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Mobilité

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(13/07/2010 16:31:30)

WPC 2010 : Microsoft promet des tablettes et s'active sur Windows Mobile 7

Steve Ballmer est monté au créneau lors de la conférence WPC, qui se tient à Washington DC cette semaine, pour donner ses orientations dans le secteur de la mobilité. Il y a quelques semaines Le dirigeant a repris la main sur la division entertainment et device. Dans sa présentation, le dirigeant a demandé aux partenaires de faire confiance à Microsoft pour développer des tablettes. Le responsable n'a fait aucune allusion à l'iPad, aux ardoises sous Android annoncées ou à HP qui a abandonné Microsoft au profit de l'OS de Palm, acquis récemment, mais il a entendu les requêtes des partenaires quant à une référence design de tablette tactile. Microsoft assure travailler sur différents facteurs de formes de tablette et collabore avec Dell, Samsung, Toshiba et d'autres fabricants pour proposer une vaste gamme de terminaux. Ces derniers devront aussi bien s'adresser au grand public, mais comprendre également des outils de gestion pour le monde de l'entreprise.

Mea culpa sur la téléphonie mobile

Autre sujet, la téléphonie mobile, après l'échec du Kin et l'attente d'un véritable OS mobile. Steve Ballmer s'est livré à un acte de contrition, relativement rare pour le souligner « nous avons loupé un cycle complet avec le système d'exploitation Windows Mobile ». Il a indiqué que ses équipes allaient travailler très dur pour proposer un OS mobile performant et revenir sur ce marché. Le dirigeant est par contre resté évasif sur la date de sortie exacte de Windows Phone 7, même il doit intervenir avant la fin de l'année 2010.

Des outils de développement dévoilés

Parallèlement aux annonces faites lors de la WPC 2010, la firme de Redmond a dévoilé des outils de développements en version beta pour Windows Phone 7. Ces outils doivent permettre aux développeurs de créer des applications comme des jeux par exemple sur les smartphones.

 


Crédit Photo: iiview

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Une première version de démonstration avait été publiée au mois de mars dernier soulevant l'approbation de la communauté des développeurs, comme le souligne Brandon Watson, bloggeur de Microsoft.

Dans une note accompagnant ces différents outils, Microsoft a présenté une famille d'API qui fait dire au bloggeur que l'API Windows Phone 7 est en voie d'achèvement. Il souligne la mise à jour de la notification push, l'accéléromètre et l'App Bar API. « cette version beta est un jalon important pour que les développeurs puissent créer leurs applications dans une architecture quasi-définitive, même si des ajustements seront réalisés plus tard ».

Le monde professionnel n'est pas oublié, comme l'indique un autre bloggeur de Microsoft, Paul Bryan, avec l'intégration de SharePoint Workspace Client au sein du futur OS mobile. Ce marché est estimé à 5,7 milliards de dollars aujourd'hui et 6,7 milliards dans les 12 prochains mois. A travers ce client, les collaborateurs disposeront des solutions Office sur leur smartphone (OneNote, PowerPoint, Excel and Word). Ces outils permettront d'intégrer des Photos sous Silverlight, pour créer des widgets professionnels « tableau de bord, chiffre des ventes, action marketing » souligne le bloggeur.

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(13/07/2010 14:12:15)

Une association de consommateurs déconseille l'achat de l'iPhone 4

Equivalent américain de 60 millions de consommateurs, le Consumer Reports a fait tester trois exemplaires de l'iPhone 4 par ses ingénieurs, dans un laboratoire dédié à l'analyse des téléphones portables. Résultat, les trois appareils ont présenté des problèmes de réception. Le signal se dégrade de manière "significative" lorsque la main de l'utilisateur est en contact avec la partie latérale gauche, au bas de l'appareil. Les ingénieurs ont également comparé, dans les mêmes conditions, et sur le réseau du même opérateur, la réception de l'iPhone 4 avec celle d'autres téléphones, dont l'iPhone 3GS, et le Palm Pre. A cet exercice, le smartphone d'Apple a été le seul a présenté des problèmes de réception.

Des explications peu convaincantes

Le Consumer Reports a par ailleurs remis en question les explications d'Apple fournies récemment dans un communiqué. Pour la firme californienne, la formule qu'elle utilise pour calculer le nombre de barres du signal est erronée, et sera corrigée par une mise à jour logicielle. "Le problème de signal est la raison pour laquelle nous ne citons pas l'iPhone 4 parmi nos modèles recommandés, même si ses notes dans d'autres tests le placent en tête de notre classement de smartphones", a indiqué le Consumer Reports sur son site Internet.

