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Middleware et serveurs d'application

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(23/03/2011 14:59:22)

Oracle ne développera plus de logiciels pour Itanium (MAJ)

« Après plusieurs conversations avec les dirigeants d'Intel, Oracle a décidé de cesser tout développement de logiciel sur le processeur Itanium, » a déclaré l'éditeur dans un communiqué et d'ajouter « Les responsables d'Intel nous ont clairement indiqué que leur objectif stratégique était axé autour des processeurs x86 et non sur Itanium qui était en fin de vie ». Nick Jacobs, un porte-parole d'Intel à Singapour, a nuancé ces propos  en rappelant que le fondeur « reste engagé sur Itanium. »

La perte d'Oracle, l'un des plus grands éditeurs au monde de logiciels d'entreprise, est un coup dur pour Itanium. La puce Itanium IA-64 a une architecture différente baptisée EPIC (une évolution de la plate-forme RISC) des processeurs x86 CISC et les entreprises doivent écrire le code des logiciels spécifiquement pour Itanium. De son côté, Microsoft a pris la même décision en avril dernier lors du lancement des puces Xeon 7500. Cette série repose sur l'architecture  x86 et intègre des caractéristiques de fiabilité haut de gamme qu'Intel réservé habituellement au système Itanium. Red Hat avait effectué la même démarche à la fin 2009.

Faut-il voir dans la décision d'Oracle, une conséquence des rapports tendus entre l'éditeur et HP ? Ce dernier est le principal supporter d'Itanium qu'il intègre dans ses serveurs integrity. Oracle, dans l'affaire TomorrowNow, avait demandé au PDG de SAP à l'époque des faits Leo Apotheker (et aujourd'hui PDG d'HP) d'être cité comme témoin. Au final, SAP a été condamné à une amende de 1,3 milliards de dollars. Cependant, Oracle a indiqué qu'il continuera de fournir un support pour les clients utilisant ses logiciels qui tournent sur Itanium.

(...)

(08/03/2011 17:26:57)

VMware lance vCenter Operation, outils de contrôle et de gestion de la virtualisation

« La virtualisation concerne de plus en plus les applications critiques de l'entreprise, comme les bases de données et les e-mails » indique Lionel Cavallière, responsable marketing Europe de VMware. Mais cela met la pression sur les fournisseurs de solutions de virtualisation pour fournir des plates-formes de gestion plus complète. « Aujourd'hui, les entreprises sont de plus en plus préoccupées par leur capacité à gérer leurs infrastructures virtualisées » explique le dirigeant. La réponse de VMware se nomme vCenter Operation, qui comprend des outils dédiés à la performance, à l'allocation de capacité et à la gestion de configuration. Cette solution intègre une combinaison de logiciels dont VMware a fait l'acquisition et des services développés en interne. Lionel Cavallière précise « nous disposions avant de 15 produits en matière d'administration, la stratégie est maintenant de les regrouper au sein de thématiques, vCenter Operation est le premier exemple de cette démarche ». Pour certains, c'est aussi l'occasion pour l'éditeur de monter en puissance dans l'infrastructure virtualisée et plus particulièrement dans les datacenters.

Des offres thématiques


Elle se décline en trois versions: Standard, Advanced et Enterprise. La première est basée sur le logiciel Integrien, que VMware acquis l'année dernière et a amélioré. Lionel Cavallière indique que « les administrateurs auront une meilleure granularité dans la visualisation du réseau et seront plus proactifs en fonction des données de performance analysées en temps réel » et d'ajouter « auparavant, les données étaient réparties sur plusieurs sites, et il était difficile pour les administrateurs d'obtenir une vue d'ensemble ». La version Advanced ajoute un gestionnaire de capacité, vCenter Capacity IQ. Celui-ci peut être acquis indépendamment. Enfin, la version Entreprise combine l'offre Standard et Capacity IQ avec vCenter Configuration Manager, qui ajoute la possibilité de gérer également les environnements physiques, le stockage et les périphériques réseaux.  A noter que ces solutions devraient être étroitement liées à vSphere. La version 5 de ce dernier a été dévoilée en partie lors d'un évènement partenaires récent à Orlando.

