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Middleware et serveurs d'application
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(18/01/2007 16:22:27)
Nortel dope les fonctions communicantes de Microsoft Office
Microsoft et Nortel viennent de présenter le premier fruit de leur alliance sur les communications unifiées, nouée en juillet dernier. L'ICA (Innovative Communications Alliance) a pour vocation de combiner les diverses technologies des deux entreprises, en l'occurrence les logiciels serveurs de Microsoft et l'infrastructure en matière de ToIP (téléphonie sur IP) de Nortel. Steve Ballmer a fait la démonstration, mercredi, de cette convergence. La première offre, « Converged Office » permet de passer des appels sur Internet, d'envoyer des messages instantanés ou de vérifier la présence de ses contacts sans quitter Office, grâce à l'intégration avec Exchange et les outils de Nortel. Converged Office est pour l'instant destiné aux TPE/PME, une version entreprise étant attendue pour la fin de l'année. Nortel et Microsoft ont également évoqué quelques autres offres et innovations à venir : - UC Integrated Branch (4e trimestre 2007), un serveur préconfiguré pour déployer l'offre Converged Office dans les sites distants ; - Une interopérabilité native, basée sur le protocole SIP (2e trimestre 2007), entre Nortel Communication Server 1000 et Microsoft Exchange Server 2007, couplée à une offre de services aux entreprises de la part de Nortel ; - Un couplage entre Nortel Multimedia Conferencing et Microsoft Office Communicator 2007 (4e trimestre 2007), pour rendre transparent le passage d'une fonctionnalité à une autre (email, voix, messagerie instantanée, vidéoconférence...). Jusqu'en 2009, les deux sociétés vont se concentrer sur « l'expérience utilisateur », faire en sorte que l'intégration lui paraisse transparente. Puis, à partir de 2010, Microsoft et Nortel entendent s'attaquer à l'intégration au niveau du back-end. « Au lieu d'avoir des éléments matériels et logiciels séparés, nous voulons tout rassembler, dit Steve Ballmer. Ainsi, si les gens veulent écrire des applications métier possédant des fonctions de communication, nous fournissons le même outillage, Visual Studio travaillant avec Exchange, Active Directory, le système vocal. » D'ores et déjà, 20 centres de démonstration sont ouverts dans le monde, indiquent les partenaires, et, d'ici au mois de juillet, ce nombre devrait s'élever à 100, tous peuplés d'ingénieurs à la fois de Nortel et de Microsoft. (...)
(15/01/2007 12:43:22)IBM ouvre ses premiers centres d'expertise SOA
Les clients ont exprimé leur besoin d'apprentissage et de formation en matière d'architectures orientées services (SOA), et IBM les a entendus, dit ce dernier : c'est en réponse à cette demande que la firme a prévu d'ouvrir 8 centres dans le monde, dits « SOA Leadership Center ». Le premier doit ouvrir aujourd'hui à Dubai. Jason Weisser, vice-président et responsable technique pour l'offre SOA d'IBM, explique que le rôle de ces centres sera de mettre à la disposition des clients des équipes prêtes à monter des prototypes personnalisés, afin de démontrer l'efficacité du modèle d'organisation informatique prôné par la SOA. Les centres devront également travailler avec les établissements universitaires locaux afin de les aider à monter des cours sur le développement de type SOA. L'espoir d'IBM est de faire monter le niveau de compétence autour de ces centres afin que les entreprises aient à disposition des experts SOA locaux. Le centre de Dubai est ouvert en collaboration avec le gouvernement de Dubai, les Emirats Arabes Unis et l'Arabie Saoudite. L'inauguration officielle aura lieu en mars. Le centre devrait employer 26 personnes, la moitié venant d'IBM, l'autre moitié de ses partenaires. Un centre devrait suivre en France, à La Gaude, et le gouvernement japonais a pris contact avec IBM pour en ouvrir un au Japon (en partenariat avec Nissan, Toyota et Honda) ce printemps. Les suivants ouvriront ensuite au Brésil, en Australie, en Chine (un à Pékin et un autre à Shanghai) et enfin en Europe de l'Est. (...)
