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(14/01/2011 11:20:12)

Les bons résultats de SAP vont être affectés par la sentence du procès Oracle

L'éditeur allemand d'applications de gestion SAP a enregistré une hausse de 27% sur ses ventes de logiciels et de services associés, à 3,26 milliards d'euros, au 4e trimestre 2010, sur un chiffre d'affaires total de 4,04 Md€ (+27% également) sur la période. L'augmentation est encore plus sensible sur les seules ventes de licences : +34% à taux de change courant (environ 24% à taux de change constant), pour un chiffre d'affaires de 1,5 Md€. Il s'agit « des meilleures ventes trimestrielles de logiciels de l'histoire de SAP », a souligné dans un communiqué le co-PDG Bill McDermott (en photo) en pointant une progression sur l'ensemble des régions et des segments de clientèle.

La marge opérationnelle (non-IFRS) du 4e trimestre atteint 39% du chiffre d'affaires, contre 35,5% l'an dernier (il est vrai aussi que l'éditeur avait procédé fin 2009 à des dépenses de restructuration). Mais, il ne s'agit encore que de résultats préliminaires, la présentation définitive de ces chiffres ayant lieu dans deux semaines.

La marge sera entamée par les conséquences du procès

Sur l'année entière, les ventes de licences logicielles ont augmenté de 25%, à 3,26 Md€. En y ajoutant les contrats de maintenance, le chiffre d'affaires « Software & software related » progresse de 19%, à 9,78 milliards d'euros par rapport au 4e trimestre 2009. L'acquisition de Sybase en mai 2010 a contribué pour une part notable à ces résultats, sans que SAP précise dans quelles proportions. Sur l'année, le chiffre d'affaires total de SAP a augmenté de 17%, à 12,45 milliards d'euros. Quant à la marge opérationnelle non-IFRS, elle atteint 31,5%.

Le groupe allemand avait initialement provisionné 160 millions de dollars pour les coûts liés au procès qu'Oracle lui a intenté (pour les vols de logiciels perpétrés par son ancienne filiale TomorrowNow). Mais en novembre dernier, à l'issue des délibérations, le jury a condamné SAP à verser 1,3 milliard de dollars à la société de Larry Ellison.

SAP n'a pas encore réévalué l'incidence de cette condamnation sur la provision et la remise à niveau appropriée qu'il lui faut opérer. L'éditeur s'attend à ce que cette réévaluation affecte de façon significative la marge opérationnelle de son quatrième trimestre et, par conséquent l'ensemble de son exercice. La société a prévu de livrer le 26 janvier prochain les résultats financiers détaillés de l'année 2010, ainsi que ses perspectives pour 2011.

Illustration : Bill McDermott, co-PDG de SAP (aux côtés de Jim Hagemann Snabe) - Crédit photo : SAP (...)

(14/01/2011 10:56:29)

Canalys optimiste sur les ventes de terminaux Android en 2011

Lancé fin 2008, Android a été rapidement soutenu par l'industrie mobile. De nombreux fabricants de téléphones mobiles ont adopté cet OS sur certains de leurs modèles, à l'image de Motorola, dont les nouveaux smartphones sont systématiquement équipés d'Android, Samsung, LG, HTC ou encore Sony Ericsson.

« La croissance d'Android a été phénoménale, de même que le nombre de terminaux équipés de ce logiciel mais dont les configurations techniques sont variées », explique Chris Jones, analyste chez Canalys. Selon ce cabinet, les livraisons de smartphones sous Android ont progressé de 1.000% au cours des neuf premiers mois de 2010 par rapport à la même période en 2009.

Une croissance inéluctable


Sur le troisième trimestre 2010, Canalys estime à 20,3 millions le nombre de smartphones Android vendus dans le monde, soit une part de marché de 25,1%. C'est moins bien que Symbian, l'OS de Nokia (29,9 millions, 37% de parts de marché), mais mieux que iOS, qui équipe l'iPhone d'Apple (14,1 millions, 17,4% de parts), ou le BlackBerry OS de RIM (12,4 millions, 15,4%).