Les trois versions seront disponibles en fin de premier trimestre, avec des prix commençant à 50 dollars par machine virtuelle pour l'offre Standard, qui est plafonnée à 500 machines virtuelles. Le tarif pour les versions Advanced et Entreprise n'est pas encore connu.

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(01/03/2011 10:39:00)

Cebit 2011 : Software AG devient cloud ready

Karl Heinz Streibich, le PDG de Software AG (1 milliard d'euros de chiffre d'affaires désormais), estime que « la transformation vers une véritable entreprise numérique est le prochain défi de la décennie. Rendre les process plus flexibles, plus agiles et les intégrer au sein des différentes activités de l'entreprise sont l'ambition de nos solutions entreprises de BPM ».  Le cloud va donc faire évoluer l'entreprise vers ce que le dirigeant nomme « l'extreme collaboration », c'est-à-dire la fin du dialogue en mode silo entre le monde applicatif et l'univers du marché (client, produits, etc...). Pour établir ce lien, Software AG dispose de deux outils, ARIS et WebMethod, qui se chargent, d'un coté, de gérer et de modéliser les processus de gestion et, de l'autre, d'appliquer les meilleures méthodes d'intégration ainsi que leur contrôle. Pour devenir cloud ready, l'éditeur allemand a travaillé sur une meilleure coordination entre les deux solutions en implémentant deux nouveaux composants. Le premier est CEP (Complex Event Processing) issu de l'acquisition de la société allemande RealTime Monitoring au début de 2010. Il effectue des requêtes sur des flux continus d'événements, une approche qui fournit des résultats suivis et redondants. Cette méthode permettra aux entreprises, via l'outil MashZone du logiciel ARIS, de visualiser les événements d'entreprise en temps réel. Par ailleurs, le second composant est l'intégration des outils de MDM (Master Data Management), issus du rachat de Data Foundation en octobre dernier, au sein de webMethods OneData.

Montée en puissance progressive

Le potentiel du cloud est très important selon le dirigeant de Software AG qui envisage de réaliser des grosses acquisitions toutes les deux ou quatre ans et pas uniquement en Allemagne. Cette démarche est poussée par le fait que seuls 25% des processus métiers des entreprises sont numérisés. Devant l'intérêt de certaines entreprises pour le cloud public, l'éditeur allemand a décidé de rendre compatible sa couche logicielle avec la plate-forme EC2 d'Amazon.  Le cloud privé n'est pas oublié avec un support pour VMware.  La majorité des annonces seront disponibles au troisième trimestre 2011. Un ensemble de service de conseil « cloud ready » sera aussi proposé aux clients lors du lancement officiel des solutions. Ces services comprendront « préparation avancée, la formulation de stratégies, la numérisation et l'analyse des processus pour les besoins du cloud ». Aucun prix n'a été communiqué sur les différentes solutions annoncées.

Illustration principale : ARIS MashZone (...)

(11/02/2011 15:10:29)

Des extensions Google pour renforcer la sécurité de Java

Google développe un ensemble d'extensions pour Java qui devraient aider à mieux sécuriser les programmes de cette plate-forme contre des attaques dites de « saturation de mémoire tampon » ou « buffer overflow ».  Google a même annoncé que le projet sur lequel travaillait ses ingénieurs pour ajouter à Java une nouvelle fonctionnalité du nom de Contracts, ou Design-by-Contract (DBC), désormais qualifié Open Source. Cette implémentation de Google, appelée Contracts For Java, ou Cofoja en abrégé, est elle-même tirée de Modern Jass, un ensemble d'annotations Java développées par Johannes Rieken.

