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(25/08/2010 15:21:11)

Rim rachète Cellmania, spécialiste des applis mobiles

Sur le site de Cellmania, on peut lire que la société, fondée en 1999 à Moutain View , fait partie maintenant de Rim, fabricant des smartphones Blackberry . Cellmania est spécialisé dans les applications mobiles et plus particulièrement dans la mise en place de réseau de distribution de ces contenus.

Rim dispose déjà d'une boutique pour les applications sur ces smartphones, le Blackberry App World. A ce jour, plus de 6 500 applications sont disponibles, sans prendre en compte celles que les entreprises ne souhaitent pas rendre publique.  La firme canadienne pourra donc s'appuyer sur les solutions et l'expertise de Cellmania dans ce domaine. Aucun montant sur l'opération n'a été annoncé.

(...)

(25/08/2010 14:39:19)

Un rapport se penche sur le bilan carbone des e-readers

Ainsi, selon ses analyses, un e-book génère à lui seul près de 7,5 kg en équivalent carbone. Ce chiffre est une estimation, qui prend en compte la production, le transport et le recyclage ou l'élimination de l'appareil. Cleantech a également évalué que le Kindle d'Amazon générait 168 kg d'équivalent de CO² au cours de son existence, contre 130 kg pour l'iPad d'Apple. « Si nous nous fions à ces chiffres, alors, l'iPad paiera pour ses émissions carbone quand vous en êtes au tiers de votre 18ème e-book, et le Kindle à la moitié du 23ème. » écrit Brian Palmer, du Washington Post. En se basant sur les prévisions de Forrester Research qui a établi qu'un utilisateur achète en moyenne trois livres par mois, il ajoute : « à ce rythme, en 6 mois d'utilisation de votre iPad, vous aurez consommé tout votre crédit carbone »

Une relative économie en eau


Pour ce qui est de la consommation d'eau, le New York Times rapporte qu'il faut en moyenne 27 litres pour réaliser un livre imprimé, contre « moins de deux tasses » pour créer un e-book. Toutefois, le journal a établi que 300 litres d'eau étaient nécessaires pour produire un lecteur e-book. Ce qui fait dire à Brian Palmer que « pour s'acquitter de la dépense en eau générée par son e-Reader, il faut avoir lu une douzaine de livres. »

Malgré les arguments vantant la qualité environnementale de leurs produits mis en avant par des entreprises comme Apple et Amazon, la production de livres traditionnels et de livres électroniques, qui fait appel dans les deux cas à des produits chimiques toxiques, n'est pas exempte de risques potentiels. A la différence que, selon le journaliste du Washington Post, la production d'e-readers suppose l'extraction de minéraux non renouvelables comme le coltan ou colombo-tantalite, et leurs batteries dépendent du lithium pour fonctionner, alors que le processus d'impression traditionnel peut au minimum libérer des composés organiques volatils. »

 

Crédit Photo: D.R

(...)

(24/08/2010 16:52:37)

Semestriels ZTE : Résultats robustes et orientation internationale

L'équipementier télécom chinois ZTE vient de publier ses résultats du premier semestre 2010 et ces derniers sont bons. La firme de Shenzen annonce avoir réalisé un chiffre d'affaires de 4,5 milliards de dollars en hausse de près de 11% par rapport à la même période de l'année précédente. Le bénéfice net, quant à lui, s'établit à près de 130 millions de dollars soit une hausse de 12% par  rapport au premier semestre 2009.

L'équipementier s'enorgueillit d'avoir réalisé près de 18% de son chiffre d'affaires sur les marché occidentaux (européen et américain) ce qui correspond à une hausse de 45% de la contribution de ces marchés sur le chiffre d'affaires global. Le chiffre d'affaires international de ZTE s'établit cette année à 2,3 milliards de dollars soit quasiment 50% du chiffre d'affaires global de l'équipementier.

