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(26/11/2009 12:15:39)
Les noms de domaine .fr toujours en forte croissance
L'Association française pour le nommage Internet en coopération (Afnic), qui gère l'extension .fr, a annoncé mardi que le .fr avait bien résisté à la crise économique en affichant une progression annuelle de 25%, contre en moyenne 8% pour les autres extensions au niveau mondial. Cette extension représente désormais 33% de l'ensemble des noms de domaine enregistrés en France. Pour rappel, le 1,5 millionième nom de domaine en .fr a été enregistré le 10 septembre dernier. L'Observatoire 2009 de l'Afnic précise par ailleurs que le tarif médian d'un nom de domaine est de 12 euros hors taxes. Parmi les termes les plus utilisés dans les .fr, "France" arrive largement en tête, devant "immobilier", "Paris", "hôtel", "mairie", et "location". (...)
(25/11/2009 14:49:07)Le directeur financier de Microsoft démissionne
Aux manettes depuis près de 5 ans, Chris Liddell, le directeur financier de Microsoft quittera l'entreprise à la fin de l'année. La société n'a pas indiqué ce que Chris Liddell prévoyait ensuite de faire. Dans un communiqué de presse, Microsoft a simplement déclaré qu'il regarde un certain nombre de possibilités afin de rediriger sa carrière au-delà du poste de responsable des finances. Chris Liddell sera remplacé par Peter Klein, qui est actuellement le directeur financier (CFO) de la division Business de Microsoft, où il gère un budget de 18,9 milliards de dollars. Peter Klein est entré chez Microsoft en 2002. « Le départ de Chris Liddel reste toutefois une surprise étant donné qu'il sera resté moins de 5 ans chez Microsoft » , a précisé Matt Rosoff, analyste chez Directions on Microsoft, un cabinet d'études indépendant exclusivement consacré à la firme de Redmond. "Il était respecté par la communauté financière, poursuit-il. «Il était là au mauvais moment alors que l'économie allait mal, mais je ne peux imaginer qu'il puisse être blâmé pour ce point." Passer du simple rôle de DAF à celui de PDG « Une des explications de Microsoft sur le départ Chris Liddell indique qu'il serait à la recherche d'une position de PDG », explique encore Matt Rosoff. "Il n'avait que peu de chances de parvenir à ce poste chez Microsoft ». Avant de travailler chez Microsoft, Chris Liddell avait été le PDG de Carter Holt Harvey, qui était alors la deuxième société cotée en Nouvelle-Zélande. Peter Klein, le prochain directeur financier a rejoint Microsoft en février 2002 et a été successivement : directeur financier de l'activité Server and Tools pendant trois ans avant d'occuper le même poste à la division Business. Avant cela, il avait travaillé pendant 13 ans chez McCaw Cellular Communications, Orca Bay Capital et HomeGrocer. « Microsoft a souvent recruté des talents extérieurs pour étoffer ses équipes. Pour cette transition cruciale, on peut encore penser qu'elle a regardé ailleurs que dans la compagnie avant de se rabattre sur une solution interne » estime Matt Rosoff. Dans son communiqué, Microsoft porte au crédit de Chris Liddell la lourde restructuration réalisée sur le précédent exercice fiscal (3 milliards de dollars d'économie) et l'affection d'une somme de 14 milliards de dollars pour la distribution de dividendes aux actionnaires et le rachat d'actions pour soutenir le cours de bourse de Microsoft. (...)
