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(02/04/2010 12:33:05)

Acheter un iPad ? 20% des Français intéressés selon une étude

A la veille du lancement de l'iPad aux Etats-Unis (samedi 3 avril), et à quelques semaines de son arrivée en France (fin avril), un sondage réalisé par Opinion Panel évalue l'intérêt de ces appareils hybrides (mi-netbook, mi-smartphone) auprès des consommateurs français. Ainsi, sur 550 personnes interrogées, 20% déclarent envisager d'abandonner leur PC portable pour passer à la tablette numérique. Sept personnes sur dix pensent par ailleurs que l'iPad sera populaire auprès des consommateurs. 11% sont prêts à payer 500 euros ou plus, tandis que 31% sont disposés à payer entre 300 et 400 euros. Les tarifs en France de l'iPad ne sont pas encore connus, mais l'appareil devrait être proposé à un prix plancher tournant aux alentours des 500 euros.

Parmi les personnes qui ne veulent pas acheter d'iPad, 37% trouvent que l'ordinateur portable reste plus performant, 28% n'en voient pas l'utilité, et 28% sont prêts à attendre le lancement d'un iPad de deuxième génération, mieux équipée que la première. Le nouveau produit phare d'Apple est également jugé trop cher pour ce qu'il propose (40% des réponses). Enfin, environ 30% des sondés ne sont pas sûrs de bien connaître l'utilité de l'iPad. 16% pensent qu'il s'agit d'un iPod, 3% que c'est un téléphone mobile, et 12% ne savent du tout ce qu'est l'iPad.

Ce sondage a été réalisé pour Kelkoo par la société Opinion Panel auprès de 550 personnes, interrogées entre le 17 et le 30 mars 2010. (...)

(02/04/2010 12:22:01)

Annuels 2009 : Huawei solide malgré la crise

Dans un contexte où les opérateurs télécoms ont réduit leurs investissements, Huawei, spécialiste des réseaux de nouvelles générations, a présenté des résultats très solides pour l'année 2009. Auditées par le cabinet KPMG, les données comptables montrent un chiffre d'affaires en hausse de 19% à 16, 2 milliards d'euros. La marge brute est stable, en raison de la pression sur les prix, par contre le résultat net bondit de près de 133% en passant de 853 millions d'euros à 1,9 milliards d'euros. Face à la morosité, Huawei explique ses bonnes performances économiques, à la fois par une agressivité sur le plan tarifaire et par un fort intérêt des opérateurs pour des équipements spécifiques. Dans la mobilité, la solution « Single RAN » combine au sein d'une même station de base plusieurs technologies sans-fil. Cela permet des économies sensibles en matière de taille des équipements et de leur mutualisation sur les points hauts.

Le PDG de Huawei, Ren Zhengfei, affiche ses ambitions « nous prévoyons une hausse annuelle de 20% de nos revenus, portés par le déploiement des nouveaux réseaux mobiles et haut débit ou la forte demande des services managés ». Une note du Crédit Suisse publiée par le site TradingSat estime que le sentiment des analystes est plutôt négatif à l'égard de la concurrence car Huawei gagne du terrain sur tous les fronts. « Dans les équipements « wireless », le chinois devrait augmenter sa part de marché de 15% en 2009 à 17% en 2010, contre 35% pour Ericsson, 19% pour Nokia Siemens Networks et 11% chez Alcatel-Lucent » estime le Credit Suisse.

(...)

(01/04/2010 08:47:03)

Un OraclePhone bientôt sur le marché [1er avril ;-)]

Le rachat de Sun n'aura finalement pas été très longtemps le seul investissement dans le matériel informatique d'Oracle. Celui-ci pourra-t-il longtemps encore être qualifié d'éditeur de logiciels ? Larry Ellison, CEO d'Oracle, vient en effet d'annoncer le lancement du premier téléphone intelligent par son entreprise lors d'une web-conférence de presse mondiale. Après Microsoft, Apple et Google, Oracle se lance donc à son tour dans la bataille dont les acteurs traditionnels -comme Nokia et Motorola- sont de plus en plus exclus. Le nom du fabriquant du matériel n'a pas été révélé bien que HTC et Samsung se soient déclarés intéressés.

« Notre produit sera bientôt en tête des listes » s'est réjoui par avance Larry Ellison, toujours très optimiste et enthousiaste. Il est vrai que le nom même du produit l'amène naturellement en début des listes alphabétiques puisqu'il s'appellera a-Phone, par abréviation de « Advanced Phone ». Les noms d'e-Phone (Enhaced Phone) et d'O'Phone (Oracle Phone), qui avaient circulé, ont été écartés, pour l'un parce que jugé trop ringard et pour l'autre à cause d'un problème de propriété intellectuelle avec une petite compagnie téléphonique provinciale irlandaise.

Après le NetPC, l'OraclePhone

Larry Ellison place dans son produit beaucoup de concepts issus de son rêve de NetPC : « le a-Phone permettra d'emmener son bureau et son domicile partout où l'on sera, avec toutes les applications nécessaires, relié par une liaison 4G nativement cryptée avec des applications placées dans le Cloud ». Une version allégée d'OpenOffice, racheté avec Sun, sera ainsi proposée avec la possibilité de gérer les mises à jour croisées avec un espace collaboratif hébergé chez l'opérateur téléphonique. Oracle proposera bien entendu également la solution de collaboratif hébergé aux opérateurs, Oracle Collaboration Center (OCC).

