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(23/11/2009 16:07:05)
Le marché des SIRH se maintient à 1,6 Mds d'euros en 2009, selon PAC
Le marché des logiciels et services liés à la gestion de la paie et des ressources humaines (SIRH) s'est établi à 1,6 milliard en 2008 en France, selon PAC. Pour 2009, le cabinet de consultants estime qu'il devrait se maintenir à un niveau équivalent, en dépit de la crise économique qui a conduit notamment les PME à réduire leurs investissements. Le marché des SIRH se décompose en trois grands domaines. La paie et l'administration du personnel pèsent environ 43% de l'ensemble et les outils de gestion des temps et des activités (GTA) environ 23%. Le reste du marché, soit environ 33%, est généré par les solutions et services de GRH (gestion des ressources humaines). Cette troisième catégorie couvre principalement la GPEC (gestion prévisionnelle des emplois et des compétences), le recrutement, ainsi que la gestion des carrières et de la formation. Si, en 2008, chacun de ces trois domaines a progressé de plusieurs points (plus de 9% pour la GRH qui a enregistré la plus forte hausse), en 2009 en revanche, seul le secteur de la gestion des ressources humaines a enregistré une hausse, entre 0 et 4%, selon la fourchette indiquée par PAC. A l'inverse, la paie et la GTA ont accusé sur l'année un recul du chiffre d'affaires généré. Entre 2008 et 2013, PAC évalue néanmoins pour ce marché un taux de croissance moyen supérieur à 5%. Un marché tiré aussi par le secteur public La GRH est tirée par les logiciels et services autour du e-learning et de la gestion des talents. « Ce sont des sous-segments de la RH qui ne sont pas encore significatifs en volume mais qui ont une bonne dynamique », commente Simon Philibert, consultant chez PAC. La gestion des talents comprend les solutions de recrutement et de gestion des hauts profils (voire du 'middle management' en temps de crise). Le marché des SIRH a par ailleurs été tiré par le secteur public (administrations centrales, collectivités locales et territoriales, organismes publics) qui pèse environ 18% du marché, les 4/5e restants ayant été générés par les entreprises. « Depuis plus de cinq ans, le secteur public est dans une phase de 'progicielisation' de ses RH », explique Simon Philibert. Le consultant rappelle que le poids de l'administration va augmenter dès 2010 avec la première phase du chantier de l'opérateur national de paie (ONP) qui « va largement tirer le marché à la hausse ». Le cabinet rappelle que la mise en place de l'ONP, qui s'appuiera sur le logiciel HR Access, correspond à un chantier de plus de 200 M€ pour sa première phase jusqu'en 2011. 500 000 fonctionnaires sont concernés. La deuxième phase du chantier ONP est prévue pour 2012. A terme, ce sont plus de 3 millions de fonctionnaires qui sont concernés. Courant octobre, PAC rappelait que le secteur public était désormais soumis à des objectifs comparables à ceux du secteur privé : « Les ministères doivent allouer leurs ressources et compétences de manière optimale. » Concentration probable sur la paie et la GTA [[page]] Concentration probable sur la paie et la GTA Vu du côté de ses acteurs, le marché du SIRH est assez fragmenté dans les domaines de la paie et de la GTA sur lesquels il existe de nombreuses solutions verticales adaptées à un secteur donné et à ses réglementations particulières. « Cela entraîne un mouvement de concentration car les petits éditeurs très spécialisés ont du mal à suivre », note Simon Philibert, de PAC. Ils doivent assurer une veille et ont besoin de développeurs pour adapter leurs outils à la réglementation. « Ils risquent de se faire racheter ou de disparaître. » Le consultant relève le même phénomène chez les intégrateurs : « Les plus petits sont très spécialisés sur un segment. Nous voyons un mouvement de concentration accéléré sur ce marché en 2010. » Le marché de la GRH est moins fragmenté. « Les problématiques GRH sont souvent plus récentes et moins liées à des problématiques verticales », explique Simon Philibert. Dans ce domaine, les principaux acteurs restent Oracle (avec PeopleSoft), SAP, HR Access et Cegid. PAC signale également le dynamisme d'un acteur comme Taleo, qui propose ses offres en SaaS. Le cabinet rappelle aussi que le mode SaaS va continuer à progresser. L'externalisation ne profite pas de la crise A noter que l'externalisation des services de paie et de RH (le BPO, Business Process Outsourcing) résiste bien à la crise, mais qu'elle n'en profite pas, restant marginale en volume. En matière de BPO, la paie reste un point d'entrée dans les entreprises, « avec des extensions possibles en GTA et en GRH », précise Simon Philibert, les entreprises réfléchissant à l'intérêt de confier leur GRH à un prestataire. Pour l'instant, elles préfèrent garder la main sur le recrutement ou la gestion des talents. Sur le marché du BPO, on trouve des acteurs bien implantés comme ADP, ainsi que des acteurs comme Cegedim et le Belge Securex, complète le consultant de PAC. (...)
