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Middleware et serveurs d'application
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(02/06/2006 12:24:25)
Red Hat abandonne les développements de son middleware
Répercussion du rachat de JBoss, Red Hat confirme abandonner les développements de son propre serveur d'application, Red Hat Application Server (RHAS). L'éditeur open source avait en effet fait part de son intention de lâcher sa brique middleware, au profit de celle de JBoss, racheté à l'époque pour 420 M$. Pas d'impact, en revanche, sur Red Hat Directory Server, autre brique middleware, préservé par l'éditeur, mais "géré séparément". Rappelons que Jboss, au terme de l'acquisition prévue pour fin mai, deviendra une division à part entière de Red Hat. L'éditeur affirme poursuivre le support de RHAS," selon les termes des contrats des utilisateurs", sans mentionner l'ampleur de sa base installée. Rappelons au passage que RHAS repose sur JOnAS, serveur d'application J2EE hébergé par le consortium ObjectWeb. (...)
(09/05/2006 18:07:54)SOA Software rachète Blue Titan
SOA Software vient d'annoncer le rachat de Blue Titan pour un montant non communiqué. Cette opération doit permettre à SOA Software d'enrichir sa plateforme pour architectures orientées service de fonctions de médiation étendues et de la rendre indépendante des environnements utilisés dans le reste du système d'information. En effet, l'outil Network Director de Blue Titan est spécialisé dans médiation basée sur des stratégies entre standards, protocoles de communication et modèles de programmation différents. Network Director permet, par exemple, d'assurer la médiation entre des environnements SOAP 1.1 et 1.2 ou encore HTTP et JMS. Roberto Medrano, vice-président exécutif de SOA Software, estime que les outils de médiation de Blue Titan viennent compléter son offre de sécurité et de gouvernance : « c'est une pièce du puzzle que nous n'avions pas auparavant. » Cette acquisition est la quatrième à laquelle procède SOA Software en 18 mois, après la technologie X4ML de Merrill Lynch, Famenco Networks et ThoughtDigital. (...)
(09/05/2006 18:10:40)JBoss rejoint le W3C, l'Oasis et le WS-I
Tout à sa stratégie de placer JEMS (Jboss Enterprise Middleware Suite) en première ligne des solutions pour architectures SOA, JBoss annonce sa participation au sein de l'Oasis, du W3C et du consortium WS-I (Web Services Interoperability), trois organismes de standardisation des services web. A l'Oasis, l'éditeur interviendra dans plusieurs comités liés aux spécifications WSRP -supporté notamment par le récent Jboss Portal 1.4-, WS-RX, WS-SX et WS-BPEL, et participera aux ateliers de création de guide bonne conduite et de modèle de référence SOA, "SOA Model Reference" et "SOA Adoption Blueprints". Au sein du W3C, Jboss entend prendre part aux groupes de travail "Web Services Addressing" et "Web Services Choregraphy". Moins introduit, l'éditeur fera office de référence d'intéropérabilité au WS-I. L'ensemble des prestations de Jboss sera assuré par Mark Little, directeur des standards. (...)
(02/05/2006 17:15:47)RFID : le respect de la vie privée, au coeur de recommandations du CDT
Un groupe d'experts américain vient de publier un guide de bonnes conduites pour les entreprises souhaitant utiliser la technologie dans leur chaîne logistique, sans effrayer les consommateurs. Et par la même occasion, dédramatiser le contexte de non-respect de la vie privée et d'absence de sécurité qui entoure la technologie.Une université hollandaise attirait il y peu l'attention sur la possibilité d'utiliser les étiquettes RFID comme vecteur de contamination de système informatique. Publié par le CDT (Center For Democracy and Technology) Working Group on RFID (*), le guide du bon usage répond aux "besoins de transparence" qui fait actuellement défaut dans l'utilisation de la technologie. "Il ne devrait pas y voir de secrets dans les étiquettes ainsi que les lecteurs", précise le rapport. Parmi les bonnes pratiques, les entreprises devront notifier aux consommateurs la présence d'étiquettes, la possibilité ou non de dés-activer ces mêmes étiquettes, et surtout leur indiquer clairement comment seront utilisées les données collectées par les puces. Enfin, autre recommandation, les entreprises devront placer la sécurité au centre de leur chaîne logistique RFID. IBM, également membre du groupe de travail RFID du CDT, offre la première réponse technologique à ce problème. Big Blue devrait ainsi faire la démonstration d'un "Clipped Tag", étiquette RFID pouvant être désactivée partiellement par le consommateur. Le principe : réduire la portée des transmissions émises par la puce en ôtant une partie de l'antenne. Le 'tag' ne reste ainsi exploitable qu'à condition d'être présenté directement devant un proche lecteur. Le principal avantage, explique Big Blue, est que le système ne devient pas complètement inactif, mais seulement bridé. "Le revendeur peut encore lire les informations stockées dans la puce, si nécessaire", confirme Big Blue. Par exemple, dans le cas d'un retour ou d'un échange de commande. IBM entend par la suite breveter la technologie de son "Clipped Tag". (*) qui compte parmi ses membres tant des constructeurs et éditeurs, que des utilisateurs de la RFID, notamment IBM, Verisign, Intel et Cisco et Procter & Gamble, l'American Library Association. (...)