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Pour résoudre le problème de réception de l'iPhone 4, le magazine suggère une solution simple et efficace : recouvrir la bordure métallique de l'appareil avec un bout de scotch (sur la partie inférieure droite), ou bien utiliser une coque en caoutchouc (30 € environ). A la rédaction du Monde Informatique, plusieurs iPhone 4 sont utilisés sans problèmes avec cette dernière solution. Certains bugs sont plus agaçants à l'usage. Le détecteur de présence oublie, par exemple, de mettre l'écran en veille ce qui déclenche la fonction haut parleur quand on colle le smartphone contre son oreille.

Une recommandation très peu suivie

"Ceux qui veulent un iPhone qui fonctionne bien sans recourir à un bout de ruban adhésif, nous continuons à recommander l'ancien modèle, l'iPhone 3GS", conclut le magazine. Un avis guère suivi pour l'instant puisque Apple n'est toujours pas capable de livrer suffisamment de smartphones aux opérateurs, en France comme aux Etats-Unis. Une fois passé l'effet nouveauté, le souffle devrait toutefois retomber et il sera toujours temps de demander des comptes à la firme de Cupertino. Aux Etats-Unis, Apple et l'opérateur AT&T sont déjà sous le coup d'une action collective, par des consommateurs s'estimant victimes de la perte du signal de l'iPhone 4.




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(12/07/2010 17:19:36)

Avec Sybase, SAP prépare du push pour tous les mobiles

«Si les clients ont besoin du push en temps réel de tout type de données sur leurs appareils mobiles, nous le ferons." explique Sanjay Poonen, vice-président exécutif de SAP. « Beaucoup de clients veulent disposer d'informations pendant leurs déplacements pour prendre des décisions, avant d'entrer en réunion, ou quand ils sont hors de leur bureau. C'est la principale raison pour laquelle nous voulons acquérir Sybase."
Prenant la parole lors du SAP World Tour actuellement à Birmingham, Sanjay Poonen a poursuivi en déclarant qu'un ensemble de « pressions financières et réglementaires, les nouvelles technologies plus la nouvelle génération de salariés » a poussé les entreprises à engager des changements radicaux en matière informatique. « Et les fournisseurs se doivent de soutenir cette évolution, » a-t-il affirmé. L'un des changements les plus importants a été de rendre les données disponibles quel que soit le lieu et de s'adapter à différents types de service. « La stratégie de SAP a été de faire que le logiciel soit disponible «à la demande, en plusieurs lieux et sur plusieurs types d'appareils, » a-t-il expliqué, ajoutant qu'il fallait en plus que tout cela se passe en temps réel. « Les utilisateurs veulent pouvoir planifier leur travail plus intelligemment, l'exécuter plus rapidement et de manière plus performante. »

Les plates-formes mobiles sont un marché d'avenir pour l'éditeur

La gestion de la relation client et la business intelligence sont les principales offres mobiles actuellement disponibles chez l'éditeur de Walldorf. Mais Sanjay Poonen a fait valoir qu'il y avait un gros potentiel pour créer de nombreux modules pour les utilisateurs nomades, notamment en matière de gestion des ressources humaines et de distribution des données. Selon une enquête réalisée par SAP, le logiciel sur site va sans doute encore dominer le paysage pour les trois à cinq ans à venir. L'étude menée au Royaume-Uni auprès de 250 responsables informatiques a révélé que 71 % des déploiements de logiciels se font actuellement sur site, 17 % à la demande et 13 % concernent les appareils mobiles. Ces résultats sont sans commune mesure avec la répartition qualifiée d'« idéale » par les entreprises  - 47 % pour le déploiement local, 31 % à la demande et 22 % sur mobile - lesquelles comptent se rapprocher de ces ratios dans les trois à cinq ans. En 2015, elles voudraient voir cette répartition évoluer vers un 51% sur site, 28 % en déploiement à la demande et 21 % pour les appareils mobiles.

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De fait, l'importance du déploiement sur site a diminué, laissant de nombreux utilisateurs s'orienter vers le cloud ou vers des solutions accessibles sur appareils portables. « Le passage par des modèles basés sur lecCloud était principalement motivé par le coût et une évolutivité rapide, » a déclaré Sanjay Poonen, qui a reconnu que les préoccupations de sécurité retiennent encore de nombreuses entreprises. L'adoption d'un modèle mobile a été motivée par la demande de salariés souhaitant disposer de plus d'informations pendant leurs déplacements, ainsi que par les jeunes générations, peut-être plus familières de la tablette tactile et du smartphone que des ordinateurs portables traditionnels.

