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(11/05/2010 09:31:36)

La conférence développeurs 2010 d'Apple affiche déjà complet

Si vous vouliez participer à la prochaine conférence développeurs d'Apple et que vous n'avez pas encore acheté votre ticket d'entrée, c'est malheureusement trop tard pour vous. Il faudra attendre l'édition 2011. Huit jours à peine après l'annonce des dates prévues pour la WWDC (Worldwide Developers Conference) 2010, tous les tickets d'entrée ont déjà été vendus. « Sold out » annonce discrètement mais clairement le site de la conférence (http://developer.apple.com/wwdc/). C'est la troisième année de suite que les aficionados de la marque se ruent de cette façon sur le précieux sésame qui leur permettra de franchir les portes du Moscone Center de San Francisco du 7 au 11 juin prochains. Apple promet d'y rassembler 1 000 de ses ingénieurs et 5 000 développeurs. Et pourtant, le prix du ticket a été relevé de 300 dollars pour cette édition, à 1 595 dollars l'unité.

La WWDC 2008 fut la première à afficher complet dans l'histoire du groupe. Mais il est vrai que ce fut cette année-là que le constructeur californien inaugura ses sessions sur le kit de développement d'applications pour l'iPhone, rappellent nos confrères de MacWorld. Cette fois, on espère en apprendre davantage sur l'iPhone OS 4, présenté en avril.

L'an dernier, Steve Jobs, encore souffrant, n'était pas là pour le traditionnel discours d'ouverture. Cette année, on espère de lui une  nouvelle annonce de produit remarquable lors de la WWDC. Le mois dernier, un prototype égaré de l'iPhone v4 a suscité beaucoup de rumeurs.

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(10/05/2010 16:27:41)

Le WiGig jette un pont vers le WiFi

Le mois dernier, la Wireless Gigabit Alliance (WiGig) a publié une spécification sur les réseaux sans fil Gigabit qui utilisent les fréquences dans la bande 60 GHz pour offrir un débit de 7 Gbits Aux États-Unis, la bande des 60 GHz commence à être utilisée pour les applications grand public, et peut se révéler très attractive pour les usages demandant beaucoup de bande passante comme les points d'accès très fréquentés ou le streaming de vidéo HD. Et selon le WiGig, les fréquences 60 GHz sont disponibles dans la plupart des pays. Conformément à un accord annoncé lundi dernier, la WiFi Alliance évaluera la technologie WiGig pour l'intégrer dans le cahier des charges 60 GHz à venir. Dans le cadre du même accord, le groupe WiGig aura accès aux spécifications de la WiFi Alliance afin qu'il puisse poursuivre l'alignement de sa propre technologie sur ces normes. "Nous allons certainement examiner de manière approfondie leurs spécifications et peut-être même les certifier », précise Edgar Figueroa, CEO de la WiFi Alliance.

La société SiBEAM, le principal promoteur d'une technologie alternative appelée WirelessHD 60 GHz, a également indiqué qu'elle avait mis au point une puce bimode WirelessHD / WiGig. Les échantillons de ce circuit sont maintenant disponibles en quantité, et SiBEAM proposera en juin prochain un référence design pour ses clients, a déclaré John LeMoncheck, le PDG de la société. Contrairement aux projets de WiGig, SiBEAM a déjà planifié l'expédition de ses puces à destination de fabricants de produits électroniques grand public tels que les téléviseurs. Mais il est aujourd'hui le seul fabricant de puces à porter la norme WirelessHD. SiBEAM n'est pas prêt à plier devant le WiGig, soutient John LeMoncheck. Au contraire, les deux technologies ont des forces différentes et SiBEAM pourra offrir les deux à ses clients, précise-t-il. Bien que le WirelessHD ait été conçu pour le streaming vidéo entre deux appareils, le WiGig est plus orienté vers les réseaux de données et n'est pas aussi bien adapté à la vidéo, poursuit-il. Le WirelessHD a un débit théorique de 28 Gbits contre 7 pour le WiGig, donc il convient mieux aux futurs équipements qui afficheront de la vidéo HD.

 

Illustration : boitier WiGig, crédits photo D.R.

 

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Une autre technologie haut débit sans fil, le WHDI (Wireless Home Digital Interface), est également disponible sur certains équipements grands publics, les TV notamment, mais il n'est pas en concurrence directe, car il fonctionne dans la gamme des 5 GHz.

