Flux RSS

Middleware et serveurs d'application

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

541 documents trouvés, affichage des résultats 151 à 160.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(30/10/2009 17:44:06)

Oracle motivé pour Glassfish et mitigé sur NetBeans

Oracle a mis à jour la FAQ (Foire aux questions) qui concerne son probable rachat de Sun. L'éditeur fournit quelques informations, mais finalement peu de détails, sur ses projets concernant les technologies de Sun, en attendant de savoir si la Commission Européenne validera l'acquisition. Après avoir évoqué les serveurs, les processeurs et même MySQL, le géant des bases de données s'exprime cette fois sur le serveur d'application GlassFish, l'environnement de développement NetBeans, la suite bureautique OpenOffice, et quelques autres technologies. Oracle prévoit ainsi de "continuer à faire évoluer" GlassFish, qui est pourtant en concurrence avec son WebLogic (issu du rachat de BEA), de la même façon qu'il proposera un support actif à la communauté GlassFish. De plus, il compte « aligner les innovations et les composants d'infrastructures communs aux deux serveurs d'applications. » L'enthousiasme de l'éditeur envers NetBeans est beaucoup plus mitigé. Il explique simplement que cet environnement deviendra "une option Open Source supplémentaire » du catalogue middleware Fusion, qui comprend JDeveloper et Oracle Enterprise Pack for Eclipse. La gestion d'identité et l'architecture SOA (service oriented architecture) de Sun intégreront d'ailleurs aussi Fusion. La suite bureautique OpenOffice, de son côté, bénéficiera de nouveaux développements et sera supportée en tant que projet Open Source. Comme Sun, Oracle envisage "une option de licence commerciale classique" pour les clients qui désirent « une assurance, un support et des outils d'entreprise complémentaires ». Oracle compte aussi préserver la ligne de produits de virtualisation pour poste de travail de Sun, avec VDI, Sun Ray, Secure Global Desktop et VirtualBox. L'administration de système Ops Center est aussi considérée par Oracle comme "très complémentaire" de son Enterprise Manager. Les deux devraient « se combiner et permettre aux clients de disposer de l'environnement d'administration de systèmes et d'applications 'top-down', du matériel au logiciel, le plus complet du marché. » Cette foire aux questions qui ne vaut pas un engagement ferme d'Oracle vis à vis des développements futurs -même si elle précise quelques éléments d'évolution en particulier sur Glassfish et Netbeans- est loin de rassurer les observateurs. "J'espère avoir tort, mais j'ai bien peur que cela ne dure que jusqu'au premier trimestre où Oracle n'atteindra pas les prévisions financières," écrit ainsi un commentateur du blog Javalobby consacré à Java. "Il faudra des coupes, et à votre avis, par quoi commencera Oracle ? C'est comme cela que ça marche. Ils ne peuvent pas maintenir deux ou trois lignes de produits concurrentes (et j'imagine très bien les stratégies que fomentent actuellement les équipes de JDeveloper face à celle de NetBeans, les équipes Glassfish contre celles de Weblogic, etc)." (...)

(15/10/2009 17:41:29)