Simplifier le travail avec les solutions non-SAP

L'éditeur dispose de 100 000 clients environ dans le monde, répartis entre spécialistes de la planification des ressources dans l'entreprise et ceux de la business intelligence. Au Royaume-Uni, parmi les gros clients, SAP compte notamment BP, Shell, Pfizer, Burberry, Premier Foods et la BBC. L'entreprise vend aussi son offre Business ByDesign sous forme de software-as-a-service à des petites et moyennes entreprises. Selon Sanjay Poonen, l'éditeur allemand reconnaît que beaucoup de clients demandent que les masses de données traitées par leur ERP ou leurs outils décisionnels puissent s'interfacer plus facilement avec des systèmes non fournis par SAP. Mais il a insisté sur le fait que SAP disposait des outils pour extraire et traiter ces informations de manière efficace.

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(12/07/2010 16:39:45)

App Inventor aide à la création de sa propre appli Android

Baptisé App Inventor, l'outil en ligne d'applications de Google est accessible à tous. Nul besoin d'être développeur ou de posséder des connaissances en programmation, affirme le géant du Web sur un site dédié. En effet, les lignes de codes nécessaires au développement d'une application et la compilation sont réalisées par le logiciel lui-même. Seules conditions pour utiliser ce logicile (proposé pour l'heure en version bêta), posséder un terminal sous Android ainsi qu'un compte de messagerie Gmail.

Une interface utilisateur simplifié

Concrètement, l'utilisateur qui souhaite créer son application via l'App Inventor doit agencer des blocs graphiques et remplir certains champs d'informations. L'outil permet de concevoir des logiciels tout en prenant en compte certaines fonctions d'un smartphone, comme la localisation par GPS, le réseau Twitter, ou l'accéléromètre qui capte les mouvements de l'appareil.

En lançant un outil simplifié de création d'applications, Google entend par-là attirer un grand nombre d'utilisateurs qui n'ont pas forcément de compétences spécifiques dans la programmation. A terme, la communauté des développeurs Android pourrait croître rapidement, de même que le nombre d'applications proposées sur l'Android Market. Ce dernier compte environ 75.000 applications, mais reste à la traîne face à l'App Store d'Apple qui culmine déjà à plus de 200.000 applications pour l'iPhone, l'iPad et l'iPod Touch.

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(09/07/2010 11:56:35)

5 milliards d'abonnés à la téléphonie mobile dans le monde

Selon le rapport d'Ericsson, la 5 milliardième ligne de téléphonie mobile a été ouverte jeudi 8 juillet. En 2000, le nombre d'abonnés s'élevait à 720 millions, soit à peine le chiffre d'utilisateurs que compte la Chine actuellement. Les recrutements évoluent désormais à un rythme de 2 millions par jour, grâce à la forte croissance des pays émergents, notamment la Chine et l'Inde.

Sur les 5 milliards d'abonnements mobiles, la part des contrats 3G (réseau mobile de troisième génération) s'élèverait à 500 millions. Un chiffre qui devrait atteindre les 3,4 milliards en 2015, selon Ericsson. Avec 5 milliards d'utilisateurs, la téléphonie mobile représente l'une des technologies personnelles la plus adoptée dans le monde, avec le téléviseur (environ 5 milliards également), mais loin devant le PC (près de 2 milliards).

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(09/07/2010 11:56:53)

La technologie sans contact entre réflexion et perspective

« Le défi que nous voulons relever est de faire de la France le leader mondial de la technologie sans contact. » Signée Christian Estrosi, ministre de l'industrie lors d'une conférence sur l'évolution du sans contact en France, cette citation montre l'ambition gouvernementale au sujet de la technologie NFC (Near Field Communication) et du sans contact en général. Un message similaire avait déjà été passé par Luc Chatel, il y a un an, alors au même poste.

Le voeu du ministre risque de ne pas aller bien loin. Force est de constater que depuis cinq ans toutes les expérimentations butent au final sur la question de la répartition des revenus entre les opérateurs télécoms et les banques, et du modèle économique au sens plus large. Une source proche d'un opérateur notait récemment que le niveau élevé d'endettement des opérateurs mobiles français auprès des banques ne favorise pas la négociation. Faudra-t-il en arriver à la solution japonaise portée par l'opérateur NTT Docomo qui possède un écosystème propriétaire avec son propre système de crédit ?  D'autres options sont aussi à trouver du côté de la grande distribution.