(25/11/2009 11:48:08)Avec le rachat d'ICT, l'intégrateur Flow Line étoffe son offre sécurité
Créé en 2000, l'intégrateur informatique Flow Line se développe sur 2 pôles : les solutions de gestion et les infrastructures et la sécurité. ICT, intégrateur réseau lancé en 1987, était spécialisé sur les infrastructures et la sécurité (avec de l'hébergement) et une activité d'opérateur. « Nous sommes très complémentaires, nous explique Yann Jacquet, P-dg de Flow Line, avant on vendait un ERP, de plus en plus on vend cet ERP hébergé, avec de la sécurité, des accès et en réduisant les coûts. Le rachat d'ICT nous permet de répondre à ces besoins ». ICT disparaît en tant que nom de société, ses effectifs et ses agences sont intégrées dans Flow Line. Seule l'activité issue du rachat de DBB (boîtiers de sécurité) par ICT début 2008 n'est pas reprise. L'actionnariat d'ICT reçoit des actions de Flow Line, ce qui permet à Flow Line de ne pas sortir d'argent, Yann Jacquet gardant le contrôle de la société. Flow Line va se déployer en quatre pôles d'activité : systèmes de gestion, infrastructure et réseaux, hébergement, opérateur de télécoms. Les deux sociétés, basées en région lyonnaise, Flow Line à Bron et ICT à Vénissieux, sont également complémentaires géographiquement. ICT était implanté à Paris et à Marseille en plus de son centre lyonnais, Flow Line a développé des agences à Clermont Ferrand, Paris, en Suisse romande et il y a un mois à Nantes. D'autres agences seront ouvertes, la prochaine devrait être à Lille. Yann Jacquet n'exclut pas de croissance externe. Flow Line a une longue expérience en la matière. Avant ICT, elle s'est offert IGA et l'activité Adonix de Focal en 2004, Innetis Lyon en 2006, Progecia à Paris et MegaInfo en Suisse en 2008. (...)
(25/11/2009 11:27:00)Très haut débit, Numéricâble a la meilleure main selon Motorola
( Source EuroTMT ) Lors du DigiWorld Summit, événement sur les télécoms organisé par l'institut IDATE, et qui s'est tenu à Montpellier, les 18 et 19 novembre, il a été beaucoup question de la fibre optique. Pour la plupart des protagonistes, l'avenir de cette technologie dépend du modèle économique qu'elle saura générer. Et aujourd'hui les questions sont plus nombreuses que les réponses. Chez l'américain Motorola, en tout cas, on ne doute pas de l'avenir radieux de la fibre optique. Même si le chiffre d'affaires de la division en charge de cette activité a été durement touché par la conjoncture (- 15 % au troisième trimestre 2009 à 2 milliards de dollars), Floyd Wagoner, directeur global marketing et responsable de l'entité Home & Networks Mobility, est plutôt confiant : « C'est un marché qui a énormément de potentiel notamment avec le développement de l'IPTV qui va réclamer beaucoup de débit. On le constate au Japon, en Corée du Sud et à Hong Kong. Les Etats-Unis et l'Europe suivent aussi le mouvement. » Un cadre réglementaire trop flou pour les investisseurs Interrogé sur les raisons du retard pris par l'Europe à s'équiper, Floyd Wagoner estime qu'il s'agit avant tout d'un problème réglementaire : « Jusqu'à présent, la réglementation était floue mais cela s'arrange comme en France. Et je pense que ça va donner confiance aux opérateurs qui vont pouvoir investir. Par ailleurs, en Europe, vous avez un réseau ADSL très performant qui suffisait pour les services jusqu'alors proposés. Mais avec les nouveaux services, il va falloir beaucoup plus de débit et donc passer à la fibre optique. De toute façon, c'est l'évolution naturelle de l'ADSL comme la 3G l'est pour la téléphonie mobile. » La technologie proposée par Motorola repose sur le FTTP, (le Fiber To The Premises ou Fibre jusqu'au site), un ensemble d'infrastructures qui intègre le FTTO (jusqu'au bureau) et le FTTH (jusqu'à la maison). Pour le FTTH, domaine en proie à d'énormes enjeux en France, Motorola a fait le choix du GPON, beaucoup