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(22/06/2009 16:49:43)

Un jury de Parisiens plaide pour abaisser le seuil d'exposition aux ondes électromagnétiques

Un panel de Parisiens mandaté par la municipalité pour apporter un point de vue indépendant sur les questions relatives aux ondes électromagnétiques plaide pour une application large du principe de précaution. Imaginée en mars, cette conférence participative a réuni treize habitants de la capitale qui, après avoir été formés, ont remis leurs conclusions dans un rapport « ondes, santé, société ». Outre des remarques de bon sens sur une utilisation citoyenne des téléphones portables (limiter l'usage dans les transports en commun pour développer le « savoir-vivre ensemble », par exemple), c'est sur le terrain de l'émission des ondes que les réflexions des membres du « jury citoyen » sont les plus intéressantes. Ils préconisent ainsi, comme plusieurs associations l'avaient fait à l'occasion du Grenelle des antennes, « d'optimiser le réseau (technologie et implantation) pour atteindre un seuil de 0,6 volt/mètre », contre 2 V/m comme l'autorise la charte « antennes-relais » signée en 2005 par la Ville de Paris et les opérateurs. Soulignons que l'abaissement de ce seuil est d'ores et déjà expérimenté par plusieurs villes de l'Hexagone (dont Courbevoie et Pau), comme les conclusions du Grenelle des antennes les y ont autorisées. Les treize Parisiens consultés reconnaissent, certes, qu'il « n'y a pas de certitude au niveau de la santé » et que « le risque zéro n'existe pas ». Mais leur recommandation, qui se calque sur le seuil adopté par d'autres villes, « permettrait de réconcilier opérateurs, citoyens et associations ». Interrogée sur cette proposition par nos confrères du Parisien, Anne Hidalgo, première adjointe de Bertrand Delanoë, indique que des tests seront mis en place prochainement pour juger de la pertinence de ce niveau d'exposition. Le WiFi dans les bibliothèques à nouveau montré du doigt Dans un souci de faire de Paris « une ville numérique responsable », les Parisiens suggèrent, plus généralement, de modérer l'émission d'ondes, qu'elles émanent des équipements de téléphonie mobile ou de ceux liés à l'Internet sans fil. Ainsi, ils recommandent de substituer au WiFi une liaison filaire dans tous les bâtiments publics (administrations, bibliothèques, écoles, hôpitaux) ou, lorsque cela est impossible (par exemple dans les jardins publics), d'éloigner les sources des espaces destinés à accueillir les enfants. L'idée de remiser le WiFi au placard séduira à n'en pas douter certains employés municipaux, qui s'étaient battus pendant plusieurs mois pour que soient débranchés les points d'accès dans les bibliothèques. En arguant de troubles sanitaires, ils avaient obtenu le débranchement des installations en 2007 avant que la Ville ne décide, en octobre 2008, de les remettre en service. Sur ce sujet, Anne Hidalgo fait montre de moins d'enthousiasme qu'en ce qui concerne l'abaissement du seuil d'exposition à 0,6 V/m. « C'est une recommandation de bon sens. Nous examinerons les situations au cas par cas. Les discussions avec les opérateurs reprendront à la rentrée pour mettre au point une nouvelle charte d'ici à la fin de l'année », élude-t-elle. Enfin, le jury citoyen plaide pour une non implantation d'antennes relais près des établissements scolaires et la proscription de l'utilisation de téléphones mobiles dans ces mêmes établissements par les enfants (jusqu'au collège). Des mesures proches de celles avancées par la ministre de la Santé lors de l'ouverture du Grenelle des antennes, au mois d'avril. (...)

(22/06/2009 12:45:52)

Bon trimestre pour RIM qui, craignant la concurrence, intensifie sa R&D

RIM (Research in Motion), l'inventeur du Blackberry, a clos fin mai son premier trimestre fiscal 2009 sur un CA en hausse de 52% à 3,4 Md$ et un bénéfice net en progression de 33% à 643 M$. Au cours de ces trois mois, RIM a augmenté de 72% son budget de R&D, à 219 M$, d'où un résultat opérationnel en faible hausse de 7%, à 690 M$. La marge brute s'établit à 43%. Au cours de ce trimestre, la société n'a enregistré que 3,8 millions de nouveaux abonnés, soit moins que les 3,9 millions du trimestre précédent. Au total, RIM revendique 28,5 millions d'abonnés. Difficile d'attribuer ce fléchissement de croissance séquentiel, le premier depuis trois ans, à la conjoncture économique ou au durcissement de la concurrence sur le marché des smartphones. En relançant sa R&D, RIM montre en tout cas qu'il prend très au sérieux la menace de ses concurrents. Lorsque l'on est crédité par IDC de plus de 55% du marché américain des smarthones, on doit prendre au sérieux l'arrivée du iPhone 3G d'Apple et le Pre de Palm. RIM a livré 7,8 millions d'unités au cours de ce trimestre, autant qu'au cours du précédent trimestre. Avec plus de 80% du CA, cette activité domine largement le service (13% du CA) et le logiciel (4%). Au prochain trimestre, les boursiers attendent de RIM qu'il écoule entre 8,1 et 8,7 millions d'unités et recrute entre 3,8 et 4,1 millions de nouveaux abonnés. (...)