L'Alliance WiGig a été formée il y a un an par de nombreux fabricants de puces WiFi et certains acteurs comme Microsoft, Nokia et les principaux constructeurs de produits électroniques grand public. Elle a achevé une spécification technique en décembre 2009 et a publié le mois dernier une version libre de droit à destination des développeurs. Les fabricants de puces Intel, Broadcom et Atheros ont exprimé le désir de faire du WiGig une extension du WiFi, permettant aux utilisateurs de bénéficier de vitesses de plusieurs gigabits tout près d'un point d'accès et de rebasculer sur du WiFi traditionnel quand le signal 60 GHz n'est plus accessible. Combiné à cette nouvelle norme, le WiFi, déjà largement adopté dans le monde entier, pourrait faciliter le développement du WiGig sur les hotspots ou dans les foyers en équipant les box des opérateurs.

Le groupe de travail 60 GHz au sein de la WiFi alliance va étudier les spécifications WiGig pendant des semaines ou des mois avant de décider quels éléments il apportera, le cas échéant , à son propre standard 60 GHz, a déclaré Ali Sadri, président  de l'Alliance WiGig. Si la WiFi Alliance n'est pas un organisme de normes officielles, elle a toutefois le pouvoir d'agir au nom de ses membres très actifs dans l'élaboration d'un standard de réseau sans fil. Le groupe a ainsi déjà travaillé de concert avec l'Institute of Electrical and Electronics Engineers (IEEE) pour définir des normes comme le Draft 802.11n.

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Le rôle de la WiFi Alliance est de s'assurer que les produits des différents fournisseurs pourront bien travailler ensemble de toutes les manières qu'ils prétendent. Quand un consommateur rentre à la maison et tente de faire communiquer ses équipements, explique Edgar Figueroa le CEO de la WiFi Alliance. Ainsi, si le WiGig finit par faire partie du WiFi, des produits auront une certification spéciale pour cette capacité, et les consommateurs sauront qu'ils pourront facilement passer de la bande 60 GHz à d'autres bandes de WiFi, dit-il. L'interopérabilité avec WiFi peut sans doute commencer par les fonctions de base telles que la connectivité LAN et WiFi Direct, une forme peer-to-peer de la communication de données, nous explique Ali Sadri. Pour certifier les produits WiGig pour d'autres usages, comme le sans-fil HDMI (High-Definition Multimedia Interface), l'alliance peux se tourner vers d'autres organismes.

Le fruit de ces accords ne sera pas susceptible d'arriver avant la deuxième moitié de 2011, estime l'analyste Kurt Scherf qui travaille pour Parks Associates. Mais un partenariat entre le WiGig et le WiFi pourrait être un tournant sur le marché selon les analystes. "C'est potentiellement un jeu d'échanges», a ainsi souligné Brian O'Rourke, analyste chez In-Stat. Le partenariat apporte plus de crédibilité au WiGig et renforce le WiFi qui plafonne à un débit théorique de 600 Mbits avec le 802.11n. Compte tenu de cet accord, la compagnie SiBEAM devra probablement trouver un moyen d'interagir avec WiFi, estiment les analystes. Mais John LeMoncheck pense qu'il n'est guère besoin d'une capacité de transfert intercellulaire entre le WirelessHD et le WiFi puisque le premier est conçu principalement pour le streaming vidéo dans une pièce. L'intégration avec WiFi sera vraisemblablement un processus graduel, ajoute Brian O'Rourke. Il existe d'une part des défis particuliers à l'ajout de capacités de 60 GHz à une puce. "À cette fréquence, la fabrication des puces devient de plus en plus difficile», précise-t-il. « Quand la fréquence augmente, les problèmes d'interférence sont multipliées."

Pourtant, même la fin de l'année prochaine, il ne sera pas encore trop tard pour capitaliser sur une demande naissante, analyse Kurt Scherf de Parks Associates. Les utilisateurs n'ont tout simplement pas besoin de 7 Gbits pour relier un ordinateur portable à un moniteur ou à un périphérique de stockage, selon lui. La première application qui va vraiment exiger une telle technologie sera probablement le streaming vidéo ou la lecture de films Blu-Ray sans fil plutôt que via un câble HDMI, conclut-il.

 

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(07/05/2010 09:58:48)

Baisse historique de clients à la téléphonie mobile

C'est un cas rare en France. Pour la première fois depuis 2002, le nombre de clients de téléphonie mobile a reculé au cours du premier trimestre 2010, selon l'Observatoire trimestriel publié jeudi 6 mai par le régulateur français des télécoms (Arcep). A la fin du mois de mars, l'hexagone comptait 5.100 clients de moins qu'à la fin décembre 2009.