(20/12/2006 16:39:12)Les promoteurs de la méthodologie SOA Praxeme se constituent en association
A l'origine, il s'agit d'une méthode publique, Praxeme, pour aider les entreprises à mettre en ?uvre des architectures orientées services (SOA). Aujourd'hui, cela devient une association loi 1901, sous le nom Praxeme Institute. Au côté des inventeurs de la méthode - en premier lieu Dominique Vauquier (Unilog Management), avec Pierre Bonnet (Orchestra Networks) et Philippe Desfray (Softeam) - on retrouve trois cabinets de conseil parmi les « membres constituants » : Conix Consulting, Dreamsoft et Vistali. Plusieurs « contributeurs », entreprises ayant adopté les concepts de Praxeme, apportent également leur soutien à la création de l'association : Calyon (la branche investissement du Crédit Agricole), l'Armée de Terre, la Caisse nationale d'allocations familiales, Sagem et la SMABTP (société d'assurance des professionnels du bâtiment, qui a raconté son expérience lors de notre SOA Forum du 4 octobre dernier - voir l'encadré ci-dessous). Ouverte, la méthode Praxeme peut être adaptée aux besoins et à la culture des entreprises, afin de modéliser leurs processus ainsi que leur architecture technique, logique et physique. « Le caractère public, Open Source, de Praxeme la prédispose à devenir un socle méthodologique de référence sur le marché de la SOA », avance Jean-Baptiste Ceccaldi, directeur général de Vistali. (...)
(19/12/2006 17:51:50)ObjectWeb se restructure au 1er janvier
Le 31 décembre 2006, ObjectWeb changera de statut juridique. Et basculera d'un modèle de consortium développé en collaboration avec l'INRIA, Bull et France Télécom, à celui d'une association loi 1901 à but non lucratif. "ObjectWeb a été initialement créé sous une forme de consortium pour formaliser une situation de collaboration entre différents partenaires.[...] Au fil du temps, ObjectWeb s'est significativement développé, avec une croissance rapide et de nombreux nouveaux projets [et de plus en plus internationaux, NDLR]", explique François Letellier, actuel directeur exécutif d'ObjectWeb, dont le mandat expirera également au 31 décembre 2006. Le consortium regroupe actuellement une centaine de projets, très centrés sur le middleware et Java, soutenu par plus de 8 000 contributeurs de 80 pays différents. Face à une telle réussite, le consortium doit alors s'adapter et passer à un autre niveau. La mutation, orchestrée depuis le début 2005 par la création d'un groupe de travail, repose sur le constat de certaines limites. D'abord structurelles: "le montant des cotisations des membres étant faible, les ressources à disposition du comité exécutif ne croissaient pas aussi rapidement que la communauté", regrette François Letellier. Puis d'indépendance - face à l'INRIA- qui "lui a ouvert de nombreuses portes, mais l'a également soumis aux règles administratives d'une structure publique, avec les contraintes qui pouvaient s'ensuivre dans la gestion des fournisseurs, du personnel, des partenariats". Enfin, dernier frein de croissance, la centralisation des comités directeur et executif, qui "trouvait ses limites à un moment où des membres non hexagonaux devenaient plus nombreux". "Une plus forte implication des membres" Effective le 1er janvier 2007, la prochaine génération d'ObjectWeb (nommée OW2) doit ainsi ôter certaines contraintes imposées par la structure actuelle. La tendance s'oriente vers une collaboration plus étroite entre les membres, les comités et les prises de décision. Pour François Letellier, il s'agit d'abord d'impliquer plus fortement les membres -également financièrement. Initialement classés en Individuel ou Corporate, les membres seront, selon le nouveau cadre, répartis en trois catégories, Strategic, Corporate et Individual avec des niveaux d'implication différents. En interne, OW2 se tournera vers "une gouvernance plus collégiale, avec trois conseils traitant de l'animation technique, de l'écosystème et des opérations ". Viennent ensuite des paramètres plus technologiques, qui doivent "prendre davantage en compte la dimension marché de l'Open Source, notamment, en resserrant les liens entre utilisateurs et développeurs". Concrètement, cela se traduira par la création d'"initiatives" qui, outre le fait de faire office de plate-forme collaborative de projet Open Source, devra "s'attacher au développement d'un écosystème d'affaires [dont] le but est que l'utilisateur y trouve les prestataires de services (accompagnement, formation, certification, support) qui répondent à ses besoins". Le consortium travaille actuellement à un projet autour des bus d'entreprise (ESB) et de la SOA. Quatre autres "initiatives" devraient également éclore, autour du décisionnel, des télécommunications, de l'embarqué, de l'e-administration, sans compter la participation à la plateforme technologique européenne NESSI (Networked European Software and Services Initiative - un projet qui réunit 13 sociétés pour aider notamment à la mise en application de la stratégie de Lisbonne). "Le thème RFID est aussi à l'étude", précise François Letellier. Pas de reconduction automatique des membres "Le consortium ObjectWeb se terminant à la fin de l'année, les membres devront faire eux-même la démarche d'adhésion à l'association OW2 pour continuer à faire partie de l'aventure", commente François Letellier, tout en ajoutant que des facilités de transfert seront proposées. "Il n'est pas juridiquement possible de reporter les adhésions d'une structure à l'autre". Mais cela pose également le problème des projets actuels sous la bannière ObjectWeb v1. A ce sujet, François Letellier est clair: "OW2 sera munie d'une politique plus stricte au niveau propriété intellectuelle. Les projets ne seront pas non plus migrés automatiquement mais évalués individuellement avant transfert". (...)
(15/12/2006 12:11:35)BEA dévoile sa feuille de route pour la virtualisation des environnements Java
Reconnu pour les performances de ses environnements d'exécution Java, BEA va désormais s'attaquer à la virtualisation. L'éditeur a dévoilé une feuille de route impliquant plusieurs de ses produits, dont des éditions spécifiques devraient sortir en 2007, afin de compléter la machine virtuelle Java, Liquid VM, qui tourne déjà sur l'hyperviseur VMWare ESX Server - le but de la Liquid VM est de fournir un socle d'exécution léger directement au-dessus de la couche de virtualisation. Le premier produit lancé, au premier semestre 2007, devrait être WebLogic Server Virtual Edition, une déclinaison du serveur d'applications maison conçue pour tourner sur des environnements virtualisés, afin d'ajuster au mieux les ressources matérielles et les besoins des applications Java. A l'été 2007, BEA prévoit un logiciel d'administration, WebLogic Liquid Operations Control, pour surveiller la charge des serveurs, augmenter les capacités matérielles au besoin, voire effectuer des tâches de « provisioning » (réservation de ressources). (...)
(05/12/2006 16:54:43)Tibco défie les serveurs d'applications sur le terrain de la SOA
Ce n'est pas tout à fait un outil de virtualisation, pas tout à fait un serveur d'applications, pas tout à fait un outil de grid, mais la nouvelle plate-forme pour SOA (architectures orientées services) que Tibco a lancé hier ressemble fortement à tout cela. ActiveMatrix reprend en effet les principes de ces outils pour les appliquer aux SOA. La plate-forme propose des conteneurs (moteurs d'exécution) au sein desquels déployer le code applicatif, et assure l'ensemble des fonctions de communication et d'administration : intégration, sécurité, gestion des transactions, gouvernance... De cette façon indique Tibco, les entreprises peuvent vraiment se focaliser sur le code métier et laisser le code technique à la plate-forme. « A peine 60% du code des services est consacré à la logique métier, note Stefan Farestam, directeur marketing EMEA. En déchargeant le code technique sur la plate-forme, cela devient plus simple à développer, et ensuite à changer d'implémentation technologique ou de plate-forme. » Trois composants d'ActiveMatrix sont disponibles. D'abord Service Grid (technologie de conteneurs distribués, communiquant via le bus de Tibco, BusinessWorks), qui peut remplacer des serveurs d'applications J2EE ou .Net, ou bien travailler avec eux (le support direct de C/C++, Ruby et Cobol viendra plus tard), et répartir la charge sur différents serveurs. Vient ensuite Policy Manager, qui applique des règles de gestion aux services et supervise leur exécution. Une partie du code est issue de l'offre d'Amberpoint : « nous avons acheté le code source, et l'avons fusionné avec nos développements », explique Stefan Farestam. Enfin Registry, qui résulte d'un accord de revente avec Systinet (qui appartient désormais à HP), est l'annuaire référençant tous les services. Une offre intéressante pour les besoins d'architecture distribuée Pour Marc Boullier, directeur technique du cabinet d'architectes SOA Vistali, et connaisseur de l'offre Tibco, cette offre représente un grand changement, « car il s'agit de concurrencer frontalement les éditeurs de serveurs d'applications ». Pas sur le haut de gamme, où l'on voit mal Tibco défier les offres matures d'un BEA ou d'un IBM. D'ailleurs, Stefan Farestam avoue que tel n'est pas le but, et qu'aucun test de performances n'a été mené. En revanche, avec l'explosion des services, « on pourrait avoir la volonté de faire du downsizing, en diminuant la granularité des moteurs d'exécution », poursuit Marc Boullier. « Si une entreprise a des besoins d'architecture très distribuée, c'est très intéressant. » Ce type d'offre rencontrera-t-elle son public ? Rappelant que Fabric, l'offre distribuée de WebMethods, « n'a pas vraiment trouvé son public », Marc Boullier pense qu'on ne verra pas de déploiement industriel de ce type avant probablement trois ans. (...)
(28/11/2006 16:33:22)Informatica veut absorber Itemfield pour accéder aux contenus non structurés
Pour Noël, Informatica voudrait pouvoir accéder aux contenus non structurés ou semi-structurés sans plus avoir à payer de licence à Itemfield, dont il reprend la technologie en OEM dans ses outils. L'éditeur de PowerCenter, une des principales solutions d'intégration de données (avec Ascential/IBM et SAS), propose donc 55 M$ pour racheter cette société privée. Informatica souligne que selon diverses estimations, 80% du contenu des entreprises serait sous forme de formats non structurés, tels que des documents Word, Excel ou PDF. Les fichiers semi-structurés désignent pour leur part les formats de type XML, où le contenu est encadré par des métadonnées. La transaction a d'ores et déjà été approuvée par les conseils d'administration des deux sociétés. (...)
(27/11/2006 17:28:46)Salesforce propose ApexConnect pour simplifier l'intégration à l'existant
Salesforce cherche à réconcilier le service logiciel hébergé (Saas : software as a service) et l'intégration à l'existant. L'éditeur de l'application hébergée de gestion de la relation client (GRC) annonce ApexConnect, un jeu d'outils et d'interfaces de programmation (API) à utiliser en conjonction avec son langage de programmation Apex afin d'intégrer Salesforce.com à la majorité des progiciels existant au sein des entreprises. Une API de messagerie interapplicative, ConnectOut, permettra ainsi de propager des données de Salesforce à SAP R/3 ou Oracle 11i à la suite d'un événement : la création d'un client dans Salesforce, par exemple, pourra être répercutée dans le logiciel de facturation du client. Il faudra en revanche maîtriser le langage Apex, dont la syntaxe est proche de celle de Java, précise Salesforce. L'éditeur de GRC hébergée (ou « On Demand », pour être plus moderne) explique que les entreprises clientes de son offre commencent à exploiter davantage les possibilités d'intégration offertes par la plate-forme, comparativement à l'exploitation simple du service hébergé. Au troisième trimestre, indique un communiqué de Salesforce, « les transactions API Apex ont surpassé le nombre de pages GRC vues pour la première fois », totalisant plus de 50% des 3,7 milliards de transactions (une transaction correspondant à une page vue ou un appel d'API). Le connecteur natif pour Oracle 11i et l'ensemble ApexConnect devraient être disponibles dans le courant du premier semestre 2006. Le langage Apex sera disponible en même temps (à ne pas confondre avec la plate-forme Apex, déjà disponible, puisqu'il s'agit du nouveau nom d'AppExchange, la place de marché pour partenaires mise sur pied par Salesforce). (...)
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