet accord aura des retombées positives pour eux. "Cet accord d'itinérance est similaire à un accord de MVNO", explique Geoffroy Roux de Bézieux, le PDG de Virgin Mobile. "Free devrait lancer un appel d'offres pour acheter une certaine quantité de minutes en fonction du nombre de clients qu'il vise. » précise-t-il. Ce qui pourrait créer une compétition entre les opérateurs mobiles (tout au moins entre SFR et France Télécom) pour accueillir Iliad sur leur réseau. Des négociations difficiles pour la data Mais pour les MVNO, l'opération pourrait être aussi gagnante : Virgin Mobile, qui compte déjà 1,6 millions d'abonnés (et vise les 2 millions à fin 2010), pourrait alors obtenir des prix inférieurs à ceux de Free, en plein démarrage. Cet accord d'itinérance ne concerne cependant que la 2G (voix et SMS) : autrement dit pour pouvoir proposer des services de données nationaux (notamment pour bénéficier de la croissance engendrée par le marché des smartphones), Iliad devra aussi conclure un accord commercial 3G avec les opérateurs de réseau. Ce point sera certainement bien plus difficile à régler, l'Arcep ne pouvant pas intervenir sur ce volet. Et les trois opérateurs de réseau étant opposés à l'arrivée de Free dans la téléphonie mobile, l'opérateur peut s'attendre à des négociations serrées dans ce cadre. (...)

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