Flux RSS
Middleware et serveurs d'application
541 documents trouvés, affichage des résultats 321 à 330.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(27/02/2007 12:22:23)
Les éditeurs sont encore à des années d'une solution MDM complète, prévient Forrester
Il faudra attendre plusieurs années encore avant de voir un « vrai hub MDM fourni par un seul éditeur », prévient Forrester dans sa dernière étude sur le « Master data management », ou gestion des données de référence. Contrairement, dénonce le cabinet d'analystes, à ce qu'affirment les éditeurs à chaque acquisition ou nouvelle version de leur produit. Par « hub MDM », les auteurs de l'étude entendent un outil unique capable de supporter les différentes approches relevant aujourd'hui du MDM, telles que le CDI (Customer data integration, intégration des données clients) ou le PIM (Product information management, gestion des données produits). Ainsi, indique l'étude, les clients de SAP partent plutôt sur l'approche PIM, tandis que ceux d'Oracle entrent sur ce marché au travers des solutions de CDI. Pour Forrester, une véritable solution de MDM doit permettre d'identifier et de maintenir les données de référence dans tous les domaines, et servir tant aux processus métiers qu'aux applications décisionnelles. IBM serait le plus proche de cette définition, « à 18 ou 24 mois » d'une telle offre, estiment les auteurs de l'étude. L'étude, « Trends 2007 : Master Data Management », fournit un graphe positionnant les différents acteurs du marché en fonction de leur background respectif. Hormis IBM, les plus proches de parvenir à une solution globale sont Siperian, Initiate Systems, Oracle, Purisma, Dun&Bradstreet et Trillium. Le cabinet s'attend à nombre d'acquisitions dans ce domaine, pour accélérer le mouvement, mais s'étonne surtout de l'absence de Microsoft de ce marché, qui crée « un trou significatif dans l'écosystème .Net ». Un projet global doit commencer petit A condition de ne pas prendre pour argent comptant les « déclarations exubérantes » des éditeurs sur la complétude de leurs offres de MDM, cette technologie reste un élément essentiel des futurs systèmes d'information, complète Forrester. Simplement, dit l'étude, il vaut mieux commencer maintenant mais petit à petit, par entité métier ou par silo de données, de façon à pouvoir définir des métriques adaptées et prouver le retour sur investissement aux responsables métier, qui doivent être les sponsors de ce type de projet. Ce n'est qu'à terme que les projets se rejoindront - quand les solutions complètes seront vraiment prêtes. Cela laisse le temps également de former des compétences en interne. Forrester souligne en effet le manque de compétences en architectes de données et en experts de la gouvernance de données. Un bon créneau à prendre dans l'immédiat pour les cabinets de conseil. (...)
(15/02/2007 14:21:24)Red Hat renforce les liens entre JBoss et Windows
Red Hat a annoncé avoir adhéré à l'Interop Vendor Alliance de Microsoft. Mis en place fin 2006 par l'éditeur de Redmond en partenariat avec une vingtaine d'éditeurs et de constructeurs, le programme IVA vise à s'assurer de la bonne interopérabilité des technologies tierces avec celles de Microsoft. En l'occurrence, Red Hat entend optimiser le fonctionnement de sa plateforme middleware Jems (JBoss enterprise middleware system) sur Windows. Cette adhésion d'un éditeur Linux à l'IVA peut paraître surprenante, mais elle n'est en fait que le prolongement d'un accord passé fin 2005 entre Microsoft et JBoss (alors indépendant). Accord qui avait fait beaucoup jasé. Sacha Labourey, directeur général de JBoss Europe, nous avait expliqué : « La moitié environ de nos déploiements sont sur Windows. Cela me paraît normal de discuter avec Microsoft, comme nous le faisons avec d'autres fournisseurs de systèmes d'exploitation, tels Novell, HP ou Unisys. » Tandis qu'Alain Le Hégarat, responsable marketing plate-forme de développement chez Microsoft France, confirmait : « Nous nous positionnons comme un fournisseur de plateforme, et, pour nous, JBoss est un éditeur comme un autre, dont le logiciel doit pouvoir fonctionner de la meilleure façon possible sur Windows. » A ce jour, écrit Red Hat dans un communiqué, les efforts entrepris ont principalement porté sur les services Web, ainsi que sur la certification d'Hibernate, solution de gestion de la persistance des données, avec le pilote JDBC de la base SQL Server de Microsoft. Maintenant, Red Hat dit vouloir aller « au-delà des standards » et travailler au support natif de Jems sur Windows. (...)