(20/04/2006 10:17:06)RFID : BEA s'allie à HP
Nouvelle association dans le RFID. C'est au tour de BEA de s'allier à HP, pour la fourniture de nouveaux systèmes basés sur la technologie de puces radio. Selon les termes du partenariat, BEA, expert en middleware, engagera sa gamme WebLogic RFID. HP, de son côté, aura à charge l'implémentation, le support et la vente de l'ensemble. L'objectif, selon les deux parties, est de fournir un système standard pour la gestion de l'ensemble de la chaîne logistique. L'offre commune sera proposée à l'échelle mondiale. Aucune autre modalité n'a été communiquée. Les alliances entre grands comptes autour du RFID se multiplient. Dernièrement, Sun s'est associé à SAP pour intégrer la gestion du RFID à Netweaver. Plus récemment, une étude pointait du doigt les risques de sécurité que pouvait représenter la technologie. (...)
(19/04/2006 17:19:26)Trimestriels IBM : la microélectronique et le middleware dopent le bénéfice
Le bénéfice net s'élève à 1,71 Md$, soit 21 % de plus que sur la même période de l'année précédente, et au-delà des estimations des analystes. Le chiffre d'affaires s'aligne à 20,7 Md$, en recul de 10 % sur un an. Une apparente contre-performance due à la prise en compte l'annéee dernière de la division PC. Une activité cédée au début 2005 au chinois Lenovo. En excluant les revenus tirés de cette division, la progression annuelle du CA reste stable. La division IBM Global Services, qui génère plus de la moitié des recettes du groupe, enregistre un revenu de 11,6 Md$ au premier trimestre, en baisse de 1 %. Pas d'inquiétude cependant pour Big Blue puisque, du côté des marges, la tendance est à la hausse : elles s'élèvent à 26,6 %, contre 24,3 % un an plus tôt. IBM a, par ailleurs, signé pour 11,4 Md$ de nouveaux contrats au cours de la période, un chiffre qui plafonnait à 10 Md$ au T1 2005. "Nous avons un bon rythme dans les signatures de contrats à court terme, explique Mark Loughridge, le directeur financier, et nous pensons que cela continuera au deuxième trimestre. A la fin 2005, les contrats à long terme étaient en hausse de 19 %. Nous en sommes maintenant à une croissance de 20 %" IBM semble profiter des efforts effectués pour vendre davantage de services en complément des fournitures de logiciels et de matériel. En février, Big Blue annonçait ainsi qu'il allait investir 1 Md$ sur trois ans dans les services et logiciels centrés autour de la gestion de l'information et porter le nombre de consultants spécialisés dans ce domaine de 15 000 à 25 000. La division matérielle, Systems and Technology, a généré un chiffre d'affaires de 4,4 Md$, en hausse de 3 %. Une progression due aux ventes d'éléments microélectroniques destinés notamment aux plateformes vidéoludiques, de serveurs xSeries et de périphériques de stockage. Dans l'ensemble toutefois, le ventes de serveurs se sont montrées décevantes, comme l'indique Mark Loughride, qui parle de "trimestre très léger". Une des raisons pourrait être l'introduction de nouveaux produits au cours du mois de février. Une initiative qui a pu reporter les décisions d'achats. Enfin, la division logiciels a généré un revenu de 3,9 Md$, en hausse de 2 % sur un an grâce à la bonne tenue des ventes dans le middleware, portées par l'intérêt des consommateurs pour des déploiements SOA. Big Blue n'a pas communiqué de prévision pour son deuxième trimestre. (...)
