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(16/08/2010 11:32:39)

Un manager d'Apple aurait touché 1 million de dollars en pots-de-vin

Accusé d'avoir accepté des pots-de-vin, Paul Shin Devine, gestionnaire de l'approvisionnement mondial pour Apple ayant des responsabilités dans les contrats de production en Asie, a été arrêté vendredi. Il aurait reçu près d'un million de dollars de la part de six fournisseurs d'accessoires pour iPod et iPhone basés en Asie. Cette rétribution récompensait l'échange d'informations confidentielles pour obtenir des contrats avantageux avec Apple. Cet argent était fractionné en petites sommes déposées sur des comptes bancaires au nom de sa femme pour ne pas attirer l'attention. Il doit désormais répondre de chefs d'accusation de fraude électronique, blanchiment d'argent et transactions monétaires sur des biens provenant d'activités criminelles.

Un silence équivoque

Le Wall Street Journal révèle que les sociétés incriminées sont notamment Cresyn (Corée du Sud), Kaedar Electronics (Chine) et Jin Li Mould Manufacturing (Singapour). Les pots-de-vin auraient été partagés avec Andrew Ang, employé chez Jin Li, accusé, lui, de conspiration, et dont le rôle était de faciliter les négociations entre le manager corrompu et les entreprises asiatiques, y compris la sienne. Le directeur de Jin Li, Andric Ng, a déclaré ne rien pouvoir commenter à l'heure actuelle, tandis que Paul Kim, salarié de Kaeder Electronics a affirmé que personne de son entreprise n'était capable de répondre aux questions liées à cette affaire. Selon son profil LinkedIn, Paul Shin Devine travaillait chez Apple depuis cinq ans, et était auparavant chef de produit chez Teledyne. La firme de Cupertino aurait commencé à le suspecter suite à des envois d'emails suspects à partir de son ordinateur professionnel. Elle a finalement porté plainte vendredi auprès de la Cour de Justice américaine du district de San Jose.

Crédit Photo : D.R.

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(13/08/2010 12:23:57)

Oracle poursuit Google pour l'utilisation de Java sur Android

Oracle a annoncé jeudi avoir porté plainte contre Google, accusant le système d'exploitation mobile Android de violer des brevets et copyrights liés à Java. « En développant Android, Google a volontairement et directement enfreint la propriété intellectuelle de Java détenue par Oracle », indique Karen Tillman, porte-parole de l'éditeur de bases de données.

Lorsque Google a développé Android, il a inclus une technologie compatible avec Java, appelée Dalvik. Or, cette dernière a été créée comme une version « clean room » de Java, c'est-à-dire que la firme de Mountain View l'a programmée en partant de rien et sans utiliser de technologie Sun, affirme Ken Dulaney, analyste chez Gartner. « Vous ne pouvez pas juste prendre une application Java issue d'un environnement Sun, dans lequel elle est licenciée, et la faire tourner sous Android. Il faut d'abord la compiler avec Dalvik ». Pour Oracle, Dalvik est un concurrent de Java et viole de nombreux brevets. Il est probable que la motivation d'une telle plainte provienne du succès de l'OS mobile sur le marché du smartphone. « Ils possèdent Sun et maintenant ils veulent récupérer les royalties sur le langage », déclare Ken Dulaney. Google aurait d'ailleurs embauché certains des ingénieurs Java de chez Sun, d'où la motivation d'Oracle à bloquer ces infractions et évidemment à toucher des dommages et intérêts.

Une plainte un peu faible

Ken Dulaney estime que l'affaire sera difficile à prouver pour la société de Larry Ellison, et que la bataille juridique pourrait tendre à s'éterniser. Surtout si l'on se réfère au récent jugement SPSS contre WPS qui risquerait de faire jurisprudence dans le domaine : « le copyright des programmes informatiques ne protège pas les langages de la copie ».

Illustration : Ken Dulaney, analyste chez Gartner (crédit Photo : D.R.)

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(12/08/2010 12:36:04)

Wimax 2, standard officiel en novembre ?