Selon les projections de Canalys, Android devrait connaître en 2011 une croissance deux fois plus rapide que le reste du marché des smartphones, et ce, malgré l'arrivée de l'iPhone 4 chez l'opérateur américain Verizon. Jusque-là, l'iPhone n'était distribué que chez AT&T aux Etats-Unis. La fin de l'exclusivité sur le smartphone à la pomme pourrait en effet redynamiser les ventes de l'iPhone outre-Atlantique au détriment des mobiles Android.

(...)

(13/01/2011 11:58:30)

iPad, Oracle, Google : Wozniak revient sur l'année 2010

La reconnaissance vocale doit avancer pour être capable d'« interpréter une grande variété de commandes », a déclaré Steve Wozniak, lors d'un événement dans la Silicon Valley. Le gourou a également salué l'iPad Apple et considère les tablettes sous Android comme les principaux concurrents. Il émet des doutes sur les capacités de Microsoft a à devenir un acteur important sur ce marché. En ce qui concerne Windows, il porte « trop de sentiments négatifs » sur l'OS de Microsoft basé sur ses propres expériences.

Il s'est ensuite prononcé sur les acquisitions d'Oracle et sur Google. « Les opérations de croissance externe d'Oracle s'apparentent à la volonté de rivaliser avec HP » souligne l'ancien employé de HP. Il avoue sa préférence pour Google, qui a un modèle économique conçu comme celui de la télévision, dans lequel il offre des services gratuits et les monétisent avec de la publicité.

Le SSD et fier d'Apple


Pour les entreprises, Steve Wozniack souligne la tendance récente de passer à la technologie Flash NAND pour les disques durs. Déjà, un dixième du trafic Internet provient de puces NAND Flash au lieu de disques durs classiques, déclare le directeur scientifique de Fusion-io, spécialiste de cartes de mémoire cache en Flash.

Celui qui le premier a quitté Apple en 1981, pour ensuite y retourner au milieu des années 80, s'est déclaré fier des récents lancements de son ancienne société. Il a cité les succès du téléphone portable iPhone, le lecteur de musique iPod, la tablette iPad, et les magasins de détail en ligne d'Apple, mais les exégètes auront remarqué l'absence de l'Apple TV dans son concert de louanges. (...)

(13/01/2011 10:35:43)

RegionsJob lance un service mobile d'offres d'emploi sous Android

Après avoir développé une application d'offres d'emploi pour iPhone en juin dernier, le spécialiste de la gestion de carrières RegionsJob propose un service similaire pour les utilisateurs de smartphones sous Android. Disponible gratuitement sur l'Android Market, l'outil permet aux candidats d'accéder, depuis leur mobile, à plus de 3 250 offres IT (2 131 en informatique et 1 123 en high-tech/telecom) diffusées sur les 8 sites nationaux du réseau. Les personnes équipées de ces terminaux peuvent y enregistrer leurs recherches d'emploi, créer des alertes email et localiser les postes à pourvoir sur une carte grâce à l'intégration de fonctions de géolocalisation.

Complémentarité des applications mobiles et du Net

Il est également possible de télécharger des CV aux formats classiques (Word, PDF) sur un smartphone équipé de l'OS de Google et de partager des informations sur des réseaux sociaux ou par e-mail. D'autres fonctionnalités sont déjà prévues en 2011 pour permettre aux candidats d'accéder à des services de gestion de carrière à tout moment, en utilisant des applications mobiles quand ils sont en déplacement. Si l'utilisation de smartphones peut s'avérer utile pour répondre immédiatement à une offre, le canal du Net reste une valeur sûre pour rechercher un emploi. Les dirigeants de RegionsJob estiment que les services mobiles et les sites Internet sont complémentaires pour décrocher un job, chacun possédant ses propres avantages : les premiers, rapides et simple d'utilisation, les seconds utiles pour effectuer des recherches plus approfondies.