(12/02/2007 16:34:55)Ilog met son moteur de règles à la sauce SOA
Ce n'est pas une mise à jour de son produit, mais la version 6.5 du moteur de règles métier d'Ilog marque néanmoins une inflexion de la stratégie. En direction des architectures orientées services (SOA). Le recours à un moteur de gestion des règles métier dans le cadre d'une SOA n'est pas nouvelle. La mutuelle d'assurances du bâtiment SMABTP avait ainsi témoigné de son utilisation lors de notre SOA Forum en octobre dernier. De fait, un BRMS (Business rules management system) permet d'externaliser la logique métier, et donc de produire un code moins susceptible de changement. « Gartner a identifié cela comme une bonne première étape sur la voie de la SOA », note Christophe Bordes, chef de produit chez Ilog. Alors que jusqu'à présent il fallait reprendre le code à la main, la version 6.5 de JRules propose d'exposer les fonctions de gestion de règles sous forme de services, et de générer automatiquement le code WSDL correspondant, afin de l'exploiter comme un service Web. Pour le reste, la 6.5 s'inscrit dans la continuité de la 6.0, avec un plug-in Eclipse pour le développement et un système collaboratif pour la gestion des règles. Plus, aujourd'hui, des capacités de recherche améliorées. La complémentarité avec Office, pour l'écriture de règles par les non-informaticiens, aujourd'hui disponible avec la version .Net de Rules, est prévue mais à plus long terme. Les efforts porteront d'abord sur Office 2007 pour la version de Rules for .Net prévue cet été. (...)
(12/02/2007 11:03:05)Le fondateur de JBoss Marc Fleury quitte Red Hat
Marc Fleury, qui a créé JBoss et l'a vendu en avril dernier à Red Hat pour 350 M$, vient de décider de quitter le groupe. Son porte-parole indique qu'il entend désormais « se consacrer à des activités personnelles, telles que l'enseignement, la recherche en biologie, la musique et sa famille ». Actuellement en congé paternité, il ne rejoindra pas Red Hat. « J'ai fait mon possible pour le succès de Red Hat, écrit-il dans un communiqué. Les gens doivent comprendre que l'Open Source est un tsunami qui est en train de transformer le marché du logiciel sur son passage et sa fatalité est à présent au-delà du défi ou de la force de personnalité de chacun. » Marc Fleury avait choisi de céder JBoss à Red Hat pour être plus crédible aux yeux des très grands groupes et élargir son canal de distribution. D'autant que Red Hat partage le business model de la souscription aux services de support. Depuis la vente, finalisée début juin 2006, les téléchargements ont également augmenté pour Linux, alors qu'avant, Windows représentait 40% des déploiements de JBoss. Mais la greffe dans la structure d'un groupe établi semble ne pas avoir pris en ce qui concerne Marc Fleury lui-même, personnage entier, expansif. Dans son blog, Sami Jaber, consultant chez Valtech, souligne ainsi « ses désaccords affichés avec les investissements du nouveau repreneur ». Matthew Szulik, le PDG de Red Hat, s'est contenté de souligner les « contributions positives » de Marc Fleury à l'Open Source. De son côté, Marc Fleury a décliné notre invitation à commenter son départ. (...)