Selon les chiffres de l'Arcep, la France comptait quelque 61 477 900 lignes de téléphonie mobile, contre 61 483 000 trois mois plus tôt. En revanche, sur un an, ce nombre a progressé de 5,6% (58,22 millions de lignes à fin mars 2009). Cette légère diminution, mais qui demeure historique, est liée à la baisse du nombre de clients aux formules prépayées. Ce chiffre a reculé de 617 000 au cours du premier trimestre de l'année, tandis que le nombre d'abonnements par forfait a augmenté de 612 000 sur la même période. Certains se sont étonnés de cette chute des offres prépayées en stigmatisant une volonté des grands opérateurs de les rendre moins attrayantes et au final de réduire les propositions commerciales à destination des ménages les plus modestes.

Le taux de pénétration de la téléphonie mobile au sein de la population française reste cependant très élevé, à 95,2%. Il atteint même 138% en Ile-de-France, 104% en région PACA, et 101% en Corse. En revanche, ce taux n'est que de 72,1% en Franche-Comté, région la moins équipée. Le parc de lignes mobiles en France se compose de 43,26 millions d'abonnements de type forfaits (en hausse annuelle de 8,8%) et de 18,22 millions de clients à des offres prépayées (-1,3%).

Les MVNO progressent


Le marché reste très largement dominé par les trois opérateurs historiques (Orange, SFR et Bouygues Telecom), ces derniers se partagent 55,45 millions de clients. Cependant, ces grands opérateurs ont perdu des clients en ce début d'année (-0,2% au premier trimestre par rapport au 4ème trimestre 2009) au profit des nouveaux opérateurs mobiles virtuels (MVNO). Ces derniers (Virgin Mobile, NRJ Mobile, etc.), qui louent les réseaux des trois opérateurs, comptent désormais 3,63 millions de clients (+25,8% sur un an).

La part de marché des MVNO a d'ailleurs dépassé pour la première fois la barre des 6% : 6,15% au premier trimestre, contre 5,17% un an plus tôt.

Par ailleurs, près de 22,3 milliards de SMS ont été envoyés au cours des trois premiers mois de l'année (+62,8% de croissance annuelle. En moyenne, un Français envoie 124 textos par mois depuis son mobile.

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(06/05/2010 15:59:59)

Des fonctionnalités innovantes dans la bêta 3 d'iPhone OS 4.0

Scrutée par des sites comme 9to5Mac et des blogs de fans avides de détails, cette version bêta contient des éléments clés qu'ils n'ont pas manqué de repérer. Le mois dernier, Apple les avait déjà surpris lors de la présentation en avant-première de l'OS 4, en évoquant l'arrivée de fonctions professionnelles dans son système d'exploitation. Du coup, ils ont vite fait de remarquer l'arrivée de capacités multi-tâches.

Mark Gurman, du site 9to5Mac, a d'emblée noté la présence d'un nouvel élément dans cette dernière version : une interface de type widgets pour commander les fonctions iPod du téléphone. « Lorsque le premier panneau d'applications ouvertes est poussé vers la gauche, des contrôles sous forme de boutons apparaissent : un bouton de lancement rapide, des contrôles pour la musique, et un verrou de position qui maintient l'application en mode portrait, une option qui se verrouille et déverrouille en un coup de doigt » décrit-il. « Dans la version actuelle, l'utilisateur doit double-cliquer sur le bouton d'accueil du téléphone pour voir apparaître un ensemble de contrôles un peu similaires » fait le rédacteur.

Un soupçon de complication

Charlie Sorrel de Wired s'est lancé pour sa part dans une analyse plus détaillée. Comparé à l'iPad, qui offre un verrouillage écran à l'aide d'un bouton physique dédié, une icône de blocage de l'écran de l'iPhone s'affiche dans la barre de tâches qui surgit lorsque l'on appuie deux fois sur le bouton Accueil. Cette barre  permet aussi aux utilisateurs de basculer entre les applications ouvertes. « Les différentes fonctionnalités de l'iPod ont également migré vers cette bande de contrôle qui vient, semble t-il, remplacer le menu qui surgit lorsque l'on double-clique sur le bouton Accueil dans l'OS de l'iPhone actuel » écrit le journaliste.

Il a également noté que chaque application présente dans la bande multi-tâches dispose d'un bouton « Quitter » associé. Ce qui lui fait dire que « ça ressemble un peu à un gestionnaire de tâches. » Il s'en réjouit d'ailleurs, puisqu'il ajoute : « Je me demande toujours s'il n'y a pas trop d'applications ouvertes, de peur de vider ma batterie ». Les nouveaux boutons restent accessibles comme sur l'écran de recherche de l'iPhone actuel: « une fois que l'on accède au dock, il suffit de glisser vers la droite pour faire apparaître le nouveau panneau. Au moins cette partie fait sens, même si l'OS de l'iPhone, assez simple à l'origine, semble se compliquer un peu » a t-il déclaré.

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