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(10/11/2006 14:47:20)

Bull se rapproche de Microsoft pour offrir des solutions de calcul aux PME

Habituellement, les constructeurs font le choix de passer leurs solutions serveurs sous Linux, en mettant en avant les économies pour leurs clients. Bull opère la démarche inverse. Le constructeur vient de nouer un partenariat avec Microsoft pour proposer ses clusters de calcul Novascale sous Windows Compute Cluster Server 2003 (CCS). De façon à pouvoir séduire « les PME qui n'ont pas forcément les moyens d'avoir un administrateur Linux, ou à qui, pour une raison ou une autre, Linux fait peur », explique Olivier David, responsable des relations avec les éditeurs de logiciels pour Bull HPC (l'entité high-performance computing du constructeur). L'annonce a été faite hier, au cours du Forum Fluent à Paris, salon consacré aux « simulations numériques des écoulements de fluides et transferts thermiques ». Bull, déjà bien présent dans le secteur de la recherche, désire en effet « se diversifier en allant sur le marché de l'industrie », commente Olivier David. Les PME visées sont celles qui se sentent frustrées avec les performances de leurs stations de travail en termes de puissance de calcul, mais n'ont pas les moyens ou la volonté de migrer à Linux. Bull leur offre alors une solution intégrée, avec un système d'exploitation préinstallé et des applications préconfigurées, « sans nécessiter d'intervention hyper pointue de la part d'un administrateur », souligne Olivier David. Tarifs identiques pour les configurations sous Windows ou Linux La différence avec les solutions sous Linux est essentiellement à ce niveau puisque, sur le plan de la tarification, Bull assure que les prix des configurations identiques sous Linux ou Windows sont les mêmes. Il faut ainsi compter « quinze à vingt mille euros pour une configuration de base à quatre n?uds, selon la mémoire ou la technologie d'interconnexion », indique Olivier David. Le choix se fera donc sur la nature du système d'exploitation et les compétences en place, le cluster, sous Windows, s'intégrant dans le reste du système d'information Windows de l'entreprise. Windows CCS est en effet une déclinaison de l'édition 64 bit de Windows Server 2003, conçue uniquement dans ce but. « Elle est limitée à cet usage, donc beaucoup moins chère que la version standard, explique Eric Nataf, responsable de l'offre HPC chez Microsoft France. Elle inclut en revanche des outils spécifiques, liés par exemple à la sécurité, à l'ordonnancement des tâches ou à l'administration du cluster. » Microsoft disposait déjà d'accords similaires avec d'autres constructeurs. Pour ces derniers, être OEM de Microsoft signifie qu'ils peuvent préinstaller le système d'exploitation, bénéficier de l'expertise de Microsoft sur le sujet, et de son aide au niveau du marketing. « Cela permet également de discuter à trois avec les éditeurs partenaires », rappelle Olivier David. Côté Microsoft, l'accord lui permet de renforcer sa visibilité sur un marché plutôt orienté Linux en règle générale (l'offre HPC de Bull avec les serveurs Itanium reste sous Linux uniquement), et lui procure une certaine visibilité en France et en Europe, les « marchés dominants » de Bull. (...)

(10/11/2006 14:37:32)

France Télécom souhaite racheter Silicomp

Après le rachat de groupe Diwan, l'acquisition de Neocles Corporate, France Télécom voudrait maintenant mettre la main sur le groupe Silicomp (conseil et intégration). Les actionnaires de référence, détenant 56% du capital, ont reçu une offre de l'opérateur à 20 euros par action. Aucun protocole d'accord n'a pour le moment été signé. Les deux groupes viennent tout juste d'engager des discussions pour une période de quinze jours. Ces rachats rentrent dans la stratégie du groupe, expliquée par Barbara Dalibard, VP Executive d'Orange Business Services. « BT Global Services est plus agressif que nous sur la partie IT, tout comme Deutsche Telekom. En ce qui nous concerne, nous ne sommes pas Cap Gemini. Nous sommes plutôt dans une logique de partenariats. Cependant, nous réalisons des acquisitions pour des applications critiques, comme la sécurité ». Le rachat de Silicomp, et le contrat de la Communauté Européenne gagné conjointement avec HP, valide donc cette ligne de conduite. (...)

