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Mobilité

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(20/09/2010 09:39:19)

La plate-forme Android est-elle prête pour l'entreprise ?

Au cours des dernières semaines, des études de marché ont révélé qu'Android passait rapidement devant l'iOS d'Apple en termes d'utilisation pour de l'accès web sur les mobiles. Les analystes ont prédit qu'Android devrait devancer RIM et Symbian pour devenir d'ici 2014 la plate-forme mobile dominante. Mais les administrateurs informatiques pourraient avoir un point de vue quelque peu différent sur cette plate-forme. Pour certains, le fait qu'Android soit en Open Source est un avantage. Pourtant, alors que les plateformes et les applications Open Source ont en théorie de nombreux atouts, elles n'ont pas réussi à se faire réellement une place dans le monde des entreprises.

Les entreprises veulent pour leurs mobiles des éditeurs avec qui ils peuvent travailler - et qu'ils peuvent montrer du doigt. De nombreuses entreprises ont d'étroites relations avec les fournisseurs de logiciel et de matériel avec qui ils travaillent. Et ces relations permettent d'améliorer l'efficacité et l'efficience des opérations. Lorsqu'un problème émerge, les équipes informatiques savent qui appeler pour le résoudre. Avec l'open source, la question de "qui appeler ?" se pose.

Une fragmentation des OS déjà effective

Android est une plate-forme pertinente et elle mérite les éloges qui lui sont faites. Mais son plus grand facteur clé de succès a été son volume de diffusion sur une véritable diversité de mobiles. Le fait de pouvoir choisir entre une large variété de smartphones et de sélectionner n'importe quel opérateur mobile crée un nombre considérable d'utilisateurs potentiels d'Android, nettement plus important qu'avec les clients qui préfèrent l'iPhone.

C'est bien pour les clients et pour la plate-forme Android, mais c'est un véritable cauchemar pour les administrateurs IT qui essaient de gérer une infrastructure mobile. Un utilisateur peut posséder un Motorola Droid 2 d'Android 2.2a, alors qu'un autre pourra détenir un mobile Fascinate de chez Samsung, avec Android 2.1, et un Dream de chez HTC sur lequel est installée Android 1.6. Ces matériels ont des capacités différentes, les plate-formes Android ne sont pas les mêmes et les interfaces propriétaires, ds surcouches logicielles, viennent compliqué les choses. Les administrateurs IT doivent donc être familiers avec l'ensemble de ces propriétés et trouver un moyen de tous les gérer et d'en assurer la maintenance. Lorsqu'une nouvelle version d'Android est disponible, la possibilité de l'installer ou de la déployer est limitée à quelques modèles de smartphones Android qui reçoivent cette mise à jour. Elel dépend en fait de l'opérateur et du constructeur qui choisissent ou pas de proposer la mise à jour.

Quelque part au milieu

Avant que les passionnés ne démarrent un débat Android versus iOS, indiquons que l'iPhone n'est pas non plus la plate-forme mobile idéale pour les entreprises même si certains aspect, comme le verrouillage applicatif de la plate-forme peuvent répondre à des besoins de sécurité. Certaines SSII, spécialisé dans la sécurité, travaillent d'ailleurs à la qualification des iPhones en remplacement de Blackberry. Histoire de passer d'un terminal basiquement messagerie à un modèle web.
RIM, de son coté, a bati sa solution pour les entreprises avec une plate-forme propriétaire, et une petite collection de terminaux BlackBerry. Avec le lancement de Windows Phone 7 cet automne, Microsoft va être en mesure de proposer une plate-forme de smartphone taillée pour les entreprise set le grand public avec un nombre limité de partenaires.

Tous les espoirs ne sont pas perdus pour Android dans l'entreprise. Pour les sociétés qui peuvent passer outre le problème d'open source, l'OS de Google offre une plate-forme intéressante. Les administrateurs peuvent la rendre moins complexe en sélectionnant une seule marque et un ou deux modèles  pour l'entreprise.