OpenWorld 2009 : Larry Ellison annonce Fusion Applications pour 2010

Oracle prévoit de lancer l'année prochaine la suite de gestion intégrée Fusion Applications qui doit rassembler le meilleur des différentes technologies développées ou acquises par Oracle. L'offre sera disponible en ligne (en mode SaaS) et dans une version traditionnelle à installer en interne. C'est ce qu'a annoncé hier son PDG, Larry Ellison, au quatrième jour d'OpenWorld, la grande conférence que l'éditeur tient chaque année à San Francisco (11-15 octobre 2009). Aux utilisateurs des applications de gestion de la relation client Siebel, ou encore des ERP JD Edwards ou Oracle e-Business Suite, le patron d'Oracle a pris grand soin d'assurer que, comme promis il y a déjà trois ans, leurs applications respectives continueraient, quoi qu'il arrive, à évoluer... sur les dix ans à venir et au-delà. « Nous pouvons nous permettre, non seulement de maintenir les logiciels que vous exploitez aujourd'hui, mais aussi de bâtir ceux que vers lesquels vous pourriez vouloir évoluer demain. » Il y a quelques jours, Larry Ellison, avait de la même façon affirmé aux clients de Sun qu'il allait poursuivre les investissements dans les produits qu'ils avaient achetés. Pour donner du poids à sa parole, il avait sollicité à ses côtés le co-fondateur de Sun, Scott McNealy, un autre 'showman' de sa trempe. Des fonctions de Business Intelligence embarquées La suite Fusion Applications est basée sur une architecture SOA reposant sur la couche Fusion Middleware. « Nous ne pensons pas que tous nos clients vont remplacer ce qu'ils ont aujourd'hui par Fusion, a reconnu Larry Ellison. Nous pensons qu'ils vont étendre ce qu'ils ont avec certains éléments de Fusion. C'est ainsi que Fusion sera déployé. » Les tout premiers éléments de Fusion avaient été dévoilés sur OpenWorld 2007. Conçus pour s'utiliser en ligne, ces premières briques étaient destinées à la gestion de la relation client (CRM). Les premiers modules de la suite Fusion Applications couvriraient la gestion financière, ainsi que la gestion du capital humain, des ventes, du marketing, de la chaîne logistique, des risques et de la conformité réglementaire, des projets et des achats. En revanche, le module de gestion de production arrivera plus tard. Hier, sur OpenWorld 2009, le patron d'Oracle a insisté sur l'intérêt de cette approche modulaire : « Vous assemblez les composants dans l'ordre où vous voulez les utiliser, de la façon la plus pertinente pour votre secteur d'activité. Nous avons travaillé de façon très très rapprochée avec les utilisateurs pour concevoir et tester Fusion Applications », a-t-il précisé. Ce qui, selon lui, a permis de déboucher sur une interface « de qualité supérieure ». Les fonctions décisionnelles embarquées sont un des autres bénéfices mis en avant sur la future suite de gestion. « Vous pouvez utiliser le système sans utiliser de Business Intelligence », n'a pas hésité à affirmer Larry Ellison à ce sujet. (...)

(25/09/2009 16:45:30)

Participer au 4ème SOA Forum sur l'agilité du système d'information

Le 6 octobre prochain, la quatrième édition du SOA Forum 2009 organisé par LeMondeInformatique.fr, CIO et Réseaux-Télécom.net élargit le débat en en abordant les sujets de la maitrise des coûts et de l'amélioration de la réactivité des systèmes d'information. Comment faire en sorte que les architectures orientées services ou SOA tiennent leur promesse d'enrichissement de l'informatique par l'expérience des métiers ? Comment bénéficier de la souplesse inédite apportée par le Cloud Computing et le SaaS afin de fournir les bons outils au bon moment aux équipes métiers ? Qu'apportent les méthodes agiles dans le cadre SOA ? Grâce aux concours d'experts et aux témoignages de décideurs IT, cette journée conférence proposera des présentations et des débats autour des gains attendus de l'agilité du système d'information. Henry Peyret de Forrester Research entamera la journée en présentant une étude sur "Les enjeux et les tendances en matières de SOA/Cloud Computing/Saas". Il sera suivi par la présentation des meilleures expériences en matière de SOA/BPM notamment avec Laurent Mondemé, Business Enterprise Architect d'Air France, Christophe Astier Chief IT Architect chez Air France, Laurent Giraud responsable Stratégie et Pilotage de l'Architecture chez Bouygues Telecom, Christophe Juillet, Adjoint au responsable architecture chez EDF, William El Kaim Lead IT Architect chez Carlson Wagonlit Travel et Tanguy Couery de Jardiland. Les technologies de Mash up seront également traitées via les témoignages de SMABTP et du groupe Mornay ainsi que les premiers retours d'expérience sur le Cloud présentés avec Joannès Vermorel, PDG de Lokad (utlisateur du Cloud Azure de Microsoft), Henri Pidault DSI de la Compagnie des Alpes (pour les outils Cloud de Google), et Philippe Honigman, PDG de Ftopia (utlisateur du Cloud d'Amazon). Enfin, un volet traitera du mariage des méthodes de développement agiles et de leur usage dans une vision SOA, en particulier avec Frédéric Gauchey, responsable des flux marchandises amont chez le groupement des Mousquetaires. Réservée aux DSI, Directeurs informatiques, Responsables d'infrastructure, Architectes de SI, Managers IT et Chefs de projet, cette conférence gratuite se tiendra le 6 octobre 2009 à l'Automobile Club de France, place de la Concorde à Paris. Pour vous plus d'informations et vous inscrire une seule adresse: Forum Agilité du Système d'information Le Monde Informatique.fr/CIO (01/09/2009 11:39:36)