(18/04/2006 13:09:16)Oracle pourrait répliquer à Red Hat avec son propre Linux
Dans un entretien avec Richard Waters, un journaliste du Financial Times, Larry Elisson, le patron d'Oracle, n'a pas caché son intention de riposter à la menace que pourrait à terme peser un éditeur comme Red Hat pour son activité middleware. "Maintenant que Red Hat a acquis Jboss et devient un concurrent sur le marché du middleware, nous devons réévaluer notre relation, comme est en train de le faire IBM". En mettant la main sur Jboss, Red Hat s'est assuré une capacité de délivrer une pile verticale incluant Middleware et OS à ses clients entreprises, avec un support unique et un modèle de licence unifiée. Son patron ne cache d'ailleurs pas son intention d'en découdre avec les grands du logiciel en annonçant que Red Hat " va livrer une plate-forme, des outils et des services permettant aux développeurs de proposer aux clients des solutions verticales", une stratégie qui mimique celle d'IBM ou d'Oracle avec leurs piles middleware. Les deux géants pourraient finir par tenter de prendre le nouveau venu en tenaille et portant le fer sur son activité principale celle des systèmes d'exploitation, soit au travers du développement de leur propre distribution, soit via l'acquisition d'un spécialiste comme Novell. Pour Elisson, il n'y a pas de gros obstacles à l'entrée d'Oracle sur le marché des distributions Linux : "Nous manquons d'un système d'exploitation ajoute le patron d'Oracle, tout en indiquant que " vous pourriez considérer que cela ferait beaucoup de sens pour nous de chercher à distribuer et à supporter Linux". Pourquoi un tel intérêt pour Linux? Pour Elisson, la réponse est claire :"je ne crois pas qu'Oracle et IBM aient envie de créer un second Microsoft avec Red Hat". Et d'ajouter que si Novell n'a pas été un concurrent très efficace pour Red Hat, même si nombre de clients Oracle basculent sur Suse pour bénéficier d'un meilleur support, une concurrence directe avec IBM ou Oracle sur Linux pourrait poser bien plus de difficulté à l'éditeur au chapeau rouge. (...)
(10/04/2006 17:46:16)Red Hat acquiert JBoss
Red Hat a annoncé son intention d'acquérir JBoss pour 350 M$ en numéraire et en action. Le numéro un des distributions Linux d'entreprise met ainsi la main sur le numéro un mondial de solutions de middleware J2EE libre. Pour Matthew Szulik, le président et CEO de Red Hat, la décision de racheter Jboss a été prise car "Le marché demande un jeu intégré de solutions open source". Pour Szulik, il est devenu essentiel d'être à même de fournir à la fois le système d'exploitation et une couche middleware agile sur laquelle les entreprises puissent déployer leurs développements Java". Ironiquement, c'était exactement le discours tenu par Novell lorsqu'il a cherché à combiner la distribution Linux acquise lors du rachat de Suse, et les solutions de Middleware ExTend de Silverstream... La seule différence est que Novell s'est longtemps accroché au modèle propriétaire pour SilverStream, condamnant de facto l'union des deux produits. En mettant la main sur Jboss, Red Hat s'assure une capacité de délivrer une pile verticale incluant Middleware et OS à ses clients entreprises, avec un support unique et un modèle de licence unifiée. Szulik se montre même plus ambitieux puisqu'il annonce que Red Hat " va livrer une plate-forme, des outils et des services permettant aux développeurs de proposer aux clients des solutions verticales", une stratégie qui mimique celle d'IBM avec sa pile middleware. [[page]]La montée en puissance de Red Hat pourrait agacer l'un de ses principaux partenaires, à savoir IBM mais aussi des sociétés comme Oracle et SAP. Elle pourrait aussi réaccroitre l'intérêt d'un de ces géants pour Novell, qui détient la seule distribution Linux d'entreprise compétitive avec celle de JBoss. Il est à noter que le rachat de Jboss pourrait avoir des conséquences sur les liens entre le consortium Objectweb et Red hat, mais aussi sur les liens entre Novell et Jboss. Novell revend en effet l'ensemble du catalogue de Jboss à ses clients entreprises. Comme à son habitude, Marc Fleury n'a affiché aucun état d'âme quant à la fusion : "Jboss a choisi Red Hat et je ne commenterais pas les rumeurs qui ont circulé récemment [Plusieurs analystes avaient fait le pari d'un rachat de Jboss par Oracle]. (...) Une large partie des développeurs veulent voir un éditeur indépendant d'outils et de plates-formes open source. (...) Nos business models sont similaires, en fait Red Hat nous a servi de modèle, c'est en quelque sorte notre grand frère." L'acquisition permet en tout cas d'en savoir un peu plus sur l'économie de Jboss. Selon Red Hat, Jboss effectue 70% de son CA avec les activités de maintenance et 30% avec les services. Jboss, qui ne devrait être rentable qu'en septembre, prévoit de réaliser un CA de 40 M$ pour l'exercice 2006 et de terminer l'année avec 60 M$ en carnet de commande. Le tout avec 150 salariés. Par comparaison, Red Hat a réalisé 278 M$ de CA au cours de l'année écoulée avec 1150 salariés. (...)
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