Tandis que le LTE (3GPP) fera ses grands débuts chez les fournisseurs en 2011 aux Etats-Unis, le Forum Wimax espère pouvoir mettre en place le standard Wimax 2 début 2012. Connu officiellement sous l'appellation 802.16m, le standard pourrait être finalisé par l'IEEE pour le mois de novembre si l'on en croit Declan Byrne, directeur marketing du Forum. Il espère par ailleurs qu'en conséquence, des appareils utilisant cette technologie pourront être construits dès 2011, et que les FAI déploieront le standard pour 2012 sur le territoire américain.

Concurrence et très haut débit

Le Wimax 2 sera bien plus rapide que son aîné souligne le vice-président du Forum, Mohammad Shakouri, qui déclare vouloir atteindre un débit moyen de 100 Mbit/s. Par comparaison, l'offre WimaxX Xohm de Sprint, lancée en 2008, délivrait des débits compris entre 3,7 et 5 Mbit/s. Par contre, il ne faudra pas espérer un élargissement de la zone de couverture, qui restera la même que le standard précédent, à savoir environ 80 km² par point d'accès. Au niveau de la compatibilité, le standard Wimax premier du nom, aussi appelé 802.16e, sera supporté par son successeur afin de faciliter la transition pour les fournisseurs d'accès. L'un d'entre eux, Clearwire, qui est le principal FAI à utiliser un réseau sans fil basé sur le standard Wimax, a pourtant annoncé vouloir passer prochainement au LTE, soit comme alternative ou complément de son offre actuelle. « D'une certaine façon, cela pourrait être positif à la fois pour LTE et Wimax puisque cela désamorcerait la rivalité qu'ont créé certaines personnes concernant les deux technologies », déclare Declan Byrne sur le sujet. Ces deux standards arriveront sur le marché à un moment où, selon Cisco, le trafic Internet mobile devrait doubler chaque année jusqu'en 2013, notamment via la vidéo qui consommera beaucoup de la bande passante.

Crédit Photo : Wimax Forum

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(11/08/2010 16:04:49)

Lotus Notes/Domino : IBM tique sur un rapport de Gartner

Ed Brill, directeur du marketing produits chez IBM Lotus, n'a pas apprécié la teneur d'une récente étude de Gartner portant sur la migration de Lotus Notes et Domino vers une autre solution de messagerie. Dans un billet de blog publié en fin de semaine dernière, il n'a pas manqué de donner son point de vue sur la question. Avis que Tom Austin, vice-président chez Gartner et auteur du rapport, juge un tantinet partial.

Le rapport intitulé "Migrer depuis les messageries de Notes/Domino peut être judicieux dans certains cas", explique que davantage d'utilisateurs de Lotus s'adressent au cabinet d'étude pour être conseillés dans leur migration vers d'autres systèmes de messagerie. C'est beaucoup de bruit pour rien, selon Ed Brill qui aurait plutôt titré : "La migration de Notes/Domino ne se justifie pas dans plupart des cas ». Mais, cela ferait sans doute vendre moins de prestations de conseil, ajoute-t-il.

Pour appuyer son hypothèse, Ed Brill relève quelques extraits du rapport, tels que "les clients d'IBM qui choisiront de migrer vers Microsoft seront probablement déçus" ou encore "IBM reste un fournisseur de solutions de messagerie solide et fiable." Enfin, pour le responsable produits de Big Blue, dire qu'il y davantage de clients Notes/Domino songeant à migrer tient plutôt du potin. En fait, indique-t-il, les ventes de nouvelles licences ont augmenté au cours du second trimestre.

De son côté, Tom Austin, juge que le billet de blog d'Ed Brill ne fournit pas une vue complète de la situation. Par exemple, entre le 1er juillet 2009 et le 30 avril 2010, les analystes de Gartner ont été sollicités par 116 clients différents, à une ou plusieurs reprises, pour obtenir des conseils sur une migration éventuelle hors du système de messagerie de Notes." A contrario, il fait remarquer dans un second billet que "les clients de Microsoft n'ont pas consulté Gartner pour obtenir des conseils sur l'opportunité de migrer vers Notes et Domino pour la messagerie." Selon lui,  "cette disparité est un élément important." Enfin, le vice-président de Gartner souligne que l'analyse contenue dans le rapport est basée sur des données de fond et résulte de discussions très sérieuses au cours desquelles des professionnels ont exprimé leurs préoccupations et fait état des questions qu'ils se posaient. (...)

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