Crédit photo : D.R

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(12/01/2011 16:28:15)

App Store, une marque contestée par Microsoft

Apple a déposé cette demande en 2008 pour les biens et services, vendus par « services de magasin de détail offrant des logiciels fournis via Internet et d'autres types de réseaux ». La même année, la firme de Cupertino avait lancé l'App Store en même temps que son iPhone 3G. La boutique est maintenant disponible sur n'importe quel périphérique qui exécute le logiciel iOS de la société, à savoir l'iPod Touch et iPad, et très récemment une version dédiée aux Mac a été ouverte.

Mardi, Microsoft a déposé une requête en première instance pour demander le refus de considérer App Store comme une marque. Dans son recours, l'éditeur de Redmond a déclaré: « app » est un terme générique pour ce qui est vendu sur l'App Store et que « store » est également un terme générique pour les services de magasin de détail. Le grand rival d'Apple a aussi mis en avant les propos de Steve Jobs généralisant les termes déposés « Amazon, Verizon et Vodafone ont tous annoncé qu'ils créent leurs propres app store pour Android. » Enfin, Microsoft considère  que les consommateurs, les commerçants et les médias utilisent «App Store» pour désigner indistinctement les boutiques en ligne où les applications sont vendues.

Microsoft a lancé une boutique en ligne pour les applications fonctionnant sur Windows Phone 7 depuis la fin 2010. En décembre, le cabinet IDC estimait que l'offre applicative de l'éditeur avait atteint 4 000 applications disponibles en seulement deux mois. Cette croissance est bonne si l'on se réfère à la même période pour les magasins en ligne d'Apple et Android mais bien loin de 300 000 applications de l'App Store et des 150 000 de l'Android Market.

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(12/01/2011 14:19:36)

Interview Warren East, CEO d'ARM : « Le marché du PC n'est pas notre cible»

Les processeurs à architecture ARM équipent la plupart des smartphones et des tablettes tactiles commercialisés dans le monde, et, avec le support de Windows, le fabricant pourrait bien maintenant concentrer ses efforts sur le vaste marché du PC, un secteur dont il est pratiquement absent. D'autant que Nvidia a aussi annoncé qu'elle mettait au point son premier CPU sur base ARM - nom de code de Denver -, destiné aux PC et à certains serveurs.

Malgré ces circonvolutions, les smartphones et les tablettes restent la priorité d'ARM, comme l'a affirmé son PDG Warren East, lors d'un entretien où il s'est exprimé sur Windows, le marché du PC et les futurs développements de l'architecture ARM.

Agam Shah : Qu'est-ce qui a conduit Microsoft à porter Windows sur ARM?

Warren East : Microsoft voulait couvrir un secteur beaucoup plus large que celui du seul PC, notamment sur le marché des appareils connectés à Internet, sur lequel ils peuvent constater que le processeur ARM équipe la plupart des dispositifs. D'où la nécessité pour eux d'y porter leur système d'exploitation. C'est une bonne chose que Microsoft en soit finalement arrivée à cette conclusion. Elle fait là un pari audacieux.

Cela signifie-t-il qu'ARM va désormais cibler le marché du PC ?

Nous n'avons jamais envisagé de cibler le marché du PC. C'est la plate-bande d'Intel, et l'OS de Microsoft ne fonctionne pas sur ARM. Cela serait d'ailleurs extrêmement coûteux avec à la clef un gain pas franchement à la hauteur. D'un point de vue financier, chaque fois que quelqu'un achète un PC, ARM touche des royalties sur les composants. La seule chose qui manque, c'est le CPU, dont le prix de vente est de l'ordre de 40 à 50 dollars. Certes, cela représenterait une ressource importante pour nous, surtout compte tenu du volume de PC vendus, qui atteint 300 millions d'unités. Mais clairement, ce que nous pourrions vraiment gagner en plus n'est pas significatif.

À quel moment verra-t-on Windows sur des matériels tournant sur processeur ARM?

Pour cela, il faut poser la question à Microsoft.

Est-ce que le portage de Windows sur ARM est compliqué ?

Le problème du portage sera très difficile et très coûteux à résoudre pour Microsoft. Après 25 ans d'histoire entre le système d'exploitation Windows et le PC, la question ne relève pas que d'un simple transfert du kernel. Il y a toutes les applications, les pilotes de périphériques. C'est un énorme travail. On comprend pourquoi Microsoft n'a pas jugé bon effectuer ce portage jusqu'à ce jour.

Pour lire la suite de cette interview, rendez-vous dans notre rubrique Entretien (...)

(12/01/2011 12:48:27)

Facebook, vecteur puissant de malware sur smartphone

« L'iPhone fonctionne dans un environnement plus contrôlé et le modèle de sécurité de BlackBerry est assez fort. Android fonctionne lui dans un environnement plus ouvert et donc plus exposé aux attaques, » explique Graham Cluley lors d'un entretien à nos confrères d'IDG NS. Étant donné la popularité croissante des téléphones Android dans l'entreprise, le consultant alerte les responsables IT sur les potentiels risques. Les logiciels malveillants sont transmis sur les téléphones via des messages Facebook qui sont en fait du spam très élaboré. Un rapport de Sophos sur les menaces qui doit sortir la semaine prochaine met en avant ce type de risques provenant du site de réseau social. « Le spam est un élément incontournable, mais les motivations et les méthodes changent et se perfectionnent pour tirer plus de bénéfices pour les spammeurs, » indique Graham Cluley.

Un diffuseur puissant sur mobile

Récemment, BitDefender a publié un rapport avertissant que Facebook est devenu la plus grande menace pour les malware mobile. L'éditeur s'appuie sur des statistiques de Google révélant que près d'un quart des utilisateurs de Facebook ont eu une tentative de scam sur le réseau social depuis leur téléphone portable. Pour des besoins de tests, le spécialiste de la sécurité a étudié une URL portant sur le statut sur Facebook d'une jeune fille qui s'est fait exclure de son école. Elle a généré 28 672 clics, dont 24% provenait de mobiles. Les internautes qui ont cliqué sur le lien - que ce soit depuis leur PC ou leur appareil mobile - ont téléchargé un ver. George Petre, responsable Threat Intelligence chez BitDefender  explique « lorsque les chercheurs en matière de sécurité se concentrent sur la recherche de logiciels malveillants spécialement conçus pour les plateformes mobiles, ils perdent de vue une source importante de la diffusion les réseaux sociaux ».

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(12/01/2011 11:10:32)

UFC-Que Choisir propose un kit pour résilier son abonnement Internet fixe ou mobile

La Loi de finances 2011 récemment adoptée met fin à la TVA réduite à 5,5% sur la partie télévision des forfaits télécoms (Internet fixe et téléphonie mobile). Au 1er février 2011, les offres des opérateurs permettant de recevoir la télévision par Internet (abonnements triple play) ou en 3G sur son mobile seront donc entièrement soumises à la TVA à 19,6%. Les opérateurs ont donc décidé de répercuter cette hausse directement sur la facture de leurs abonnés.

Autre conséquence, en modifiant les conditions contractuelles de leurs services, les opérateurs vont offrir la possibilité aux abonnés de résilier leur contrat sans frais, et jusqu'à 4 mois après l'application des nouveaux tarifs, conformément au code de la consommation (article L121-84).

Une aide précieuse pour ne pas perdre de temps

L'UFC-Que Choisir a ainsi réalisé un kit pour informer les consommateurs sur leurs droits et les aider à résilier leur abonnement dans de bonnes conditions. Ce mode d'emploi de la résiliation est disponible auprès des 160 associations locales de l'UFC-Que Choisir (liste et coordonnées disponibles sur le site Internet de l'UFC), ainsi que sur le portail de l'association.

Par ailleurs, l'UFC-Que Choisir annonce la mise en place d'un observatoire des pratiques des opérateurs en lançant un appel à témoignage sur son site Internet. Les consommateurs qui rencontrent des difficultés avec leur opérateur de téléphonie mobile ou leur fournisseur d'accès à Internet peuvent ainsi les signaler et transmettre toutes pièces en relation avec leur démarche.

Crédit photo : Acer

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