moins cher à déployer, selon lui, que le point-à-point. « Le GPON, c'est plus flexible et beaucoup moins coûteux. C'est ce que recherchent les opérateurs aujourd'hui. » Une concurrence asiatique toujours plus rude Néanmoins, s'il veut bien faire du prosélytisme pour le GPON, Floyd Wagoner, par prudence, refuse de se prononcer sur le conflit qui oppose France Télécom (partisan du GPON) à Free (porte-drapeau du point-à-point). Par ailleurs, s'il reconnaît que la concurrence avec les équipementiers asiatiques et européens est rude, le représentant de Motorola se sent suffisamment armé pour l'affronter: « Nous avons une véritable expertise grâce à notre contrat avec l'opérateur américain Verizon pour qui nous avons commencé les premiers déploiements aux Etats-Unis dès 2004/2005. Nous allons capitaliser sur cette expérience. Aujourd'hui dans le monde, nous avons installé plus d'un million de terminaux de réseaux optiques FTTH. » Quant au dumping financier de certains constructeurs, Floyd Wagoner assure que « [ses] prix sont suffisamment concurrentiels pour pouvoir affronter les équipementiers chinois ». Mais si Motorola est convaincu que la fibre va se déployer à grande échelle, il ne compte pas pour autant délaisser un autre marché encore très actif surtout aux Etats-Unis : le câble. « Les câblo-opérateurs ont cinq à dix ans d'avenir devant eux voire plus. Ce sont aujourd'hui les seuls à apporter du très haut débit à un grand nombre d'abonnés et comme nous leur permettons de moderniser leurs réseaux, ils vont être encore plus performants » explique Floyd Wagoner. Un sentiment partagé par Jacques Rames, Président de Motorola France quand on l'interroge sur son client hexagonal, Numéricâble. « Numéricâble a deux atouts importants : il est présent dans presque toute la France et il peut fournir dès aujourd'hui des services à très haut débit. Je pense qu'en France, la compétition du très haut débit va se jouer entre Numéricâble et les autres opérateurs plutôt qu'entre Free, Orange et SFR. » (...)
(25/11/2009 11:02:18)L'opérateur suisse Sunrise passe sous le contrôle de France Télécom
France Télécom acquiert l'opérateur suisse Sunrise, filiale du danois TDC, pour 1,5 milliard d'euros. La fusion de Orange suisse et de Sunrise constitue le premier opérateur de télécommunications alternatif en Suisse. A l'issue d'une série de transactions, Orange deviendra l'actionnaire à 75% de l'entité combinée, tandis que TDC détiendra les 25% restants. L'entité combinée détiendra environ 3,4 millions de clients mobiles et 1,1 million de clients haut débit, soit 38% du marché mobile et 13% du marché du haut débit fixe. L'entité combinée aurait réalisé en 2008 un chiffre d'affaires total pro-forma de 2 milliards d'euros. Ce nouvel opérateur intégré fixe et mobile disposera d'un réseau de plus de 100 boutiques. Thomas Sieber, PDG d'Orange Suisse, sera le Directeur Général de la nouvelle entité combinée. (...)
(25/11/2009 10:59:54)La norme DVB-H pour la TV mobile personnelle finalement abandonnée
( Source EuroTMT ) Fin de partie, la télévision mobile personnelle à la norme DVB-H ne verra pas le jour. Sans attendre l'annonce officielle de son abandon, plusieurs opérateurs, parmi lesquels Orange, Softbank et Telstra, testent une technologie de diffusion broadcast alternative, baptisée Integrated Mobile Broadcast (IMB). Cette technologie IMB a le grand avantage de réutiliser des fréquences adjacentes (900-1915 MHz) de l'UMTS, déjà attribuées aux opérateurs 3G. «Avec les 3 x 5 MHz de la bande TDD aujourd'hui non utilisés, on peut, notamment dans les zones à fort trafic, diffuser jusqu'à 45 chaînes pour un coût de déploiement incrémental relativement marginal » assure un opérateur. Récemment standardisée 3GPP, cette technologie intéresserait également Vodafone et T-Mobile. Au plan industriel, IP Wireless et Ericsson sont les mieux placés. (...)
