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Middleware et serveurs d'application

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(04/04/2007 17:25:41)
BEA lance WebLogic server 10
BEA annonce la disponibilité de WebLogic Server 10, son serveur d'application Java. Cette version supporte Java EE 5 (Java Platform Enterprise Edition 5), EJB 3.0 (Enterprise JavaBeans 3.0), JavaServer Faces, Eclipse et les annotations pour les Web Services. WebLogic Server 10 est la première implémentation commerciale supportant Java EE 5.EJB 3.0 permet aux développeurs d'annoter le code, ce qui réduit le nombre de fichiers XML externes nécessaires à une application. La nouvelle API de persistance s'appuie sur OpenJPA et sur la technologie de persistance Kodo. Les technologies de Web Services ont été améliorées dans le domaine de la sécurité et de l'interopérabilité. Le codage nécessaire pour implémenter des Web Services a été réduit dans cette version 10. Les outils de développement qui accompagnent WLS 10 s'appuient sur Eclipse 3.2 et WebTools 1.5. Workshop for WebLogic installe maintenant un plugin dans un Eclipse déjà installé. WebLogic Server 10 lui-même est construit en interne sur le framework Spring ce qui permet aux composants Spring d'être déployés nativement dans WebLogic. Les développeurs peuvent ainsi mixer aisément des modèles de composants Java EE 5 et Spring. WebLogic Server 10 est positionné comme la couche de fondation de la stratégie SOA 360 de BEA. (...)
(30/03/2007 17:35:04)IBM fournit du code Open Source pour migrer de JBoss à Websphere
Dans un grand élan de générosité, IBM et Covalent (spécialiste de la maintenance de Geronimo) ont fait don de code source à la communauté Apache Geronimo. Les outils donnés servent en fait à automatiser la migration d'applications écrites pour le serveur d'applications JBoss vers un serveur d'applications basé sur les technologies Apache. Dont Geronimo... mais aussi Websphere Application Server Community Edition, le serveur d'applications Open Source d'IBM (acquis via la rachat de Gluecode en mai 2005). Les outils sont constitués de plug-in pour l'environnement de développement Eclipse. Ils génèrent les fichiers de configuration appropriés, explique Paul Buck, directeur du programme Websphere Open Source d'IBM. « Par le passé, dit-il, les entreprises qui voulaient migrer [vers Apache Geronimo] devaient fournir un gros effort manuel pour changer les descriptifs de l'application... et réaliser les changements de code là où il y a des nuances subtiles entre les deux serveurs d'applications. L'outil examinera l'application J2EE elle-même afin d'identifier tout changement requis dans le code source aux endroits où nous savons qu'il existe des différences. » (...)
(29/03/2007 17:28:15)Sondage flash : un certain pessimisme sur la capacité d'Oracle à tout digérer
Vous avez été exactement 400 à répondre à notre 'sondage flash' sur la capacité d'Oracle à intégrer les technologies de ses acquisitions. Si l'on en croit ses résultats (qui ne prétendent pas être scientifiques), en plus de son travail technique d'intégration de tous les produits et modules technologiques dont il est maintenant propriétaire, Oracle devra faire attention à savamment expliquer sa démarche à ses clients et aux entreprises clientes d'une façon générale. Car 61,3% d'entre vous se déclarent « plutôt inquiets », contre 38,8% « plutôt confiants ». Nous avions publié ce sondage à la suite du dernier rachat d'Oracle, Hyperion, que Larry Ellison s'est approprié pour 3,3 Md$ au début du mois. Cette vingtième acquisition en moins de deux ans portait le montant total des rachats effectués par Oracle à plus de 20 Md$. Oracle est donc engagé dans un énorme travail d'intégration. Même si à l'instar de ce qui se fait chez SAP, l'intégration repose sur un socle middleware et des standards et protocoles ouverts (les services Web), le travail de fusion opéré par Oracle (le programme Fusion) sera évidemment de longue haleine. Ce qui semble inquiéter nos lecteurs. (...)