Une vocation internationale plus prononcée

Cette volonté de se tourner vers l'international s'illustre par les différents contrats signés avec de grands opérateurs tels que France Télécom, Telefonica Spain ou encore America Movil ou plus récemment en Hongrie (cf encadré). La baisse du chiffre d'affaires asiatique s'explique par le durcissement des règlementations indiennes sur le contrôle des produits de télécommunications étrangers.

L'activité terminaux mobile a, elle, connu un bond considérable. Ainsi le chiffre d'affaires a progressé de près de 40% grâce à l'arrivée récente des réseaux 3G en Chine ainsi que l'arrivée de smartphones ZTE sous Android en Europe. L'équipementier chinois apparaît confiant pour l'avenir en ce qui concerne plus particulièrement le standard LTE (Long Term Evolution). (...)

(24/08/2010 14:54:48)

Entretien Jerry Kennelly, PDG de Riverbed Technology

Riverbed est un acteur dominant de l'optimisation du WAN mais le danger est de devenir une entreprise qui n'a qu'une corde à son arc. Comment pouvez-vous élargir la portée de votre entreprise ?

Jerry Kennelly : Ce que nous faisons réellement est l'accélération de la couche applicative 7 et ceci a des conséquences beaucoup plus profondes que le simple fait de rendre une ligne télécoms plus rapide et moins coûteuse qu'elle ne l'était. C'est quelque chose qui change la nature de l'infrastructure IT globale pour toutes les grandes entreprises mondiales. Tout le monde aime avoir des liens plus véloces, pour économiser de la bande passante. Cependant, il est moins coûteux de faire de l'optimisation et de la compression à travers le réseau que d'acheter des liens plus rapides. Cette solution a été utilisée aussi pour la consolidation de centres informatiques, ce qui aboutit à déménager tous les serveurs et l'infrastructure IT hors des bureaux distants des entreprises et des multiples centres informatiques, vers uniquement un ou deux centres globaux. Cette tendance a beaucoup contribué à notre croissance au cours des trois dernières années. Nos produits ont rendu cela possible car on ne peut pas faire de consolidation de datacenter à moins de délivrer des performances satisfaisantes.

Il y a environ six mois, nous nous sommes aperçus que ce que nous faisions en consolidant, c'est de créer des clouds privés. Donc, nous avons effectivement pénétré le marché du cloud. Autre conséquence, si vous vous reposez sur notre technologie pour construire un cloud privé, la version publique se fera aussi avec les mêmes solutions. Les plus grandes entreprises mondiale, fournisseurs de services ou intégrateurs de systèmes nous demandent "Comment pouvons-nous créer notre propre infrastructure cloud dans le futur ?"

Parlons de Cisco. Comment faites-vous pour concurrencer une entreprise qui a une si large gamme de produits et un très bon soutien de ses clients ?

Jerry Kennelly : Cisco est très présent sur la couche 2 et 3 du réseau, mais aujourd'hui l'action est moins sur ces  couches mais beaucoup plus sur celles de 4 à 7 (transport, session, présentation et application). Cisco est le roi des niveaux 2 et 3 et nous sommes les rois des couches 4 à 7.

Au bout du compte, tout dépend du produit. Si vous avez le bon produit, vous avez une chance de réussir. Le fait que Riverbed existe et dispose d'une plus grande part de marcgé que Cisco, prouve seulement à quel point nos produits sont appréciés. Car si ce n'était pas le cas, nous aurions mordu la poussière il y a longtemps. Cisco n'a pas d'expertise dans la couche applicative. Personne ne peut tout faire, être bon dans tous les domaines, pour toujours. Après avoir concurrencé Cisco durant 9 ans, je peux vous dire que ce ne sont pas des surhommes.

Pour lire la suite de l'entretien, cliquez ici (...)