(25/11/2009 13:49:28)Enquête : Netweaver en mode maintenance ? SAP nie farouchement
Une rumeur a récemment jeté le trouble sur la stratégie et les ambitions de SAP pour ses produits middleware, regroupés sous la bannière Netweaver. Suite aux bruits de cet été laissant entendre que SAP pourrait racheter Tibco, nombre de spécialistes du secteur ont supputé que SAP mettrait Netweaver en mode maintenance, et que des SSII partenaires se désintéressaient de la technologie. Jusqu'au cabinet d'analystes Forrester, qui a mis les pieds dans le plat, en publiant une note saignante il y a quelques jours. Dans son analyse, John Rymer écrit que SAP compte délaisser le marché des outils d'infrastructures, et transférer ses investissements sur le segment décisionnel de l'offre Netweaver. « Quiz : où va SAP avec Netweaver ? Nous ne pouvions pas non plus répondre à cette question, donc nous avons fait le déplacement à la conférence TechEd en octobre pour y voir plus clair. » Mais, ajoute John Rymer, « SAP n'a pas fourni d'indication claire sur la direction prise avec Netweaver ». Responsable des offres SOA (Architectures orientées services) chez SAP France, Thierry Pierre ne cache pas son étonnement, voire sa colère, face à cette analyse. « La feuille de route est annoncée jusqu'en 2012, la version 7.2 va être lancée à la fin de l'année, les plans de bataille sont arrêtés sur le BPM [Business process management, gestion des processus métier] et le MDM [Master data management, gestion des données de référence], l'offre ILM [Information lifecycle management, gestion du cycle de vie des informations] est toute nouvelle de cette année... On a des feuilles de route en quantité, donc je suis un peu surpris ! » « On a mis du temps à faire des applications agnostiques, mais là, ça y est, elles le sont » Thierry Pierre reconnaît quelques faiblesses, notamment sur la partie intégration, où SAP n'a pas la prétention d'aller concurrencer des 'pure-players', des spécialistes du secteur. « On est arrivé un peu en retard sur la bataille des portails ou des serveurs d'applications, par exemple. » Un point sur lequel appuie l'analyste de Forrester, en comparant les parts de marché de Netweaver - qu'il arrondit à 0% - avec des serveurs d'applications comme Tomcat, Jboss, WebSphere ou Weblogic. Du coup, John Rymer en conclut que SAP n'engagera pas de bataille pour gagner des clients en-dehors de ceux qui utilisent déjà son offre progicielle. De son côté, Thierry Pierre considère que c'est faire un faux procès à SAP que d'estimer que son offre middleware ne convient qu'à des environnements SAP. « Certes, on a mis du temps à faire des applications agnostiques, mais là, ça y est, elles le sont. Dans le MDM, on a même fait des affaires où il n'y a pas de progiciel SAP. » Quand l'analyste de Forrester dit ensuite que ce sont les gens venus de Business Objects qui guident la stratégie middleware de SAP, vers le décisionnel et la gestion des processus métier, Thierry Pierre s'insurge encore. « Le patron du développement chez SAP ne vient pas de BO, il y a vraiment eu un bon mélange de fait, au contraire. » Il reconnaît en revanche que cette année, le TechEd a fait la part belle aux outils orientés décisionnel, « car cela correspondait à la sortie d'Explorer ». Les responsables Netweaver de GFI et SQLI misent sur un rachat de Tibco [[page]] Les responsables Netweaver de GFI et SQLI misent sur un rachat de Tibco Le monsieur middleware de SAP réfute aussi l'idée que SAP n'innoverait plus dans le middleware. John Rymer illustre cette impression avec deux exemples : contrairement à Oracle et IBM, SAP ne propose pas d'outil de cache distribué ni d'outil de CEP (Complex event processing, traitement des événements complexes). Thierry Pierre explique au contraire que SAP continue d'investir dans de nouvelles offres, telles que l'ILM, le MDM ou la gestion des identités. La seule chose sur laquelle Thierry Pierre et John Rymer s'accordent, c'est le fait que SAP ouvre de plus en plus ses technologies. Mais là où Thierry Pierre parle de