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Middleware et serveurs d'application

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(21/11/2006 18:14:16)

Bull devient partenaire de JBoss et renforce ses liens avec Red Hat

Bull et JBoss ont annoncé aujourd'hui un partenariat technologique et commercial mondial afin d'accélérer le développement et le déploiement de solutions middleware open source pour architectures orientées services (SOA). Ce partenariat entre le constructeur français et la filiale de Red Hat vient renforcer les relations entre les deux sociétés: Bull et Red Hat sont partenaires depuis 2000, année où Bull a conclut un accord de distribution mondial de la distribution Red Hat. Les deux sociétés avait déjà conforté leur alliance en 2003 autour des logiciels d'infrastructure, mais aussi des middlewares java libres. A l'époque, Red Hat avait bâti une offre de middleware embarquant certains composants de l'offre du consortium ObjectWeb dont JonAS. Red Hat avait ensuite rejoint ObjectWeb. Dans le cadre de l'accord avec JBoss, Bull va contribuer aux développements de la communauté JBoss sur un mode similaire à celui déjà utilisé pour ObjectWeb , Apache ou Eclipse. Bull indique notamment qu'il va apporter son savoir faire en termes de sécurité et de gestion de processus métier (BPM). Bull va aussi devenir l'un des intégrateurs stratégiques de la suite JEMS (Java Entreprise Middleware Suite) de JBoss, qu'il déploiera sur ses serveurs NovaScale et Escala. Enfin, Bull revendra à ses clients les services de support JBoss. Le constructeur opérera lui-même le support de premier et de deuxième niveau, laissant à Red Hat le soin d'intervenir en niveau 3. Red Hat renforce ses liens avec Objectweb L'accord prévoit aussi un renforcement de l'implication de Red Hat dans ObjectWeb, ce que nous a par ailleurs confirmé Christophe Ney, le responsable de l'architecture au sein du consortium. Red Hat et Bull devraient renforcer leur collaboration à propos du développement et de l'extension d'ObjectWeb (provisoirement ObjectWeb v2). Bull s'engage aussi à travailler sur l'interopérabilité entre la communauté JBoss et le consortium ObjectWeb. "Ce partenariat avec JBoss s'ajoute à notre engagement dans ObjectWeb sur du long terme ; il nous permet de mettre l'accent sur la fertilisation croisée et l'interopérabilité de développements middleware open source", indique ainsi Jean-Pierre Barbéris, le directeur général de Bull Services et Solutions. Pour Christophe Ney, le fait que Bull resserre ses relations avec JBoss n'est toutefois pas de nature à transformer ObjectWeb. En revanche elle consolide le rôle de Red Hat dans le Consortium. Car, selon Christophe Ney, "la technologie J2EE a désormais une importance plus relative que les années antérieures dans les travaux d'ObjectWeb. Désormais, les nouvelles perspectives sont au-dessus du middleware". C'est dans l'interopérabilité des composants au-dessus du middleware que se jouerait désormais la bataille. Nul doute qu'en maintenant un pied dans JBoss et un autre dans Objectweb, Bull se verrait bien jouer le rôle de la Suisse des intégrateurs. (...)

(21/11/2006 17:50:59)

JBoss présente son ESB

Complétant son offre SOA, JBoss vient de présenter son bus de services d'entreprise (ESB). JBoss ESB s'intègre dans la suite de médiation JBoss EMS (Enterprise Middleware Suite) où il assure la médiation entre les applications, les services métiers, les composants et le middleware. JBoss ESB tire notamment profit des technologies de la suite EMS pour le routage basé sur le contenu - avec XPath et JBoss Rules - et les échanges de messages. Le bus supporte en outre les protocoles SFTP et HTTPS, et embarque un moteur de traduction entre formats de données. Conçu pour être extensible, JBoss ESB peut être complété par des composants tiers, des connecteurs par exemple. La découverte et l'intégration des services est assurée par JAX-R (Java API pour les registres XML) et UDDI. JBoss ESB est actuellement disponible à l'état de pré-version. La version finale est prévue pour le mois de décembre. (...)