(24/08/2010 14:13:24)

Intel et Nokia vers la 3D et la réalité virtuelle sur mobile

Intel, Nokia et l'Université finlandaise d'Oulu ont annoncé qu'ils allaient lancer, en collaboration, un centre de recherche pour créer un logiciel pour intégrer la 3D et la réalité virtuelle sur les appareils mobiles. Il sera développé par 24 ingénieurs sur la base de l'OS Open Source Meego, lancé en février par les deux entreprises. Une pré-version mobile du système d'exploitation avait été mise à disposition des développeurs fin juin. Durant une conférence téléphonique, le fondeur californien et le constructeur finlandais ont avancé qu'ils envisageaient qu'une telle application puisse fonctionner sur des smartphones et tablettes. L'Université d'Oulu est réputée pour ses travaux en électronique, en photonique et en télécommunications, mais les chercheurs utilisent aussi la plateforme de réalité virtuelle Open Source RealXtend.

Des perspectives alléchantes

« La 3D et les mondes virtuels peuvent potentiellement révolutionner l'expérience des utilisateurs mobiles », affirme Mika Setala, responsable des partenariats chez Nokia. Une des premières applications d'un tel logiciel sera de mettre en place un panneau de contrôle virtuel pour réguler la température et l'éclairage chez soi. « La réalité sera imitée pour ces deux paramètres, mais aussi pour l'énergie consommée », précise-t-il, sans donner de prévisions quant à la date de sortie. Créer des réseaux sociaux intégrés à des mondes virtuels pour appareils nomades, en utilisant les fonctions GPS et autres informations de localisation « sera une killer app, ou aura du moins un large succès », indique Heikki Huomo, directeur du Centre pour l'Excellence d'Internet à l'université. « Les consommateurs se sentiront plus impliqués avec ces technologies ».

Martin Curley, directeur des Intel Labs européens, explique que le centre de recherche se focalisera sur le développement d'un logiciel Open Source qui complètera les puces Intel. Il n'a pas non plus écarté la possibilité que ce programme puisse ouvrir la voie à la création d'autres appareils Nokia basés sur les futures architectures des circuits du fondeur.

Pas de lunettes 3D pour mobiles

En utilisant RealXtend, il a été possible de faire regarder YouTube par un avatar dans un monde virtuel. Nokia, Intel et l'Université travaillent à rendre ce type d'interactions réalisables sur des plateformes mobiles. Heikki Huomo fait au passage remarquer qu'il ne s'agit pas d'un partenariat mais bien d'une recherche en collaboration, et que les fonds investis devraient financer les 24 ingénieurs pendant une durée d'environ trois ans. De son côté, Intel possède déjà 21 laboratoires en Europe, comprenant un total de 900 employés. Le but n'est pas de construire un affichage en 3D, les expériences de ce type peuvent très bien être vécues en seulement deux dimensions ajoute-t-il. Le fait de devoir utiliser des lunettes spéciales est d'ores-et-déjà exclu, les écrans de petite taille n'ayant de toute façon pas les mêmes contraintes que les téléviseurs ou les cinémas, sur lesquels les effets 3D ne peuvent pas être vus à l'oeil nu.

Développer une technologie holographique en 3D capable de projeter une image interactive n'est pas une idée qui a été écartée à l'heure actuelle, mais l'universitaire avoue que cela risquerait de retarder le projet. Les hologrammes ont en effet pendant des années été des éléments de science-fiction, comme dans Star Wars, mais les chercheurs d'Oulu essaient tout de même « d'arriver à des hologrammes 3D réellement immersifs ».

Un avantage compétitif potentiel

Le centre de recherche offre à Nokia et Intel l'opportunité de booster MeeGo, selon Jack Gold, analyse chez J.Gold Associates. « La 3D sera plus importante pour les dispositifs mobiles à grand écran, comme les tablettes, que sur les smartphones par exemple ». Les deux entreprises essaient de rattraper l'avance des autres acteurs avec de telles technologies, surtout pour Nokia qui s'est laissée submerger sur son propre marché, alors qu'Intel domine toujours le sien. Les produits issus de ce partenariat pourraient être en mesure de se distinguer avec des applications de réalités virtuelles et de 3D. « Personne n'a le monopole de l'innovation. Cette recherche devrait relancer la compétition pour tout le monde », conclut Martin Curley.

Illustration : Nokia N9 sous MeeGo, crédit photo : DR

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