(28/03/2007 12:31:33)Le marché du BPM dépassera le milliard de dollars cette année
Un milliard de dollars dès cette année et 2,6 Md$ en 2011, le marché des logiciels de BPM (Business process management, gestion des processus métier) devrait faire partie des secteurs dont la croissance sera la plus rapide, prédit Gartner. Le cabinet d'études, qui tient en ce moment son Gartner BPM Summit à Londres, explique cette envolée par la façon dont Internet change la façon de faire des affaires, en plaçant le client au centre. Et donc en forçant les entreprises à accélérer la modernisation de leurs processus. De 2006 à 2011, le taux de croissance annuel moyen pour les suites de BPM devrait se situer à 24%. Janelle Hill, vice-présidente de Gartner, estime que « le BPM gagne la triple couronne : économiser de l'argent, économiser du temps et ajouter de la valeur. Le BPM procure à la fois un retour sur investissement rapide et de la valeur à long terme. » Le BPM, poursuit Gartner, est une composante majeure des architectures orientées services (SOA), et une raison essentielle pour y passer. Une étude de l'an passé indique que les entreprises devraient dépenser 22% de leur budget IT sur les SOA, les services Web et les initiatives 2.0. Côté éditeurs, le marché devrait encore se réduire. Gartner identifiait 50 acteurs du BPM en 2003, et ne comptait en 2006 que 25 éditeurs offrant une suite de BPM. Et Gartner s'attend à ce qu'au moins quatre d'entre eux soient rachetés par les éditeurs majeurs, tels qu'IBM, SAP et Oracle. (...)
(07/03/2007 18:11:34)Oracle donne TopLink à la Fondation Eclipse
C'est dans le cadre de la conférence EclipseCon qu'Oracle a annoncé qu'il rejoignait le Board d'Eclipse en tant que Strategic Developer et qu'il allait donner TopLink à la communauté Open Source. Membre de la Fondation Eclipse depuis 2002, Oracle a déjà conduit trois projets d'outillage Eclipse : JavaServer Faces tooling, Dali JPA tools (Java Persistence API) et BPEL tools (Business Process Execution Language). Il rejoint le Board des Strategic Developers qui compte une quinzaine de membres. TopLink est resté longtemps la référence des frameworks de mapping objet-relationnel et objet-XML dans le monde Java. Développé à l'origine par The Object People, dont les initiales donnèrent le nom au produit TOPLink, la première version commerciale apparue en 1994. En 2000, WebGain, filiale de BEA, rachète The Object People et TopLink devient un produit WebGain. En 2002, Oracle rachète TopLink et l'intègre dans sa gamme de produits Oracle Fusion Middleware. On peut lire ici une histoire plus complète de TopLink. TopLink avait déjà ouvert une partie du code de TopLink, le composant de mapping objet-relationnel, dans le projet TopLink Essentials JPA. Cette édition Open Source de TopLink fournit la fonctionnalité JPA à l'implémentation de référence d'EJB 3.0. En 2006, le projet GlassFish de Sun intègre TopLink Essentials comme implémentation de JPA. Après avoir reçu un retour positif de la part de la communauté Open Source, Oracle a donc décidé de franchir le pas. Il va rendre tout le code source disponible qu'il va confier à la Fondation Eclipse. Oracle se propose de conduire un nouveau projet Eclipse, EclipseLink, pour fournir un ensemble de services de persistance qui peut être utilisé en Java ou dans des environnements OSGi (Open Services Gateway initiative). Oracle TopLink continuera d'exister et une version commerciale supportée part Oracle sera intégrée dans Oracle Application Server. TopLink et le projet EclipseLink entrent de ce fait en compétition avec deux autres projets Open Source implémentant JPA : Hibernate et OpenJPA, tous deux hébergés par la Fondation Apache. Comme le fait remarquer Sami Jaber sur son blog, « Dans les années 95-2000, Toplink était plébiscité par les puristes, avant la fièvre Hibernate. Il n'est pas impossible que les mouches changent d'ânes. Et comme une mouche avertie en vaut deux ;-) ... ». Bien que travaillant avec la Fondation Eclipse, Oracle continuera de proposer une alternative à Eclipse IDE avec son environnement JDeveloper. (...)