(21/11/2006 11:43:33)

Le business s'approprie la SOA, estime le cabinet GCR Custom Research

Près de 60% de l'argent dépensé dans les projets SOA vient directement des départements fonctionnels. Voilà l'un des enseignements d'une étude menée par la cabinet GCR Custom Research sur les architectures orientées services (SOA), à la demande de BEA Systems. GCR a interrogé 150 décisionnaires ou influenceurs en matière de SOA dans des grands entreprises aux Etats-Unis, au Canada, au Royaume-Uni, en France et en Allemagne. Un des premiers constats est donc l'implication des directions métier dans la mise en oeuvre des stratégies SOA. Une des raisons de cette implication tient au montant dépensé : près de la moitié des gens interrogés avaient déjà dépensé plus d'un million de dollars dans leur projet SOA. On retrouve donc de plus en plus souvent à la tête des projets SOA des CIO (DSI), plus proches de la direction générale que les responsables informatiques. En Europe, les principaux décisionnaires sont les CFO (directeurs financiers). Cette particularité européenne se retrouve dans les buts des projets SOA. En Europe, dit l'étude, il s'agit surtout de réaliser des économies, tandis qu'en Amérique du Nord, l'intention est plutôt de pouvoir développer l'agilité pour lancer de nouveaux services. « Les sociétés américaines sont promptes à saisir les nouvelles opportunités de générer du chiffre d'affaires, commente l'évangéliste senior de BEA, Martin Percival. En Europe, les gens sont plus prudents, ils veulent d'abord s'assurer que tout fonctionne correctement. » Conséquence logique, les entreprises européennes sont 95% à avoir mis en place des métriques pour vérifier la bonne réalisation des objectifs, tandis que ce taux n'est que de 76% en Amérique du Nord. Côté technologies, les ESB (bus applicatifs), les logiciels de sécurité et les outils de gestion de données représentent les premiers postes de dépenses. Néanmoins, souligne Martin Percival, les entreprises sont bien conscientes des besoins en termes de ressources humaines : si 40% des dépenses s'effectuent en technologies, 54% de l'argent des projets SOA est destiné à former les gens et à embaucher. Des centres de compétence se mettent en place... lentement Désormais entièrement focalisé sur les SOA, BEA explique que ce type d'enquête est nécessaire pour « comprendre ce que font les entreprises, et être sûr que nous délivrons le bon produit ». Elle est également utile, précise Martin Percival, dans la mesure où « elle montre des résultats positifs », à même d'encourager les entreprises qui n'ont pas encore franchi le pas à le faire. Sachant que « les innovateurs » ont déjà largement défriché le terrain. En revanche, on pourra également observer dans cette étude la faible proportion d'entreprises ayant réinventé leur modèle d'organisation. En particulier, si « des sortes de centres de compétences ont été mis en place pour encourager la réutilisation », cela reste encore minoritaire : cela concerne la moitié des 85% d'entreprises ayant déclaré la réutilisation comme une métrique critique. Quant aux « business process owners », ces responsables métier propriétaires de leurs processus décrits par les cabinets d'expertise comme la pierre angulaire de l'entreprise agile, cela reste une denrée rare. « Nous avons atteint un point où cela a du sens, commente Martin Percival. Mais jusqu'à présent, les gens n'ont pas réfléchi de cette façon. » (...)