Tibco met la main sur DataSynapse, un des pionniers du grid

Tibco, spécialiste du middleware, met la main sur un des acteurs historiques du grid computing, DataSynapse pour 28 M$. Ce dernier propose des outils de réservation et d'allocation dynamique des ressources matérielles et logicielles en environnement distribué. Autant d'éléments indispensables aujourd'hui à qui souhaite, comme Tibco, se développer dans le cloud computing. Spécialiste, à l'origine, de la gestion d'infrastructures matérielles et systèmes distribuées avec GridServer, DataSynapse a glissé petit à petit vers la gestion distribuée de services applicatifs (DASM, Dynamic Application Service Management) avec FabricServer. Son Federator destiné à chapeauter l'ensemble est, quant à lui, en version bêta dans l'environnement EC2 d'Amazon. Début août, DataSynapse annonçait l'intégration de FabricServer à l'environnement VMware. De son côté, Tibco avait levé le voile fin juin sur son futur Silver, plateforme de déploiement dynamique d'application sur des clouds. Les synergies des deux offres parlent d'elles-mêmes. Mi-août, on évoquait la possibilité d'un rachat de Tibco par SAP. Ce dernier a depuis démenti. (...)

(20/08/2009 15:35:05)

A peine acheté par VMware, SpringSource s'offre Cloud Foundry

Alors qu'il vient tout juste d'être acheté par VMware, le champion du framework Java, SpringSource, acquière de son côté Cloud Foundry. L'offre de PaaS (Platform-as-a-service) de ce dernier, qui porte le même nom que son éditeur, permet de concevoir, de déployer et d'administrer des applications Spring, Java ou Grails sur le cloud EC2 d'Amazon. Une version finale et payante est attendue pour début 2010. Cloud Foundry, qui repose sur le projet libre Cloud Tools, utilise les briques Apache, MySQL et les deux outils maison tc Server (Tomcat) et Hyperic de SpringSource. Cloud Foundry sera rapidement associé à vSphere, l'environnement de virtualisation que VMware voudrait voir devenir une infrastructure de cloud. Le portage sur Azure de Microsoft, voire le Sun Cloud, n'est pas non plus exclu. Les analystes saluent cette approche par les couches hautes du cloud computing. Selon Rod Johnson, PDG de SpringSource, Cloud Foundry met ce type de ressources à la portée des petites entreprises qui s'en trouvaient tenues à l'écart par manque de compétences internes en matière d'infrastructure. (...)

(10/08/2009 15:38:54)

SAP pourrait racheter Tibco et ses solutions d'intégration

D'après le site d'information financière allemand Euro am Sonntag, l'éditeur d'applications de gestion SAP porte actuellement son attention sur Tibco et ses solutions d'intégration. Un projet de revente de ces middlewares par SAP aurait été évoqué fin 2008 et aurait évolué vers un projet d'acquisition de l'éditeur américain par le fournisseur allemand. Ce dernier n'a pas souhaité commenter la rumeur. SAP possède déjà ses propres outils de middleware, développés au sein de sa plateforme technologique Netweaver. Néanmoins, ceux de Tibco lui permettraient d'élargir ses capacités d'intégration avec un plus grand nombre d'applications externes. Sur le terrain du middleware, Oracle, principal concurrent de SAP, a fait il y a un an et demi l'acquisition de BEA Software et de son offre WebLogic, pour la coquette somme de 8,5 Md$ (un montant supérieur aux 7,4 Md$ récemment que la société de Larry Ellison a récemment proposé pour Sun). SAP veut acheter SAF, éditeur de solutions logistiques Pour SAP, la dernière initiative de croissance externe remonte au 20 juillet et porte sur une offre faite au Suisse SAF, un éditeur de logiciels de planification logistique employant 90 personnes. Toujours selon Euro am Sonntag, SAP manifesterait également un intérêt pour Teradata et ses applications d'entrepôts de données (datawarehouses). En avril, les deux éditeurs ont déjà noué un partenariat pour constituer une offre commune. Dans ce domaine du décisionnel, le mois de juillet a été marqué par le rachat du spécialiste du datamining SPSS par IBM qui renforce ainsi l'offre de business intelligence qu'il s'est constitué avec Cognos. Fin juillet, SAP a présenté sur son deuxième trimestre fiscal un bénéfice net en légère progression (+4%), à 423 M€, en dépit d'un chiffre d'affaires en recul de 10% à 2,58 Md€ et de ventes de licences en baisse de 40% par rapport à l'an dernier. (...)