En réponse à une question, Larry Ellison n'a pas exclu qu'Oracle propose lui-même ce service même si ce n'est pas dans la stratégie actuelle. Des grandes entreprises pourront également le proposer à partir d'une installation interne de type « cloud privé ». Clairement, cette vision collaborative est au coeur du business modèle de l'a-Phone. La vente des produits nécessaires (avec la maintenance) semble être bien plus profitable que la vente de terminaux dont les prix devront être cassés pour s'imposer sur le marché. Rançon de l'accroissement des fonctionnalités de ces terminaux mobiles qu'il devient difficile de qualifier de « téléphones », il reste à savoir si l'on pourra téléphoner en étant avec un a-Phone.
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(31/03/2010 15:13:01)

7 millions de smartphones en France

En janvier 2010, la France comptait 7,14 millions d'utilisateurs de smartphones, contre 4,84 millions en janvier 2009, soit une progression de 48% sur un an. Il s'agit de la deuxième plus forte croissance en termes d'adoption derrière le Royaume-Uni (+70%). Toutefois, en nombre d'utilisateurs, la France se classe au cinquième et dernier rang de cette étude. L'Italie arrive en tête avec 15,03 millions de possesseurs de smartphones, devant le Royaume-Uni (11,1 millions), l'Espagne (9,9 millions), et l'Allemagne (8,42 millions). La France est également dernière de la classe pour le taux de pénétration des smartphones au sein des abonnés mobiles : 15,2%, contre 32% en Italie et 28,3% en Espagne.

Parmi les utilisateurs français de smartphones, près de 4,7 millions souscrivent des forfaits bon marché et intermédiaires, contre 2,28 millions qui paient des abonnements plus onéreux (plus de 50 euros par mois en moyenne)."Les smartphones sont généralement perçus comme des appareils haut de gamme associés à des tarifs et des forfaits très onéreux", fait remarquer Alistair Hill, analyste chez comScore, "pourtant, les abonnements bon marché ou intermédiaires représentent actuellement le segment le plus important et celui qui affiche la plus forte progression".

Symbian toujours bien implanté en Europe

Côté plateformes, Symbian (essentiellement des appareils Nokia) demeure le système d'exploitation le plus répandu dans les cinq pays étudiés, avec une part de marché de 60,9%, contre 14,5% pour l'iPhone d'Apple, 14,1% pour Windows Mobile (Microsoft) et 8,3% pour BlackBerry (RIM). Toutefois, Symbian semble beaucoup moins populaire en France (40,7%) qu'en Espagne (73,5%) ou en Italie (75,7%).

L'iPhone représente 29,9% des smartphones en circulation en France, soit le meilleur score européen (seulement 15,3% en Allemagne et 6,5% en Espagne). Même constat pour les smartphones utilisant la plateforme Google Android : le taux d'adoption des "Google Phone" est le plus élevé en France (3,7% contre 2% pour la moyenne européenne).

Illustration Sony Ericsson X10 Mini Pro (...)

(31/03/2010 11:59:12)

Les services mobiles de Google partiellement bloqués en Chine

On ignore encore l'étendue du problème, et notamment si cette limitation de l'accès est liée à la récente prise de position de l'américain en matière de censure. Celle-ci avait motivé une redirection de Google.cn vers Google.com.hk, son site de recherche basé à Hong Kong. Alors que la firme de Mountain View a dû censurer les résultats politiquement sensibles sur son site basé en Chine pour satisfaire aux demandes du gouvernement chinois, il ne le fait pas sur son moteur de recherche de Hong Kong.

Le moteur de recherche Google, y compris les services Maps et News, n'étaient pas accessibles à partir de Beijing via une connexion GPRS de l'opérateur China Mobile. « Nous confirmons que notre page de statut montre que les services mobiles sont partiellement bloqués depuis la Chine continentale», a déclaré une porte-parole de la société américaine. C'est la première fois, depuis que Google l'a mise en service la semaine dernière. Des tests menés depuis la page permettent aussi de voir que YouTube et Blogger continuent d'être bloqués en Chine. Google Docs, Groupes et Picasa sont quant à eux, partiellement bloqués.

La décision de Google concernant la censure a eu aussi d'autres conséquences. Ainsi, le portail Internet chinois propriétaire de Tom Online a déclaré la semaine dernière qu'il avait laissé tomber Google pour les recherches effectuées à partir de son site Web, et qu'il utiliserait la recherche de Baidu.com, le principal rival de l'américain en Chine. La semaine dernière également, un porte-parole de China Unicom a fait savoir que l'opérateur mobile n'avait pas l'intention d'implémenter la recherche Google sur ses téléphones. De son côté, la firme de Mountain View a reporté la disponibilité des Google Apps sur les téléphones des opérateurs chinois tournant sous son système d'exploitation Android. (...)

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