Illustration : HTC Desire HD
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(17/09/2010 15:04:17)

Avaya destine sa tablette Flare exclusivement à l'entreprise

À peine annoncé, le terminal portable d'Avaya, officiellement décrit comme un "Desktop Video Device", s'est retrouvé avec l'étiquette de Flare Tablet.  Cette terminaison officielle n'a pas non plus marqué Zeus Kerravala, un analyste du Yankee Group, qui s'est empressé d'écrire dans son blog qu'"Avaya n'aurait pas pu trouver un nom moins approprié pour un appareil aussi sympathique."  Selon une porte-parole de l'entreprise, Avaya ne s'est pas beaucoup préoccupé du débat suscité par cette nomination. D'autant que, désigner ce dispositif avec écran tactile de 11,6 pouces de "Flare" revient à mettre l'accent sur l'interface utilisateur (UI) - officiellement connue sous le nom de Avaya Flare Experience - et c'est exactement ce que l'entreprise souhaite.

Un terminal pour le réseau

Pourquoi insister sur l'interface? Pour "mettre le facteur de forme au second plan," a précisé l'entreprise. L'interface Flare permet aux utilisateurs de naviguer dans leurs contacts et de lancer une session de communication par vidéoconférence, une session de messagerie instantanée ou de conférence audio en quelques secondes dans une fenêtre qui se place au centre de l'écran. Toutes ces fonctions sont gérées via le protocole SIP (Session Initiation Protocol) pris en charge par le logiciel Aura  6.0 d'Avaya, annoncé en juillet dernier. "Le fait d'avoir placé Aura en backend sur l'appareil permet de consommer 50% de bande passante en moins pour gérer la vidéoconférence, pour un prix 30% inférieur à des systèmes concurrents comme ceux de Cisco (Tandberg), de Polycom et d'autres," a déclaré Kevin Kennedy, le PDG d'Avaya.

Les comparaisons de ce dispositif de 1,5 kg qui tourne sous Android 2.1 avec la future tablette Cius de Cisco et même avec l'iPad d'Apple vont quand même bon train. La différence majeure pourrait être le prix, puisque le dispositif d'Avaya, dont le lancement est prévu fin octobre ou début novembre, coûtera environ 2000 dollars alors que le Cius, qui dispose d'un écran de 7 pouces, sera vendu autour de 1000 dollars, soit moitié moins, lors de sa sortie prévue l'année prochaine, selon les avis de divers analystes. Parmi les trois, c'est l'iPad et son écran de 9,7 pouces, qui coûte le moins cher, avec 500 dollars. "Avaya ne veux pas établir de comparaisons avec d'autres tablettes comme l'iPad ou celle de HP," a déclaré Zeus Kerravala. "Avaya a insisté pour dire qu'elle ne positionnait pas ce produit comme une tablette, mais comme un appareil de communications vidéo. Néanmoins, selon moi, l'appareil d'Avaya est une tablette - différente de celles destinées aux semi-professionnels, mais elle a l'air et elle se comporte comme une tablette...," a-t-il commenté.

Pas vraiment une tablette multimédia

Deb Kline, la porte-parole d'Avaya a bien déclaré dans une interview : "Il ne faut pas le comparer à un appareil multimédia, un e-reader, ou un iPad." Mais, si ce n'est pas un genre d'iPad, la manière dont il sera utilisé dans un environnement de bureau - où les employés disposent déjà de téléphones fixes et d'ordinateurs - n'est pas claire. Zeus Kerravala ne pense pas que le dispositif portable d'Avaya pourra remplacer un PCX de bureau, mais qu'il servira surtout de dispositif vidéo dédié et, éventuellement, de téléphone de conférence. "L'ordinateur portable ou le PC de bureau resteront les principaux outils utilisés pour créer de l'information," a déclaré l'analyste. En revanche, certaines entreprises se sont déjà équipées d' iPad d'entrée de gamme en remplacement d'un ordinateur portable, même s'ils ne s'attendent pas à ce qu'il dure aussi longtemps.

Deb Kline a convenu que l'appareil d'Avaya ne viendrait par "en remplacement d'un PC", même si elle estime que si Avaya ajoute le support pour le VPN, les employés voudront ramener ces appareils chez eux et les utiliser au bureau - peut-être avec un clavier connecté via Bluetooth. Pour l'instant, le domaine d'utilisation de l'appareil d'Avaya reste assez clairement le "bureau", comme son nom l'indique. On se demande aussi comment Avaya envisage d'étendre l'expérience utilisateur Flare à toutes sortes d'appareils d'ici 2011, y compris sur les smartphones et les iPad. Alan Baratz, président de la division Global Communications d' Avaya, a présenté son Desktop Video Device hier. Il a même arboré sur scène un appareil - qui ressemblait à un iPad - pour montrer comment l'interface utilisateur Flare pouvait être étendue à d'autres appareils.