(10/11/2006 12:43:03)

Lenovo régresse hors de Chine

On a beau être le troisième constructeur mondial de PC, et écouler pour plus de 3,5 Md$ de produits au cours d'un seul trimestre, on peut néanmoins estimer que l'on n'occupe pas la place qui devrait être la sienne. Il en va ainsi pour le Chinois Lenovo, repreneur des activités PC d'IBM il y a deux ans, et qui peine à s'imposer au-delà de la Grande muraille. "Nous ne sommes toujours pas là où je voudrais qu'on soit, et je m'impatiente", déplore le PDG du groupe, William Amelio. Devant faire face à "un marché difficile et violemment concurrentiel", Lenovo n'a vu ses revenus progresser que d'un maigre pourcent lors du trimestre clos le 30 septembre, pour atteindre 3,7 Md$. Pire : les bénéfices ont fondu de 17% sur un an, et s'alignent à 38 M$. Si le groupe parvient à tirer son épingle du jeu dans l'Empire du Milieu - les ventes y représentent 39% de l'ensemble du chiffre d'affaires -, la situation n'est guère reluisante une fois les frontières passées. En Europe et en Amérique, l'activité régresse ainsi de près de 10%. "Nos opérations hors de Chine restent un chantier en cours", résume pudiquement William Amelio, qui rappelle le lancement d'un programme visant à toucher davantage les consommateurs et les petites entreprises à travers le monde et plus particulièrement aux Etats-Unis. Au final, "nous réduisons l'écart [entre la Chine et l'international, NDLR] mais cela prendra quelques trimestres et beaucoup de travail supplémentaire". L'une des sources des difficultés de Lenovo concerne la chaîne de fabrication qui a montré ses limites lors du deuxième trimestre fiscal, souffrant notamment d'un SI daté et trop complexe. Pour y remédier, le groupe indique qu'il a procédé à de lourds investissements et mis à jour son SI, en y incluant par exemple des outils développés par SAP. La modernisation de la chaîne devrait se poursuivre jusqu'en 2008 selon William Amelio, qui refuse de communiquer le montant de l'investissement consenti. Parallèlement, Lenovo devrait réduire le nombre de modèles commercialisés et changer le processus de fabrication de façon à utiliser moins de composants issus d'un même fournisseur. (...)

(09/11/2006 17:03:37)

Des kits pédagogiques en stock sur Educatice

Du 15 au 17 novembre, à Paris, le salon Educatice fournit aux éditeurs de logiciels l'occasion de faire valoir leurs initiatives d'évangélisation en milieu étudiant. C'est le cas notamment du portail lancé par Autodesk (conception, design), proposant en téléchargement (version étudiant) les outils utiles aux étudiants en génie civil et mécanique, en architecture, et autres graphistes, ainsi que l'accès à des offres d'emploi et de stages, des tutoriels gratuits, des échanges avec des experts. Pour sa part, Sage a mis au point une formule de "cursus gestion", associant kit logiciel, formation et accompagnement des étudiants (et de leurs enseignants) autour des progiciels de gestion et de comptabilité. Près de 5000 établissements sont d'ores et déjà concernés par ce programme. Les kits pédagogiques sont élaborés et testés avec les enseignants. A titre d'exemple, les formations sur l'ERP Sage X3 Entreprise peuvent être assurées par Sage ou par l'enseignant après formation sur-mesure. (...)

(09/11/2006 16:54:40)

Vers une montée en grade des "digital natives" au sein des directions informatiques

Moins de répression. Plus de collaboration avec les utilisateurs avertis. Selon les analystes du Gartner, c'est l'attitude qui doit désormais prévaloir chez les informaticiens garants de la cohérence des systèmes d'information des entreprises. A l'heure où la frontière entre usages privés et professionnels de l'informatique devient de plus en plus floue, "il serait vain de résister aux changements fondamentaux qu'apportent la messagerie instantanée, le pair-à-pair, les wikis et autres modes de collaboration réactifs, dans la marche des entreprises", insiste Steve Prentice, senior analyst du Gartner lors du ITXpo à Cannes. "La répression est la graine de la révolution", rappelle-t-il en citant Woodrow Wilson. Et, puisqu'au fil des années la charge des informaticiens n'a cessé de s'alourdir de nouvelles responsabilités (sécurité, organisation, support, accompagnement des utilisateurs) au delà de leur rôle de spécialistes des technologies, au point d'accaparer près de 80% de leur budget (et de leur temps), il est grand temps de lâcher un peu prise de ce côté. D'autant que les nouvelles générations, nées avec Internet et autres avancées de la technologie, les "digital natives", selon le Gartner, arrivent en âge de prendre en mains leurs usages dont dépend leur efficacité professionnelle. Déjà, 29% des salariés avouent avoir connecté sur le réseau de leur entreprise des outils (mobiles, PDA, PC portables, etc) qui ne relèvent pas du choix de leur employeur, et, selon le Gartner, ce taux devrait monter à 42% d'ici à 2008. "Ce qui ne veut pas dire laisser place au chaos", ajoute Steve Prentice. Distinguer le contrôle central et l'auto-contrôle des utilisateurs Les architectes des systèmes d'information, notamment, ont plus que jamais à tenir leur rôle en pleine conscience de cette percée de l'informatique privée dans la sphère de l'entreprise. Construire et faire évoluer les infrastructures (ERP compris) afin d'en tenir compte. Même chose pour les DSI, directeurs de projet, responsables de maîtrise d'oeuvre et autres responsables de la sécurité: réguler plus que contraindre et miser sur l'auto-régulation des utilisateurs. Soit autant de ressources dégagées pour faire autre chose que de la maintenance. (...)

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