(01/03/2007 15:16:33)L'offre middleware de Sun unifie ses consoles d'administration
Sun vient de présenter la version 5 de son offre middleware d'entreprise, Java Enterprise System (JES). Ensemble consolidé de produits testés et compatibles entre eux, JES agrège des produits d'origine distincte, qui disposaient chacun, jusqu'alors, d'une interface d'administration particulière. « Désormais, explique Alexis Moussine-Pouchkine, architecte Java chez Sun France, l'infrastructure d'administration est totalement unifiée, il n'y a plus besoin d'avoir de multiples comptes administrateurs. » La suite de base comporte notamment le serveur Web, qui fait l'objet d'une nouvelle version, le serveur d'applications, l'annuaire, le portail, le bus de messages et le service d'authentification. Fidèle à sa politique tarifaire par employé et par an, Sun propose cette suite pour 100$. Elle peut être complétée de la suite de gestion d'identités, qui fédère les outils liés à l'authentification et à la réservation des ressources, pour 50$ de plus. De même, l'offre pour les SOA (architectures orientées services) héritée de SeeBeyond, Java Caps (pour Composite application platform suite) peut être ajoutée pour 50$. Acquises seules, les suites sont bien plus chères : 75$ pour la gestion des identités, 100$ pour Java Caps. Le contrat d'abonnement a été légèrement révisé : les services de support diffèrent en fonction du nombre d'employés. Selon les paliers, les clients peuvent avoir droit à davantage de consulting ou de formation. Dans tous les cas, il faut compter 10$ de plus, toujours par employé et par an, pour bénéficier d'un support premium, c'est-à-dire 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. A l'heure actuelle, indique Alexis Moussine-Pouchkine, 1000 clients ont souscrit à ce principe du contrat d'abonnement, dont 600 pour la suite complète. « En France, ce modèle économique fait que nous avons pour clients tous les fournisseurs de services de type Cegetel, Neuf, Orange... » Parmi les derniers clients figurent l'Apec, le Sénat et Voyages-sncf.com. JES 5 est disponible sur les variantes x64 et Sparc du système d'exploitation, ainsi que sur HP-UX, mais il faut noter que côté Linux, seul Red Hat est supporté. Concernant Windows, la compatibilité n'est complètement assurée que sur la version 32bit. « Mais nous voyons davantage Windows comme une plate-forme de développement », souligne Alexis Moussine-Pouchkine. (...)
(27/02/2007 15:47:03)Microsoft veut faire de Vista un client des applications de BPM
D'ici à la fin de l'année, les applications de BPM (Business process management, gestion de processus métier) pourront s'exécuter directement sur Windows Vista. La couche workflow de Vista, WWF (Windows Workflow Foundation) bénéficiera dès le mois de mars d'une mise à jour lui offrant le support de BPEL (Business process execution language), le langage d'exécution des processus métier. La version supportée sera la 1.1, mais Microsoft pense pouvoir implémenter la 2.0 (encore au cours de finalisation au sein de l'organisme de normalisation Oasis) avant fin 2007. Le but de WWF est de servir de support à des applications de workflow. De l'enchaînement des tâches à celui des processus, il n'y avait qu'un pas, que Microsoft entend favoriser également en créant une alliance avec divers partenaires : les membres de la Business Process Alliance s'engagent à aider leurs clients à bâtir des applications de BPM sur la plate-forme Microsoft. Ont déjà adhéré à la BPA : Amberpoint, Ascentn, IDS Scheer, Fair Isaac, Global360, InRule Technology, Metastorm, PNMsoft, RuleBurst et SourceCode Technology Holdings. (...)
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