(17/06/2009 16:19:06)

Le prix de la 4eme licence de téléphonie mobile monte à 240 millions d'euros

La procédure d'attribution de la quatrième licence de téléphonie mobile semble s'engluer. Le gouvernement a relevé le prix du lot des 5 MHz tout en retardant de facto l'échéance. Parallèlement, d'aucuns prêtent à Bouygues Telecom l'intention de retarder le processus par la voie judiciaire. Surtout ne pas répondre aux questions sur la 4e licence de téléphonie mobile ! Tel semble la consigne passée et appliquée par les responsables gouvernementaux en charge des télécoms en ce moment. Au lendemain de l'annonce en catimini -via un entretien rapide de Luc Chatel, secrétaire d'Etat à l'Industrie, avec l'AFP- il parait impossible de comprendre les raisons qui ont motivé l'avis consultatif de la Commission des participations et des transferts de relever le prix du lot des 5 MHz réservé à un nouvel entrant, un avis que le gouvernement compte suivre. Au lieu des 206 millions d'euros annoncés par le gouvernement devant la représentation nationale lors du débat organisé au Parlement en début d'année sur la quatrième licence, le prix est désormais fixé à 240 millions d'euros. Pour autant, si le tarif est désormais connu, le gouvernement paraît toujours aussi peu pressé de donner le coup d'envoi du processus d'attribution. Dans son entretien avec l'AFP, Luc Chatel a en effet précisé qu'il allait saisir pour consultation les instances concernées (l'Arcep), avant de publier, d'ici la fin juillet, le décret fixant les modalités d'attribution. Le sujet des consultations est d'autant plus mystérieux que le gouvernement a déjà tous les éléments à sa disposition, l'Arcep lui ayant transmis depuis longtemps son avis sur le dossier. Des opérateurs tentés de faire traîner le dossier De plus, lors de la nomination de Jean-Claude Mallet à la tête de l'Arcep début janvier (remplacé depuis par Jean-Ludovic Silicani), le gouvernement avait promis de lancer la procédure avant la fin du mois de février, puis avait finalement évoqué la fin mars. L'attribution de la licence prend donc encore une fois quelques semaines de retard supplémentaires, sans que l'on puisse avoir la certitude que cette nouvelle échéance sera respectée. Les opérateurs mobiles en place ont en effet tout intérêt à retarder le plus longtemps possible l'arrivée d'un nouvel acteur. Comme le relevait récemment le magazine Challenges sur son site, la clause permettant à un quatrième acteur de récupérer 5 MHz dans la bande 900 MHz tombe dans un an (en juin 2010). Autrement dit, si le dossier traîne suffisamment les opérateurs en place n'auraient pas à rétrocéder une partie des fréquences qu'ils utilisent, tout en compliquant la tâche du nouvel entrant qui avec 5 MHz seulement verrait sa capacité de développer son réseau sur l'ensemble du territoire significativement réduite. D'où l'intention prêtée notamment à Bouygues Telecom de poursuivre le combat contre la quatrième licence en attaquant le décret devant la justice. Une hypothèse que n'exclut pas non plus France Télécom pour faire constater que « le principe d'équité n'a pas été respecté ». Iliad, dernier candidat en lice ? [[page]]Si tel devait être le cas, il serait difficile pour le gouvernement de lancer la procédure d'attribution, compte tenu de l'incertitude juridique qu'une telle plainte ferait peser sur le dossier. Un environnement qui ne va pas faciliter la tâche des candidats potentiels. Alors que de nombreux noms circulaient en début d'année, la liste semble d'ailleurs s'être réduite. KPN, qui avait pris contact avec Alcatel-Lucent, a affirmé depuis n'être pas intéressé par la licence, alors que Virgin Mobile France, qui regarde le dossier, indique aussi ne pas avoir besoin de la licence pour poursuivre son développement. Geoffroy Roux de Bézieux, PDG du MVNO, s'inquiète de la capacité du nouvel entrant à déployer les points hauts, compte tenu de la polémique sur la nocivité des antennes-relais. Sauf coup de théâtre, Iliad pourrait donc bien être le seul candidat à tenter l'aventure. La fuite du gouvernement face à ces questions La quatrième licence de téléphonie mobile, et plus généralement l'ensemble des sujets télécoms, sont manifestement des épines dans le pied du gouvernement. Pour s'en convaincre, il suffit de rappeler que sur une question aussi importante, il n'a pas cru bon de rédiger un communiqué ou d'organiser une conférence de presse pour expliquer et motiver son choix sur le prix de la licence, et s'est contenté d'un rapide entretien de Luc Chatel avec l'AFP. Depuis deux ans que ce dossier est sur la table, le gouvernement s'est d'ailleurs fait remarquer par sa capacité à fuir les questions. D'où les rumeurs récurrentes portant sur le chantage à l'emploi que pourraient exercer certains des opérateurs en place, peu pressés de faire de la place à un quatrième acteur, et qui amènerait l'Elysée à repousser, sans cesse, les décisions. (...)