Selon les chercheurs, cette technique principalement destinée à faciliter la programmation, pourrait également fournir aux développeurs une méthode pour se prémunir facilement des attaques de type buffer overflow. Car cette technique d'attaque, parmi les plus anciennes de l'arsenal virtuel à la disposition des pirates, pose toujours problème. Au mois de décembre dernier, Microsoft a répertorié 2,6 millions d'attaques qui pourraient probablement être rattachées à un buffer overflow au niveau de la pile Java Runtime Engine (JRE). Dans son mode de fonctionnement, Contracts exige que chaque fois qu'une requête est envoyée vers un programme en cours d'exécution, toutes les valeurs passées doivent répondre à un ensemble de critères prédéfinis. De même, chaque fois qu'un composant retourne une valeur, elle doit aussi répondre à un ensemble de critères. « DBC doit être compris comme une convention passée entre les composants d'un logiciel, » a expliqué Johannes Rieken, dans une interview.

Des emprunts au langage Eiffel

Les chercheurs ont emprunté l'idée au langage Eiffel, où le concept est connu sous le nom de Design-By-Contract (DBC). Les partisans d'Eiffel revendiquent le fait que le DBC rend ce langage parmi les plus sûrs. Dans le blog annonçant la sortie du DBC, les développeurs de Google ont mis en avant les apports de Contracts, notamment comme moyen de faciliter la programmation Java

Selon eux, cette méthode contribue à identifier des bugs dans un ensemble complexe de code dysfonctionnel. D'après Andreas Leitner, ingénieur chargé du test logiciel chez Google et membre de l'équipe Cofoja, « Contracts peut également contribuer à renforcer la sécurité du code Java. » Celui-ci ajoute que, « en annotant le code avec des « contrats », la probabilité de révéler des bugs dans les premières phases de développement augmente. » Cela pourrait être particulièrement utile « pour trouver des bugs qui ne plantent pas un logiciel, mais le mette tout de même dans de drôles d'états, » explique encore Andréas Leitner. Des états qui pourraient éventuellement « être exploités par des attaquants afin de voler des données ou s'approprier le contrôle d'une machine. »

Une sécurité reposant déjà sur une sandbox

Même sans DBC, Java dispose déjà, en termes de sécurité, d'un certain nombre d'avantages par rapport à plusieurs autres langages, car il s'exécute dans une sandbox et nécessite l'intervention de programmeurs pour définir les variables avant leur utilisation. Toutefois, Design-By-Contract pourrait offrir une sécurité accrue dans le cas d'attaques par saturation de mémoire tampon, lesquels provoquent au minimum le crash d'un programme ou bien rendent sa manipulation possible par l'introduction de valeurs plus grandes que prévues. Un Contrat « peut faire en sorte que l'entrée n'excède pas une certaine longueur, » a déclaré Johannes Rieken. « Il pourrait également s'assurer que les valeurs invariantes ne puissent être modifiées quand elles sont appelées par un programme. » D'après lui, ces contrôles seraient « très appropriés pour des situations  généralement mises de côté par un programmeur qui estime que le code n'était pas destiné à être utilisé comme ça. »

Les développeurs de Google à l'origine de Cofoja consacrent 20% de leur temps de travail au projet, conformément à la politique de Google qui autorise ses salariés à poursuivre des projets individuels au sein de l'entreprise.

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(04/02/2011 09:55:19)

Logiciels d'entreprise : 5 tendances clefs pour les années à venir

Dans les prochaines années, le Gartner a identifié cinq tendances clefs affectant le marché des logiciels d'entreprise.

La mondialisation : Gartner prédit la consolidation des fournisseurs au cours des prochaines années. Durant cette période de perturbation, les marchés des logiciels très fragmentés deviendront plus structurés et marqués par une réduction importante des fournisseurs. Même si pour les fournisseurs concurrents au niveau mondial, les exigences de localisation - y compris les langues, les cultures et les lois - doivent être prises en charge.