(15/11/2006 11:37:58)

Sogeti confie son framework Ajax à ObjectWeb

L'industrialisation d'Ajax vient de faire un grand pas, avec la publication en Open Source du framework Telosys, au sein du consortium ObjectWeb. Des pré-versions étaient déjà disponibles sur le site d'ObjectWeb, mais les deux protagonistes attendaient la version finalisée pour le lancer officiellement. Plus qu'un cadre applicatif, Telosys s'apparente davantage à un outil de développement rapide (RAD), simplifiant la conception d'applications Web dotées d'interfaces riches. Pour rappel, Ajax (Asynchronous Javascript and XML) préconise l'emploi de technologies permettant notamment de rafraîchir les données d'une page sans recharger la page en entier. Développé au sein de la SSII Sogeti, Telosys est désormais officiellement un projet ObjectWeb, donc accessible à tous, sous licence LGPL. Les applications visées par Telosys sont de type client-serveur : il s'agit d'accéder via des navigateurs Web à des applications d'entreprise, transactionnelles, avec une logique de type succession d'écrans. Le framework fournit ainsi des composants serveurs, clients et des outils de génération de code. « La solution a un aspect autosuffisant, indique son créateur, Laurent Guérin, responsable du pôle de compétences NTIC région Ouest de Sogeti. Il s'agit d'apporter au développeur une solution prête à l'emploi, légère, avec un seul fichier de déploiement, qui couvre tous les aspects techniques nécessaires. » Laurent Guérin pense avoir réussi à retrouver l'esprit du RAD - pour ce qui est de l'efficacité, pas de la méthode. Par rapport aux frameworks existants, Laurent Guérin pense que Telosys a une carte à jouer importante grâce à cette intégration des parties cliente et serveur, plus la capacité de générer un Javascript propre, qui assure, dit-il, de bonnes performances, et devrait simplifier la maintenance : « le dialogue est complètement encapsulé, c'est transparent pour les développeurs ». Intégrée, la solution est toutefois modulaire. Telosys fournit par exemple un outil pour gérer la persistance des données, « mais vous pouvez très bien l'extraire pour utiliser la solution de votre choix, Hibernate par exemple ». Etre plus visible au sein de l'Open Source Telosys a commencé à germer en 2003, quand Sogeti a dû migrer un logiciel de gestion d'atelier chez un client, en recourant à du XML sur HTTP afin de diminuer les coûts de déploiement liés aux clients lourds. Il y avait 210 écrans à migrer, ce qui a conduit la SSII à développer un socle technologique pour accélérer la migration. « Nous nous sommes aperçus qu'en le rendant plus générique, ce socle pouvait répondre aux besoins d'autres projets, raconte Laurent Guérin. Entre les clients qui manifestaient leur intérêt et le phénomène Ajax qui prenait de l'ampleur, il nous a semblé évident de le mettre en Open Source. » Cette ouverture à l'Open Source répond également à une volonté politique, de la part de Sogeti. Il s'agit d'une part de s'engager davantage dans l'Open Source, d'y être plus visible, et pas seulement en tant qu'utilisateur mais aussi en tant que contributeur. Une image importante à avoir face à des collectivités locales, notamment, très pointilleuses sur le sujet. D'autre part, explique encore Laurent Guérin, « cela permet de fédérer des ressources en interne dans un projet qui a de la visibilité, c'est motivant ». Enfin, cela permet aussi aux entreprises utilisatrices de la solution de s'impliquer dans son développement. Même si, répète Sogeti, l'offre est utilisable par des informaticiens non experts. Quant au choix d'ObjectWeb, il s'est fait assez naturellement, explique Sogeti : « c'est un consortium majeur au niveau européen, et il est spécialisé en J2EE ». Telosys a été testé avec succès sur la plupart des serveurs d'applications, mais il est probable que sa migration chez ObjectWeb favorisera des liens plus étroits avec Jonas. (...)

(13/11/2006 16:00:04)

Google donne un accès centralisé à ses applications d'entreprise

Google vient de fournir à sa suite d'applications d'entreprise, Google Apps for Your Domain, un composant qui leur faisait défaut : une page d'accueil synthétique regroupant des informations telles que le contenu de la boîte de courrier électronique et des calendriers. Baptisée prosaïquement Start Page, cette page d'accueil est entièrement personnalisable. Il est notamment possible de l'enrichir avec les mêmes modules que ceux disponibles pour le service Google Personalized Homepage, y compris ceux qui permettent d'intégrer n'importe quel flux RSS du Web. La page peut être préconfigurée par le responsable de l'entreprise en charge du service. Chaque utilisateur est ensuite libre d'y ajouter des composants supplémentaires. La suite Google Apps for Your Domain est accessible gratuitement, pour le moment. En effet, le fournisseur de services prévoit d'en développer une version payante pour les grandes entreprises aux besoins plus évolués. (...)

(23/10/2006 18:05:48)

OpenWorld : Oracle toujours avide d'acquisitions

En ouverture de la conférence utilisateurs Oracle OpenWorld à San Francisco, Charles Phillips, le président d'Oracle, a justifié la politique d'acquisitions de l'éditeur (plus de 20 ces deux dernières années). Histoire de rassurer ceux que ces dépenses somptuaires inquiéteraient, Charles Phillips a indiqué pouvoir se le permettre, dans la mesure où, vu sa taille, Oracle peut élargir aisément la base d'utilisateurs de tel ou tel produit qu'il rachète. C'est typiquement ce qui devrait se passer avec l'acquisition annoncée aujourd'hui de MetaSolv Software (pour 219 M$), éditeur d'un outil d'activation de services et de ressources pour les opérateurs. En outre, a souligné Charles Phillips, le système back-office d'Oracle serait suffisamment flexible pour intégrer facilement ses proies. Quant à la justification de ces achats, Oracle estime que cela complémente sa R&D, et lui fournit « des experts de l'industrie ayant des dizaines d'années d'expérience ». (...)

(19/10/2006 10:34:19)

Windows Live Messenger s'installe chez Orange

Steve Balmer et Didier Lombard viennent de sceller un partenariat majeur entre Microsoft et Orange. Les PDG des deux groupes lancent en effet une véritable offre de convergence PC/Mobile de messagerie instantanée. Les 240 millions d'utilisateurs de Windows Live Messenger (évolution de MSN) vont dorénavant pouvoir interagir en toute transparence avec les 135 millions de clients France Télécom en Europe. Bouygues Télécom précurseur ? Certes, certains acteurs proposaient déjà MSN dans leurs offres (Bouygues Télécom, le MVNO Ten...) avec des forfaits « chat » illimités. Certes, les utilisateurs pouvaient eux-mêmes télécharger le client MSN sur leurs terminaux mobiles et « chater » à loisir entre un PC et un mobile. Mais là, les abonnés peuvent faire bien plus que du chat, à commencer par la voix (VoIP sur téléphone fixe et PC) et la vidéo de mobile à mobile (en 3G c'est mieux), de Pc à mobile (disponible au printemps 2007). Des services enrichis A travers le client Orange Messenger by Windows Live, les utilisateurs bénéficient de plus d'un accès aux services Orange : emails, blogs, sonneries et logos, ainsi qu'aux services Windows Live. « Le lancement de cette nouvelle offre témoigne une fois encore de l'efficacité de la stratégie de convergence d'Orange. Notre ambition est d'offrir des services simples et convergents en faisant entrer nos clients dans le monde de la connectivité permanente » a déclaré Didier Lombard, PDG de France Télécom. Seule inconnue : les tarifs. Ils devront être adaptés à la population cible, les jeunes, avides de ces nouveaux usages mais aux porte-monnaies percés. (...)

(18/10/2006 09:31:01)

IBM livre le nom et le prix de son outil d'intégration de données

IBM entamera au mois de novembre la commercialisation de son outil d'intégration de données, Information Server. Celui-ci est issu du rachat d'Ascential en 2005 pour 1,1 Md$. Information Server, jusqu'ici évoqué sous le nom de code Hawk, sera proposé à partir de 100 000 $. Il est déjà en test chez 75 entreprises utilisatrices. IBM livrera Information Server avec une copie de DB2 et d'Application Server. Mais, selon Big Blue, rien n'empêchera d'utiliser Information Server avec des logiciels d'éditeurs tiers. Par ailleurs IBM a adapté quelques-uns de ses outils pour en assurer le fonctionnement optimum avec Information Server. Parmi eux, on compte WebSphere Customer Center 7.0, qui offre une vue unifiée des clients de l'entreprise. (...)

(17/10/2006 17:40:32)

Mercury présente les fruits de son mariage avec Systinet

Le mariage entre Mercury, spécialiste du test et des outils de gouvernance du système d'information, et Systinet, éditeur de l'annuaire de services le plus utilisé par les fournisseurs de solutions middleware pour la mise en ?uvre d'architectures orientées services (SOA), vient de donner ses premiers fruits. Mercury, qui a acquis Systinet en janvier dernier, a annoncé à sa conférence utilisateurs Mercury World la sortie de Systinet v2, ainsi que de nouveaux produits de test intégrés à l'annuaire. La version 2 de Systinet se veut à la fois un annuaire référençant les services et un référentiel de métadonnées sur le système d'information. Entre autres nouveautés, le logiciel inclut désormais un tableau de bord pour repérer et suivre ces données et gérer le cycle de vie de ces services (demandes d'approbation, déploiement, disponibilité...). Des rapports prêts à l'emploi sont prévus pour le reporting sur ces services. Les outils de test intégrés à l'annuaire de services La gamme d'outils de test a également été remaniée afin de mieux prendre en compte les caractéristiques des SOA. Elle s'enrichit de Mercury Service Test Management, qui peut s'appuyer sur l'annuaire Systinet répertoriant les services pour élaborer des scénarios de test. Autre nouveauté, Mercury Service Test offre notamment de tester les services dépourvus d'interface utilisateur, sur le plan fonctionnel comme pour la montée en charge (avec sa technologie historique LoadRunner). Parmi les fonctionnalités spécifiques à la SOA ajoutées aux produits Mercury, notons encore dans le module Business Availability Center la capacité de détecter les services non enregistrés (« rogue services »), soit parce qu'ils existaient avant la mise en place d'une procédure d'enregistrement, soit parce qu'ils auraient proliféré de façon incontrôlée. Ils peuvent alors être supervisés au même titre que les autres : relations avec les autres services, performance, etc. Le module est intégré à LoadRunner afin de corréler les données issues des tests et celles issues de la phase de production, pour aider à la résolution des problèmes. Cet ensemble d'outils de bonne gouvernance des SOA ne vaut bien sûr que si l'on s'en sert (intégration des tests plus tôt dans la phase de développement, respect de la procédure d'enregistrement des services, etc.), or rien ne dit que les directions informatiques soient prêtes pour une telle démarche. Comme l'admet Elie Kanaan, vice-président marketing EMEA de l'éditeur, « ce n'est pas parce qu'on vend des machines à écrire qu'on aura de bons auteurs ; là, c'est pareil ». La fusion avec HP devrait conduire à une CMDB fédérée Un autre élément pourrait retarder l'adoption de ces outils de qualité pour les SOA : la prochaine fusion annoncée avec HP (voir l'encadré ci-dessous). L'éditeur de la plate-forme de supervision Openview dispose en effet déjà d'une base répertoriant les éléments matériels et logiciels de l'infrastructure informatique (une CMDB, configuration management database). Pour Elie Kanaan, à y regarder de plus près, cela ne pose pas vraiment de souci : « La CMDB de HP est héritée en fait du rachat de Peregrine, or nous avions commencé à nous intégrer avec Peregrine. Nous avons donc rouvert ce canal. » Et conclu que la meilleure solution consistait à créer une CMDB non pas unique mais fédérée, s'appuyant sur deux CMDB, l'une répertoriant les éléments d'infrastructure, l'autre les services et applications. « Elles fonctionnent sur des critères différents, comme le type ou la fréquence des changements. » Côté gestion d'applications, Elie Kanaan juge également Mercury et HP parfaitement complémentaires, « le premier avec son approche top-down, le second bottom-up ». Selon lui, HP et Mercury partagent beaucoup de clients pour lesquels il fallait réaliser des intégrations au cas par cas. Désormais, ils n'auront qu'un fournisseur, et l'intégration sera déjà faite. (...)

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