(11/06/2009 17:17:29)

Père du Palm Pre et de l'iPod, Jon Rubinstein devient patron de Palm

Jon Rubinstein devient l'homme fort de Palm en succédant à Ed Colligan en tant que PDG (CEO). Ce transfuge d'Apple avait été nommé président du conseil d'administration en 2007 en arrivant dans les valises du fonds d'investissement Elevation Partners qui prit 25% du capital de la société à cette époque. Pour l'anecdote, Bono, chanteur du groupe de rock U2, siège au comité exécutif de ce fonds d'investissement. En deux ans, Jon Rubinstein a remis Palm sur les rails du succès. Lui qui a pris part à la naissance de l'iPod quand il était chez Apple est considéré comme le "père" du téléphone mobile intelligent Palm Pre, qui apparaît actuellement comme le meilleur concurrent de l'iPhone (et sa plus fidèle imitation...). Cet appareil utilise un nouvel OS tactile maison basé sur Linux, le WebOS, qui exploite la puissance du SoC (System on a Chip) OMAP 3430 de Texas Instruments. Ce composant regroupe autour d'un ARM Cortex A8, un composant graphique PowerVR SGX 530 d'Imagination Technologies (ex-VideoLogic) et un processeur de signal C64x maison. Palm, une histoire mouvementée Palm est une société miraculée. Née en 1992 sous le nom de Palm Computing avec le lancement de l'assistant personnel Palm Pilot, elle a été achetée en 1995 par US Robotics qui fut à son tour absorbée par 3Com en 1997. Dans la foulée, tous les fondateurs, à l'exception d'Ed Colligan, ont quitté leur société pour fonder Handspring et lancer le Treo (sous Windows Mobile). 3Com rendit sa liberté à Palm en l'introduisant en bourse en 2000. Boudé par des utilisateurs qui délaissaient leur assistant personnel pour des GSM intelligents comme le Blackberry, Palm s'est alors séparé de son activité de développement d'OS en créant PalmSource. En 2006, la société a été rachetée par Access qui commercialisa Garnet OS, devenu Acces Linus Platform. En 2003, Handspring a réintégré le giron de Palm et a permis à la société d'exister sur le marché des GSM intelligent avec la gamme Treo. Un moyen de tenir jusqu'à l'arrivée aujourd'hui du Palm Pre. (...)

(09/06/2009 16:39:27)

WWDC : Apple dévoile son iPhone 3GS

Parmi les critiques suscitées par les deux premières générations de l'iPhone, citons l'absence de fonction vidéo. Avec ce nouveau modèle, Apple opére une sérieuse remise à niveau en dotant l'iPhone 3GS d'un capteur de trois millions de pixels capable d'enregistrer aussi bien des photos que des vidéos. La marque à la pomme fait par ailleurs un net effort de prix en proposant un modèle d'entrée de gamme, de 16 Go, à seulement 199 dollars. Grâce à ce capteur épaulé par la fonction "tap to focus", l'utilisateur n'a qu'à appuyer sur l'écran tactile de l'iPhone pour que ce dernier fasse un réglage focal sur un objet ou une personne. A cette fonction, Apple ajoute celle du MMS. Il suffira de filmer sa vidéo et ensuite de l'envoyer par mail, MMS ou encore de la poster sur Youtube ou MobileMe. Pour que cet iPhone assure une autonomie décente, Apple lui intègre une batterie plus performante. Côté système, le 3GS est annoncé comme deux fois plus véloce que la dernière génération 3G. Il est censé offrir une navigation sur Internet et un lancement des applications plus rapides. A cela s'ajoute, un affichage 3D amélioré avec l'adoption du standard OpenGL ES 2.0. Autre fonction accordée à ce nouveau modèle, la commande vocale. Depuis le micro intégré ou le kit piéton, l'utilisateur peut commander vocalement son iPhone et sa partie iPod, pour composer un numéro de téléphone ou lancer la lecture d'un morceau de musique. En ce qui concerne son système d'exploitation, l'iPhone 3GS intègre la version 3.0 de l'OS maison qui assure notamment l'indispensable "Couper-Coller". Cet OS devrait proposer plus de 100 nouvelles applications. Question tarifs, pas de miracle. Apple a certes fait un effort modeste mais la version 16 Go sera facturée 199 dollars et la 32 Go coutera 299 dollars. Sa date de commercialisation en France est prévue pour le 19 juin. (...)

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