La mise en oeuvre : La manière dont les entreprises se procurent et fournissent les logiciels est remise en question avec le cloud computing, Plate-forme en tant que service (PaaS) et Software en tant que service (SaaS), couplé avec l'accès généralisé et mobile. La demande de solutions de cloud computing se poursuivra au cours des prochaines années.

La modernisation
: Les entreprises continuent de migrer vers les logiciels Open Source et la SOA puisque les anciennes applications et les anciens systèmes deviennent plus coûteux à améliorer et à entretenir. Alignés avec la tendance à la modernisation, l'automatisation des affaires d'entreprises et la rationalisation des opérations continuent de gagner du terrain. Les entreprises s'attendent à investir de façon significative en 2011 pour mettre à jour tous les systèmes et logiciels, allant des outils de productivité personnelle, de construction-exécution-gestion des logiciels, aux applications axées sur l'utilisateur. La virtualisation est un facteur clé de la modernisation.

La socialisation
: L'utilisation des médias et des réseaux sociaux continue de s'intensifier. Cette tendance inclut la personnalisation, la collaboration et le contenu dans le cadre d'activités définies par l'utilisateur, Gartner prévoit que les communications coordonnées et la collaboration verra son adoption croitre en 2012.

La verticalisation
: Cette tendance implique un cycle d'applications logicielles horizontales de plus en plus personnalisées. En déployant de nouvelles technologies logicielles, il est fréquent pour des fournisseurs de fournir une technologie initialement généralisée qui, au fil du temps, peut donner lieu à plus de fonctions spécifiques dans l'industrie et les entreprises.

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(26/01/2011 10:30:47)

Tibco lance une plateforme sociale taillée pour l'entreprise

Tibco se risque à son tour sur le terrain des solutions de réseaux sociaux d'entreprise, du type de celle que propose Salesforce.com avec Chatter. Sa plateforme, baptisée Tibbr, annoncée fin 2009, vient d'être lancée par l'éditeur à San Francisco. On y retrouve le concept, désormais familier, des flux d'informations. A ceci près qu'au lieu de suivre l'actualité de contacts, les utilisateurs vont suivre des sujets (données, domaines -Fig1 ci-dessous- ou événements -Fig2) qui auront été générés par les applications exploitées dans l'entreprise. Cette solution est disponible à la fois en mode SaaS, comme un service en ligne, et sous la forme classique d'une application à installer en interne.

Pour Ram Menon, vice-président exécutif du marketing de Tibco, cette approche est plus intéressante que de simplement s'attacher à des personnes ayant les mêmes centres d'intérêt. « Billy qui s'occupe des livraisons à San Diego ne connaît pas Joe qui fait la même chose à Hong Kong. Mais Samsung est leur plus gros client, donne-t-il en exemple. Par conséquent, un sujet intitulé « Livraisons Samsung » pourrait être créé qui afficherait des données provenant du système logistique que ces deux utilisateurs pourraient suivre à travers Tibbr ».
Tibbr de Tibco - suivre des sujets
Fig 1 - Cliquer ici pour agrandir l'image

Tibco a également cherché à améliorer le filtrage des informations. « Les priorités diffèrent : si mon patron publie une information, je veux en être informé en temps réel, explique Ram Menon. En revanche, s'il s'agit d'une actualité sur une campagne marketing, je souhaiterai en être informé le matin, et puis qu'on me l'envoie ensuite sur mon poste. »

La plateforme autorise aussi l'intégration des flux provenant de réseaux sociaux extérieurs à l'entreprise, tels que Facebook. En revanche, la récupération des données ne se fera que dans un sens, afin d'être certain de ne pas laisser sortir des données au-delà du pare-feu.
Tibbr de Tibco - événements remontés des applications
Fig 2 - Evénements remontant des applications

Support des annuaires d'entreprise


Tibbr se complète d'un framework de flux d'événements qui permettra aux responsables métiers de créer des sujets sans passer par le département informatique. Par exemple, un responsable des ventes peut vouloir créer un fil d'actualité mis à jour à partir des champs de l'application de CRM (gestion de la relation client). La plateforme inclut aussi le support de terminaux mobiles et des capacités d'intégration avec les annuaires d'entreprise LDAP et Active Directory de Microsoft, pour l'authentification des utilisateurs.