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(17/09/2010 14:21:45)

50 millions d'utilisateurs de Blackberry

A l'occasion de la présentation de ses résultats trimestriels, Research in Motion (RIM) a indiqué avoir enregistré 4,5 millions de nouvelles souscriptions à ses services BlackBerry au cours de son deuxième trimestre fiscal, qui s'est achevé le 28 août dernier. Toutefois, le nombre de terminaux vendus par la marque a été plus important sur cette période : 12,1 millions. Jim Balsillie, co-PDG de RIM, s'est félicité d'un "nouveau record de ventes" pour la marque. Au total, RIM a vendu 115 millions de BlackBerry en onze ans, a précisé le groupe dans un communiqué.

Considérés comme les pionniers des smartphones, les terminaux BlackBerry se distinguent par la technologie d'envoi et de réception sécurisée des courriers électroniques en mode push, c'est-à-dire en temps réel. Très utilisés dans le milieu professionnel, les BlackBerry touchent désormais une plus large partie du public, grâce notamment à des modèles compacts (Pearl), tactiles (Storm et Torch), et davantage tournés vers le multimédia et les fonctions sociales (Facebook, Twitter, etc.).

Pour faire face à la concurrence de l'iPhone 4 et des futurs smartphones Android, RIM mise sur la nouvelle génération de son système d'exploitation, BlackBerry OS 6, déjà intégrée dans le modèle Torch, et prochainement disponible sur les Pearl 3G et Curve 3G. 
Selon une récente étude publiée par le cabinet Gartner, BlackBerry OS représenterait, en 2010, la troisième plateforme mobile sur le marché des smartphones, avec 17,5% de parts, derrière Symbian (40,1%) et Google Android (17,7%). Elle devancerait iOS d'Apple (15,4%) et Windows Mobile (4,7%).

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(16/09/2010 15:16:54)

Les équipements connectés en DLNA en pleine croissance

Les fabricants de produits électroniques pour le grand public, comme les téléphones mobiles, les lecteurs Blu-Ray, les téléviseurs, les ordinateurs portables, les consoles de jeux et les PC se sont mis à intégrer cette technologie à leurs appareils. La DLNA est une norme qui a été adoptée par environ 250 marques. Cela permet aux consommateurs de partager et d'utiliser des fichiers multimédias comme des vidéos, des documents, de la musique et des photos sur les appareils autonomes compatibles avec ce standard.

Un rapport du 13 septembre du cabinet de recherches marketing In-Stat montre que les téléphones, les PC et les télés numériques constitueront 74% du marché de la DLNA. Les cadres de photos numériques constituent la catégorie qui va connaître la plus grande croissance dans le marché de la DLNA. In-Stat prévoit que plus de 33 millions de cadres numériques compatibles seront vendus en 2014 (contre moins d'un million d'unités vendues en 2009).

Un effort de médiatisation à fournir


« Intégrer la DLNA à Windows 7 va booster le marché », commente Norm Bogen, analyste chez In-Stat. « Cependant, l'adoption de l'UPnP et de la DLNA s'étend au-delà des ordinateurs personnels. Les téléphones et les télévisions numériques rejoignent les PC au rang des catégories de produits qui verront des hausses significatives de nombres de produits compatibles au cours des 5 prochaines années ». Malgré la croissance rapide du nombre de produits connectés sur le marché actuel, la plupart des consommateurs ne sait pas que cette technologie existe, et ne connaît pas ses bienfaits. Seuls 6% des consommateurs ont admis être "très ou assez au courant de la DLNA", selon In-Stat.

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(16/09/2010 14:54:54)

Orange offensif sur les tablettes et les OS mobiles

Stéphane Richard a d'abord confirmé qu'Orange allait répercuter l'éventuel passage de la TVA à 19,6% pour les forfaits triple play incluant télévision, Internet et téléphone fixe. Parlant d'un « coup de massue fiscal », le numéro 1 du groupe estime que cette mesure coûterait 230 millions d'euros à l'opérateur. L'ampleur de cette répercussion sur la facture de l'abonné n'a pas été précisée, mais elle devrait tourner aux alentours de deux à trois euros. Free aurait évalué ce surplus à trois euros.