l'importance des partenariats et de la « co-innovation », l'analyste de Forrester estime qu'il s'agit d'une stratégie à même de préparer le futur : l'offre progicielle de SAP pourra ainsi de plus en plus s'appuyer sur des composants standards, éventuellement Open Source, plutôt que sur des couches d'infrastructure développées par SAP. « Il n'y a pas de raison de penser que le processus d'acquisition n'aboutisse pas » Témoins extérieurs mais ayant la lourde tâche de décider d'investir ou non dans les technologies Netweaver, Jean-Christophe Turlan, directeur de la division SAP de GFI Informatique, et Grégory Hermel, directeur de l'entité SAP NetWeaver au sein de EoZen (le pôle dédié SAP du Groupe SQLI), nous ont dit être totalement confiants. « On continue d'investir massivement, aussi bien en R&D, qu'en formation ou en développement des offres », indique par exemple Jean-Christophe Turlan. Toutefois, ce dernier considère plutôt la partie infocentre (entrepôt de données et outils décisionnels) de Netweaver que la partie infrastructure (reprenant sans le vouloir le distinguo de John Rymer). « SAP a toujours investi en R&D, et les gros efforts de convergence en infocentre ont été réalisés. » De même, Grégory Hermel explique : « SAP Netweaver, lancée il y a 5 ans, permet de donner une vision claire sur l'évolution des offres, s'appuyant sur un socle unique permettant des gains en TCO. SQLI EoZen reste confiant sur cette stratégie long terme. » Confiant, Grégory Hermel l'est aussi sur la capacité de SAP à racheter Tibco : « L'arrivée de nouvelles offres et potentiellement de nouveaux produits middleware comme Tibco nous permettrait de répondre encore plus largement aux besoins d'intégration de nos clients. » Un avis que partage Jean-Christophe Turlan : « Même si SAP est discret sur le sujet, il n'y a pas de raison de penser que le processus d'acquisition n'aboutisse pas ». Or, si SAP rachetait Tibco, ce serait bien le signe que l'éditeur allemand a renoncé à faire évoluer ses propres outils d'infrastructure. (...)
(25/11/2009 13:52:25)Google rachète une technologie de personnalisation des publicités en ligne
Après AdMob et Gizmo5, Google annonce le rachat de Teracent, une start-up de la Silicon Valley, spécialisée dans l'affichage personnalisé de publicités en ligne. Le géant des moteurs de recherche compte clore l'acquisition au cours de ce trimestre, mais le montant de la transaction n'a pas été précisé. Il y a deux semaines à peine, Google avait déjà marqué son intérêt pour AdMob, un spécialiste de la publicité sur mobiles, et proposé de l'acquérir pour 750 M$ en actions. Teracent s'appuie sur des algorithmes d'apprentissage pour personnaliser les publicités qu'il diffuse aux internautes en piochant parmi des milliers d'éléments graphiques (images, produits, messages, couleurs...), explique Google. Ces éléments sont combinés à d'autres variables telles que la localisation géographique, la langue, les contenus du site Web, le moment de la journée ou, encore, les résultats précédemment enregistrés sur différentes publicités. « Cette technologie peut aider les annonceurs à obtenir de meilleurs résultats sur leur campagne d'affichage sur le Web », commentent sur un billet de blog Neal Mohan, vice président de la gestion produit, et Joerg Heilig, directeur technique de Google. Ces outils seront proposés aux annonceurs qui affichent des campagnes sur le réseau de contenu Google ainsi qu'aux clients issus du rachat de la régie publicitaire DoubleClick. En mars dernier, Google avait commencé à tester sur Youtube et sur les sites de ses partenaires une technologie permettant de personnaliser les messages publicitaires en fonction des sites visités par les internautes. Teracent a été créé en 2006 par Vikas Jha. Ses collaborateurs, basés à San Mateo, rejoindront les équipes de Google. Il y a quelques mois, Yahoo avait indiqué qu'il travaillait avec Teracent pour offrir à ses clients annonceurs un meilleur rendement sur leurs campagnes. (...)
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