Cet ensemble de fonctionnalités est le fruit d'un développement qui s'est révélé finalement plus long que prévu, a confié Ram Menon lors de la présentation de la plateforme. Tibco a livré une première version bêta plusieurs mois après l'annonce initiale. Mais l'éditeur s'est vite rendu compte que plaquer des fonctionnalités popularisées dans le grand public ne fonctionnait pas forcément pour l'entreprise, reconnaît le vice-président marketing monde. « Dans les secteurs industriels très régulés, les clients étaient très réticents à voir leurs conversations très privées flotter dans l'atmosphère. Tibco a donc estimé qu'il fallait en proposer une version à installer en interne. » Mais dès que vous parlez de « on premise », vous retombez tout de suite dans des projets qui s'étalent sur six mois. « Nous avons donc travaillé là-dessus ». En utilisant son expertise middleware, Tibco a développé des méthodes qui permettent à Tibbr de fonctionner sur des systèmes « on premise » en quelques heures, de façon assez comparable avec ce que proposerait une version SaaS, assure Ram Menon.[[page]]L'éditeur s'est également rendu compte que l'offre devrait disposer d'un solide support mobile au moment de son lancement. Tibbr s'accompagne d'applications natives pour les plateformes d'Apple, BlackBerry et sous Android. D'autres doivent suivre. De fait, Tibco pense que si un produit comme Tibbr ne peut pas être mis en oeuvre de façon universelle sur des terminaux mobiles, son adoption ne peut qu'être freinée.

La plateforme a déjà reçu une appréciation positive de l'analyste Ray Wang, PDG du cabinet Constellation Research, spécialisé depuis de nombreuses années sur les logiciels professionnels. Il trouve que cet outil de collaboration a beaucoup d'allure, surtout venant d'une société dont on n'aurait pas attendu ce style de produits. « C'est l'une des choses qui peut apporter de la pertinence à Tibco en 2011 », estime-t-il. L'aptitude de Tibco à filtrer l'information pour descendre jusqu'à l'information qui sera véritablement utile, c'est le composant crucial de l'offre, selon lui. « Nous sommes submergés par toute cette information », ce qui fait que même un modeste flux d'actualités sur un compte Facebook se transforme rapidement en vraie pagaille, fait justement remarquer Ray Wang.

La SSII Ciber passe de Yammer à Tibbr

L'un des premiers clients de Tibbr est le prestataire de services IT Ciber (8 000 personnes, plus d'un milliard de dollars de chiffre d'affaires). La plateforme va être déployée auprès de tous ses salariés, a indiqué Tony Hadzi, président de Ciber pour l'Amérique du Nord. La société va migrer de la plateforme de collaboration Yammer pour passer sur Tibbr, a-t-il expliqué. Yammer a été remarquablement accepté par les salariés, une adoption qui a en outre nécessité peu d'efforts de la part de l'encadrement de Ciber. Comme la société utilisait la version gratuite du logiciel, cette expérience a constitué une façon peu coûteuse de tester l'intérêt du réseau social interne, relate Tony Hadzi.

Le groupe Ciber connaît une période de transformation et poursuit l'objectif de rassembler une organisation jusque-là plutôt fragmentée, explique celui qui est aussi le vice-président exécutif de la société. « Nous avons lancé le concept de réseau social et mon intention d'adopter une approche agnostique. Il s'agissait davantage, pour moi, de restructurer la société et d'utiliser ce moyen comme l'un des outils principaux pour changer l'état d'esprit des équipes sur le terrain et de mes cadres dirigeants ».