(23/11/2009 14:49:45)Licence 3G, fibre optique et obligation de couverture, l'Arcep fait le point sur 3 dossiers clefs
( Source EuroTMT ) En marge du DigiWorld Summit de Montpellier organisé par l'Idate, Jean-Ludovic Silicani, le président de l'Arcep, a apporté quelques précisions sur les trois principaux dossiers que l'autorité de régulation va devoir traiter d'ici la fin de l'année. Le président de l'Arcep a ainsi regretté qu'il n'y ait pas eu d'autre candidat qu'Iliad, preuve selon lui « que le prix de la licence n'était pas bradé comme ont pu le dire certains ». Autre dossier qui devrait être réglé en janvier : la fibre optique. « Il y a pu avoir des divergences, mais aujourd'hui tous les opérateurs se sont rangés derrière nos recommandations » a précisé Jean-Ludovic Silicani. Le troisième dossier risque en revanche d'être moins consensuel : il s'agit des obligations de couverture 3G, les trois opérateurs français s'étant déjà fait rappeler à l'ordre car ils ne respectaient pas leurs obligations. « Avant la fin 2009, nous allons publier notre rapport sur le sujet. Si les opérateurs n'ont toujours pas respecté leurs engagements, nous leur imposerons un nouveau calendrier de déploiement et nous pourrons aller jusqu'à leur imposer des sanctions financières comme la loi LME nous y autorise » a précisé le régulateur. (...)
(23/11/2009 14:48:48)LTU étend les possibilités de la recherche d'images en passant au mode Saas
Spécialiste de la recherche d'images, LTU Technologies souhaite sortir de son pré carré, en misant sur les nouvelles possibilités offertes par les smartphones et leurs forfaits 3G. Alexandre Winter, cofondateur de la société et actuel dirigeant, imagine la possibilité suivante : vous parcourez un magazine, prenez en photo l'image accompagnant un article, et l'application sur votre mobile la transforme en URL, vous donnant accès à la page Web désignée par le magazine. Cela rappelle grandement ce qui est fait aujourd'hui avec les QR Codes (ou Mobile Tags), ces carrés noir et blanc (adoptés par certains sites, journaux ou afficheurs), ce que ne nie pas Alexandre Winter. « Les QR Codes et les codes barres ont sensibilisé le public au fait que ça fonctionne. Mais les gens aimeraient quelque chose de plus simple, plus naturel. » Chaque image de la base est associée à une URL Pour illustrer la chose, LTU a développé une application de démonstration. « Nous avons passé en revue des sites consacrés à la peinture, aux films, aux jeux vidéo, etc. Chaque objet de notre base correspond à une URL. Il vous suffit donc de prendre la photo, et l'application envoie le lien correspondant. Personnellement, je m'en sers pour le vin, on a intégré les deux grands sites de vins aux Etats-Unis. Pour un Français installé en Californie, c'est très compliqué de choisir du vin. Donc, je prends en photo l'étiquette, et je suis automatiquement dirigé vers la page Web. » L'application sera disponible sous peu, gratuitement, pour les iPhone. Une version pour Android est en cours de développement. Pour une entreprise dont l'essentiel de l'activité se situe dans le domaine institutionnel, il s'agit d'une diversification majeure. Mise sur le marché en 1999 par des chercheurs de l'Inria (dont Chahab Nastar, parti ensuite chez Business Objects), la technologie de LTU permet de retrouver des images similaires à une image témoin. Elle a d'abord servi - et sert encore - aux forces de l'ordre, dans le cadre d'enquêtes criminelles (pour détecter des similarités dans les images pédophiles, par exemple), pour retrouver des objets volés (une activité en pleine croissance, selon Alexandre Winter), etc. Une offre hébergée à partir de 500 euros, pour viser même les petits projets Pour séduire le plus grand nombre, LTU a décidé de revenir à la façon dont elle comptait commercialiser sa technologie à ses débuts : en mode hébergé - abandonné ensuite, car « les forces de l'ordre n'en étaient pas friandes ». Baptisée LTU Engine/ON demand, cette offre Saas (Software as a service) donne tout loisir à LTU de viser aussi bien les petits éditeurs d'applications que « des grands projets où le client préfère sous-traiter cette partie ». La tarification se fera en effet en fonction de la volumétrie de la base d'images et du nombre de requêtes, avec un tarif de départ à 500 euros par mois. En cas de succès, rien n'empêchera par ailleurs de rapatrier la technologie chez soi, pour une utilisation sous licence classique. Dans tous les cas, et si on excepte l'application de démonstration, LTU entend rester un fournisseur de technologie. Le public visé est donc bien les intégrateurs et les éditeurs, y compris dans le monde Open Source. LTU Technologies a sorti un premier module Open Source pour le gestionnaire de contenus Drupal, et d'autres sont en cours de développement. A noter que LTU, filiale depuis mars 2005 du groupe japonais Jastec, intervient au sein de Quaero, le projet européen pour mettre au point le moteur de recherche du futur. (...)