Tablettes et travail commun sur un OS mobile


Côté produits, le dirigeant a confirmé la sortie de plusieurs tablettes dans les mois à venir, dont la Galaxy Tab de Samsung, sous Android, qui sera « siglée Orange », ainsi qu'une ardoise produite par la marque chinoise Huawei avant la fin de l'année. Cette dernière coûtera moins de 200 euros.

Interrogé sur les smartphones, il a fait savoir qu'Orange, mais aussi d'autres opérateurs, pourraient s'unir dans la bataille des systèmes d'exploitation mobiles face à Google et Apple. « C'est pour cela que j'ai invité le 8 octobre à Paris les patrons de Vodafone, Telefonica et Deutsche Telekom. Nous voulons réfléchir en commun à la création d'un système d'exploitation, qui est le cheval de Troie utilisé par les Google et autre Apple pour établir leur propre relation avec nos clients » a-t-il confié. « Cela peut prendre diverses formes : une société commune, petite usine à applications communes, nous allons voir... Nous ne voulons pas être des suiveurs mais reprendre les rênes dans l'innovation ».

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(16/09/2010 14:39:45)

T-Systems inaugure son Innovation Center à Munich

L'Innovation Center inauguré à Munich le 13 septembre dernier par T-Systems était l'occasion pour l'entreprise de présenter certains des projets déjà entamé au sein de ce centre de R&D, en partenariat avec l'Université Ludwig Maximilian de Munich. Mais avant de faire la démonstration de ces prototypes, la filiale de Deutsch Telekom a tenu à insister sur le rôle exact de ce centre de recherche. Le but est en effet de faire intervenir les sociétés clientes dès le début, et de les rapprocher au plus près du processus de conception des prototypes afin qu'ils puissent voir chaque étape, et que ces technologies soient plus rapidement viables que dans leur cycle de développement classique. C'est, en somme, un lieu de test impliquant le client, les partenaires du centre, les étudiants et T-Systems où chacune des parties peut proposer ses idées et les expérimenter dans un environnement directement observable.

Un datacenter à consommation optimisée

Parmi les projets présentés, on trouve le Datacenter 2020, installé deux ans auparavant en partenariat avec Intel, et qui, durant cette période, a été l'objet de très nombreux ajustements en vue d'améliorer son PUE, ou efficacité énergétique. Via un plafond modulant l'espace occupé par le datacenter, et d'autres paramètres comme les serveurs en eux-même et la circulation des airs chauds et froids, les chercheurs envisagent d'arriver prochainement à un PUE de 1,4, soit 30% de moins que les datacenters classiques. Pour ce faire, ils préconisent d'utiliser moins de ressources matérielles de sauvegarde, et de faire plus confiance à l'infrastructure. C'est par ailleurs parce que ce projet était présent sur les lieux qu'il a été décidé de choisir Munich pour construire l'Innovation Center autour de celui-ci, pour le combiner aux futurs programmes mis en place. T-Systems avait aussi déjà investi 2,5 millions d'euros dans ce datacenter, argument qui a peut-être joué.



Une pile à combustible géante

Mais l'élément le plus intéressant provient certainement de l'alimentation de ce centre de calcul. Outre la connexion classique au réseau électrique national, une pile à combustible de grande envergure et placée en appoint à la structure de l'entreprise fournit à la fois l'énergie dont a besoin le datacenter via des réactions chimiques, mais transforme aussi la chaleur dégagée en eau froide via un réfrigérateur d'absorption pour le refroidissement du 2020. Potentiellement, même si ce n'était pas le cas durant la visite, la chaleur dégagée peut être partiellement redirigée avant sa transformation en eau et servir à chauffer les bureaux de l'entreprise dans laquelle la pile à combustible a été installée. Pour l'heure, il a un facteur d'efficacité de 47%, et produit 250 kW d'énergie électrique (pour 238 kW utiles), et 180 kW d'énergie thermique. Le seul problème, de l'aveu même des chercheurs, c'est qu'en cas de panne, il faut au minimum trois jours pour tout remettre en place. Mais ce système de production autonome d'énergie déjà utilisé dans l'industrie aérospatiale a une durée de vie allant de 15 à 20 ans, durée après laquelle il faut remplacer la matrice d'électrolyte située entre l'anode et la cathode. A noter que l'usagée sera recyclée pour rester dans l'optique « green », précise le Dr Rainer Weidmann, responsable du développement de la pile. Durant ses six mois de mise en service néanmoins, aucune panne n'a encore été détectée, la stabilité étant relativement acquise étant donné que le système se base sur une réaction chimique.



Des voitures connectées

Outre ces solutions vertes, l'Innovation Center se diversifie dans la nature des projets entamés. L'un de ceux qui ont été présentés concernait les voitures connectés. A travers une simulation des systèmes GPS opérée par l'application Ubisense et des voitures téléguidées par un iPad et surmontées d'un smartphone, il a été fait la démonstration d'un système anti-collision capable de détecter la proximité d'autres voitures, mais aussi la signalisation. Par cette détection, les petites voitures étaient en mesure de s'arrêter de leur propre chef, connectées au système les informant du danger imminent. Dans un entretien, Horst Leonberger, responsable de ce projet chez Deutsch Telekom, précise vouloir aller plus loin, et outre les systèmes d'avertissements et de sécurité routière, il veut aussi connecter la voiture à Internet pour accéder à tout même sur la route. Il affirme par ailleurs être en partenariat avec BMW sur ce projet, et être en discussion avec Volvo, Peugeot et Renault.



Mobilité et interconnexion

Enfin, à travers d'ateliers, ont aussi été présentées des solutions de mobilité et d'interconnexion. Au niveau de la mobilité, un projet d'application SAP CRM pour smartphones (Blackberry, iPhone et Windows Mobile pour le moment, mais prévue pour Android) rend possible l'accès à certaines fonctionnalités de la solution classique. Développé avec Sybase, ce projet peut synchroniser les informations avec les serveurs de l'entreprise et a pour but de faire entrer l'entreprise de plus en plus dans la mobilité. En terme d'interconnexion, le projet Unified Communication & Collaboration (UCC) met en place un datacenter capable de traduire les principaux langages des réseaux locaux d'une entreprise filialisée, même si chacune des sections utilise un réseau local différent, que l'une soit équipée de Cisco ou l'autre d'Alcatel par exemple. Via une interface logicielle quelque peu similaire à Windows Live Messenger de ce datacenter de traduction, elles pourront communiquer de personne à personne. A noter la compatibilité avec les terminaux mobiles pour les employés en déplacement. Enfin, dans un autre registre, le projet de compteurs intelligents testés à Friedrichshafen (« T-City », ville d'implémentation des projets de T-Systems pour une ville connectée) veut mettre en réseau, à l'instar de l'initiative française, la consommation électrique, mais ici, inclure aussi celle de l'eau et du gaz pour relier les distributeurs aux clients en temps réel.



Illustration : Reinhard Clemens, PDG de T-Systems
Crédit Photo : D.R.

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(16/09/2010 10:20:50)

Tromperie sur l"Internet illimité", UFC-Que Choisir assigne Orange et SFR

"Ces assignations sont le prolongement d'une action que l'on mène depuis deux ans contre la terminologie employée par les opérateurs sur leurs forfaits", a déclaré à Relaxnews Edouard Barreiro, chargé de mission à l'UFC pour les nouvelles technologies de l'information. "Les opérateurs visés vendent quelque chose qui n'est ni de l'Internet, ni de l'illimité, mais ils continuent d'utiliser ces termes dans la publicité de leurs offres". L'UFC reproche à Orange et SFR d'utiliser ces notions alors qu'il existe en réalité plusieurs restrictions d'usage, comme l'interdiction des applications peer-to-peer, des logiciels de voix sur IP, ou les plafonds de consommation pour la réception et l'envoi de données sur le réseau mobile.

"Le mot Internet pose problème dans la communication des opérateurs mobiles. Il faudrait plutôt appeller ça un 'forfait de données' ou un 'accès à certains services d'Internet' afin que le consommateur comprenne vraiment ce qu'il va acheter. Le mot Internet doit être protégé" indique M. Barreiro. Si Orange et SFR ont été assignés au civil, Bouygues Telecom ne fait pas exception. L'UFC-Que Choisir se donne juste un peu plus de temps afin de collecter toutes les pièces nécessaires et constituer le dossier.

En février dernier, le nouveau patron de France Télécom, Stéphane Richard, avait admis que le terme "illimité" était employé de manière inappropriée et plaidé pour en réduire l'usage dans une démarche de transparence pour le consommateur. "On a un peu trop abusé, à mon avis, des publicités avec les astérisques (...) c'est à dire l'offre formidable qu'on vous présente, en général avec le mot "illimité" (...). Je crois qu'il faut arrêter ça" avait-il déclaré sur l'antenne de RTL.

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