Mais, avec le temps, la société a trouvé insuffisantes les fonctionnalités de Yammer. « L'expérience de Tibco dans les solutions d'intégration a constitué un argument de vente pour Tibbr », pointe Tony Hadzi. Yammer constituait davantage une solution ponctuelle, tandis que Tibco proposait un produit pouvant être déployé à l'échelle de l'entreprise. (...)

(17/01/2011 14:15:42)

Microsoft offre aux développeurs une version gratuite d'IIS

« La version IIS Express 7.5 qui combine les points forts de IIS 7.5 et la souplesse des capacités du serveur web, permettra aux développeurs de mieux travailler pour développer et tester des applications web sur Windows, » a indiqué Microsoft. « Ainsi, pour travailler sur des projets de type ASP.Net Web Forms et ASP.Net MVC, IIS Express 7.5 requiert le téléchargement de moins de 5 Mo de données et ne nécessite pas de compte administrateur pour exécuter ou déboguer des applications à partir de Visual Studio, » a déclaré Scott Guthrie, vice-président de la division développeurs de Microsoft. Le produit offre toutes les fonctionnalités nécessaires d'un serveur web, y compris le protocole SSL, la réécriture d'URL (URL Rewriting), et d'autres modules IIS 7.x. « Nous pensons que IIS Express allie la facilité d'utilisation du serveur web ASP.Net (connu aussi sous le nom de Cassini), actuellement intégré dans Visual Studio, à la puissance de IIS, » a-t-il commenté. Téléchargeable sur le site de Microsoft, IIS Express 7.5 peut être installé côte à côte avec un serveur web IIS complet et le serveur ASP.Net Development. Il fonctionne sous Windows XP et les systèmes d'exploitation suivants.

Des outils pour faciliter les tests

Cette plate-forme est disponible dès cette semaine
, en même temps que ASP.Net MVC 3 et l'outil de développement WebMatrix. Microsoft livrera aussi gratuitement un moteur de base de données intégrée SQL Server Compact Edition 4 qui tourne en mémoire dans une application ASP.Net. « SQL CE ne nécessite pas d'exécuter ou d'installer un serveur de base de données pour être utilisé. Il suffit simplement de copier les fichiers binaires de SQL CE dans le répertoire \bin de l'application ASP.Net pour que l'application Web puisse l'utiliser comme moteur de base de données, » a expliqué Scott Guthrie. Destiné au développement, aux tests, ou à des scénarios de production légers, SQL CE 4 fonctionne avec les API de données .Nets existantes et supporte la syntaxe de requêtes compatibles avec SQL Server. « Cela signifie que l'on peut utiliser les API de données existantes comme ADO.Net et utiliser des ORMs de niveau supérieur comme Entity Framework et NHibernate avec SQL CE. Cela demande les mêmes compétences de programmation pour les données ou les API que celles utilisées par les développeurs aujourd'hui, » a-t-il ajouté. La version 4 de SQL CE a été conçue de manière à ne pas planter ou à ne pas se bloquer lorsqu'elle est utilisée avec un serveur multithread, comme avec ASP.Net.


Un éditeur de blogs baptisé Orchard

Microsoft vient également de livrer Orchard 1.0, un outil de gestion de contenu et de blogs qui permet de développer et de gérer des sites web sans avoir à écrire du code. « Orchard lui-même est construit comme une application ASP.Net MVC 3 et utilise des modèles Razor. Par défaut, il s'appuie sur SQL CE 4 pour le stockage de données. « Les développeurs qui souhaitent enrichir un site Orchard avec des fonctionnalités personnalisées peuvent l'ouvrir et l'éditer comme un projet Visual Studio. Ils peuvent notamment y ajouter de nouveaux contrôleurs et aperçus ASP.Net MVC, » indique Scott Guthrie. Enfin, autres sorties de Microsoft cette semaine, les services web Deploy V2 et Web Farm Framework V2, « qui offrent un moyen souple et puissant de déployer des applications ASP.Net sur un serveur unique, ou à travers une batterie de serveurs Web », comme l'a indiqué le vice-président de la division développeurs de Microsoft.