(15/07/2009 12:58:43)

Software AG veut racheter IDS Scheer pour environ 487 M€

De la couche d'exécution des processus à celle de leur conception, il n'y a qu'un pas, que Software AG s'apprête à franchir. L'éditeur allemand d'outils middleware offre 15€ par action d'IDS Scheer, sachant qu'il a déjà convaincu les deux fondateurs de l'éditeur allemand d'outils de conception et d'analyse des processus de lui verser leurs parts, soit 48% des actions. La transaction représenterait au final quelque 487 M€, alors qu'IDS Scheer avait réalisé en 2008 un chiffre d'affaires de 399 M€. De son côté, Software AG a terminé l'année 2008 sur un CA de près de 721 M€, et son PDG, Karl-Heinz Streibich, ne cachait pas ses ambitions d'atteindre le milliard d'euros avant 2011, par croissance organique mais aussi externe. Software AG, 40 ans cette année, s'est réorientée vers les SOA (Architectures orientées services), notamment grâce au rachat de WebMethods, finalisé en juin 2007. Mais l'Allemand avait déjà développé ses propres outils, et conclu dès 2005 un partenariat technologique avec IDS Scheer. Tous les éditeurs de middleware travaillent en effet sur le chaînon manquant, entre la définition des processus par des analystes métier dans des outils de type Aris (le produit phare d'IDS Scheer), Mega ou Casewise, et leur mise en oeuvre dans les plateformes d'exécution. Oracle et SAP avaient d'ailleurs des liens technologiques assez forts avec IDS Scheer de ce point de vue, ce qui augure d'une certaine 'coopétition', à moins qu'Oracle, comme à son habitude, ne décide de racheter un éditeur pour combler ce manque dans sa gamme SOA. Du côté de SAP, l'offre SOA étant plutôt orientée vers les clients du progiciel, cette nouvelle donne ne devrait pas changer grand-chose. Software AG pense qu'il aura le feu vert des autorités de régulation de la concurrence sous peu, ce qui lui permettrait de clore son offre d'achat d'ici à fin septembre. (...)

(03/07/2009 17:36:47)

Avec Fusion Middleware 11g, Oracle veut jouer à la fois l'intégré et le 'best of breed'

