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Mobilité
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(24/08/2010 12:25:32)
Un brevet d'Apple pourrait sonner le glas du jailbreaking
La demande de brevet effectuée par Apple, déposée plus tôt cette année, mais mise en ligne depuis jeudi dernier, pourrait mettre un terme au jailbreaking des iPhone, iPod et iPad. Ce système permet d'utiliser des applications piratées ou non absentes de l'AppStore. Pourtant, la méthode a récemment été déclarée conforme aux lois du copyright définies par le US Digital Millennium Copyright Act.
Alors que le brevet devait principalement protéger les utilisateurs contre les voleurs, grâce à un ensemble de mesures de sécurité éventuellement prévues, la firme de Cupertino semble vouloir éradiquer le jailbreaking, en dépit d'une pratique d'utilisation qui se veut courante.
Selon le site technologique Cnet, le brevet « systèmes et méthodes d'identification des utilisateurs non autorisés d'un dispositif électronique », comprend une télécommande coupe-circuit qui pourrait rapidement restaurer un iPhone, un iPod ou un iPad à ses paramètres initiaux. Outre le potentiel de restauration des paramètres, Apple a également l'intention d'envoyer des avertissements aux propriétaires par courrier électronique ou par message texte lorsque des fonctions telles que le jailbreak ou le désimlockage sauvage sont détectées.
(...)
Facebook acquiert Hot Potato, réseau social géolocalisé
Hot Potato a annoncé sur son blog son rachat par Facebook sans donner d'indications sur le montant de l'opération. Le service de cette société vise à permettre aux personnes de partager ce qu'ils font avec leurs amis et se connecter avec d'autres personnes qui font la même chose dans le même lieu. Les gens visitent la page et choisissent le début d'une phrase comme "je participe à ..." ou « j'écoute..." puis complètent les informations. Ils ont ensuite se joindre à un groupe de personnes qui ont posté des intérêts similaires. Le groupe peut partager ses photos et vidéos et se poser des questions.
Hot Potato a cessé de recruter des utilisateurs et à indiquer que les actuels devront télécharger toutes les informations et le contenu qu'ils veulent sauvegarder. Dans environ un mois, l'entreprise supprimera toutes ces données sans les transférer à Facebook. On note toutefois que ce service avait des passerelles avec le réseau social, recherche d'amis sur les deux sites, intégration des profils Facebook et des comptes Twitter.
Concurrencer Foursquare
Cette annonce est à rapprocher du lancement la semaine dernière de « Places » aux Etats-Unis par Facebook. Les services de géolocalisation commencent à se développer sur les réseaux sociaux comme le montre le succès de Foursquare, application que l'on retrouve justement sur Facebook. Ce dernier entend bien concurrencer cette solution à travers des éléments qualitatifs à la localisation. Hot Potato sera donc un élément complémentaire à cette stratégie.
Nokia acquiert Motally
Nokia se dote d'une compétence dans la statistique dans le domaine de la mobilité avec le rachat de Motally. Cette société américaine, de 8 personnes, propose des outils de traçabilité des usages sur les sites et les applications mobiles.
L'entreprise d'Espoo souhaite intégrer ces outils, à travers l'interface utilisateur du framework Qt, pour les OS Symbian, Meego et le langage Java. Aujourd'hui, les outils de Motally sont compatibles avec iPad et l'iPhoned'Apple, Blackberry de RIM et les smartphones Android.
Avec ces solutions, les développeurs pourront, par exemple, identifier l'opérateur, la localisation de l'abonné, sur quels OS tournent les applications et le comportement des utilisateurs. Nokia espère rendre la lecture de ces statistiques plus lisibles auprès des développeurs et des éditeurs pour «optimiser leurs applications mobiles ».
La plupart des éditeurs de ces solutions statistiques sont basés aux Etats-Unis et s'intéressent en priorité à l'iPhone ou aux téléphones Android. Nokia n'a pas donné le montant de ce rachat, mais l'acquisition devrait être finalisée d'ici la fin septembre.
Un téléphone Android aussi puissant qu'un supercalculateur
Après une série de simulations effectuées sur le supercalculateur Ranger, les scientifiques ont généré un "modèle réduit" de l'application qu'ils ont transféré sur un smartphone. Ils sont ensuite parvenus à résoudre certains problèmes liés à la taille de l'écran pour visualiser les résultats à la volée.