(05/02/2007 23:00:23)Les TechDays de Microsoft France égalent le TechEd paneuropéen
Avec 4000 participants environ à la première journée de ses TechDays 2007, Microsoft France fait sans complexe jeu égal avec les événements européens, TechEd et ITForum. Débutée lundi matin, la conférence utilisateurs se déroulera au Palais des Congrès de Paris jusqu'à mercredi soir. Plus de 200 sessions sont proposées, dans leur immense majorité en français. C'est la première fois que Microsoft France propose un événement d'une telle ampleur, de façon totalement gratuite. Un ancien de Microsoft France, croisé dans les couloirs, ironisait ainsi : « Pendant longtemps, Microsoft nous reprochait le fait qu'il y ait peu de Français au TechEd. Mais entre un événement gratuit et en français et un événement payant en anglais, il n'y a pas photo. D'ailleurs on voit le résultat : il y a eu 13 000 inscriptions ! » Côté contenu, si Vista est évidemment une des vedettes des sessions, sous plusieurs coutures (interface graphique WPF, nouvel outil de script PowerShell, sécurité, supervision...), l'événement cible tout utilisateur informaticien potentiel, du développeur à l'administrateur système, en passant par le spécialiste des réseaux, des progiciels ou des bases de données. Microsoft a répertorié les sujets en 21 thèmes. (...)
(02/02/2007 13:42:24)BEA sollicite l'Unedic pour monter un club utilisateurs en France
BEA aura bientôt un club utilisateurs en France. L'éditeur a décidé de communiquer davantage avec ses utilisateurs, et a donc sollicité en France l'Unedic, en la personne de Hubert Déchelette, architecte middleware pour l'organisme de gestion financière de l'assurance chômage. Forte de 22 personnes - au sein d'une DSI de 1300 personnes - l'équipe middleware de l'Unedic est un client fidèle de BEA (Tuxedo, WebLogic, et bientôt Aqualogic ESB). Et même si le club est organisé au départ avec l'aide de BEA, Hubert Déchelette entend bien exprimer une voix indépendante. Il ne se prive d'ailleurs pas de pointer les faiblesses de l'éditeur, par exemple sur ses outils de supervision. Les autres membres du club ne sont pas encore connus, non plus que la date de la première réunion. (...)
(30/01/2007 10:11:32)Solutions Linux : Jaspersoft insère l'ETL de Talend dans sa suite décisionnelle
JasperSoft a annoncé aujourd'hui sur le salon Solutions Linux la sortie prochaine, d'abord en Open SOurce puis en version professionnelle, d'un module ETL (extract, transform and load, extraction, transformation et chargement de données) dans sa suite d'outils décisionnels, basé sur le produit du Français Talend. Depuis sa mise en ligne, il y a trois mois, l'ETL Talend Open Studio V1 a déjà été téléchargé 25 000 fois. Quant à JasperSoft, il enregistre chaque mois 100 000 téléchargements de sa technologie, ce qui lui permet d'en totaliser quelque 1,8 million à ce jour. Les logiciels des deux éditeurs sont pour moitié récupérés depuis le continent américain, l'Europe comptant davantage pour Talend (40% des téléchargements) que pour JasperSoft (environ 28%). Ce dernier réalise le reste de ses téléchargements sur l'Asie. Paul Doscher, directeur général de JasperSoft, pointe les avantages de sa suite entièrement développée en Java, par rapport aux offres décisionnelles classiques, ainsi que la facilité d'accès procurée par son interface proche de celle de Google. De son côté, Bertrand Diard, fondateur de Talend, juge que les besoins en solutions décisionnelles sont énormes et encore peu couverts par les éditeurs traditionnels, en raison, généralement, du coût des projets à déployer. Tous deux affirment conduire le développement de leurs produits Open Source comme le ferait un éditeur, avec une feuille de route (roadmap) établie sur les développements à venir. Récemment, JasperSoft a rejoint les éditeurs ayant choisi de développer une offre capable d'interopérer avec les logiciels de Salesforce, applications hébergées de gestion de la relation avec les clients (GRC). Depuis janvier, il propose Jasper4Salesforce, une solution permettant aux utilisateurs de la plateforme Salesforce d'éditer des rapports à partir de leurs données gérées en ligne. (...)