Oracle a lancé la version 11G de son middleware, Fusion. Et pour l'éditeur, indique Régis Louis, directeur produit senior Oracle EMEA, « il s'agit du lancement le plus important, tant d'un point de vue fonctionnel que stratégique ». La plateforme arrive en effet juste un an après que Thomas Kurian, responsable de la division middleware d'Oracle, a annoncé sa feuille de route issue du rachat de BEA, et notamment le choix de standardiser les développements au-dessus du serveur d'applications de BEA, WebLogic. Il n'est pas étonnant, dans ces conditions, qu'Oracle mette l'accent sur les efforts d'intégration réalisés. Régis Louis indique ainsi que les clients disposeront « de briques préintégrées », formant « une stack la plus complète possible ». La SOA Suite 11g, par exemple, permettra d'assembler des briques SCA (service component architecture), de gérer des processus métier (BPM, business process management), de superviser les événements de façon automatisée (CEP, complex event processing), etc. Alors que la tendance est plutôt au lean, et à des micro-applications répondant à des besoins spécifiques, une telle volonté de proposer une plateforme intégrée, complète peut surprendre. Elle prête d'ailleurs facilement le flanc aux critiques de la part d'éditeurs plus petits, comme Software AG. Miko Matsumura, responsable de la stratégie SOA de l'éditeur allemand, a comparé sur son blog Oracle à Sauron, qui veut un anneau pour gouverner tout le monde. A court terme, écrit-il, les départements informatiques de ces entreprises pourraient en effet éliminer certains coûts, mais au risque que cela coûte cher dans le futur. Car comme il le rappelle, middleware et SOA sont plus affaire de design et d'architecture que de plateforme produits. Des dépendances entre produits, mais aussi des certifications avec des produits tiers En réponse à ces critiques, Oracle tient donc également le discours « best of breed ». Comme l'indique Régis Louis, « un client qui cherche un outil particulier peut choisir un composant, et il n'aura aucune obligation à en utiliser d'autres ». Bien sûr, ajoute-t-il, une fois qu'il aura adopté ce composant, il sera tellement séduit qu'il « verra les avantages à utiliser d'autres produits de la plateforme ». Si le chef produit reconnaît qu'il existe des dépendances entre certains produits, il insiste aussi sur les efforts réalisés par Oracle pour s'intégrer avec d'autres produits. « La SOA Suite, par exemple, avait été certifiée avec d'autres serveurs d'applications que WebLogic pour sa version 10g. On fera de même avec la 11g. On va aussi certifier le bus, ex-Aqualogic Service Bus, qui ne fonctionnait que sur WebLogic, sur d'autres serveurs d'applications. » Régis Louis adopte la même argumentation en ce qui concerne l'outil de développement. Si Oracle a tout standardisé sur son Jdeveloper, il n'oublie pas qu'Eclipse est l'environnement préféré de nombre de développeurs, et propose donc un ensemble de plug-in pour tirer parti de la plateforme depuis l'atelier Open Source. Fort de programmes bêtas menés avec « plus de 350 clients », Oracle espère une adoption rapide de la nouvelle plateforme. Néanmoins, lorsque le rachat de Sun sera finalisé, il faudra encore une fois redéfinir une feuille de route, pour intégrer cette fois l'offre middleware de Sun, ce qui risque de refroidir des clients de faire le travail de migration dès maintenant. L'éditeur ne peut guère commenter sur le sujet avant la finalisation de la transaction. Régis Louis se veut bien évidemment rassurant : « On a un long historique d'acquisitions, les clients peuvent avoir confiance dans notre capacité à intégrer des sociétés. Cela s'est très bien passé jusqu'ici, il n'y a pas de raison que cela se fasse différemment. » (...)

(29/06/2009 14:28:51)

Oracle / Sun : La justice américaine prolonge l'étude du dossier

Le département américain de la justice (DoJ) a besoin de davantage de temps pour examiner le projet d'acquisition de Sun par Oracle (pour un montant de 7,4 Md$) annoncé fin avril. Il a donc repoussé la date de remise de son accord, initialement prévue le 26 juin à l'issue d'une période d'examen de 30 jours. Oracle a indiqué qu'il était avec le DoJ « quasiment en mesure de résoudre tous les problèmes inhérents à cette opération », mais qu'une question concernant les licences Java restaient en suspens. « [Ce point] n'ira jamais dans le sens du rachat. Mais je m'attends à ce que l'enquête prenne rapidement fin et qu'elle ne retarde pas la clôture de la transaction, prévue pour cet été », a déclaré l'avocat d'Oracle, Dan Wall, du cabinet Latham & Watkins. A l'occasion de l'annonce du rachat, Larry Ellison, PDG d'Oracle, avait affirmé que Java représentait « le produit le plus important jamais acquis par la société. » Il a ajouté que le middleware basé sur Java, mis en exergue par l'acquisition de BEA (racheté en janvier 2008 par Oracle) puis celle de Sun, devrait devenir une activité aussi important que celle de son emblématique SGBD. Les actionnaires des deux sociétés doivent se prononcer à la mi-juillet sur la fusion. Certains d'entre eux du côté Sun ont déjà manifesté leur désaccord en déposant trois plaintes auprès de la SEC (Securities and exchange commission), l'organisme chargé de surveiller la bourse américaine. Selon ce groupe, la proposition d'Oracle est « injuste et insuffisante ». Ils affirment également que Sun a bafoué l'US Foreign Corrupt Practice Act, une loi qui contrôle les pratiques de corruptions à l'étranger. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >