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Mobilité
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(16/09/2010 10:45:01)
Le marché des smartphones progresse toujours en Europe
Le marché des téléphones mobiles (tous types confondus) se traîne en Europe de l'Ouest. Selon IDC, les ventes de ces produits ont atteint 43,3 millions d'unités au deuxième trimestre 2010, soit une progression de seulement 1,5% par rapport à la même période en 2009. En comparaison, lors du même trimestre, au niveau mondial, les ventes progressaient de 14,5%. Le coupable est sans conteste le téléphone mobile traditionnel dont les volumes écoulés ont chuté de 14% à 28,7 millions d'unités. Fort heureusement, son successeur, le smartphone affiche une santé insolente qui permet à l'ensemble du marché de l'Europe de l'Ouest de garder la tête hors de l'eau. En effet, ce segment a enregistré une croissance de 60% en volume, avec 14,6 millions d'unités commercialisées, durant le second trimestre 2010. De fait, il représente aujourd'hui 34% du marché total des téléphones mobiles.
Android sera le deuxième OS mobile dès le début 2011 pour IDC
Pour quiconque suit le marche de la téléphonie mobile de près, le renforcement des parts de marché de smartphones n'est pas une surprise. En revanche, si elle était prévisible, l'explosion des ventes de smartphones sous Android a atteint des proportions étonnantes. Lancé il y a deux ans, l'OS pour mobile de Google a en effet vu sa part de marché passer de 4% au deuxième trimestre 2009 à 15% sur le segment des smartphones entre avril et juin 2010. Il prend ainsi la quatrième place du classement des OS mobiles en Europe de L'Ouest. Pour IDC, le système d'exploitation de Google devrait prendre la seconde place de ce classement dès le premier trimestre 2011.
Du côté des constructeurs, Nokia occupe toujours la première place, à la fois sur le marché global des smartphones et des mobiles traditionnels comme sur le segment des smartphones seuls. Sur ce dernier secteur, sa part de marché a toutefois baissé de 15 points sur un an pour atteindre 40% quand celle d'Apple restait stable à 19%. RIM remonte en quant à lui la pente avec une part de marché de 18% en hausse de 5 points. cette progression qui lui permet de conserver la troisième place du classement des fabricants de smartphones en Europe de l'Ouest devant HTC et Samsung. (...)
WorkLight étend sa plateforme aux BlackBerry et à iOS
Cette infrastructure client-serveur pour les applications mobiles professionnelles qui se compose d'un ensemble de bibliothèques, de serveur middleware, et de code client natif, autorisant la connexion à des applications mobiles via des solutions d'authentification ou à des serveurs délivrant ces applications. Récemment, WorkLight a créé une couche logicielle native pour l'iOS d'Apple pour adapter les applications iPhone et iPad. Maintenant, le logiciel supporte les OS 5 et 6 de BlackBerry. Pour ces derniers, les développeurs peuvent créer au choix des applications pour le Web ou des applications natives.
Selon l'architecte principal du projet, une importante banque en ligne européenne, qui a demandé l'anonymat, utilise WorkLight pour prendre en charge les futures applications iOS. La banque compte toucher environ 100 000 clients actifs, qui jusqu'à présent n'utilisait pas leur smartphone pour effectuer des opérations bancaires en ligne. L'organisme financier est en phase de test sur ces applications pour éprouver la connexion sécurisée entre le logiciel serveur de WorkLight et les systèmes d'authentification de la banque. Selon ce développeur, elle compte profiter des évaluations pour adapter ensuite avec facilité les mêmes applications vers Android et Blackberry.
Un panel d'outils
La plate-forme de WorkLight a plusieurs composantes, à commencer par WorkLight Studio, un plug-in et une gamme d'outils pour l'environnement de développement intégré Eclipse. Celui-ci supporte à la fois le SDK natif pour iOS, BlackBerry et Android, et des technologies de développement d'applications Web standards, comme le HTML, le CSS et Javascript. Studio supporte les catalogues d'applications en ligne des trois systèmes d'exploitation mobiles. WorkLight Server permet pour sa part, de créer l'environnement runtime nécessaire aux applications WorkLight. Il offre des « adaptateurs » XML pré-construits qui se connectent à de nombreux systèmes back-end via des interfaces standards ou propriétaires, et à des services Web, tels que le SQL, le LDAP, SharePoint, SAP, HTTP, REST, WSDL/SOAP. Il supporte également les API de Facebook et de Twitter. Le système de cache flexible de WorkLight Server peut être modulé en fonction des applications. « L'approche simplifie le code client et permet à l'entreprise d'apporter des modifications sur le serveur sans avoir à redéployer le logiciel client, » a déclaré Ron Perry, CTO de WorkLight. Le serveur gère également l'enregistrement des événements, qui sert de source pour une série de rapports qui rendent compte de l'utilisation des applications, des problèmes et des tendances, le tout via une console. Installé derrière le pare-feu de l'entreprise, WorkLight Server supporte les protocoles HTTP/S.
Une bibliothèque dédiée à Apple
Pour iOS, WorkLight a créé une nouvelle bibliothèque, du nom de Objective C, qui peut être facilement incluse dans une application iPhone pour gérer les communications avec WorkLight Server. « Cette modalité permet à l'entreprise de disposer d'un point de contrôle central pour les applications iOS accédant aux ressources disponibles, tout en tirant pleinement parti des nombreuses fonctionnalités de l'interface utilisateur de ces smartphones tournant sous des systèmes d'exploitation dernière génération, » a déclaré Ron Perry. « Les applications WorkLight créées pour l'un de ces systèmes peuvent être assez facilement adaptées pour d'autres plateformes, » a-t-il ajouté. « Une grande partie du code client peut être réécrite avec le SDK correspondant, et exploiter les mêmes caractéristiques serveurs de WorkLight. »
De nombreuses sociétés s'intéressent au développement d'applications pour l'environnement mobile. Comme Sybase qui propose sa Unwired Platform ou Sencha (anciennement Ext JS) qui a adapté sa plate-forme transversale et le framework de son navigateur Sencha Touch pour les navigateurs mobiles à condition qu'ils soient construits sur Webkit (il supporte le HTML 5, le CSS3, et Javascript). Le prix de la plateforme mobile WorkLight dépend du nombre de clients utilisant des applications mobiles créées et déployées sous WorkLight. Le prix d'entrée est de 20 000 dollars pour une licence comprenant «plusieurs milliers d'utilisateurs », a précisé Yonni Harif, directeur du marketing de WorkLight.
Malgré certaines lacunes, l'iPad s'implante dans les entreprises
Très populaire auprès des consommateurs depuis son lancement en avril dernier, l'iPad d'Apple semble peu à peu trouver sa place entre les mains des médecins, des avocats et autres hommes d'affaires qui affirment que la tablette peut leur rendre service dans l'accomplissement de leur travail.
Par exemple, le cabinet Sonnenschein Nath & Rosenthal LLP basé à Chicago a donné la permission à ses avocats d'utiliser des iPad à condition qu'ils paient eux-mêmes pour l'achat des machines. 100 des 800 juristes de l'entreprise les utilisent. "L'iPad a une valeur réelle pour les avocats au service de nos clients. Il leur permet d'accéder immédiatement aux données d'entreprise et à des documents, beaucoup plus rapidement qu'avec un ordinateur portable," a déclaré Michael Barnas, directeur des services applicatifs au sein du cabinet américain. Les responsables informatiques ont approuvé les fonctions de sécurité et de gestion de l'iPad et l'entreprise apporte un soutien limité à ces utilisateurs nomades lorsqu'ils rencontrent des problèmes de connexion, d'authentification ou tentent d'utiliser le middleware Citrix Receiver sur leur périphérique. Mais Michael Barnas a reconnu que le personnel informatique ne pouvait pas pour l'instant apporter un support à distance complet pour l'iPad. "Ceux qui utilisent des iPad ont encore besoin d'ordinateurs portables, notamment pour rédiger de longs documents qu'ils doivent revoir et modifier un certain nombre de fois - une tâche aujourd'hui presque impossible sur la tablette d'Apple," estime Michael Barnas.
Bien adapté au milieu médical
Jon Wahrenberger, un cardiologue du Dartmouth-Hitchcock Medical Center situé à Lebanon, New Hampshire, a indiqué que lui-même et quatre de ses collègues utilisaient des iPad pour accéder aux dossiers de santé électroniques et prendre des notes tout en examinant les patients. "L'encombrement de l'appareil est moins intimidant que peut l'être un ordinateur portable pendant les examens," a-t-il déclaré. Le médecin a fait savoir que le centre médical avait récemment installé un serveur Microsoft Exchange avec des extensions pour l'iPad. "Une nouvelle qui a suscité beaucoup d'excitation au sein de l'hôpital," a-t-il ajouté.
Pour Ted Schadler, analyste chez Forrester Research, "l'iPad aurait besoin de renforcer ses capacités professionnelles en offrant des fonctionnalités plus adaptées au monde de l'entreprise avant de s'imposer comme un outil de base." Selon lui, le plus important est de disposer d'applications pour créer et modifier des documents communs à travers des plates-formes informatiques multiples. "Tant que nous n'aurons pas accès à des applications professionnelles, les salariés devront trimbaler leur ordinateur portable", a-t-il déclaré. Il fait remarquer que l'iPad dispose du même "modèle de sécurité et d'administration que celui qu'Apple a mis dans l'iPhone". Ce qui lui fait dire qu'"Apple a déjà fait diligence raisonnable." Celui-ci cite également trois utilisations pratiques de l'iPad en entreprise aujourd'hui. "Tout d'abord, dit-il, les vendeurs peuvent utiliser l'appareil pour faire défiler des photos ou montrer un site web. Ensuite, pendant de courts déplacements, les cadres peuvent l'utiliser pour accéder à leur messagerie, à leur agenda ou visualiser des présentations Keynote. Enfin, les médecins, les vendeurs dans les magasins, ceux qui travaillent dans des entrepôts ou dans d'autres emplois, peuvent utiliser l'iPad pour accéder à des applications tout en marchant."
(...)(13/09/2010 16:10:55)Des puces Qualcomm dans le prochain iPhone ?
En rachetant l'activité wireless d'Infineon, Intel a peut-être accéléré un changement radical de la part d'Apple. Partenaires de longue date (depuis 2007 sur le premier iPhone), la firme de Cupertino pourrait rompre ses relations avec Infineon et se tourner, selon une étude, vers les puces de Qualcomm pour équiper le prochain iPhone, dévoilé probablement l'été prochain. Ce rapport effectué pour le magasin chinois Commercial Times, souligne que les intégrateurs resteront Hon Hai Group et Foxconn.
(...)(13/09/2010 15:52:05)Flash Pro pourra créer des applis pour iPhone
Cette annonce, qui devrait permettre l'arrivée d'applications conçues et développées dans le format Flash Professionel CS5, a suscité une brève déclaration de la part d'Adobe. Ainsi, selon un porte-parole de la société, l'éditeur de San José se dit "encouragé de voir qu'Apple lève ses restrictions sur ses conditions de licence, ce qui donne aux développeurs la liberté de choisir les outils qu'ils utilisent pour développer des applications pour les appareils Apple."
Pour l'instant, ni Apple ni Adobe n'ont confirmé que les applications créées avec Flash Pro passeront l'étape rigoureuse de sélection mise en place par la firme de Cupertino. Mais ce changement dans les termes annule l'interdiction d'Apple quant à la possibilité de proposer des applications réalisées avec l'outil d'Adobe. Il élimine également les problèmes potentiels que pourraient poser des logiciels conçus pour consulter des contenus numériques et réalisés dans InDesign, comme le Wired Reader - actuellement en version bêta - créé pour l'iPad en partenariat avec le magazine Wired. Pour l'heure, Adobe n'a publié aucun détail sur la façon dont ces applications sont compilées, mais elles pourraient être techniquement considérées comme ayant été créées par un outil tiers. En avril dernier, Adobe avait annoncé qu'elle arrêterait le développement d'outils pour concevoir des applications pour l'iPhone avec les futures versions de Flash. À la question de savoir si Adobe envisage de revoir sa décision, la réponse est d'ores et déjà oui. Sur un blog maison, l'éditeur confirme que Flash Pro pourra bien créer des applications pour la plate-forme App Store.
Un revirement stratégique devant la menace Android
La raison pour laquelle Apple a d'abord interdit puis autorisé ces Apps fait l'objet de beaucoup de conjectures. Dans un premier temps, Apple a fait valoir qu'en ne choisissant pas cette solution pour produire rapidement et facilement des jeux - la plupart des jeux accessibles sur Internet sont disponibles dans ce format - elle voulait préserver la qualité de l'expérience utilisateur... et s'assurer un meilleur bénéfice. Ce type de développement, relativement coûteux, signifiait aussi que les développeurs devaient se faire payer même le plus simple des jeux, en laissant au passage les 30% de commission habituelle au constructeur. Autre motif souvent évoqué : en empêchant le développement d'applications pour plusieurs plates-formes à la fois (Android, Windows Mobile, Blackberry OS ou Symbian) - comme vise à le faire Flash CS5 - le développement de logiciels pour les plates-formes autres que l'iPhone et l'iPad est moins rentable pour les agences.
Comme d'habitude, Apple en dit le moins possible. Mais il est clair que de nombreux services interactifs se réjouissent de la nouvelle : le coût de la création de jeux pour iPhone a chuté de façon spectaculaire, ce qui leur permet de proposer des projets d'applications à un nombre de clients beaucoup plus large. Les développeurs Flash vont être aussi particulièrement gâtés. Reste à savoir si les consommateurs apprécieront l'avalanche rapide d'advergames, ces jeux vidéo publicitaires, qui encombreront inévitablement leur mobile. Reste que le lecteur Flash est toujours persona non grata sur les terminaux iOS d'Apple tout comme les applications AIR.
Crédit photo : D.R.
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