(23/11/2009 13:44:44)Microsoft pourrait rétribuer News Corp pour l'indexation exclusive de ses sites
Microsoft a entamé des discussions avec le groupe de presse international News Corp sur l'impulsion de ce dernier. Il serait question que la société de Steve Ballmer rétribue l'éditeur du Wall Street Journal et du Britannique Sun s'il désindexe ses sites Web du moteur de recherche Google afin de les lister dans Bing, le moteur de Microsoft. C'est ce qu'a révélé le Financial Times ce dimanche 22 novembre, en citant une source proche du dossier qui a insisté sur le fait que les discussions démarraient à peine. De son côté, Microsoft a également approché d'autres éditeurs importants de presse en ligne pour leur demander de désindexer leurs sites de Google News. Ce sont les moteurs de recherche qui profitent des contenus en ligne, selon Rupert Murdoch Il y a deux semaines, Rupert Murdoch, le patron et fondateur de News Corp, avait indiqué qu'il envisageait d'empêcher les grands moteurs de recherche, dont Google et Bing, d'indexer les contenus de ses sites Web afin d'amener les lecteurs à payer pour lire ces articles en ligne. Rupert Murdoch considère effectivement que ce sont les moteurs de recherche qui tirent réellement profit des contenus en ligne de News Corp à travers les revenus générés par les publicités qu'ils affichent. Selon le Financial Times, un éditeur de presse en ligne -dont le nom n'est pas cité - a confié qu'il avait également été contacté par Microsoft. Selon les arguments de ce dernier, être payé pour sortir de Google pourrait valoriser les contenus qui seraient alors rémunérés sur la base d'une indexation exclusive. Un accord entre Microsoft et des sites de presse en ligne pourrait mettre Bing dans une meilleure position face à la concurrence de Google. La part de marché du moteur de Microsoft est en effet huit fois plus petite que celle de Google. (...)
(20/11/2009 16:44:15)Trimestriels Dell : -15% pour le CA, -54% pour le bénéfice net
Pour son troisième trimestre fiscal, achevé fin octobre, Dell affiche un chiffre d'affaires (CA) de 12,9 milliards de dollars, en recul de 15%. Dans le secteur des grandes entreprises, ce CA recule de 23%, à 3,4 milliards de dollars, c'est la cause principale des mauvais résultats trimestriels de Dell. Dans les PME, le recul atteint les 19% à 3 milliards de dollars. Seul le marché grand public est légèrement plus souriant avec 2,8 milliards de CA, en baisse de 10%. L'activité dans le secteur public est également mieux lotie avec -7% et 3,7 milliards de CA. La rentabilité est également en berne. Dell annonce une baisse de 54% de son bénéfice net trimestriel à 337 millions de dollars. Côté produits, les ventes de PC de bureau sont en baisse de 26% à 3 milliards de dollars, et de 15% en volume. Les ordinateurs portables baissent de 14% à 4,2 milliards de dollars. Pour les serveurs, la baisse est de 6% à 1,5 milliard de dollars. Les produits de stockage affichent -19% et 508 millions de dollars de CA. Les services baissent de 9% à 1,2 milliard. Pour l'avenir, Dell compte sur l'effet Windows 7, qui ne se produira pas tout de suite et sur les PC portables (et non pas sur les netbooks qui génèrent peu de marge). Les reports de commande devraient laisser place à un renouvellement de parc dans quelques mois. (...)
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