Le HPC en mobilité
Le projet a révélé la capacité et la méthode pour porter des simulations de calculs complexes fiables et en temps réel sur des appareils de poche. Ce n'est pas la première fois que des petits terminaux sont utilisés pour effectuer de telles opérations. Mais les travaux du MIT montrent qu'il est possible d'implémenter un système de gestion d'erreurs par un algorithme plus adapté au terminal. "Il n'est pas nécessaire d'avoir un ordinateur très puissant à disposition," a déclaré David Knezevic, post-doctorant en génie mécanique au MIT. "Une fois que vous avez créé le modèle réduit, vous pouvez faire tous les calculs sur un téléphone. Nous avons évalué la limite du modèle réduit en terme de précision, c'est pourquoi nous pouvons affirmer avec toute la rigueur qui s'impose que nous sommes capables de faire du calcul intensif sur un smartphone."
Crédit Photo: TAAC
(...)(20/08/2010 12:53:46)SAP et Sybase préparent leur plateforme mobile pour 2011
SAP et Sybase ont tenu une conférence d'étape ce jeudi 19 août, entre Boston et Francfort, soucieux d'éclairer le marché et ses observateurs sur les progrès réalisés depuis le rapprochement des deux sociétés en mai dernier. Evidemment pressés de questions de toutes parts depuis lors, ils ont tracé hier, à grands traits, leurs plans pour les mois à venir, sans donner énormément de détail néanmoins. D'ici neuf mois, SAP et Sybase livreront une plateforme de développement mobile sur laquelle ils travaillent conjointement. Basées sur des standards ouverts, celle-ci supportera les principaux systèmes d'exploitation mobiles et terminaux.
Un kit de développement (SDK) sera fourni, permettant de bâtir interfaces utilisateurs et workflow. « Nous n'allons pas porter les applications vers les mobiles, mais permettre au terminal mobile d'accéder aux applications », a expliqué Jim Hagemann Snabe, co-CEO de SAP. Il précise qu'il sera ainsi possible, depuis un terminal mobile, d'exploiter les informations gérées dans la Business Suite de SAP (qui rassemble l'ERP et ses solutions de gestion périphériques) ou dans la suite hébergée Business ByDesign, et de tirer parti d'applications analytiques.
Mais pour l'instant, rien de concret donc, si ce n'est bien sûr les applications mobiles déjà co-développées par les deux sociétés avant le rachat de mai dernier, Sybase Mobile Sales pour SAP CRM et Sybase Mobile Workflow pour la Business Suite.
Comme prévu, Sybase reste indépendant
Depuis Boston, John Chen, PDG de Sybase, a tenu à rappeler, aux côtés de Bill McDermott, co-PDG de SAP, l'indépendance de fonctionnement conservée à sa société. Il est important que l'entreprise garde la culture qui a contribué à son succès et John Chen a tenu à rassurer ses clients sur ce point. L'ensemble des gammes de produits de Sybase continuera à être développé et supporté. « Il n'y a aucun doute là-dessus », a réaffirmé Bill McDermott. L'objectif est que Sybase et SAP poursuivent leur croissance respective. Un peu plus tard, Vishal Sikka, directeur technique et membre du comité exécutif de SAP, a vigoureusement confirmé qu'il n'était pas absolument pas question d'arrêter quelque produit Sybase que ce soit.
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A l'inverse, il est prévu de certifier l'utilisation de la base de données ASE (Adaptive Server Enterprise) avec la suite de gestion de SAP (Business Suite). Cela ne devrait pas être réalisé avant le courant du premier semestre 2011, selon Vishal Sikka (le processus de certification n'ayant rien de trivial). Au passage, il a rappelé que SAP supportait déjà de nombreuses bases de données et qu'il n'était en revanche pas question de remplacer à terme la base de données maison, MaxDB, par ASE. « Il y a plusieurs milliers de clients SAP qui utilisent MaxDB et cette technologie est mise à l'oeuvre dans les appliances analytiques actuellement en préparation », a-t-il souligné en ajoutant ironiquement que le monde était bien assez grand pour accueillir toutes ces innovations.
Se développer plus vite en Chine grâce à Sybase
Hier, les co-PDG de SAP ont expliqué également que le groupe allemand comptait se servir de Sybase comme « tête de pont » pour se développer plus rapidement sur les marchés où le spécialiste de la mobilité est déjà très présent, en particulier la Chine ou le Japon. « Le mobile est le nouveau desktop », a rappelé Bill McDermott en indiquant que SAP comptait étendre rapidement son marché potentiel en s'appuyant sur le succès de Sybase dans ces régions où l'adoption des terminaux mobiles double celle des postes de travail classiques. Jim Hagemann Snabe a évoqué l'intérêt que cette présence pouvait représenter pour diffuser l'offre de gestion « à la demande » Business ByDesign, la Chine étant l'un des six pays où l'application en ligne est actuellement commercialisée.
L'apport des technologies in-memory
Enfin, il a évidemment été question également des technologies « in memory » sur lesquelles les équipes de Sybase et SAP ont chacune de leur côté largement investi depuis plusieurs années. D'une part, les clients se verront proposer une infrastructure pour gérer les applications analytiques de bout en bout, en englobant les aspects de stockage (datawarehouse, datamarts, moteurs de stockage pour les transactions...), de récupération de l'information archivée (discovery) et de restitution des données avec les outils de Business Objects (reporting, scorecarding, tableaux de bord, analyse multidimensionnelle, etc.). D'autre part, les technologies de Sybase et SAP seront combinées pour permettre aux utilisateurs d'accéder en temps réel aux données, où qu'ils se trouvent.
A l'issue de la conférence, les dirigeants de SAP ont été pressés de donner des exemples concrets des bénéfices de l'analyse in-memory pour les entreprises. Jim Hagemann Snabe avait déjà souligné l'intérêt de ces technologies pour le secteur de la distribution par exemple, rappelant l'importance de pouvoir contrôler ses approvisionnements ou sa production en fonction de la demande réelle. Prenant en main une tablette numérique iPad, il a insisté sur les facilités apportées par ce type de terminaux et pronostiqué qu'on devait s'attendre à voir arriver des applications que l'on n'aurait pas pensé à développer avant de disposer de ce type d'outils. A l'instar de John Chen qui l'avait annoncé un peu plus tôt, il a insisté sur la préparation de solutions mobiles spécifiques pour une vingtaine de secteurs d'activité.
Vishal Sikka, de son côté, a évoqué l'utilisation du complex event processing (CEP) pour communiquer des informations en temps réel en provenance des plateformes pétrolières. Les applications de CEP permettent d'analyser au fil de l'eau une grande quantité de données afin de déclencher des actions en fonction d'événements déterminés.
5 milliards d'objets connectés cet été
La barre des 5 milliards d'objets connectés à internet a été franchie durant le mois d'août. Dans 10 ans, ce chiffre aura plus que quadruplé selon IMS Research qui étudie la base installée d'équipement connectés au Web.
En surface, cette seconde vague de croissance des terminaux connectés sera portée par les téléphones mobiles et l'électronique grand public. Mais un phénomène plus grand, bien que invisible, va dynamiser la croissance : les communications en mode « machine-to-machine » telles que les réseaux intelligents (smart grid), les solutions de surveillance et de sécurité publique, le contrôle du trafic automobile et des parkings, ainsi que les réseaux de capteurs. Aujourd'hui, il existe environ 1 milliard d'ordinateurs régulièrement connectés à internet. Ces classes de terminaux, incluant les PC et les ordinateurs portables ainsi que leurs équipements de réseau associés continuent de croître.
Mais les produits cellulaires, tels que les smartphones ont dépassé ce total et ont une croissance bien plus rapide. Additionnez les tablettes, les livres électroniques, les TV connectées, les caméras, les cadres photo numérique et tout autre équipement pouvant être connecté et on arrive rapidement à un total de 22 milliards de produits connectées ou connectables à Internet en 2010 toujours selon IMS Research.
Un développement exponentiel
L'institut prédit que dans 10 ans, 6 milliards de téléphones seront en circulation et la plupart seront connectés. Les 2,5 milliards de télévisions existantes seront pour la plupart remplacées par des télévisions connectés à internet, directement ou via une set-top box. La majeure partie du milliard de voitures qui roule actuellement seront remplacées par des modèles plus récents qui disposeront d'un accès Internet embarqué.
Cependant, comme dit plus haut, le plus grand réservoir de croissance potentiel concerne le machine-to-machine selon le président d'IMS Research, Ian Weightman. L'institut Gartner a d'ailleurs nommé le MtoM comme étant une des technologies de l'année 2010. Du côté des constructeurs, Qualcomm et Verizon ont créé, il y a un an, une co-entreprise dédiée ce marché spécifique.
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