Illustration : Scott Guthrie, vice-président de la division développeurs de Microsoft, crédit photo D.R.

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(17/01/2011 11:08:20)

Le serveur d'applications Java Tomcat 7 finalisé

«C'est la première version stable de la série Tomcat 7, » a écrit le développeur Mark Thomas dans un e-mail annonçant la sortie du moteur web sur différentes listes de diffusion. Sans être un serveur d'application complet, Tomcat 7 implémente les fonctionnalités décrites dans les spécifications du Java Enterprise Edition Web. Plus particulièrement, il supporte la version 3.0 de l'API (interface de programmation d'application) Servlet et la version 2.2 de JavaServer Pages, toutes deux récemment validées Java EE 6.

« L'utilisation de Servlet 3.0 apportera beaucoup de nouvelles fonctionnalités à Tomcat, » avait fait remarquer Tim Funk, l'un de ses contributeurs, lors de la conférence ApacheCon qui se tenait en novembre à Atlanta. L'une des grosses améliorations concerne la gestion de la configuration des applications web. Dans les versions précédentes, il fallait inscrire toutes les modifications de configuration des web apps dans un fichier central appelé web.xml, très lourd en taille et pas à l'abri de risques de sécurité. La nouvelle approche met en oeuvre un système d'annotations, qui permet de répartir les instructions de configuration dans des fichiers multiples. Désormais, les instructions pour gérer les fonctions de sécurité, la configuration des nouvelles connexions, les paramètres par défaut et la gestion des bibliothèques de tierce partie sont conservées dans des fichiers distincts. Parmi les autres avantages, Servlet 3.0 permet une gestion avancée des cookies et supporte les threads asynchrones, ce qui devrait accroître le nombre de connexions que Tomcat est capable de prendre en charge.

Pour préparer cette sortie, différentes versions bêta de Tomcat 7 ont été distribuées depuis avril 2010. La version 7.0.6 corrige quelques problèmes de fuite de mémoire connue de longue date, plus un certain nombre de bogues. En plus de ce code source et des quelques fichiers binaires, l'équipe de développement a compilé une version du logiciel qu'il est possible d'intégrer dans d'autres applications.

 

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(13/01/2011 12:27:14)

Créer des sites web plus simplement avec Microsoft WebMatrix

A l'occasion de la conférence développeurs CodeMash Web à Sandusky dans l'Ohio (du 14 au 21 janvier), Microsoft a prévu de dévoiler une plate-forme regroupant toutes les ressources pour développer rapidement de petits sites web, annonce l'éditeur sur un des ses blogs.

« Avec WebMatrix, nous simplifions la façon de créer des sites web, et notamment tout ce dont vous avez besoin pour construire, gérer et déployer votre web site gratuitement », écrivait sur son blog Laurence Moroney, évangéliste technologique chez Microsoft. En utilisant la plate-forme web ASP (Active Server Pages), et le pack logiciels regroupant IIS Developer Express, une version light du serveur web maison, et SQL Server Compact Edition, une base de données légère.

Des templates prêts à l'emploi

Pour aider à la conception du design du site web, le logiciel inclut un certain nombre de modèles prêts à l'emploi. En complément, les utilisateurs peuvent également importer des templates reposant sur les langages ASP ou PHP, notamment tous ceux proposés par Umbraco WordPress, Joomla, DotNetNuke ou d'autres systèmes de gestion de contenus. Et pour monter en puissance, le code généré à partir de WebMatrix peux être utilisé dans Visual Studio et SQL Server.

Tous les composants de WebMatrix sont intégrés afin d'offrir un design unifié et de faciliter le déploiement du site web. La solution comprend également des liens vers un certain nombre de fournisseurs d'hébergement. Une fois qu'un prestataire est choisi, le logiciel peut télécharger automatiquement le contenu du site web à cet emplacement.

 

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