Tour de France des projets

Quoiqu'il en soit, la conférence du 6 juillet n'aura pas abordé cette question épineuse. Elle a commencé en faisant le point sur trois projets pilotes emblématiques du NFC en France, à savoir Caen, Bordeaux et Nice (Strasbourg ou Besançon n'étaient pas présentes). Le projet Caennais a démarré en 2005. Elle est la première ville au monde à avoir réalisé des paiements par mobile au travers de cas d'usage comme de la billettique sans contact installée dans les parkings Vinci dès 2005.

Le développement s'est poursuivi dans la ville normande avec la mise en place du projet Pégasus/Payez mobile en associant 6 grandes banques et 4 opérateurs de téléphonie mobile. Une mobilisation dont l'intérêt a été souligné par Josette Travert, Maire adjointe de Caen et présidente de l'université de Caen : « le fait d'avoir plusieurs banques et opérateurs nous a permis d'avoir une expérience à grande échelle qui n'est pas limitée à 1 ou 2 acteurs. »

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Cette expérience de paiement mobile a eu des résultats positifs puisque 94% des utilisateurs souhaitaient une généralisation du procédé. La dernière phase d'expérimentations déployée actuellement sur la ville est un projet international réunissant 25 partenaires et se nommant Smart Urban Spaces. Ce dernier  vise à tester l'interopérabilité d'une carte de vie citoyenne basée sur le mobile. Elle est distribuée auprès de 2500 utilisateurs et 160 commerces du centre-ville de Caen et a pour cadre d'usage le paiement, la billettique, les programmes de fidélisation et la gestion des événements.

Autre projet présenté : celui de Bordeaux. La diffusion du sans contact y est orientée sur 4 axes majeurs de la politique municipale : l'éducation, la participation, l'internet pour tous et les services. Une carte ville à été lancée autour de ces orientations permettant l'accès à certaines infrastructures municipales. En 2007 cette carte a été simplifiée et a muté en carte sans contact multimodale. Aujourd'hui 35 000 bordelais possèdent une telle carte.

L'objectif de la municipalité est de dématérialiser cette carte sur d'autres supports comme le mobile ou sur une clé USB. Cette évolution va être installée en partenariat avec Applicam, Neowave, Orange Business Services et BNP Paribas.

Enfin, l'expérimentation la plus récente concerne la ville de Nice. Celle-ci a déployé un projet NFC. Nommé Cityzi, il repose sur des téléphones mobiles NFC (le Player One de Samsung, un des rares téléphones commercialisés embarquant du NFC) ou sur une carte bancaire sans contact. Il offre de services large avec des offres de billettique pour les transports, des informations culturelles, des infos contextuelles dans la ville et surtout depuis peu, le paiement. Environ 500 commerçants sont équipés de terminaux sans contact. 11 banques et les 3 opérateurs mobiles dominants sont partenaires.

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Florence Barale, élue en charge du développement du NFC sur la ville de Nice, insiste sur la nécessité d'une « implication forte des collectivités territoriales pour permettre une implantation efficace ».

Intermodalité et nouveaux projets

Lors de la conférence, Pierre Hérisson, député de la Haute-Savoie et président du groupe d'étude poste et communications électroniques a également tenu à rappeler qu'il restait « encore des marges d'amélioration au sujet de l'acceptation du sans contact par tous les publics et notamment les plus âgés ». Roland Ries, sénateur-maire de Strasbourg  et président du groupement des autorités responsables du transport (GART), a quant à lui mis en avant la nécessité de mettre en oeuvre l'intermodalité entre moyens de transports : « l'intermodalité permet de mieux organiser l'offre et d'optimiser les déplacements sur notre territoire ». Cette prise en compte va permettre, selon lui : « un essor mondial du sans contact ».

En conclusion,  Christian Estrosi, ministre l'industrie, a fait l'annonce des 12 lauréats de l'appel à projet « objets communicants et sans contact » qui se partageront une enveloppe de 4,5 millions d'euros sur un effort global en recherche et développement de 12,5 millions d'euros. Ces projets touchent des secteurs comme le commerce, le tourisme ou encore la santé. Pour pousser les territoires à l'innovation et à l'appropriation de nouvelles technologies, le ministre à  également confirmé la labellisation dès 2010 de 3 à 5 territoires « leaders du sans contact ». Bref, on continue d'avancer à petits pas sans progresser réellement tant que la répartition des revenus entre les banques et les opérateurs n'aura pas été clarifiée.

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