(25/01/2007 15:54:19)Première exhibition publique de la méthodologie SOA Praxeme
Praxeme, méthodologie publique pour réformer un système d'information selon les préceptes des architectures orientées services (SOA), a passé un cap mardi avec sa première présentation publique. Une vingtaine de participants, représentants d'entreprise de toute taille, mais aussi du secteur public (administration, armée), avaient payé 1450 E HT pour une journée au contenu extrêmement dense. Praxeme est la première initiative destinée à offrir un cadre de réflexion global pour la mise en oeuvre des SOA, en-dehors bien sûr des différentes méthodes propriétaires proposées par tel ou tel cabinet. Chaque cabinet ou SSII a en effet élaboré une méthode, ce qui peut poser souci lorsqu'un client fait travailler plusieurs intervenants. En outre, Praxeme va plus loin qu'une simple méthode technique, puisqu'elle analyse en profondeur le modèle conceptuel, logique, ainsi que le modèle organisationnel de la DSI. L'objectif des promoteurs de Praxeme, qui se sont réunis en association Loi 1901, est justement d'aller au-delà de cet aspect propriétaire, en échafaudant un cadre adaptable aux différentes situations, donc utilisable par tous. « La première qualité d'une méthode, c'est d'être partagée », a insisté Dominique Vauquier, principal concepteur de la méthodologie. Un participant remarquait toutefois en privé que si les concepts de Praxeme étaient intéressants, le nombre et la variété des profils impliqués risquaient de la rendre impraticable hors d'un grand compte. Suite au succès de cette première manifestation, la journée devrait être rééditée courant juin. De son côté, l'Adeli, association pour la maîtrise des systèmes d'information, prévoit une rencontre « autour d'un verre » le 12 février consacrée à Praxeme. (...)
(19/01/2007 16:48:48)Annuels IBM : le bénéfice en forte hausse malgré des revenus stables
Résultats 2006 Chiffre d'affaires : 91,4 Md$ (+0,3%) Bénéfice net : 9,5 Md$ (+18%) Sans faire progresser - ou si peu - ses revenus, IBM est parvenu à augmenter considérablement son bénéfice au cours de l'exercice 2006. Le chiffre d'affaires de Big Blue ne gagne ainsi que 0,3% par rapport à l'année précédente, mais le profit s'envole de 18%. Le plan de restructuration, lancé en 2005, semble porter ses fruits, tout comme la stratégie multipolaire du groupe, qui ne prévilégie aucune activité en particulier. IBM a largement profité d'un bon quatrième trimestre, conclu sur un bénéfice en hausse de 11,1% à 3,54 Md$, et un chiffre d'affaires de 26,3 Md$, en progression de 7,5% sur un an. Ces deux indicateurs s'inscrivent au-delà des estimations des observateurs. Au cours du trimestre, IBM a réalisé une bonne opération en signant pour 17,8 Md$ de contrats de service, soit 55% de plus qu'un an auparavant. Du côté des logiciels, le middleware - WebSphere, Tivoli, DB2, etc. - a particulièrement contribué aux bons résultats en générant un revenu de 4,4 Md$, soit 18% de plus qu'un an auparavant. L'ensemble de l'activité logicielle voit son CA croître de 14,4%, à 5,6 Md$. Onze acquisitions dans les logiciels Sur l'ensemble de l'année également, les logiciels constituent l'activité qui progresse le plus rapidement. La branche Software réalise ainsi un CA de 18,2 Md$, et gagne 7%. 2006 restera marquée par les efforts qu'IBM a consentis dans cette activité en réalisant onze acquisitions liées au logiciel. Citons ainsi l'achat de MRO pour 740 M$, celui d'ISS pour 1,3 Md$ ou de FileNet pour 1,6 Md$, tous réalisés en 2006. Le service continue de représenter la part la plus importante des revenus de Big Blue, avec 48,2 Md$. L'activité ne progresse cependant que de 2% sur l'année, ce qui est toujours mieux que la branche matérielle. Celle-ci, avec un CA de 22,5 Md$, recule de 8%. Si l'on exclut toutefois l'activité PC - cédée en 2005 au Chinois Lenovo - de la base de comparaison, le Hardware signe une progression de 4%. Pour 2007, le groupe entend satisfaire les attentes des analystes. Ils espèrent une croissance du revenu de 10%. De plus, selon Mark Loughridge, le directeur financier, il n'y a pas de raison que Big Blue ralentisse la cadence de ses acquisitions après avoir procédé à 14 achats cette année. Il a, en outre, précisé que les investissements internes continueront de porter sur l'activité logicielle ainsi que sur les marchés émergents. Les pays les plus pauvres ont enregistré une croissance de leurs revenus de 18% au quatrième trimestre, contre 5% en Amérique et en Asie, et 3% en Europe. (...)
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |